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Eglise - Page 1213

  • L'avortement fait en Espagne beaucoup plus de victimes que la Guerre civile

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    De Jeanne Smits, sur son blog :

    Mgr Reig Pla : l'avortement, un holocauste silencieux

    Toutes les commissions épiscopales – fussent-elles des sous-commissions – ne sont pas obligatoirement adeptes de la langue de buis, ainsi que vient de le démontrer le président d'une entre elles en Espagne, celle qui se charge des questions « Famille et Vie ». Il est vrai que son président, Mgr Juan Antonio Reig Pla, a depuis longtemps tenu sur l'avortement un langage parfaitement clair. A l'occasion de son appel à Journée mariale pour la famille et la vie organisée fin mars par son diocèse d'Alcala de Henares et ceux, voisins, de Madrid et Getafe, il a déclaré que l'avortement a causé en Espagne « beaucoup plus de morts que la Guerre civile : un holocauste silencieux ».

    Il commentait l'expression horrifiée du pape François apprenant que l'Espagne compte plus de 100.000 avortements par an.

    Lire la suite sur le blog de J. Smits

  • Mgr Léonard et l'argent

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    A l'occasion du scandale financier provoqué par Stéphane Bleus, Olivier Rogeau (le Vif.be) a rencontré Mgr Léonard qui a eu des contacts avec le "Madoff belge". C'est l'occasion, pour notre archevêque, de s'exprimer sur son rapport à l'argent mais aussi sur son sentiment à l'égard du pape et sur ses perspectives d'avenir.

    On pourra lire sur le site du Vif la partie de l'interview mise en ligne (l'intégralité est publiée dans la version papier).

  • Carêmes en ligne (mise à jour le 6/3)

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  • Une nouvelle interview du pape (5 mars)

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    Sur Radio Vatican :

    Le Pape François dresse le bilan de sa première année de pontificat

    (RV) Voici bientôt un an que le Cardinal Bergoglio, archevêque de Buenos Aires devenait le 266e Pape de l’Eglise catholique. Une année de bouleversements, de surprises, que les spécialistes s’essaient à commenter, à analyser. Mais qui pouvait mieux le faire que le Pape lui-même ? François se livre aujourd’hui en Une du quotidien italien Il Corriere della Sera interrogé par le directeur du journal Ferruccio de Bortoli. L'entretien est reproduit dans son intégralité en Une du quotidien argentin La Nación. 

    Dans cette longue interview, le Pape n'évite aucun sujet. Il se considère comme « une personne normale ». « Le Pape est un homme qui rit, qui pleure, qui dort et qui a des amis comme tout le monde » selon François. Et il va même plus loin : « décrire le Pape comme une sorte de Superman, une sorte de star, me paraît blessant » dit-il. Une allusion directe à la Francesco mania qui a pu gagner certains cette année.

    A une question sur sa façon de gouverner l’Eglise, François estime qu’il est « conseillé et accompagné dans son travail par beaucoup de gens. Mais qu’au moment de décider, de mettre une signature, il se retrouve seul avec son propre sens de la responsabilité ».

    Le Pape émérite : une «institution»

    Pour autant, François peut compter sur son prédécesseur, Benoit XVI, pour lui demander conseil dans sa tâche. Si le Pape émérite est « discret, humble et qu’il ne veut pas déranger » selon la description de François, les deux papes sont tombés d’accord pour quelques apparitions publiques de Benoit XVI et une participation à la vie de l’Eglise. « Le pape émérite n’est pas une statue dans un musée, c’est une institution » affirme François. Un peu comme un grand-père dont il ne faut pas négliger la sagesse.

    Concernant la réforme de l’Eglise, François déclare que les changements qu’il s’applique à mettre en place s’inscrivent dans la lignée des discussions des Congrégations générales qui avait précédé le conclave il y a un an. « En mars dernier, je n’avais aucun projet de réforme de l’Eglise, aujourd’hui j’attends que le Seigneur me donne l’inspiration pour agir » avoue François.

