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  • 12 petites conférences de Stéphane Mercier sur l'avortement, l'euthanasie et la contraception

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    Malgré le confinement général, Philo à Bruxelles reste actif et nous avons eu l’idée de vous transmettre 12 vidéos courtes de Stéphane Mercier sur des thèmes fondamentaux.

    Vous pouvez les découvrir en cliquant sur les liens ci-dessous :

    J'ai 5 minutes !

    Ces 12 petites conférences enregistrées en Suisse portent sur l'avortement, l'euthanasie et la contraception.

    Regarder 5 minutes

    1.

    Mon corps, mon droit ?
     
    2.

    Justifier l'avortement ?

    3.

    Un enfant, OUI. Mais seulement dans de bonnes conditions !

    4

    L'embryon, un tas de cellules ?

    5

    L'avortement, une opération sans douleur ?

    6

    Face à quelqu'un qui veut avorter
     

    Face à quelqu'un qui veut avorter (suite)
     
    8

    Les impasses de la contraception
     
    9

    1ère partie: Le mensonge de l’euthanasie

    10

    Les impasses de la contraception (suite)

    11

    2ème partie: Le mensonge de l’euthanasie

    3ème partie : Le mensonge de l’euthanasie

  • L'aménagement des autels : cierges et luminaires

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    De G. Alswiller sur le site "Esprit de la liturgie" :

    MGR AUPETIT

    Cierges et luminaires: comment aménager l’autel?

    Il est un fait bien regrettable que la manière d’aménager les autels, et en particulier la question des cierges, ne semble aujourd’hui dans les célébrations en forme ordinaire obéir à aucune règle. Dans ce domaine, c’est, hélas, l’anarchie et l’arbitraire qui règnent, ce qui contribue à enraciner dans les esprits l’idée -fausse- que la forme ordinaire est quelque chose d’informe et vague, et que le missel issu de la réforme liturgique ne serait qu’un « noman’s land » liturgique livré à toutes les improvisations et aux goûts les plus subjectifs du célébrant, de telle équipe liturgique ou communauté paroissiale. Dans telle paroisse, on ne met pas de cierges du tout; dans telle autre, on pose sur un coin de l’autel un gros cierge « CCFD », avec, dans un autre coin, un petit bouquet de fleurs; dans telle autre, on fonctionne encore autrement, etc. C’est le triomphe, partout, de ce que Martin Mosebach appelait «l’hérésie de l’informe»: la liturgie ne doit surtout pas avoir une forme spécifique et bien précise, mais c’est l’arbitraire et les « préférences » personnelles qui doivent être la norme. Bien évidemment, dans un tel contexte, tous ceux qui souhaitent rappeler que, dans la manière de célébrer la messe, des règles objectives existent et doivent être respectées passent pour d’affreux rubricistes, des esprits étroits et rigides attachés à des détails sans importance. «Vous êtes un pharisien arc-bouté sur le ritualisme, s’entendent-ils répondre, l’essentiel c’est de prier, Jésus n’est pas venu instaurer des rites». La belle affaire!

    Lire la suite sur "Esprit de la liturgie"

  • L'Eglise catholique et la chasse aux sorcières

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    De Stanislas Grymaszewski sur le site de La Nef :

    L’Église et la chasse aux sorcières

    La chasse aux sorcières est un phénomène horrible qui a conduit de nombreuses femmes au bûcher. Dans l’opinion publique, cette image de la femme ainsi violentée est souvent associée à l’Église. La littérature, le cinéma, la bande dessinée ne manquent pas d’exemples pour conforter, en effet, l’idée que ce phénomène est dû à l’Inquisition médiévale menée par l’Église au plus profond d’un sombre Moyen Âge. C’est le cas, par exemple du film Le Nom de la Rose (1986), inspiré de l’œuvre (1980) d’Umberto Eco. Des ouvrages prétendument historiques comme l’Histoire de l’Inquisition de Lamothe-Langon (1829) et La Sorcière (1862) de Jules Michelet sont à l’origine de ce lieu commun. Cependant, tout cela est inexact. Ce n’est pas au Moyen Âge. Ce n’est pas l’Inquisition. Ce n’est pas l’Église. Non seulement, l’Église n’a pas été l’actrice de cet acharnement contre des femmes, mais, bien au contraire, elle est intervenue comme nous allons le voir pour s’y opposer.

