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Au rythme de l'année liturgique - Page 255

  • Saint Aelred de Rievaulx, docteur de la charité et de l'amitié

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    StAelred.jpgAelred de Rievaulx (1109-1167)

    Aelred naquit vers 1109, d'une famille qui habitait le Nord de l'Angleterre. Enfant remarquablement doué, il fut élevé à la cour d'Ecosse avec le fils du roi. Aimer, être aimé, telle était sa nature. Lorsqu'il eut compris que rien ne doit être préféré à l'amour du Christ, il entra au monastère de Rielvaux, en 1135. Désormais rien de ce qui n'était assaisonné au sel de l'Ecriture Sainte ne put en aucune manière entraîner son affection.

    Saint Aelred, le "Docteur de la charité et de l'amitié"

    D'une grande douceur au milieu de ses frères, il les surpassait tous par sa vertu. En 1143, il fut envoyé comme abbé dans la fondation de Rievaulx à Revesby, près de Lincoln. Quatre ans plus tard, la communauté de Rievaulx l'élisait comme abbé. Aelred voulut que la gloire propre de sa maison fut d'être plus que toute autre la demeure de la charité et de la paix. De cette vertu qui lui était si agréable, il devait parler avec une grâce singulière dans les traités qu'il nous a laissés. Le “Miroir de la Charité”, et plus encore, le “Traité de l’amitié spirituelle” ont fait d'Aelred le “Docteur de la charité”, de l’amitié humaine tout spécialement, qui mène à Dieu.

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  • Dimanche de l'Epiphanie : la joie d'être illuminés par la foi

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    Le commentaire du jour proposé par Evangile au Quotidien :

    Bienheureux Guerric d'Igny (v. 1080-1157), abbé cistercien
    3e sermon pour l'Épiphanie ; SC 166 (trad. SC p. 271)

    « Aujourd'hui, Seigneur, tu as révélé ton Fils unique aux nations » (Collecte)

          « Lève-toi, resplendis, Jérusalem, car elle est venue, ta lumière ! » (Is 60,1) Sois bénie, Lumière « venue au nom du Seigneur » ! « Le Seigneur est Dieu et il a brillé sur nous » (Ps 117,26-27). Par sa bienveillance, ce jour sanctifié par l'illumination de l'Église a brillé sur nous. C'est pourquoi nous te rendons grâce, « Lumière véritable qui éclaire tout homme venant en ce monde » (Jn 1,9), et qui, pour cela précisément, es venue dans le monde en prenant une forme humaine. Elle resplendit Jérusalem, notre mère (Ga 4,26), mère de tous ceux qui ont mérité d'être illuminés ; elle éclaire désormais tous ceux qui sont dans le monde. Nous te rendons grâce, Lumière véritable : tu t'es faite lampe pour éclairer Jérusalem et pour que le Verbe, la Parole de Dieu, devienne « la lampe de mes pas » (Ps 118,105)... Et elle n'a pas seulement été illuminée, elle a été « élevée sur un lampadaire », tout en or massif (Mt 5,15; Ex 25,31). La voilà devenue « la ville située au sommet des montagnes » (Mt 5,14)...pour que son Évangile brille aussi loin que s'étendent les empires du monde...

          Dieu, toi qui illumines toutes les nations, pour toi nous avons chanté : « Le Seigneur va venir, il illuminera les yeux de ses serviteurs ». Maintenant tu es venue, ô ma Lumière : « Illumine mes yeux, pour que je ne m'endorme jamais dans la mort » (Ps 12,4)... Tu es venue, Lumière des croyants, et aujourd'hui tu nous as donné la joie d'être illuminés par la foi, qui est notre lampe. Donne-nous aussi toujours la joie de voir s'éclairer ce qui reste en nous de ténèbres...

          Voilà la route qu'il faut prendre, âme fidèle, pour parvenir à la patrie où « les ténèbres seront comme midi » (Is 58,10) et « la nuit sera claire comme le jour » (Ps 138,12). Alors « tu verras et tu seras radieuse, ton cœur s'émerveillera et se dilatera », lorsque toute la terre sera remplie de la majesté de la lumière infinie et que « sa gloire sera manifestée en toi » (Is 60,5.2)... « Venez, marchons à la lumière du Seigneur ! » (Is 2,5) Alors « en fils de lumière » nous marcherons « de clarté en clarté, comme conduits par le Seigneur qui est Esprit » (2Co 3,18).

