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Jeunes - Page 188

  • Ne pas leur voler leur enfance

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    Agoravox publie opportunément ces réflexions intitulées : "Laissons les enfants être des enfants" :

    "Des incidents mettant en scène des adolescents voire des enfants n’ayant même pas atteint cette tranche de vie font de plus en plus la une de l’actualité. Nos enfants veulent grandir vite poussés par une société qui s’inquiète un peu ? Mais qui laisse faire..."

    Lire la suite ici : http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/laissons-les-enfants-etre-des-

  • Chemin de croix des JMJ : des jeunes handicapés ou malades du SIDA porteront la croix

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    "Lors du traditionnel chemin de croix, la croix des Journées Mondiales de la Jeunesse (JMJ) sera notamment portées par des jeunes handicapés ou malades du Sida, a affirmé le P. Eric Jacquinet, responsable de la section « jeunes » du Conseil pontifical pour les laïcs, dans une interview à l’agence italienne Sir.

    Durant la Via Crucis, a expliqué le P. Jacquinet, « la Croix sera portée par des jeunes handicapés, des malades du Sida, des indigents et des pèlerins venant de zones de conflits comme la Terre Sainte et l’Irak ou des régions touchées par des désastres naturels comme le Japon et Haïti ».

    « L’idée – affirme-t-il – est de montrer que Jésus est proche de leur souffrance en montrant le juste chemin pour aller de l’avant et passer de la mort à la vie ».

    Le P. Jacquinet a aussi annoncé la venue de 900 jeunes Chinois de Hong-Kong, 2000 Russes et 300 Japonais." 

    source : http://www.zenit.org/article-28520?l=french

  • JMJ : Benoît XVI consacrera les jeunes au Coeur sacré de Jésus

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    "Le pape Benoît XVI consacrera les jeunes au Coeur sacré de Jésus durant la veillée du samedi 20 août dans le cadre des Journées mondiales de la jeunesse de Madrid. Nous publions ci-dessous le texte de la catéchèse que les organisateurs des JMJ ont préparé à cette occasion." http://www.zenit.org/article-28515?l=french

    Zenit met également en ligne le texte de la "catéchèse préparatoire" à cette consécration (lire la suite)

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  • Harry Potter, l'Amour en héritage ?

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    Harry Potter aura constitué un phénomène discuté dans les milieux catholiques; certains ont diabolisé cette oeuvre lui trouvant une odeur de souffre tandis que d'autres en soulignaient les valeurs positives. Voilà que cette "saga" arrive à son terme et que le dernier épisode porté à l'écran fait un tabac. La semaine dernière, l'Osservatore Romano en faisait l'éloge. La Bussola Quotidiana a publié (le 14/7) une critique intéressante du dernier "Harry Potter", sous la plume de Antonio Carriero sous le titre "Le dernier Harry Potter: la vraie magie est de se convertir" (http://www.labussolaquotidiana.it/); nous tâchons de la traduire correctement ici :

    "Harry Potter touche à sa fin. Toute autre aventure possible qui, dans l'avenir, pourrait provenir de l'esprit extraordinaire de son auteur, ne serait qu'un ajout. Bien sûr, les fans de l'oeuvre originale se le souhaiteraient, mais la véritable essence de Harry Potter aura marqué exclusivement ces sept volumes qui trônent dans notre bibliothèque. (lire la suite)

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  • De notre mieux...

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    La presse raconte aujourd'hui comment un camp louveteau a dû être interrompu suite à des "jeux sexuels" pratiqués par des "petits loups" durant la sieste.

    Il ne s'agit pas de pousser des cris d'orfraie; ce n'est pas la première fois que ce type de jeux pas vraiment innocents se pratique. Ce qui m'inquiète davantage, c'est la banalisation de ce genre de comportements à l'école, dans les mouvements de jeunesse ou ailleurs. Ne pas dramatiser est une chose, banaliser en est une autre. Il suffit de lire les commentaires laissés par nombre d'intervenants dans les forums des quotidiens pour s'en rendre compte : la plupart, imbus des conceptions libertaires à la mode n'y voient que des faits sans importance qui ne méritent même pas que l'on y prête attention.

