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Au rythme de l'année liturgique - Page 258

  • Avent : un entretien avec Mgr Aillet

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    C'est sur Radio Vatican :

    Temps d'attente, temps de désir, les catholiques entrent ce dimanche dans l'Avent, période durant laquelle les fidèles se préparent intérieurement à célébrer la venue du Christ dans le cœur des hommes. Ce temps est marqué par la symbolique des au long des quatre dimanches : chacun est appelé à la vigilance et au changement de vie. La parole des , qui retentit en chaque dominicale de l'Avent, redit la nécessité de la conversion et de la préparation du cœur.
    Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne, profite de ce temps de préparation pour mettre l’accent dans son diocèse sur le sacrement de la pénitence et de la réconciliation. Interrogé par Charles Le Bourgeois, il explique l’importance de l’Avent et revient sur la richesse de sa liturgie : c'est ici

  • Préparer Noël avec sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix (Edith Stein)

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    banner_-_corriger_3_zoom-18e2e.pngDu Vendredi 25 novembre 2011 à 00:00 au samedi 24 décembre 2011 à 23:30
    Agenda : Avent 2011 : inscrivez-vous en ligne !
    Vivez l’Avent et préparez-vous à Noël avec Ste Thérèse-Bénédicte de la Croix
    Lieu : Partout !
    Adresse : www.carmes-paris.org

    Une retraite en ligne lors de l’Avent 2011, préparée par le frère Didier-Marie Golay du couvent de Lisieux.

    « Le mystère de Noël  » de sainte Thérèse-Bénedicte de la Croix

    En vous abonnant, vous recevrez chaque samedi un message contenant :

    • pour le premier samedi, un repère biographique court sur la vie d’Edith Stein (sainte Thérèse-Bénedicte de la Croix) et une présentation générale du « mystère de Noël »
    • une partie de la méditation d’Edith
    • une proposition libre de phrases réparties pour chaque jour avec une piste de réflexion : ce pourrait être votre calendrier carmélitain de l’Avent !

    www.carmes-paris.org

  • Sermon pour le premier dimanche de l'Avent

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    C'est sur le site des dominicains de Montpellier que nous avons trouvé cette belle homélie :

    C’est aujourd’hui le premier Dimanche où nous célébrons le Verbe consubstantiel au Père qui va s’incarner, l’Éternel qui doit advenir dans le temps,
    le Créateur dans la créature,
    l’Incirconscriptible dans le lieu,
    l’Incorruptible dans le corruptible,
    l’Infigurable dans la figure,
    l’Inénarrable dans le discours,
    l’Invisible dans la vision,
    l’Impalpable dans le tangible,
    l’Inexplicable dans la parole,
    Dieu dans l’homme,
    tout cela par la simple naissance terrestre du petit enfant de Noël, le Jésus de nos crèches ! Saurons-nous encore en être sidérés, stupéfiés, esbaudis diraient certains ?

    lire la suite ici : http://montpellier.dominicains.com/

  • Un jeune saint belge, patron des novices

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    P1100161_edited.jpgNous fêtons aujourd'hui saint Jean Berchmans auquel Evangelizo.org consacre la notice suivante :

    SAINT JEAN BERCHMANS
    Jésuite (1599-1621)

            Ce jeune Saint, patron des novices, naquit à Diest le 13 mars 1599, dans le diocèse de Brabant, en Belgique. C'est au sanctuaire de Notre-Dame de Montaigu qu'il fit vœu de chasteté perpétuelle.

             À l'âge de seize ans, une charité anonyme lui permit d'entrer au collège des Jésuites de Malines. En lisant les écrits du bienheureux Pierre Canisius et la vie de saint Louis de Gonzague mort vingt-cinq ans auparavant, Jean Berchmans se sentit attiré vers la Compagnie de Jésus. Il obtint difficilement le consentement de son père.

    tableau du 18e s. (Saint-Sacrement - Liège)

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  • Avent 2011 : Préparez les voies du Seigneur

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    ordination.jpgL'association Des prêtres pour toutes les nations vous propose six vidéos de 5mn pour comprendre tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la messe sans jamais oser le demander !

    En ce temps de l'Avent, préparez la venue du Christ dans la crèche en approfondissant le sens de Sa présence dans l'Eucharistie.

    Inscrivez-vous gratuitement en écrivant à avent@dptn.org ou sur le site www.dptn.org

    http://www.dptn.org

    En 1984, Mgr Alvaro del Portillo, successeur de saint Josémaria à la tête de l’Opus Dei, lance le projet de créer, à Rome, l’Université pontificale de la Sainte-Croix. Celle-ci offrira, comme les autres universités pontificales, une formation de haute qualité à des personnes qui viennent découvrir, près du Pape, la catholicité de l’Église.