    D’ailleurs, sur les réformes attendues concernant la famille, le Pape argentin estime que l’Eglise se doit de donner une réponse à la crise du modèle familial, mais pour cela, elle doit le faire en profondeur, et pas au cas par cas. « C’est ce que sont en train de faire le Consistoire et le Synode » conclut-il.

    zenit.org présente cette interview de façon "thématique" :

  • Du pape : "on s'habitue à vivre dans une société qui prétend se passer de Dieu"

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    NE PAS CEDER A L'INDIFFERENCE

    Cité du Vatican, 5 mars 2014 (VIS). Le Pape François a consacré la catéchèse de l'audience générale tenue Place St.Pierre au Carême qui débute ce jour: Durant ces quarante jours de préparation au mémorial de la passion, mort et résurrection du Seigneur, "l'Eglise nous demande deux choses, prendre mieux conscience de son action rédemptrice et vivre plus intensément notre baptême. La conscience des merveilles que le Christ a accompli pour notre salut nous prépare à rendre grâce à Dieu... Vivre jusqu'au bout le baptême signifie ne pas céder à l'indifférence, ne pas s'habituer à la misère... Il y a effectivement un risque à accepter passivement certains comportements et à ne pas réagir face à certaines situations. Nous nous habituons à la violence comme si elle était naturelle, à ce que des personnes dorment en plein air...aux réfugiés à la recherche de liberté et de dignité, qui ne sont pas accueillis comme il faudrait. On s'habitue aussi à vivre dans une société qui prétend se passer de Dieu, dans laquelle les parents n'apprennent pas à prier à leurs enfants, ni même à faire le signe de croix. Vos enfants savent-ils se signer? Savent-ils le Pater et l'Ave Maria?... Le Carême est une occasion pour changer de route et réagir au mal qui ne cesse de nous défier, un temps de conversion et de rénovation personnelle et communautaire fait de rapprochement de Dieu et d'adhésion à l'Evangile. Le Carême permet aussi de percevoir les autres en fonction de leurs besoins...et de se convertir à l'amour du prochain, en faisant usage de la gratuité et de la miséricorde du Seigneur... En cela demandons tout particulièrement à Marie de nous aider, elle qui est la première croyante en Jésus-Christ. Puisse-t-elle nous accompagner en ces jours de prière intense et de pénitence, afin de célébrer le mystère de Pâques purifiés".

  • Ophain (Bois-Seigneur-Isaac), 20 mars : conférence sur la dévotion eucharistique par Mgr Delville

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    A l'Abbaye de Bois-Seigneur-Isaac -

      Monastère Saint Charbel ( ASBL)  

     

    Dans le cadre de l'année jubilaire,

    le jeudi 20/3/2014 à 20h00 :

    Conférence 

    par son Exc. Mgr. Jean-Pierre Delville,

    évêque de Liège

    sur :

    « L’histoire de la dévotion eucharistique depuis le Moyen Age. Qu’en retenir aujourd’hui ?»

    Rue Armand Demoor 2 
    1421 OPHAIN-BOIS-SEIGNEUR-ISAAC (BRAINE-L'ALLEUD)

  • La Croix est toujours sur le chemin chrétien

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    Sur Radio Vatican :

    "Les persécutions sont le chemin de ceux qui veulent suivre Jésus"

    (RV) “La Croix est toujours sur le chemin chrétien”. Telle est l’une des phrases fortes de l’homélie du Pape François ce mardi matin à la Maison Sainte Marthe. Une homélie centrée sur les persécutions des chrétiens dans le monde, à la lumière de l'Evangile de ce mardi, tiré de Saint Marc. Le Pape a rappelé que les martyrs au nom de leur foi sont plus nombreux qu’aux premiers temps de l’Eglise. 

    L’Évangile du jour revient sur la réponse de Jésus à Pierre, quand celui-ci lui affirme : « Voilà que nous avons tout quitté pour te suivre.» Jésus répond : « Amen, je vous le dis : personne n'aura quitté, à cause de moi et de l'Évangile, une maison, des frères, des sœurs, une mère, un père, des enfants ou une terre, sans qu'il reçoive le centuple ». 

    La persécution est le chemin emprunté par le Christ

    Pierre pense peut-être que suivre le Christ est une « belle activité commerciale » a souligné le Pape, quand il parle de « centuple », mais Jésus ajoute que ceux qui ont tout laissé ont reçu beaucoup, y compris les persécutions. « Cette persécution est le gain du chrétien, le chemin de celui qui veut marcher à la suite de Jésus. Ce chemin, c’est Lui qui l’a parcouru, c’est lui qui a été persécuté ! C’est le chemin de l’abaissement.» 