    Il faut quand même faire remarquer que, souvent, les enfants plus jeunes impliqués dans ces jeux ne sont pas consentants mais doivent céder à la pression ou aux menaces des plus grands. C'est une forme de violence. Absoudre trop facilement les petits "caïds", c'est leur laisser croire que tout ça n'est pas bien grave et que rien ne les empêche de continuer avec toutes les conséquences que l'on connaît dans la société actuelle. Le scoutisme ne peut devenir une école de la violence et du non-respect d'autrui.

    Par ailleurs, on peut se demander comment il pourrait en aller autrement dans une société qui considère que l'on peut diffuser n'importe quoi à n'importe quelle heure, que tout est enfants admis, et qui fait du sexe un absolu. Et d'ailleurs, comment éduquer à la pureté quand on ne la vit pas soi-même ?

    On est bien loin de la loi scoute et de cet article en particulier : "Le scout est pur dans ses paroles, ses pensées et ses actes."

    Voir : http://salve-regina.nuxit.net/Scoutisme/Loi_et_Principes.html

  • Une ère de reniement sans précédent

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    Les affaires de pédophilie dont on reparle à propos de l'Irlande posent la question de la fidélité des prêtres et des religieux aux engagements qu'ils avaient pris, solennellement, devant Dieu, devant leurs supérieurs, et devant l'Eglise toute entière. Depuis le dernier concile, le nombre de défections et de retours à l'état laïc de gens qui avaient consacré leur vie au Christ et à l'Eglise est proprement hallucinant.

    Et que dire des liens du mariage où les consentements échangés, en prenant Dieu et les communautés à témoin, ne pèsent vraiment plus très lourd, quelles que soient les conséquences pour le (la) partenaire que l'on abandonne et pour les enfants condamnés à faire le deuil d'une relation dans laquelle s'enracine pourtant leur existence.

    On pourrait y ajouter les serments prêtés par les enseignants lors de leur engagement, par les officiers lors de leurs promotions, par les médecins qui ont prononcé le serment d'Hippocrate, par les prêtres qui ont prêté le serment anti-moderniste, par les fonctionnaires et les élus lors de leur accession à des postes à responsabilité, etc. "Verba volant", voilà comment se sont évaporées aussi les formules prononcées avec émotion lors des professions de foi ou à l'occasion des promesses scoutes.

    Paroles, paroles, paroles ? Pourtant, une parole d'engagement n'est pas un simple énoncé, comme le fait de constater qu'il fait beau ou que l'euro est en mauvaise posture; c'est proférer des mots qui ont une dimension "performative", qui équivalent à une véritable action résultant de notre détermination, engageant notre être tout entier, corps, coeur et esprit. Renier ces paroles, c'est se renier soi-même, c'est compromettre la confiance que l'on pourra nous faire désormais, c'est détériorer l'estime que les autres et que nous-mêmes pouvons avoir à notre propre égard.

    Si l'on considère que la fidélité à la parole donnée constitue le ciment d'une société, il n'y a guère lieu de s'étonner du degré de délabrement de la nôtre.

    Heureusement que Dieu, Lui, reste fidèle, et d'une miséricorde infinie...

  • L'inspiration catholique de la bande dessinée belge de la grande époque

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    Un ouvrage vient d'être consacré par Philippe Delisle à la bande dessinée belge : Philippe Delisle, Spirou, Tintin et Cie, une littérature catholique ? Années 1930 / Années 1980, Paris, Karthala, 2010, 184 p.

    Le site "Chrétiens et sociétés" publie un compte-rendu de cette étude sous la plume de Yves Krumenacker. De cette publication, il ressort clairement que la bande dessinée belge fut, dans ses premières décennies, une littérature "engagée" marquée par l'appartenance catholique de ses auteurs et qu'il en fut ainsi jusqu'à l'époque du Concile Vatican II...

    Extrait de ce compte-rendu :