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  • 18 novembre : fête de la dédicace des basiliques Saint-Pierre et Saint-Paul

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    5787602.jpgAprès avoir célébré, le 5 août, la Dédicace de Sainte-Marie-des-Neiges, plus connue sous le nom de Sainte-Marie-Majeure, le 29 septembre celle de Saint Michel et le 6 novembre celle de Saint-Jean-de-Latran, l´Église fête aujourd´hui la Dédicace des basiliques de Saint-Pierre et de Saint-Paul à Rome. Tous ces anniversaires se placent pendant le Temps après la Pentecôte, période pendant laquelle nous donnons toutes nos pensées à l´Église dont nos temples sont l´image vivante.

    La basilique de Saint-Pierre au Vatican et celle de Saint-Paul-hors-les-Murs, construites toutes deux par les soins de Constantin à l´endroit même de leur martyre, cèdent à peine en importance à celle de Saint-Jean-de-Latran. Saint-Pierre s´élève sur l´emplacement du cirque de Néron et sous son maître-autel reposent les restes sacrés du Chef des Apôtres; elle est devenue comme le centre du monde chrétien. Déjà remarquable au IVe siècle, elle fut agrandie plus tard, puis reconstruite au XVIe siècle, parce qu´elle tombait de vétusté. Elle fut consacrée par le pape Urbain VIII le 18 novembre 1626.

    La basilique de Saint-Paul est située à l´autre extrémité de la ville, sur le tombeau du grand Apôtre des nations. Ayant été presque complètement détruite par un incendie en 1823, cette église fut reconstruite avec une magnificence inouïe les papes Grégoire XVI et Pie IX, et consacrée par ce dernier le 10 décembre 1854. On maintient néanmoins la célébration des anniversaires des deux Dédicaces sous la date primitive du 18 novembre.

    source : ESM

  • Une grande mystique médiévale : sainte Gertrude de Hefta

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    66826998sainte-gertrude-d-helfta-jpg.jpgLors de l'audience générale du 6 octobre 2010, Benoît XVI a évoqué (vatican.va) cette grande figure de la mystique du Moyen Age qui montre la part importante que des femmes de cette époque ont joué dans le développement de la spiritualité occidentale.

    "Sainte Gertrude la Grande, dont je voudrais vous parler aujourd'hui, nous conduit cette semaine aussi au monastère de Helfta, où sont nés certains des chefs-d’œuvre de la littérature religieuse féminine latino-allemande. C'est à ce monde qu’appartient Gertrude, l'une des plus célèbres mystiques, seule femme en Allemagne à recevoir l'épithète de «Grande», en raison de sa stature culturelle et évangélique: à travers sa vie et sa pensée, elle a influencé de manière singulière la spiritualité chrétienne. C'est une femme exceptionnelle, dotée de talents naturels particuliers et d'extraordinaires dons de grâce, d'une profonde humilité et d’un zèle ardent pour le salut du prochain, d'une intime communion avec Dieu dans la contemplation et de disponibilité à venir au secours des plus démunis.

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  • Un saint mort à 18 ans

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    Nous lisons sur nominis.cef.fr :

    "Jeune prince polonais, au caractère fin et décidé, il fit ses études à Vienne puis, à 16 ans, il entra au noviciat des Jésuites de Rome, sur la recommandation de saint Pierre Canisius. Il remit sa vie à Dieu dix mois plus tard.

    "Né d'une grande famille de Pologne en 1550 à Rostkow, Stanislas s'adonna aux études classiques à Vienne à partir de 1564. Invité par la Vierge à entrer dans la Compagnie, afin de prévenir l'opposition de son père, il s'enfuit de chez lui en 1567, parcourant à pied toute l'Allemagne.
    Arrivé à Rome, il fut admis au noviciat par saint François de Borgia. C'est là qu'il mourut le 15 août 1568, parvenu à une haute sainteté. Il fut canonisé par Benoît XIII en 1726." (
    site de la Province de France des Jésuites) Il figure au 15 août au martyrologe romain et la Compagnie de Jésus en fait mémoire au 13 novembre.

    Lire aussi: La vie de saint Stanislas Kotstka, novice de la Compagnie de Jésus, Lyon 1836. Bibliothèque de l'abbaye Saint Benoît de Port-Valais (Suisse)"

  • Eric de Beukelaer: "S’il est bien un point de la foi chrétienne que j’ai - à plus d’une reprise - touché du doigt, spirituellement parlant, c’est la communion spirituelle entre les vivants et les morts."

