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  • Appel urgent de caritas pour l'Afrique de l'Est où la famine sévit

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    Newsletter Caritas International
    Afrique de l'Est

    La situation en Afrique de l'Est est dramatique

    Aidez-nous à apporter une aide d’urgence aux victimes.

    Les Nations Unies et le gouvernement du Soudan du Sud ont déclaré l’état de famine. 5 millions de personnes y ont d’urgence besoin d’aide alimentaire. Elles sont 20 millions dans la région à être menacées par la faim.

    Aujourd’hui, au Soudan du Sud, Caritas vient déjà en aide aux familles prises au piège à Yei, ainsi qu’à celles et ceux qui ont trouvé refuge dans le camp de Bidi Bidi en Ouganda. En l’espace de quelques mois, cette plaine inhabitée est devenue le second camp de réfugiés de la planète. Votre aide ne peut attendre.
     
    Nous avons d’urgence besoin de votre soutien pour pouvoir distribuer des colis alimentaires. Un  colis alimentaire coûte  30 euros, ce qui correspond plus ou moins à 1 euro par jour pour venir en aide à une famille pendant tout un mois.
     
    Combien de jours accepteriez-vous d’aider une famille?
    7 jours = 7 euros
    40 jours = 40 euros
    90 jours = 90 euros 

    Ou sur le compte de Caritas BE 88 0000 0000 4141 en mentionnant « 5643 Famine Soudan du Sud »
    Chaque jour compte
    Merci

         BE88 0000 0000 4141

         infofr@caritasint.be
         www.caritasinternational.be


       
    Caritas International Rue de la Charité 43 - 1210 Bruxelles

  • Bruxelles, 26 mars : Marche pour la Vie

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    Dimanche 26 mars 15h Mont des arts : Marche pour la vie !

    Faire de l’avortement un droit, autoriser l’interruption volontaire de grossesse jusqu’à 20 semaines, supprimer le délai de réflexion entre la demande d’une IVG et son exécution, retirer de la loi toute référence à la notion de détresse pour la femme, autoriser l’euthanasie de personnes démentes sans leur accord, obliger toutes les institutions à pratiquer l’euthanasie en leurs murs, rendre la déclaration de fin de vie illimitée dans le temps, légaliser la gestation pour autrui, telles sont les propositions de loi en discussion pour le moment au Parlement.

    Le dimanche 26 mars, nous manifesterons :

    • pour un soutien matériel, psychologique et affectif aux femmes qui désirent garder leur enfant et pour la protection des enfants à naître.
    • pour un accompagnement véritablement humain des grands malades et des personnes en fin de vie et pour défendre leur droit à vivre dignement jusqu’à leur mort naturelle.
    • pour le respect de la liberté de conscience des médecins et des institutions qui refusent de pratiquer l’euthanasie.
    • pour que la composition de la commission de contrôle de la loi sur l’euthanasie soit effectivement pluraliste et reflète les différentes conceptions philosophiques.
    • pour l’interdiction de la pratique de la gestation pour autrui, une pratique qui dans les faits encourage le trafic des enfants et l’exploitation des femmes précarisées.

     Plus d’infos sur www.marchforlife.be

    A l’occasion de la Journée internationale de la trisomie 21 du 20 mars, signez la pétition internationale StopDiscriminatingDow pour empêcher l’avortement sélectif des enfants trisomiques.

    http://stopdiscriminatingdown.com/fr/signer-la-petition-internationale/#

    Plus d’informations sur le site de la Fondation Lejeune

    https://www.fondationlejeune.org/conference-stop-discriminating-down-defendre-enfants-trisomiques-a-lonu/

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    De Mars voor het Leven 2017 zal een groot succesverhaal worden; we zullen er allen verenigd zijn om de eerbied voor het menselijk leven, vanaf de bevruchting tot zijn natuurlijke einde, te verdedigen.

    La Marche pour la Vie 2017 s’annonce être un grand succès, nous y serons tous unis pour défendre le respect de la vie humaine de sa conception jusqu’à sa mort naturelle.