    Lire la suite sur le site de La Nef

  • Temps pascal en confinement; feuillet du mardi (12 mai) de la 5e semaine : en l'honneur de saint Pancrace

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    2020_05_12_09_47_40_Greenshot.pngTELECHARGER le PDF

  • La messe n’a même pas le privilège qu’ont le McDo ou le footing !

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    Entretien avec le Père Simon d’Artigue sur France Catholique :

    «  On ne peut pas vivre sans les sacrements »

    Propos recueillis par Constantin de Vergennes

    8 mai 2020

    Signataire de la tribune du Figaro réclamant au chef de l’État la liberté de célébrer la messe en présence de fidèles à partir du 11 mai, l’abbé Simon d’Artigue, curé de la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse, dénonce un mépris du spirituel et s’inquiète du «  monde d’après ».

    Malgré votre tribune, il n’y aura pas de messes publiques avant juin. Quelle est votre réaction ?

    Abbé Simon d’Artigue : La première réaction à chaud fut de la colère et de la déception. Puis de l’incompréhension et un sentiment d’injustice fait au statut de l’Église catholique et des cultes en général – notre appel était d’abord pour la reprise des messes mais était plus largement pour la reprise des cultes. Et donc, une injustice à l’égard de la place de la vie spirituelle, de la transcendance dans la vie de notre pays.

    Cette interdiction s’est faite en une phrase, après des sujets triviaux… (voir p. 14-15)

    Pour ce qui est de la forme de l’annonce, on constate que les cultes ont été noyés au milieu d’activités périphériques. Pour le gouvernement, toutes ces activités pourraient être mises sur un même pied d’égalité : faire son footing, aller au McDo, aller à la messe… Or, la messe n’a même pas le privilège qu’ont le McDo ou le footing ! Ça m’a choqué. Cela dit deux choses. D’abord, cela montre ce que représentent les religions pour le gouvernement : quelque chose de périphérique. Qui vient après la logique marchande.

    Ensuite, cela illustre la place du religieux dans notre société : elle est négligée. La vie humaine est réduite à sa part marchande, servile, de transport en commun, de divertissement… C’est préoccupant.

    Pour nous catholiques, c’est dur à entendre, mais c’est réel : pour le gouvernement et pour une majorité de nos concitoyens, c’est ainsi que les choses sont perçues. C’est un défi à relever pour nous, une mission qui incombe d’abord aux catholiques et à nous, prêtres.

    Le fait religieux est vu sous le prisme de la réunion, du rassemblement, comme une pièce de théâtre. C’est révélateur ?

    C’est révélateur d’une confusion – ou, au pire, d’une négation – de la dimension religieuse. Si la messe n’est plus vue que comme une réunion, alors cela veut dire qu’il y a une part spécifique de l’activité humaine, l’activité intérieure, qui est confondue avec l’ensemble des activités humaines sous le vocable de la «  réunion  ». Un gouvernement – et surtout dans la pensée d’un «  monde d’après  » –, doit se demander quels seront les fondements de ce qui va advenir après cette crise.

    Or les priorités que l’on donne aujourd’hui peuvent être lues comme les fondements de ce monde d’après. Si ces fondements sont donc ceux du commerce, de l’entreprise et du divertissement, c’est très inquiétant. On ne peut pas fonder une société là-dessus. Ou, en tout cas, ce monde-là, je n’en veux pas.

    Regardez le combat des évêques qui a parfois été moqué, sur le mode : « Ils sont à côté de leurs pompes, pourquoi parlent-ils des messes, tout le monde s’en fiche... » En fait, ce n’est pas seulement un combat pour la messe. C’est un combat pour une vision de la société : ce «  monde d’après  ». Et nous, nous voulons être des artisans de la construction de cette société, comme citoyens et comme catholiques. On entend beaucoup que «  l’homme redécouvre sa fragilité  ». Donc, sur quoi fonder ce monde pour retrouver de la solidité ? Pas seulement sur la consommation, sur le travail servile, ou le divertissement. Nous avons à proposer autre chose. Et c’est inquiétant que le gouvernement ne l’entende pas.

