Sandro Magister, vaticaniste bien connu et dont l'analyse est souvent très pertinente, consacre sa chronique de cette semaine aux "grands déçus du pape Benoît". "Ce sont quelques-uns des principaux penseurs traditionalistes. Ils avaient parié sur lui et maintenant ils se sentent trahis. Leurs dernières déceptions: le Parvis des gentils et la rencontre d'Assise. Ils portent contre Ratzinger la même accusation que contre le Concile: avoir remplacé la condamnation par le dialogue."
Nous reproduisons cette chronique ici à titre de matière à réflexion, sans cacher que nous partageons nombre des interrogations de ceux que le Concile et l'après-concile rendent perplexes.