    Les tracts et affiches se répandent dans toute la Belgique... Pas encore par chez vous ? Demandez-en à l'adrese flyer@marchforlife.be , ou venez en chercher à 
    Rue de la Loi 42 à 1000 Bruxelles
    Avenue Van Goolen 27 à 1200 Bruxelles (Woluwé-Saint-Pierre)
    Rue Meyerbeer 82 à 1190 Bruxelles (Forest/Uccle) 
    Rue Besme 130 à 1081 Bruxelles (Koekelberg)

  • France : les églises sont l'enjeu de tous

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    De RCF :

    En France, les églises sont l'enjeu de tous

    Les églises font partie de notre paysage, de notre patrimoine. Pourtant faute de fidèles, et de prêtres, les portes de certaines d’entre elles restent souvent fermées.

    Petites, grandes, imposantes, gothiques romanes contemporaines, les églises font partie de notre paysage, de notre patrimoine. Au détour des régions, leurs clochers se dressent et pourtant faute de fidèles, de prêtres, les portes de certaines d’entre elles restent souvent fermées. D’autres sont même parfois désaffectées.

    Alors comment redonner vie à ces églises, se les réapproprier ? Comment dialoguer, travailler avec les différents acteurs qui gravitent autour de ces lieux de culte ? C’est pour répondre à ces questions que les évêques de France ont mené depuis 2014 une réflexion sur le sujet. Une réflexion qui s’achève vendredi 10 mars par un colloque au Collège des Bernardins sur le thème, "Les églises, un enjeu pour tous".  Au programme des conférences, tables rondes avec des élus, des personnalités du monde de l’Eglise, du patrimoine, de l’architecture et des médias.

    C'est Mgr Jacques Habert, évêque de Séez, qui a présidé ce groupe de travail mis en place par la CEF. Un groupe de travail et de réflexion, composé d'évêques et de responsables de l'art sacré, qui a porté de nombreux fruits, comme l'explique Mgr Habert, à Pauline de Torsiac. 

    L’avenir des églises, un sujet de préoccupation pour les évêques mais aussi pour les communautés chrétiennes, les élus, le monde de la culture et du patrimoine. De quoi s'interroger sur la coordination de tous ces acteurs, sur ce sujet commun. Par ailleurs, l’un des défis pour les communautés chrétiennes, c’est de se réapproprier sur le plan pastoral ces églises de les faire vivre alors même que le nombre de prêtres est passé de 40 000 dans les années 60 à 15 000 aujourd’hui.

    Illustration en fin d'émission avec l’opération "Un jour, une église" lancé en 2012 dans l’Aube. L’idée est simple : faire découvrir ce qui fait le charme et la singularité d’un édifice dans le plus grand respect des bâtiments et évidemment en accord avec les prêtres du secteur, qui encouragent cette initiative.

  • Défendons la famille et la vie aux Nations Unies; signons la pétition de CitizenGo !

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    Défendez la famille et la vie aux Nations-Unies

    SIGNEZ CETTE PÉTITION MAINTENANT!

  • Quand les évêques allemands prennent le parti d'assouplir la discipline des sacrements

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    Du site de l'Homme Nouveau :

    Érosion de la discipline des sacrements de l’Église catholique en Allemagne

    Fils du philosophe catholique allemand Robert Spaemann, le docteur Christian Spaemann a réagi à la récente décision de la Conférence des évêques allemands d'élargir la possibilité de recevoir les sacrements aux fidèles se trouvant dans une situation irrégulière. Nous publions ici la version française (traduction d'Elisabeth Franc) de son texte publié en allemand sur kath.net ainsi que sur différents sites en langue étrangère.