    Le Saint-Père a poursuivi en citant les Béatitudes : « Heureux êtes-vous si l'on vous insulte, si l'on vous persécute et si l'on vous calomnie de toutes manières à cause de moi. » Ces persécutions sont au cœur de la vie des disciples, elles ont commencé très vite après leur prédication, une fois l’Esprit Saint reçu a t-il rappelé. Et nous même dans nos vies de chrétiens nous aurons la persécution.

    Les martyrs d'aujourd'hui 

    Cette persécution, le Pape en a ensuite rappelé la réalité: les diffamations, les arrestations, la mise en prison, la mort. « Nous oublions facilement, mais pensons à tous les chrétiens il y a 60 ans, dans les camps nazis et communistes : ils étaient si nombreux ! Enfermés car ils étaient chrétiens ! » Et le souverain pontife de mettre en garde contre l’oubli : « Cela existe encore et je peux vous dire qu’ il y a plus de martyrs aujourd’hui que dans les premiers temps de l’Eglise ! »

    Le Pape a ainsi fait référence à tous ces chrétiens qui sont condamnés pour le simple fait de posséder une bible, ou qui ne peuvent pas faire un signe de croix. Ce chemin de persécution est ce qui arrive quand nous suivons Jésus a t-il répété. « Pensons à tant de frères et sœurs qui ne peuvent pas prier ensemble, parce qu’ils sont persécutés, parce qu’ils ne peuvent avoir le livre de l’Evangile ou bien une bible a conclu François, pensons aussi à ceux pour qui il est interdit d’aller à la messe. Demandons-nous enfin si nous sommes disposés à porter la Croix comme Jésus, à porter les persécutions pour témoigner de Jésus, comme le font tous ces frères et sœurs humiliés. Penser à cela nous fera du bien à tous ».

  • Le Mercredi des Cendres

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    Evangile du jour : Mt 6, 1-6.16-18

    Comme les disciples s'étaient rassemblés autour de Jésus, sur la montagne, il leur disait : « Si vous voulez vivre comme des justes, évitez d'agir devant les hommes pour vous faire remarquer. Autrement, il n'y a pas de récompense pour vous auprès de votre Père qui est aux cieux. 

    « Ainsi, quand tu fais l'aumône, ne fais pas sonner de la trompette devant toi, comme ceux qui se donnent en spectacle dans les synagogues et dans les rues, pour obtenir la gloire qui vient des hommes. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont touché leur récompense. Mais toi, quand tu fais l'aumône, que ta main gauche ignore ce que donne ta main droite, afin que ton aumône reste dans le secret ; ton Père voit ce que tu fais dans le secret : il te le revaudra. 

    « Et quand vous priez, ne soyez pas comme ceux qui se donnent en spectacle : quand ils font leurs prières, ils aiment à se tenir debout dans les synagogues et les carrefours pour bien se montrer aux hommes. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont touché leur récompense. Mais toi, quand tu pries, retire-toi au fond de ta maison, ferme la porte, et prie ton Père qui est présent dans le secret ; ton Père voit ce que tu fais dans le secret : il te le revaudra. 

    « Et quand vous jeûnez, ne prenez pas un air abattu, comme ceux qui se donnent en spectacle : ils se composent une mine défaite pour bien montrer aux hommes qu'ils jeûnent. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont touché leur récompense. Mais toi, quand tu jeûnes, parfume-toi la tête et lave-toi le visage ; ainsi, ton jeûne ne sera pas connu des hommes, mais seulement de ton Père qui est présent dans le secret ; ton Père voit ce que tu fais dans le secret : il te le revaudra. »

     

    Homélie du Père Joseph-Marie Verlinde (fsJ) - homelies.fr (Archive 2003)

    L'Évangile de ce jour nous plonge d’emblée au cœur de l'exigence de ce temps de carême, en précisant non seulement les actions concrètes qu balisent le chemin de conversion, mais aussi l'attitude intérieure qui convient pour que Dieu puisse agréer nos efforts.