  • 15 janvier : messe de Saint Antoine à l'abbaye de Bois-Seigneur-Isaac

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    En la Fête de Saint Antoine le Grand

    "Père des moines"

    les moines de l’Ordre Libanais Maronite ont l’honneur de vous inviter à participer à la

    messe selon le rite maronite,

    durant laquelle les moines renouvelleront leurs vœux monastiques.

    le dimanche 15 janvier 2012 à 18h30

    Abbaye de Bois-Seigneur-Isaac

    Monastère de saint Charbel

    1421-Ophain

    Rue Armand De Moor, 2

    Tél : 0032- 67 89 24 20

    "http://www.olmbelgique.org/"

  • L'"admirable échange"

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    Vatican Information Service, 4/2/2012

    LUMIERE DE LA NATIVITE

    CITE DU VATICAN, 4 JAN 2012 (VIS). La première audience générale de l'année s'est déroulée Salle Paul VI en présence de 7.000 personnes, devant lesquelles le Saint-Père a évoqué le mystère de la Nativité. La première réaction de joie face à cet évènement, a-t-il dit, est d'admirer le caractère extraordinaire de Dieu se faisant nouveau né. Notre coeur "est comme stupéfait de constater la proximité de Dieu, son intérêt pour l'homme, son entrée dans l'histoire", toutes choses qui découlent de la "vision de ce petit enfant sans défense que nous savons être le visage de Dieu... La Nativité est joie parce que Dieu, qui est le bien, la vie et la vérité de l'homme, s'abaisse jusqu'à la condition humaine, pour élever l'homme à lui. Il se fait si proche qu'on peut le voir et le toucher... Dans la Nativité, le ciel et la terre se rejoignent" et, dans cet "enfant qui a besoin de tout, c'est Dieu, l'éternité, la force et la sainteté, la vie et la joie qui s'unissent à ce que nous sommes, faiblesse et péché, souffrance et mort".

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  • Au commencement était le Verbe...

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    L'un des mérites de la célébration de la messe avant la réforme consistait à nous remettre chaque jour en présence du mystère de l'Incarnation par la lecture du prologue de l'Evangile de Jean. Le comput des années tourne; nous voilà bientôt en 2012 mais, comme le rappelle la devise des chartreux, la Croix se dresse tandis que le monde tourne. Le mystère de l'Incarnation est l'axe définitif de ce monde changeant dont les variations ne devraient pas nous ébranler.

    Cet évangile est précisément l'évangile de ce 31 décembre :

    Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 1,1-18.

    Au commencement était le Verbe, la Parole de Dieu, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu.
    Il était au commencement auprès de Dieu.
    Par lui, tout s'est fait, et rien de ce qui s'est fait ne s'est fait sans lui.
    En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes ;
    la lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont pas arrêtée.
    Il y eut un homme envoyé par Dieu. Son nom était Jean.
    Il était venu comme témoin, pour rendre témoignage à la Lumière, afin que tous croient par lui.
    Cet homme n'était pas la Lumière, mais il était là pour lui rendre témoignage.
    Le Verbe était la vraie Lumière, qui éclaire tout homme en venant dans le monde.
    Il était dans le monde, lui par qui le monde s'était fait, mais le monde ne l'a pas reconnu.
    Il est venu chez les siens, et les siens ne l'ont pas reçu.
    Mais tous ceux qui l'ont reçu, ceux qui croient en son nom, il leur a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu.
    Ils ne sont pas nés de la chair et du sang, ni d'une volonté charnelle, ni d'une volonté d'homme : ils sont nés de Dieu.
    Et le Verbe s'est fait chair, il a habité parmi nous, et nous avons vu sa gloire, la gloire qu'il tient de son Père comme Fils unique, plein de grâce et de vérité.
    Jean Baptiste lui rend témoignage en proclamant : « Voici celui dont j'ai dit : Lui qui vient derrière moi, il a pris place devant moi, car avant moi il était. »
    Tous nous avons eu part à sa plénitude, nous avons reçu grâce après grâce :
    après la Loi communiquée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ.
    Dieu, personne ne l'a jamais vu ; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, c'est lui qui a conduit à le connaître.

    Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris

  • Les Saints Innocents

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    Pieter Bruegel - Le massacre des Innocents - XVIe s.

    "Dieu permit le massacre des saints Innocents pour faire d'eux les prémices de la rédemption de Jésus-Christ. C'est la jalousie et la crainte qui poussèrent Hérode à commettre un crime inouï dans l'histoire; il en fut châtié et d'une manière terrible, car il mourut dans le désespoir et dévoré tout vivant par les vers.

    Saint Augustin nous a dépeint le saisissant tableau de cette horrible boucherie: "Les mères s'arrachaient les cheveux; elles voulaient cacher leurs petits enfants, mais ces tendres créatures se trahissaient elles-mêmes; elles ne savaient pas se taire, n'ayant pas appris à craindre. C'était un combat entre la mère et le bourreau; l'un saisissait violemment sa proie, l'autre la retenait avec effort. La mère disait au bourreau: "Moi, te livrer mon enfant! Mes entrailles lui ont donné la vie, et tu veux le briser contre la terre!" Une autre mère s'écriait: "Cruel, s'il y a une coupable, c'est moi! Ou bien épargne mon fils, ou bien tue-moi avec lui!" Une voix se faisait entendre: "Qui cherchez-vous? Vous tuez une multitude d'enfants pour vous débarrasser d'un seul, et Celui que vous cherchez vous échappe!" Et tandis que les cris des femmes formaient un mélange confus, le sacrifice des petits enfants était agréé du Ciel.

    Saint Jean, dans son Apocalypse, nous montre les saints Innocents entourant le trône de l'Agneau parce qu'ils sont purs, et Le suivant partout où Il va. "Demanderez-vous, dit saint Bernard, pour quels mérites ces enfants ont été couronnés de la main de Dieu? Demandez plutôt à Hérode pour quels crimes ils ont été cruellement massacrés. La bonté du Sauveur sera-t-elle vaincue par la barbarie d'Hérode? Ce roi impie a pu mettre à mort des enfants innocents, et Jésus-Christ ne pourrait pas donner la vie éternelle à ceux qui ne sont morts qu'à cause de Lui? Les yeux de l'homme ou de l'ange ne découvrent aucun mérite dans ces tendres créatures; mais la grâce divine s'est plu à les enrichir", aussi l'Église a-t-elle établi leur fête au plus tard dès le second siècle."

    Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.

  • Un conte de noël ?

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    Christ au Zodiaque.jpgJésus est-il vraiment né le 25 décembre ? Il semblerait que oui d’après les études du professeur Shemarjahu Talmon, de l’Université hébraïque de Jérusalem.

    Ce professeur est parti d’un passage de l’évangile de Luc (1, 5-13) dans lequel il est dit qu’il y eut, aux jours d’Hérode, roi de Judée, un prêtre du nom de Zacharie, de la classe d’Abìa, marié à Elisabeth et il advint « comme il remplissait devant Dieu les fonctions sacerdotales au tour de sa classe qu’il fut, suivant la coutume sacerdotale, désigné par le sort pour entrer dans le sanctuaire du Seigneur et y brûler l’encens » ; un ange lui apparut alors et lui prophétisa la naissance d’un fils, qui serait appelé du nom de Jean (le Baptiste).

    Dans l’antique Israël, ceux qui appartenaient à la caste sacerdotale étaient répartis en 24 groupes qui, alternant dans un ordre immuable, devaient assurer le service liturgique au temple pendant une semaine, de samedi à samedi, deux fois par an. La classe de Zacharie, celle d’Abìa, était la huitième dans la liste officielle.

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  • Saint Etienne, le premier martyr

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    Lapidation de saint Etienne par Paolo Uccello (Prato, XVe s.)

