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Médias - Page 210

  • Il était une foi... les chrétiens d'Irak

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    Logo radio Il était une foi

    Dimanche 6 février, à 19h05, sur la Première: Il était une foi... les chrétiens d'Irak.

    Entretien avec Amir Jaje, supérieur des dominicains à Bagdad, sur la situation des chrétiens en Irak. Craignant pour leur vie, plus de la moitié des chrétiens d'Irak auraient déjà quitté le pays ces dernières années. Comment inverser cette tendance et protéger les minorités religieuses ? C'est l'une des questions que Manu Van Lier aborde lors de cette rencontre avec Amir Jaje.

    Réalisation et présentation : Manu Van Lier  (catho.be)

  • Haro sur la "dictature dogmatique"

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    Une tribune libre paraît aujourd'hui dans un quotidien toujours prompt à relayer la contestation anti-romaine.

    Les « autorités romaines » (en fait, c'est le pape qui est visé) affectionnent, paraît-il, les « formules choc » comme la « dictature du relativisme ». En réalité, voici ce que disait le pape, en novembre dernier :  « Le relativisme (...) apparaît comme l'unique attitude à la hauteur de l'époque actuelle. L'on est en train de mettre sur pied une dictature du relativisme qui ne reconnaît rien comme définitif et qui donne comme mesure ultime uniquement son propre ego et ses désirs. » Est-ce la « formule choc » ou le « slogan » incriminés par nos théologiens?

    Armés du « slogan » comme concept pour désigner l’attitude romaine, ils en concluent à son « caractère autoritaire » ("tout slogan étant autoritaire par nature") et, plus grave, ne permettant pas d’appréhender la réalité. 

    Vient ensuite une digression consensuelle sur le relativisme et sur « le pragmatisme qui évacue les questions de sens », mais c’est pour mieux s’en prendre au discours romain qui pècherait par excès inverse, condamnant « sans nuance la société occidentale d’aujourd’hui, jugée hédoniste, partisane d’une culture de mort, sans cœur ni conscience. »

    A leurs yeux, le discours du « Vatican » traduirait ainsi « l’effroi (sic !) devant l’évolution d’un monde jugé décadent. » Décadence que de nombreux esprits s’accordent pourtant à reconnaître mais mot que Benoît XVI ne prononce pour ainsi dire dire jamais.

    La notion absolue de « Vérité » ferait problème, « vérité enseignée par le magistère catholique et désormais mise en doute, voire tournée en ridicule par de nombreux catholiques eux-mêmes. » Ici, nos auteurs ne font pas dans la nuance car ils laissent entendre que le Vatican prétend à la Vérité en tout et pour tout. Or, dans l’enseignement de l’Eglise, il y a des degrés divers, depuis la Vérité révélée dans les Ecritures et incarnée en Jésus, jusqu’aux instructions concernant le culte ou la discipline ecclésiastique. Tout cela ne bénéficie évidemment pas du même niveau d’infaillibilité ; certaines dispositions pouvant être revues et modifiées.

    Les auteurs stigmatisent l’attitude de l’Eglise qui se voudrait détentrice de la vérité en tout et pour tout : c’est de l’orgueil, de la dictature, du fanatisme ! Et d’appeler l’histoire en renfort où « tant d’affirmations catégoriques  de l’Eglise (lesquelles?) ont été démenties par les découvertes scientifiques (lesquelles?) ou par l’expérience vécue (laquelle?) » ! L’historien hausse les épaules devant cette argumentation éculée ; on sait que l’histoire de l’Eglise n’est pas exempte de dérapages et « d’hommeries », mais cela remet-il en cause la vérité dont-elle est porteuse ? Quand il s’agit de rendre témoignage de l’Evangile, il est question, en effet, de points sur lesquels l’Eglise ne peut transiger; cela n’empêche pas la réflexion contrairement à ce qu’affirment les auteurs. Augustin, Thomas d’Aquin, Pascal, Urs Von Balthasar et bien d’autres ne s’en sont pas privés.