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  • Le message du pape François pour le Carême

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    PREMIER MESSAGE DE CAREME DU PAPE FRANÇOIS

    (VIS). Le message du Pape pour le Carême 2014, intitulé "Il s’est fait pauvre pour nous enrichir par sa pauvreté" (tiré de la Seconde Epître aux Corinthiens), daté du 26 décembre dernier, a été présenté le 4 février. En voici le texte intégral:

    "Chers frères et sœurs, je voudrais vous offrir, à l’occasion du Carême, quelques réflexions qui puissent vous aider dans un chemin personnel et communautaire de conversion. Je m’inspirerai de la formule de saint Paul: Vous connaissez en effet la générosité de notre Seigneur Jésus Christ. Lui qui est riche, il est devenu pauvre à cause de vous, pour que vous deveniez riches par sa pauvreté. L’Apôtre s’adresse aux chrétiens de Corinthe pour les encourager à être généreux vis-à-vis des fidèles de Jérusalem qui étaient dans le besoin. Que nous disent-elles, ces paroles de Paul, à nous chrétiens d’aujourd’hui? Que signifie, pour nous aujourd’hui, cette exhortation à la pauvreté, à une vie pauvre dans un sens évangélique?

    La grâce du Christ. Ces paroles nous disent avant tout quel est le style de Dieu. Dieu ne se révèle pas par les moyens de la puissance et de la richesse du monde, mais par ceux de la faiblesse et la pauvreté: Lui qui est riche, il est devenu pauvre à cause de vous. Le Christ, le Fils éternel de Dieu, qui est l’égal du Père en puissance et en gloire, s’est fait pauvre. Il est descendu parmi nous, il s’est fait proche de chacun de nous, il s’est dépouillé, comme vidé, pour nous devenir semblable en tout. Quel grand mystère que celui de l’Incarnation de Dieu! C’est l’amour divin qui en est la cause, un amour qui est grâce, générosité, désir d’être proche et qui n’hésite pas à se donner, à se sacrifier pour ses créatures bien-aimées. La charité, l’amour, signifient partager en tout le sort du bien-aimé. L’amour rend semblable, il crée une égalité, il abat les murs et les distances. C’est ce qu’a fait Dieu pour nous. Jésus en effet, a travaillé avec des mains d’homme, il a pensé avec une intelligence d’homme, il a agi avec une volonté d’homme, il a aimé avec un cœur d’homme. Né de la Vierge Marie, il est vraiment devenu l’un de nous, en tout semblable à nous, hormis le péché.

    La raison qui a poussé Jésus à se faire pauvre n’est pas la pauvreté en soi mais, dit saint Paul, pour que nous devenions riches par sa pauvreté. Il ne s’agit pas d’un jeu de mots, ni d’une figure de style. Il s’agit au contraire d’une synthèse de la logique de Dieu, de la logique de l’amour, de la logique de l’Incarnation et de la Croix. Dieu n’a pas fait tomber sur nous le salut depuis le haut, comme le ferait celui qui donne en aumône de son superflu avec un piétisme philanthropique. Ce n’est pas cela l’amour du Christ ! Lorsque Jésus descend dans les eaux du Jourdain et se fait baptiser par Jean Baptiste, il ne le fait pas par pénitence, ou parce qu’il a besoin de conversion ; il le fait pour être au milieu des gens, de ceux qui ont besoin du pardon, pour être au milieu de nous, qui sommes pécheurs, et pour se charger du poids de nos péchés. Voilà la voie qu’il a choisie pour nous consoler, pour nous sauver, pour nous libérer de notre misère. Nous sommes frappés par le fait que l’Apôtre nous dise que nous avons été libérés, non pas grâce à la richesse du Christ, mais par sa pauvreté. Pourtant Paul connaît bien la richesse insondable du Christ, établi héritier de toutes choses. Alors quelle est-elle cette pauvreté, grâce à laquelle Jésus nous délivre et nous rend riches? C’est justement sa manière de nous aimer, de se faire proche de nous, tel le Bon Samaritain qui s’approche de l’homme laissé à moitié mort sur le bord de la route. Ce qui nous donne la vraie liberté, le vrai salut, le vrai bonheur, c’est son amour de compassion, de tendresse et de partage. La pauvreté du Christ qui nous enrichit, c’est le fait qu’il ait pris chair, qu’il ait assumé nos faiblesses, nos péchés, en nous communiquant la miséricorde infinie de Dieu. La pauvreté du Christ est la plus grande richesse. Jésus est riche de sa confiance sans limite envers le Père, de pouvoir compter sur Lui à tout moment, en cherchant toujours et seulement la volonté et la gloire du Père. Il est riche comme est riche un enfant qui se sent aimé et qui aime ses parents et ne doute pas un seul instant de leur amour et de leur tendresse. La richesse de Jésus, c’est d’être le Fils. Sa relation unique avec le Père est la prérogative souveraine de ce Messie pauvre. Lorsque Jésus nous invite à porter son joug qui est doux, il nous invite à nous enrichir de cette riche pauvreté et de cette pauvre richesse qui sont les siennes, à partager avec lui son Esprit filial et fraternel, à devenir des fils dans le Fils, des frères dans le Frère Premier-né. Léon Bloy a dit qu’il n’y a qu’une seule tristesse, c’est celle de ne pas être des saints. Nous pourrions également dire qu’il n’y a qu’une seule vraie misère, c’est celle de ne pas vivre en enfants de Dieu et en frères du Christ.