    "Le thème peut paraître évident car la plupart des éditeurs et des auteurs viennent du catholicisme. La « bonne presse », en Belgique, a un quasi monopole, avant-guerre, dans les publications pour enfants : suppléments de journaux comme Le Petit Vingtième (supplément du Vingtième Siècle), organes de mouvements comme La Croisade Eucharistique ; le Journal de Spirou (1938), non confessionnel, n’y échappe pas vraiment puisque son fondateur, Jean Dupuis, a d’abord travaillé dans un quotidien catholique, où il a manifesté de fortes convictions religieuses, et que son fils Charles demande à ses auteurs un discours catholique. Quant au public, même des publications non confessionnelles comme Tintin ou Spirou, il est lui aussi majoritairement catholique. Cette B.D., fruit d’un des « piliers » de la Belgique, se différencie alors nettement de ce qui se fait en France (Les Pieds Nickelés, Zig et Puce, etc.). Les auteurs (Hergé, Charlier, Mitacq, Peyo, Jijé, etc.) ont généralement été formés dans des écoles catholiques, pour leurs études secondaires et souvent professionnelles, ils font partie de mouvements catholiques, ils travaillent pour le scoutisme. Seul Franquin, de ces auteurs éduqués dans le catholicisme, affirme avoir rompu profondément avec la religion. On ne s’étonnera donc pas de l’imprégnation chrétienne de beaucoup de récits : de nombreux auteurs mettent la Bible ou l’ « histoire sainte » en images, racontent la vie des saints (Jijé, Pilamm, Raymond Reding, etc.), le genre culminant avec les « Belles histoires de l’Oncle Paul » des années 50 ; on trouve aussi des récits d’aventure « catholiques » dont les héros sont des gladiateurs convertis, des croisés, des missionnaires du Far West, … Dans d’autres histoires, le scénario est plus « neutre », mais apparaissent des églises, des missionnaires, même des messes (le pilote Michel Vaillant y participe !), révélant qu’on est bien dans un milieu catholique. Rares sont les séries, comme Spirou ou Félix, où manquent les références chrétiennes explicites."

    Qu'on ne s'illusionne pas; le propos des auteurs du livre et du compte-rendu est dans l'air du temps et ne se prive pas de critiquer cette inspiration catholique, mais cela se révèle intéressant, notamment quand on constate que :

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  • Les méfaits des méthodes de lecture globale et autres farfeluteries pédagogiques

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    "Les francophones (de Belgique) moins bons en lecture que la moyenne européenne : 23,3 % des francophones de 15 ans éprouvent des difficultés pour lire, soit plus que la moyenne européenne qui est de 20 %."

    C'est dans Le Vif et à découvrir ICI : levif.rnews.be/fr/news/actualite/belgique/

  • Bruxelles : veillée d'adoration "Nightfever" le 14 juillet

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    Eglise Ste-Croix (Flagey)

    14/07/11 : Veillée d’adoration Nightfever

    animée par la Communauté du Verbe de Vie et par le Regnum Christi

    thème du « Primat de l’Amour selon Saint Bonaventure »

    Programme :
    - 20h30-23h00 : adoration du Saint Sacrement (chants, louanges et silence), possibilité de parler à un prêtre. Pour les plus motivés : invitation des passants de la place Flagey à rentrer dans l’Eglise.
    - 21h30 : enseignement sur les vocations
    - 22h15 : témoignage de vocation
    - 23h00 : verre au café Belga (juste à côté)

    Comme tous les mois, présence sur le parvis de l’Eglise et dans les abords tout au long de la soirée pour inviter les passants à visiter l’Eglise et à y déposer un lumignon devant le Saint-Sacrement afin de (re)découvrir la présence et l’Amour de Dieu.

  • Heureux Scéens...

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    « Je n’ai pas encore 39 ans. Dans les Hauts-de-Seine, il y a des vocations, des ordinations. C’est un métier magnifique, prêtre, pourquoi ne parle-t-on que de ses difficultés ? On va dans les familles, on voit naître, grandir, on accompagne jusqu’à la mort, on est dans la vie des gens, même si le registre de parole avec le curé n’est pas le même qu’avec parents et amis... »

    Un prêtre heureux et optimiste s'exprime sur ce blog de Pascale Kremer: réconfortant!

  • "Sexualité, parlons-en!" : une nouvelle chronique dans Famille Chrétienne

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    L'hebdomadaire familial catholique annonce :

    "La sexualité, sa juste place dans le couple, ce qu’elle exprime de l’amour du couple, de l’amour de Dieu mais aussi de nos faiblesses et de nos fragilités : c’est – en très résumé – le sujet d’une nouvelle chronique bi-mensuelle réalisée par Sophie Lutz, auteure de Philippine, la force d’une vie fragile. Nous l’inaugurons cette semaine, alors même que nous fêtons le n° 100 de notre newsletter."

    C'est ici et l'on y découvrira une réflexion sur "l'amour libre"