    Dans le même sermon de novembre dernier, Benoît XVI affirmait : « Nous possédons, en revanche, une autre mesure: le Fils de Dieu, l'homme véritable. C'est lui la mesure du véritable humanisme. Une foi "adulte" ne suit pas les courants de la mode et des dernières nouveautés; une foi adulte et mûre est une foi profondément enracinée dans l'amitié avec le Christ. C'est cette amitié qui nous ouvre à tout ce qui est bon et qui nous donne le critère permettant de discerner entre le vrai et le faux, entre imposture et vérité. Cette foi adulte doit mûrir en nous, c'est vers cette foi que nous devons guider le troupeau du Christ. Et c'est cette foi, - cette foi seule - qui crée l'unité et qui se réalise dans la charité. Saint Paul nous offre à ce propos - en contraste avec les tribulations incessantes de ceux qui sont comme des enfants ballottés par les flots - une belle parole: faire la vérité dans la charité, comme formule fondamentale de l'existence chrétienne. Dans le Christ, vérité et charité se retrouvent. Dans la mesure où nous nous rapprochons du Christ, la vérité et la charité se confondent aussi dans notre vie. La charité sans vérité serait aveugle; la vérité sans charité serait comme "cymbale qui retentit" (1 Co 13, 1). »

    Cette tribune ne tombe-t-elle pas dans l’excès lorsqu’elle renvoie dos à dos "dictature du relativisme" et "dictature de la pensée dogmatique" ? Cette pensée dogmatique accusée de renoncer à penser en exigeant une obéissance aveugle, comme si, lors des conciles et des synodes et dans de nombreux congrès catholiques, tout le monde était bâillonné; comme si la foi vécue dans la fidélité à l’enseignement de l’église excluait le travail de la raison et le dialogue avec l’autre, dans le respect de l’autre.

    Et nos auteurs de se décerner bravement un brevet d’humanité car ils pratiquent une "saine relativité" qui serait une vertu chrétienne (?) et tout cela en se revendiquant de la Bible, tant il est vrai, pour parodier Boileau, que tout théologien dissident se fait « pape la bible à la main » !

    Une question pour conclure : quand le pape confie la présidence de l’Académie pontificale des Sciences à un médecin protestant, fait-il preuve d’autoritarisme dogmatique ?

  • Rester au balcon ?

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    ReneMagrittePerspectiveLeBalconDeManet1950.pngLancer un blog est une aventure.

    Et effectivement, lorsqu'on s'aperçoit que tant de gens viennent le visiter, on en reste pantois.

    On se dit que ça répond à un réel besoin, que beaucoup de gens aspirent à entendre un autre son de cloche que celui dispensé par la grande presse.

    Alors, on s'attend à ce qu'ils réagissent, qu'ils vous interpellent, qu'ils vous suggèrent telle ou telle chose...

    Mais c'est là qu'on se trompe!

    En effet, malgré des appels réitérés, des mails envoyés tous azimuts, le plus grand nombre préfère rester au balcon, quitte à émettre en aparté des appréciations plus ou moins encourageantes.

    C'est qu'on a autre chose à faire que d'alimenter un blog ou de soutenir ceux qui l'animent!

    Pourtant, la semaine dernière, La Croix soulignait la vitalité des réseaux catholiques sur le web, citant des blogs qui ont pignon sur rue et qui reçoivent la visite de très nombreux visiteurs, au point de susciter une certaine inquiétude dans le monde des médias traditionnels. Et le pape d'en ajouter lors de la journée mondiale des moyens de communication sociale, se félicitant de ces nouveaux modes de communication, tout en émettant une série de recommandations où il est question d'authenticité, de vérité, d'honnêteté...

    Alors, nous aimerions tellement que nos amis, encouragés de si haut, descendent de leurs balcons et investissent peu à peu ces espaces de communication pour la meilleure des causes, puisqu'il s'agit de rétablir la vérité face à la désinformation, de s'indigner face à des réalités qui abiment l'homme, de s'extasier devant des choses belles et susceptibles de nous faire grandir en humanité, de compatir avec ceux qui sont victimes des persécutions et des oppressions, de partager des informations qui peuvent enrichir autrui, etc.

    Cet appel sera-t-il entendu? Peut-être, chi lo sa?

  • Amorce d'une nouvelle campagne médiatique contre le célibat des prêtres

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    En septembre prochain, le pape doit effectuer une visite pastorale en Allemagne. Certains médias sont déjà occupés à miner le terrain sur lequel Benoît XVI sera amené à poser ses pas. C'est ainsi que le Suddeutsche Zeitung exhume une pétition qui a circulé en Allemagne, en 1970, en faveur de la modification de la règle du célibat sacerdotal et que l'abbé Ratzinger aurait signée. Cette information, aussitôt reprise par le Figaro et Europe I, le sera, n'en doutons pas, par les médias de notre petite terre d'héroïsme. En Allemagne, les journalistes appuient ainsi les politiciens, dont la chancelière, qui s'immiscent dans cette question de discipline ecclésiastique et qui voient dans le mariage des prêtres une réponse adéquate aux problèmes de pédophilie.

    Nous avons déjà posté sur ce blog une note qui dénonçait le simplisme d'une telle vision.