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  • Divorcés-remariés : les avancées risquées du cardinal Kasper

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    Sandro Magister présente le texte désormais public du rapport par lequel le cardinal Kasper a ouvert le récent consistoire consacré à la famille, "indiquant deux voies pour permettre aux divorcés remariés de communier à nouveau. En suivant l’exemple de ce qui se faisait dans l’Église de l’antiquité." On trouvera, sur le site du vaticaniste (chiesa.espresso.repubblica.it), la traduction des passages les plus importants de ce rapport introductif. On l'a déjà évoqué, ce rapport n'a pas fait l'unanimité et le cardinal Gerhard Muller a de son côté fait entendre un point de vue très différent.

    Sur le site "Benoît et moi", deux articles sont consacrés à "la révolution culturelle du cardinal Kasper"; il s'agit de la traduction, en deux parties, des réflexions du Professeur De Mattei qui passe au crible l'argumentation du "théologien libéral" :

    Incontestablement, le sujet est très sensible et très délicat, et l'on peut déjà pressentir combien la navigation du synode des évêques sur la famille sera périlleuse au milieu des multiples écueils dont la question des divorcés-remariés et de leur accès à la communion n'est pas le moindre. Le moins qu'on puisse penser, et dire, est que le pape a pris un sérieux risque en ouvrant ce chantier et en le faisant précéder par une enquête qui a très rapidement viré au sondage d'opinion. Comment va-t-on pouvoir sauvegarder l'arrimage à la doctrine traditionnelle du mariage et de la famille tout en voulant trouver des "voies pastorales" pour répondre aux attentes de gens en quête "d'ouvertures"? Les débats préliminaires, déjà largement entamés, laissent d'ores et déjà entrevoir des assises synodales à très haut risque... (Cela promet et les commentaires médiatiques vont déjà bon train comme on pourra s'en rendre compte ici.)

  • Les intentions de prière du pape pour mars 2014

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    L'intention de prière générale du Saint-Père pour mars est:

    "Pour que les droits et la dignité des femmes soient respectés dans tous les milieux".

    Son intention missionnaire est:

    "Pour que de nombreux jeunes accueillent l'invitation du Seigneur à consacrer leur vie à l'annonce de l'Evangile".

  • Le passeur de Dieu, un roman du Père Zanotti-Sorkine

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    Le passeur de Dieu

    Présentation de l'éditeur :

    Xavier, trente-deux ans, journaliste à Paris, ne supporte plus la vie qu'il mène. Usé par son rythme trépidant, lassé des amours éphémères, déçu par la médiocrité des liens, vidé de tout élan et ne sachant plus où trouver de la force pour éclairer sa vie, il décide, sur un coup de tête, de passer quelques jours dans un ermitage auprès d'un vieux moine, haut en couleur, à la stature spirituelle et humaine hors du commun. Il s'installe au creux d'un monastère perdu dans la montagne. Partageant la vie de prières et les travaux des moines, il dort dans une cellule et prend un repas par jour. Sa cure de silence est entrecoupée par des conversations à la fois chaleureuses et exigeantes menées souvent par le père supérieur et parfois avec les autres moines dont les différentes personnalités le surprennent, mais moins toutefois que le bonheur qu'ils respirent. À la fin de sa retraite, il remonte à Paris en partie lavé de son mal-être et rencontre une jeune femme. Un voyage initiatique aussi dense qu'inattendu, ponctué de dialogues revigorants, riche de sagesse et de bon sens, plein d'émotion et parfois d'humour où la source du christianisme jaillit comme un leçon de vie.

    Voir également : le-passeur-de-dieu-ou-linvitation-au-ciel-du-pere-zanotti-sorkine