    "On ignore si saint Étienne fut disciple de Jésus-Christ ou s'il fut converti par les prédications des Apôtres; mais il est certain qu'il se fit promptement remarquer par ses vertus, et mérita d'être le chef des sept diacres élus par les Apôtres pour les aider dans les fonctions secondaires de leur ministère. Le récit de son élection, de sa prédication et de son martyre lui attribue cinq plénitudes. Il était plein de foi, parce qu'il croyait fermement tous les mystères et qu'il avait une grâce spéciale pour les expliquer. Il était plein de sagesse, et nul ne pouvait résister aux paroles qui sortaient de sa bouche. Il était plein de grâce, montrant dans tous ses actes une ferveur toute céleste et un parfait amour de Dieu. Il était plein de force, comme son martyre en fut la preuve éloquente. Enfin il était plein du Saint-Esprit, qu'il avait reçu au cénacle par l'imposition des mains des Apôtres.

    Tant de vertus ne tardèrent pas à produire dans Jérusalem d'abondants fruits de salut. Étienne, élevé à l'école de Gamaliel, dans toute la science des Juifs, avait même une autorité spéciale pour convertir les prêtres et les personnes instruites de sa nation. Ses miracles ajoutaient encore au prestige de son éloquence et de sa sainteté. De tels succès excitèrent bientôt la jalousie; on l'accusa de blasphémer contre Moïse et contre le temple.

    Étienne fut traîné devant le Conseil, répondit victorieusement aux attaques dirigées contre lui, et prouva que le blasphème était du côté de ses adversaires et de ses accusateurs. A ce moment le visage du saint diacre parut éclatant de lumière comme celui d'un ange. Mais il avait affaire à des obstinés, à des aveugles. Pour toute réponse à ses paroles et au prodige céleste qui en confirmait la vérité, ils grinçaient des dents contre lui et se disposaient à la plus noire vengeance. Afin de rendre leur conduite plus coupable, Dieu fit un nouveau miracle; le ciel s'entr'ouvrit et le Saint, levant les yeux en haut, s'écria avec ravissement: "Je vois les cieux ouverts et le Fils de l'homme debout à la droite de Dieu." A ces mots ses ennemis ne se contiennent plus; ils poussent des cris de mort, entraînent le martyr hors de la ville et le lapident comme un blasphémateur. Étienne, calme et souriant, invoquait Dieu et disait: "Seigneur, recevez mon esprit!... Seigneur, ne leur imputez point ce péché." Saul, le futur saint Paul, était parmi les bourreaux. "Si Étienne n'avait pas prié, dit saint Augustin, nous n'aurions pas eu saint Paul."

    Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.

  • Le 24 décembre 1898 mourait Charbel Makhlouf

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    stcharbel01_med.jpgL'Église maronite fait aujourd'hui mémoire de Charbel Makhlouf, moine et ermite.
    Issu d'une famille très pauvre, Yussef Makhlouf naquit à Bekaakafra, village de la montagne libanaise. Resté orphelin, le jeune Yussef s'enfuit au monastère de Saint-Maron à Innaya, où il devint moine sous le nom de Charbel.

    Sa vie de prière intense et d'une extrême simplicité l'amena vite à désirer une plus grande intimité avec Dieu. À quarante-sept ans, Charbel fut autorisé à se retirer dans l'ermitage attenant au monastère; c'est là qu'il vécut jusqu'à sa mort, dans le silence et la vie cachée, en compagnie de Macaire. Le 24 décembre 1898, âgé de soixante-dix ans, il s'en alla vers le Père, ce qu'il avait si ardemment désiré. Charbel Makhlouf, presque inconnu durant sa vie, après sa mort a été et reste encore un des saints les plus populaires au Liban, aimé par les chrétiens de toutes confessions, tout comme par les druzes et les musulmans, qui ont tous reconnu en lui un homme totalement abandonné en Dieu.