    Il ne s'agit pas d'une question dogmatique mais bien d'une question de discipline ecclésiastique qui diffère de la perception qu'en ont d'autres églises. Il faut cependant rappeler que dans les églises d'orient (mêmes catholiques), si on ordonne des hommes mariés, il n'est pas question d'ouvrir le mariage à des prêtres célibataires.

    On lit beaucoup d'âneries dans la presse et dans les réactions des lecteurs influencés par le battage médiatique à ce propos. Certains n'hésitent pas à dénoncer le caractère tardif de l'introduction de la discipline du célibat alors que le Père Cochini, dans une étude scientifique consacrée aux origines apostoliques du célibat sacerdotal tord le cou à ces inepties. Interrogé en 2006, lors de la publication de son ouvrage, il déclarait :

    "L’ouvrage publié aujourd’hui aux éditions Ad Solem est la réédition, augmentée d’une préface du cardinal Castrillon Hoyos, de mon livre sur Les Origines apostoliques du célibat ecclésiastique, publié pour la première fois en 1981 chez Lethielleux. Il a été jugé utile de le republier parce que la question des origines, c’est-à-dire la question historique, est aujourd’hui au centre du débat. Il est frappant, en effet, de voir la quantité de livres ou d’articles qui contestent la discipline de l’Eglise latine concernant le célibat obligatoire des clercs en arguant de l’origine tardive de la loi. Certains, comme vous le dites, y voient une invention médiévale, en se référant au 2ème concile du Latran de 1139, mais ils sont de moins en moins nombreux, car l’argument ne résiste pas à une simple lecture du texte conciliaire : le document du Latran n’établit pas l’obligation du célibat, mais frappe de nullité tout mariage contracté par un clerc déjà ordonné. En revanche, la critique basée sur le concile d’Elvire des années 300, le premier en date des synodes faisant état d’une obligation de continence parfaite pour les membres du clergé supérieur, ainsi que sur l’existence de nombreux évêques, prêtres et diacres mariés au cours des premiers siècles de l’Eglise, est certainement à prendre en compte."

    On le voit, tant sur le fond de la question où il est simpliste de croire que le mariage résoudrait le problème de la pédophilie (alors que tant d'hommes mariés sont pédophiles), que sur sa dimension historique, il y a une véritable entreprise de désinformation qui est à l'oeuvre. Quant à Joseph Ratzinger, on peut imaginer qu'il a évolué et qu'ayant souscrit à certaines positions qui étaient dans l'air du temps conciliaire et post-conciliaire, il a eu le temps et l'accès à d'autres données qui lui ont permis de rectifier certaines de ses positions.

  • Etre chrétien à l’ère de Facebook, mode d’emploi

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    images.jpgInterview avec le spécialiste Guillaume Anselin

    ROME, Dimanche 30 janvier 2011 (ZENIT.org) - La vérité et l'authenticité sont le mode d'emploi offert par Benoît XVI aux chrétiens présents sur Internet et les réseaux sociaux, explique Guillaume Anselin, spécialiste de la communication des marques et des institutions.

    Dans cet entretien, Guillaume Anselin, qui a travaillé dans l'édition et dans des groupes de communication tels que McCann Erickson, Ogilvy et Publicis commente pour ZENIT le message de Benoît XVI pour la Journée mondiale des communications 2011.

    La suite sur Zenit

  • Benoît-et-moi, un site qui ne met pas son étendard en poche...

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    s2dlogo.jpg

    Un site que nous vous recommandons, qui ne se croit pas détenteur de "la" vérité mais qui est soucieux de rétablir la vérité quand l'Eglise et son chef sont injustement attaqués ou discrédités, de l'intérieur ou de l'extérieur...

    "Site d'opinion. Il ne parle pas que du Pape, même si les sujets abordés sont en général en lien avec lui. Il ne prétend pas à l'objectivité (je suis clairement du côté du Saint-Père), mais, et j'y tiens beaucoup, à l'honnêteté..."

    Un site dynamique dont la sympathique animatrice manifeste beaucoup d'ardeur et de pugnacité, pour la meilleure des causes !

  • Les blogs catholiques s’organisent

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    logo_lacroix_06.gifLa Croix publie une enquête sur les blogs catholiques : "Les catholiques aussi s'organisent en réseaux".


    La blogosphère catholique a connu un coup d’accélérateur ces dernières années, avec l’apparition de réseaux de blogueurs qui défendent le pape et les valeurs chrétiennes. Les catholiques apprennent le «lobbying». Alors qu’un livre sort sur « Les réseaux cathos », analyse d’une mutation qui fait passer l’Église d’une culture de mouvement à une culture de réseau ... la suite sur La Croix

  • "Ethique et moi", une émission à suivre sur RCF

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    Sur RCF (Radio Chrétienne Francophone), "Ethique et moi" est une émission animée par Carine Brochier.

