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  • 18 - 20 mars 2022 : Et la foi ? Bienvenue au Congrès Mission !

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    Le Congrès mission est postposé au 18-19-20 mars 2022 (en raison des mesures sanitaires)

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  • Liège, le dimanche 12 décembre 2021 à 16h00: concert de Noël à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy , 132)

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    Eglise du Saint-Sacrement à Liège

    Boulevard d’Avroy, 132

    Dimanche 12 décembre 2021 à 16 heures 

    CONCERT DE NOËL

    Animé par le Choeur polyphonique “Praeludium” (dir.Patrick Wilwerth) 

    et les étudiants de l’Ensemble “Experientia” (Choeur ULiège) 

    Armand Rahier (hautbois) et l’Ensemble instrumental Darius (violons) se joindront aux choeurs et à l’orgue pour faire de ce concert un moment de pur plaisir musical 

     Au programme: 

    Des oeuvres de Dietrich Buxtehude, Georg Friedrich Haendel, des chants traditionnels ukrainiens, hébreux et anglais ainsi que des oeuvres de Patrick Wilwerth lui-même

    Affiche Noel 2021 jpeg.jpeg

    Entrée : 10€ 

    Réservations à partir du 20/11  : 0495/79 80 38  - email: patrickwilwerth@icloud.com

    Suivant les règles en vigueur, le Pass sanitaire et le masque seront obligatoires. 

  • Bruxelles : les fabriques d'église devront vendre leur patrimoine si le déficit s’installe

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    Lu sur le Soir (26 novembre, p. 12) :

    Bruxelles révolutionne le financement des cultes

    La Région bruxelloise devient la seule autorité compétente pour intervenir financièrement dans les déficits des fabriques d’églises sur son territoire. Les cultes sont invités à mieux gérer leur patrimoine, quitte à fusionner les fabriques ou devoir vendre. … Incitées à « surveiller elles-mêmes l’état de leurs dépenses », les fabriques devront vendre leur patrimoine si le déficit s’installe, une révolution par rapport au décret napoléonien. Le projet d’ordonnance prévoit la vente ou location de biens mobiliers et immobiliers, mais aussi les donations, legs, fondations et dons manuels. « On est prêt à travailler loyalement et l’Eglise fera tout pour se conformer à la réforme », assure Thierry Claessens qui explique que les revenus sont variés, entraînant de grandes disparités entre les fabriques : dons des fidèles, collectes, revenus immobiliers suite à des legs. Plus insolite, les antennes GSM rapportent aux églises qui louent leur clocher aux opérateurs. … L’ordonnance impose des obligations aux cultes qui souhaitent être financés : chaque communauté s’enregistre, démontre son « existence stable » dans les trois ans, et prouve qu’elle est composée de 200 membres.

  • Le martyre de cinq prêtres français tués en haine de la foi en 1871 pendant la Commune reconnu par le pape François

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    Lu sur le site de Famille Chrétienne :

    Le pape reconnaît le martyre de cinq prêtres tués pendant la Commune de Paris

    <p>Exécution de 62 otages de la Commune, coupables de complicite avec le gouvernement de Versailles, le 26 mai 1871 rue Haxo à Paris.</p>

    Exécution de 62 otages de la Commune, coupables de complicite avec le gouvernement de Versailles, le 26 mai 1871 rue Haxo à Paris.  - ©Archivio Arici/Leemage

    Le pape François a autorisé la promulgation par la Congrégation pour les causes des saints d’un décret reconnaissant notamment le martyre de cinq prêtres français tués en haine de la foi en 1871 pendant la Commune de Paris, annonce le Bureau de presse du Saint-Siège le 25 novembre 2021. Il s’agit des Pères Henri Planchat, Ladislas Radigue, Polycarpe Tuffier, Frézal Tardieu, Marcellin Rouchouze. Cette décision du Saint-Siège ouvre la voie à leur prochaine béatification, dernière étape sur le chemin de la sainteté avant une canonisation. La béatification est habituellement célébrée dans le pays d’origine des bienheureux par un représentant du pontife, la plupart du temps le préfet de la Congrégation pour les causes des saints.

    Tués pendant la Semaine sanglante

    Les cinq prêtres ont été tués le 26 mai 1871, pendant la “Semaine sanglante”, par des citoyens de la Commune de Paris, “État indépendant” fondé au lendemain de la défaite de la France face à la Prusse. Les “Communards”, animés d’idéaux libertaires et socialistes, considéraient les membres du clergé comme des alliés de leurs adversaires, les “Versaillais”, représentants du gouvernement républicain basé à Versailles

    Le première martyr est le Père Henri Planchat. Né en 1823, il rejoint les Frères de Saint Vincent de Paul et est ordonné en 1850. Il poursuit ses études en Italie et revient en France pour exercer son ministère pastoral dans plusieurs villes françaises. En 1863, il est transféré à Paris où il s’occupe des plus pauvres, des blessés de guerre et des malades. Arrêté le 6 avril 1871 par les autorités de la Commune de Paris, il est fusillé le 26 mai de la même année. 

    Le Père Ladislas Radigue est aussi né en 1823. Il a intégré la Congrégation des Sacrés Cœurs de Jésus et de Marie et de l’Adoration perpétuelle du Saint Sacrement en 1843, avant d’être ordonné en 1848. Il devient le Supérieur de la maison mère de cette congrégation située à Picpus, dans l’est de Paris. Arrêté le 12 avril 1871 par les autorités de la Commune, il est fusillé le 26 mai avec les quatre autres prêtres.

    Le Père Polycarpe Tuffier, né en 1807, est lui aussi membre de la Congrégation des Sacrés Cœurs de Jésus et de Marie depuis 1823. Ordonné en 1830, il est longtemps aumônier à Paris puis devient procureur de sa congrégation dans la maison mère de Picpus. Comme le Père Ladislas Radigue, il est fusillé le 26 mai. 

    Le Père Marcellin Rouchouze, né en 1810, est aussi membre de la Congrégation des Sacrés Cœurs de Jésus et de Marie. Ce professeur de latin, de mathématiques et de philosophie est envoyé en Belgique pour travailler dans les collèges de la congrégation et est ordonné prêtre en 1852. Présent à Paris pendant la Commune, il est fusillé avec ses confrères le 26 mai 1871. 

    Le Père Frézal Tardieu, né en 1814, est lui aussi membre de la Congrégation des Sacrés Cœurs de Jésus et de Marie. Ordonné en 1840, il était enseignant en théologie dogmatique et conseiller général de la Congrégation dans la maison mère de Picpus à Paris quand il est arrêté puis fusillé le 26 mai 1871. 

    La Commune, adversaire de la foi

    La Congrégation pour les causes des saints explique que la haine de la foi était « la motivation dominante des actions des bourreaux » de ces cinq prêtres. « La Commune, en plus des exigences sociopolitiques, avait des implications antireligieuses évidentes », considère le dicastère, certains Communards percevant la religion comme « un obstacle à éliminer ». 

    La haine de la foi est en outre confirmée par « la férocité perpétrée contre les religieux par la foule en colère et le pillage des lieux et du mobilier servant au culte », ainsi que les profanations eucharistiques. Tous les martyrs étaient en outre « conscients du risque qu’ils couraient ».