    C’est désormais chose faite. Les évêques allemands ont pris une décision qui ne relève pas de leur autorité. Ils ont assoupli la discipline des sacrements de l’Église catholique : les croyants se trouvant dans une situation irrégulière, c’est-à-dire qui entretiennent des relations sexuelles hors mariage sacramentel, doivent avoir la possibilité de recevoir les sacrements. Il convient de « respecter leur décision de recevoir les sacrements…. » Dans leur texte, les évêques reprochent aux prêtres qui se conforment à l’ordre en vigueur jusqu’ici d’avoir tendance à « juger rapidement » et à adopter une « attitude rigoriste (et) extrême ». Ils suivent ainsi une logique dans laquelle ils interprètent de manière erronée la notion de miséricorde et ont une image déformée de ceux qui observent le magistère de l’Église catholique et sa rationalité intérieure. Dans leur communiqué, les évêques allemands transgressent des normes claires que de nombreux papes, en particulier Jean-Paul II, et le Catéchisme de l’Église catholique ont définies sans ambiguïté, en accord avec l’enseignement traditionnel de l’Église. Le fait qu’ils se fondent sur l’exhortation post-synodale « Amoris laetitia » (AL) du Pape François ne justifie pas cette façon de procéder, étant donné que cette exhortation doit être interprétée à la lumière de la tradition, faute de quoi il ne faudrait pas s’y conformer car le Pape ne suivrait pas l’enseignement traditionnel de l’Église.

    Le point essentiel

    Le point essentiel à retenir est que l’enseignement de l’Église contient des normes qui s’appliquent sans aucune exception et ne sont pas soumises à un examen circonstancié, c’est-à-dire qu’il n’est pas possible de prendre des décisions divergentes au cas par cas. Cela est lié à la nature de l’homme, auquel est conféré une dignité qui impose certaines limites dans la relation avec soi-même et avec les autres. La sexualité en fait partie. L’homme ne peut pas l’instrumentaliser ou la vivre en dehors d’un contexte défini sans porter atteinte à sa dignité ni assumer la responsabilité de sa faute, quelle que soit la manière de pondérer les circonstances subjectives et donc la faute personnelle. Par exemple, lorsqu’un homme souffre d’un trouble psycho-organique l’empêchant de contrôler ses affects et qu’en conséquence il insulte régulièrement sa femme, il souille quand même sa relation avec elle et lui exprimera son regret à maintes reprises alors qu’il ne peut rien ou presque rien y faire.

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  • La Cour de justice de l’Union européenne a statué : le port du voile peut être interdit en entreprise

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    De Radio Vatican :

    Selon la CJUE, le port du voile peut être interdit en entreprise

    (RV) Une entreprise peut-elle interdire dans son règlement intérieur le port visible de signes religieux ? Oui, a répondu ce matin la Cour de justice de l’Union européenne, la CJUE. Elle rendait son avis dans le cas d’une employée belge licenciée par son entreprise car elle portait le foulard islamique. Mais la Cour a posé plusieurs conditions. Et dans une affaire française similaire, où ce n’est pas le règlement intérieur mais la plainte d’un client qui avait provoqué le licenciement, la Cour a estimé le renvoi injustifié Samuel Bleynie…

    Dans le dossier belge, la cour constate que l’interdiction, orale puis écrite dans le règlement intérieur, ne constitue pas une discrimination directe fondée sur la religion. Et ce puisque tous les signes politiques, philosophiques ou religieux étaient concernés, sans distinction.

    La CJUE n’exclue pas l’hypothèse que cela constitue cependant une discrimination indirecte, visant de fait la seule religion musulmane. Il reviendra à la justice belge d’en juger, mais la CJUE estime que, même si elle était avérée, cette discrimination indirecte pourrait être justifiée par un objectif légitime, comme la poursuite d’une politique de neutralité vis-à-vis de la clientèle.

    À une condition : que cet objectif soit appropriée et nécessaire. Les seuls employés au contact de clients doivent y être soumis et des solutions de replacement proposées avant de licencier les employés réfractaires.

    Dans le cas français, c’est un peu différent. Ce n’est pas le règlement intérieur, mais un client qui a poussé l’entreprise à réclamer que l’employée à qui il avait à faire retire son foulard. Suite au refus de l’employée de se plier à une telle exigence, l’entreprise l’a licenciée. Un licenciement illégal, selon la CJUE, qui estime que la volonté d’un employeur de tenir compte de ce souhait du client ne saurait être considéré comme «une exigence professionnelle essentielle et déterminante».

    En résumé : une règle interne interdisant le port visible de tout signe politique, philosophique ou religieux ne constitue pas une discrimination directe. Mais, en l’absence d’une telle règle, répondre au simple souhait d’un client peut constituer une telle discrimination.