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    En ce jour où l'on commémore les défunts, quelques réflexions que nous livre l'Abbé de Beukelaer dans La Libre: http://www.lalibre.be/debats/opinions/article/697005/la-communion-des-vivants.html

  • "Heureux ceux qui pleurent" ... ?

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    Ceux qui pleurent, en effet, pleurent leurs péchés; et dès lors il suffit pour leur récompense qu'ils en obtiennent le pardon et l'oubli; c'est la bonté divine qui ne s'en contente pas: elle ne s'en tient donc pas à remettre le supplice, à pardonner les péchés, elle rend l'homme heureux et lui prodigue ses consolations. À bien saisir la portée du précepte, il ne suffit pas de pleurer ses propres péchés, il faut encore pleurer ceux des autres. Ainsi sont disposées les âmes des saints, d'un Moïse, d'un Paul, d'un David: que de fois ces hommes ont pleuré les péchés de leurs frères!

     

    Saint Jean Chrysostome, Commentaire sur les Béatitudes.

     

  • Quand la Parole de Dieu finit par devenir parole d'homme

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    Ignace, sur le "Temps d'y penser", propose cette réflexion sur les lectures de ce dimanche 30 octobre; l'opportunité de ces propos est évidente dans ces temps où tant de chrétiens - et de catholiques - risquent de s'approprier la Parole de Dieu pour en faire leur propre message ou celui de leurs "chapelles" :

    "Un Père, une Parole, un Peuple de frères

    Trente-et-unième dimanche du temps ordinaire

    Livre de Malachie 1,14b.2,1-2b.8-10.

    Je suis le Grand Roi, dit le Seigneur de l’univers, et mon Nom inspire la crainte parmi les nations. Maintenant, prêtres, à vous cet avertissement : Si vous n’écoutez pas, si vous ne prenez pas à cœur de glorifier mon Nom – déclare le Seigneur de l’univers – j’enverrai sur vous la malédiction, je maudirai les bénédictions que vous prononcerez. Vous vous êtes écartés de la route, vous avez fait de la Loi une occasion de chute pour la multitude, vous avez perverti mon Alliance avec vous, déclare le Seigneur de l’univers. A mon tour je vous ai déconsidérés, abaissés devant tout le peuple, puisque vous n’avez pas suivi mes chemins, mais agi avec partialité en accommodant la Loi. Et nous, le peuple de Dieu, n’avons-nous pas tous un seul Père ? N’est-ce pas un seul Dieu qui nous a créés ? Pourquoi nous trahir les uns les autres, profanant ainsi l’Alliance de nos pères ?

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  • Quand l'oracle de Malèves Sainte-Marie évoque la Toussaint

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    C’est une fois de plus Gabriel Ringlet, présenté comme prêtre et écrivain par La Libre, qui est invité à livrer un commentaire intitulé "Toussaint ou Halloween" à propos d’une des fêtes qui rythme le cycle liturgique : la Toussaint.

    Commentaire que La Libre résume elle-même ainsi :

    « Il n’y a pas de laide ou de belle mort. Personne ne sait comment il va l’affronter. Il est très important de rendre la mort présente dans sa vie, quand il fait beau, ou que l’on est en forme. La mort est un appel à être plus vivant ».

    Les trois premières lignes de l’article résument parfaitement la tonalité du temps, et on oserait presque dire aussi l’aveuglement ou même l’absurde :

    Les fêtes de la Toussaint et des morts continuent-elles d’être des moments forts de la société en dépit de sa sécularisation ? Sur le plan quantitatif, non, évidemment. On voit bien, depuis quelques dizaines d’années, un désinvestissement.

    Et à la question de savoir si le rite de la mort a évolué, l’écrivain-prêtre préféré de La Libre, (journal qui fut catholique jusqu’au siècle dernier), il répond : Il a plutôt bien évolué. Du côté catholique, c’est une des plus belles réussites du concile Vatican II. On a quitté l’atmosphère de morbidité, le noir des tentures qui était aussi celui des discours, pour aller vers plus de lumière, plus de légèreté. Et l’écrivain-prêtre de se réjouir de l’évolution du rite de la mort, avec l’attention d’un anthropologue : « Ce qui me paraît très heureux, c’est que le rite évolue aussi du côté de la laïcité. Je trouve que la laïcité s’est mise à investir dans cette dimension anthropologique ».

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