    (Source : Spiritualité 2000)

  • Le Fils de Dieu se fait homme pour faire des hommes des enfants de Dieu

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    Saint Bernard (1091-1153), moine cistercien et docteur de l'Église
    Premier sermon pour la Vigile de Noël (source : EAQ)

    « Gloire à Dieu au plus haut des cieux et paix sur la terre aux hommes qu'il aime »

          Cieux, prêtez l'oreille ! Terre, écoute avec attention ! Que toute créature, que l'homme surtout soit transporté d'admiration et éclate en louanges : « Jésus Christ, le Fils de Dieu, naît à Bethléem de Juda »... Quelle plus douce nouvelle pourrait-on annoncer à la terre ?... A-t-on jamais rien entendu de pareil, le monde a-t-il jamais rien appris de semblable ? « A Bethléem de Juda naît Jésus Christ, le Fils de Dieu. » Quelques petites paroles pour exprimer l'abaissement du Verbe, la Parole de Dieu devenue un tout-petit, mais quelle douceur dans ces paroles !... « Jésus Christ, le Fils de Dieu, naît à Bethléem. » Naissance d'une sainteté incomparable : honneur du monde entier, réjouissance de tous les hommes à cause du bien immense qu'elle leur apporte, étonnement des anges à cause de la profondeur de ce mystère d'une nouveauté sans pareil (cf Ep 3,10)...

          « Jésus Christ, le Fils de Dieu, naît à Bethléem de Judée. » Vous qui êtes couchés dans la poussière, réveillez-vous et louez Dieu ! Voici le Seigneur qui vient avec le salut, voici la venue de l'Oint du Seigneur, son Messie, le voici qui vient dans sa gloire... Heureux celui qui se sent attiré par lui et qui « court à l'odeur de ses parfums » (Ct 1,4 LXX) : il verra « la gloire qu'il tient de son Père comme Fils unique » (Jn 1,14).

          Vous donc qui êtes perdus, respirez ! Jésus vient sauver ce qui avait péri. Vous les malades, revenez à la santé : le Christ vient étendre le baume de sa miséricorde sur la plaie de vos cœurs. Tressaillez de joie, vous tous qui éprouvez de grands désirs : le Fils de Dieu descend vers vous pour faire de vous des cohéritiers de son Royaume (Rm 8,17). Oui, Seigneur, je t'en prie, guéris-moi et je serai guéri ; sauve-moi et je serai sauvé (Jr 7,14) ; glorifie-moi et je serai vraiment dans la gloire. Oui, « que mon âme bénisse le Seigneur, et que tout ce qui est en moi bénisse son saint nom » (Ps 102,1)... Le Fils de Dieu se fait homme pour faire des hommes des enfants de Dieu.

  • Noël : Bach plutôt que les Nocturnales

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    C’est Sandro Magister qui le signale sur son blog « Chiesa » : pour les fêtes de Noël de cette année, c’est un chef d’œuvre de la musique liturgique chrétienne qui va briller d’une nouvelle lumière : le très célèbre mais souvent incompris "Oratorio de Noël" de Jean-Sébastien Bach. On l’entendra dans l’interprétation historique dirigée par Nikolaus Harnoncourt en 1982 et il sera raconté et révélé dans sa véritable essence par un théologien et musicologue d’exception : Pier Angelo Sequeri.

    Ce cadeau de Noël sera offert à un large public par TV 2000, la chaîne de télévision qui appartient aux évêques italiens. On peut recevoir TV 2000 en numérique terrestre sur la chaîne 28, par satellite sur la chaîne 801 de Sky, et sur internet dans le monde entier.

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  • Le Bethléem verviétois

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    Faisons vivre nos traditions : le Bethléem Verviétois

     paysdevesdre_23decBethleeemvervietois_c3cd5fc3-2092-4d1b-b99a-52d06619e874.jpgVenez vous plonger dans la fraîcheur et la naïveté de ce merveilleux spectacle animé… Faites-le découvrir à vos enfants, à vos petits enfants, ou  simplement venez retrouver l’ambiance chaleureuse des Noëls d’autrefois.

    Vous serez charmé par une histoire contée et chantée en wallon comme dans les siècles passés, avec un humour populaire et l’évocation des traditions de fête.

    Au Musée d’Archéologie et de Folklore, rue des Raines 42 à Verviers

    Du vendredi 23 au vendredi 30 décembre 2011 inclus

    Tous les jours de 14 heures à 17 heures (dernière séance à 16h30).

    Prix d’entrée : 2€ (prix réduit 1€, gratuit pour les moins de 12 ans) - Possibilité de rendez-vous pour les groupes scolaires ou d’adultes - Infos : 087 33 16 95