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  • La dignité humaine. Heurs et malheurs d’un concept maltraité

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    Du site de la Revue Catholica :

    Parution : La dignité humaine. Heurs et malheurs d’un concept maltraité

    9 Mai 2020

    Parution de cet ouvrage collectif réalisé sous la direction de Bernard Dumont, Miguel Ayuso, Danilo Castellano. Au registre des idées reçues, l’affirmation selon laquelle la dignité humaine est une découverte des Lumières tient une place de choix. Mais on n’a pas attendu Kant pour considérer que l’être humain tient une place éminente dans la Création, et le christianisme voit dans la personne du Verbe incarné l’Exemplaire même de toute dignité. Par contraste, la philosophie moderne a voulu placer la racine de la dignité dans l’autonomie, c’est-à-dire dans l’affranchissement de toute loi extérieure à la volonté humaine, et non plus dans l’honneur d’accomplir librement ce qui est bien.

    La postmodernité voit s’exacerber sous nos yeux les contradictions provoquées par ce « concept maltraité », utilisé à toutes les sauces mais inapte à poser des bornes infranchissables à toute espèce de transgression. Par des chemins de traverse, ce retournement de perspective a progressivement pénétré l’Église catholique, en particulier sous l’influence de Jacques Maritain, et a pesé sur le concile Vatican II, grâce notamment aux efforts du jésuite américain John Courtney Murray, suscitant plus de difficultés que d’heureux effets. Faut-il alors dire avec Steven Pinker que « la dignité est une stupidité » ? Mieux vaudrait plutôt reprendre la question sur des bases plus assurées.

    > Commander l’ouvrage

    Lire la recension de Cyrille Dounot (n. 147)

  • Consécration particulière des Philippines à Notre-Dame pour les protéger de la pandémie

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    Une dépêche de l'Agence Fides :

    ASIE/PHILIPPINES - Consécration particulière du pays à Notre-Dame pour se sauver de la pandémie

    9 mai 2020

    Manille (Agence Fides) – Notre-Dame est le refuge sûr permettant de protéger les Philippines et de guérir le pays de la catastrophique pandémie de Covid-19. C'est dans cette perspective que tous les Diocèses de l'archipel accompliront une Consécration spéciale aux soins de la Très Sainte Vierge Marie dans une nation qui lutte contre le virus et se trouve encore en isolement et ce jusqu'au 15 mai.

    Ainsi que l'a appris Fides, l'acte de consécration au Coeur Immaculé de Marie aura lieu dans les Cathédrales de tous les Diocèses le 13 mai, fête de Notre-Dame de Fatima. Le cœur de l'initiative sera constitué par le Sanctuaire national de Notre-Dame de Fatima sis dans la ville de Valenzuela, près de Manille.

    « Je pense qu'il s'agit d'une initiative merveilleuse – a déclaré S.Exc. Mgr Romulo Valles, Archevêque de Davao et Président de la Conférence épiscopale, dans la lettre qu'il a adressé aux Diocèses, rappelant qu'en 2013 également, au cours de l'Année de la Foi, la Conférence épiscopale des Philippines (CBCP) a consacré le pays au Coeur Immaculé de Marie.

    A Manille, S.Exc. Mgr Broderick Pabillo, Administrateur apostolique de l'Archidiocèse, conduira la prière de consécration le 13 mai en la Cathédrale en présence des Maires des cinq villes principales de l'Archidiocèse : Manille, Mandaluyong, Pasay, Makati et San Juan. A compter du 10 mai, l'Archidiocèse débutera un triduum de pénitence et de prière quotidienne du chapelet qui culminera au travers de l'acte de consécration.

    « Tout le peuple de Dieu guidé par ses responsables civils et religieux se placera sous la protection de la Très Sainte Vierge Marie – indique Mgr Pabillo. Nous désirons implorer la protection et la puissante intercession de notre Bienheureuse Mère en ce moment difficile, en particulier alors que nous nous préparons à un nouveau style de vie après la quarantaine » a-t-il ajouté. « Nous avons besoin de la force d'en haut et nous avons en Notre-Dame une aide puissante pour obtenir cette aide céleste » a-t-il affirmé, rappelant que l'Eglise aux Philippines a écouté l'invitation du Pape François qui a encouragé les fidèles à prier le chapelet pendant tout le mois de mai.

    A Manille se tiendra également un cycle de catéchèses sur la signification et les implications de cette consécration. Reprenant les paroles du Pape, Mgr Pabillo a déclaré que « dans la contemplation du visage du Christ, nous serons plus unis pour affronter la pandémie ». (SD-PA) (Agence Fides 09/05/2020)

  • Temps pascal en confinement; feuillet du lundi (11 mai) de la 5e semaine : Recits et expériences eucharistiques (A. Bessières s.J.)

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