    Présentation : "Alors que les sciences de la « maîtrise du vivant » se développent à grande vitesse et font entrevoir à l’homme l’espoir d’un paradis sanitaire artificiel, comment rester vigilants et pro-actifs par rapport à toutes ces questions de bioéthique ? Grossesse, diagnostics, tests génétiques, avortement, procréation médicale, recherche sur embryons, euthanasie, soins palliatifs…

    "Ethique et moi" est une émission hebdomadaire proposée par l’Institut Européen de Bioéthique. De semaine en semaine, depuis 7 ans, y sont invités les acteurs de terrain : associations et accueillants, professeurs, juristes, théologiens, philosophes, éthiciens, mais aussi de nombreux témoins confrontés à la souffrance, telle cette maman qui accompagne son enfant porteur d’un handicap.

    La multiplicité des thématiques abordées ainsi que le dialogue avec l’invité interpellent l’auditeur, car en fin de compte, l’éthique de la vie nous concerne tous. Telles des semences de vie, ces émissions contribuent à éclairer la conscience de chacun, et invitent l’auditeur à se familiariser avec la pluridisciplinarité de la bioéthique. C’est aussi une joie d’y découvrir peu à peu, la bonté de l’enseignement de l’Eglise en ces matières qui touchent à la Vie. S’y déploie la culture de la vie pour une plus grande solidarité avec les sans voix et les plus faibles d’entre nous.

    "Ethique et moi", quatre diffusions par semaine."

    La responsable de l'émission : "Economiste de formation (FUNDP, Namur), Carine Brochier a une longue expérience dans les médias. Chargée de la rédaction d’un rapport sur l’avortement en Belgique, elle est interpellée par le peu de formation du public au sujet des questions de bioéthique. Cela fait plus de 10 ans aujourd’hui que, au sein de l’Institut Européen de Bioéthique (Bruxelles), elle anime ateliers et conférences, et participe à la rédaction des Dossiers de l’IEB. Souhaitant pouvoir exprimer dans un langage simple ce qu’elle découvrait et ce que vivaient certaines personnes devant faire des choix, parfois difficiles, en matière d’éthique de la vie, elle ressent la nécessité de se former, au fil des ans, en philosophie, bioéthique et anthropologie à l’IET (Institut d’Etudes Théologiques) ; elle obtient également le certificat du Centre d’Etudes Pastorales du Diocèse de Malines-Bruxelles (CEP). Responsable de l’Emission « Éthique et moi » sur RCF depuis 2004, Carine Brochier fait découvrir aux auditeurs non seulement des témoins engagés au service de la Vie, mais aussi la beauté et le pourquoi de l’Enseignement de l’Eglise dans le respect de la personne de la conception à la mort naturelle."

    Un certain nombre d'émissions sont "podcastées" : exemple : "Crise et éthique font-elles bon ménage" , entretien avec le Pr. Philippe de Woot, ou "Le clônage humain pose-t-il un problème éthique?", entretien avec le P. Xavier Dijon, etc.

  • Zenit, le monde vu de Rome

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    logo.gifNos "visiteurs" ont constaté qu'un certain nombre de notes, sur ce blog, faisaient référence à l'agence Zénit. Effectivement, cette agence est incontournable lorsque l'on s'intéresse à la vie de l'Eglise et aux valeurs que nous défendons dans différents domaines de la vie morale, sociale, économique, etc.

    A titre d'exemple, nous vous communiquons le service quotidien proposé par l'agence Zénit en ce 25 janvier; il est particulièrement riche et varié et illustre la diversité des thèmes traités, bien loin des stéréotypes véhiculés par notre presse habituelle.

    "Ses informations sont actuellement reproduites par plus de 20.000 media : chaînes de télévision et de radio, petites et grandes ; journaux et revues, portails, pages web, bulletins diocésains et paroissiaux, etc..

    Environ 520.000 abonnés reçoivent actuellement les bulletins de ZENIT directement par courrier électronique. Plusieurs centaines de milliers de personnes consultent les nouvelles directement sur notre site ou à travers d'autres portails sur Internet."

    Service quotidien - 25 janvier 2011

    ROME

    ENTRETIEN

    INTERNATIONAL

  • Internet et facebook : le regard positif du pape

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    img-_innerArt-_facebook 169x226.jpgCe matin, plusieurs sites, notamment M. Introvigne sur la Bussola Quotidiana, ainsi que Benoît-et-moi se font l'écho des propos du pape prononcés hier dans le cadre de la journée mondiale des communications sociales.

    Ils soulignent l'approche positive de Benoît XVI à l'égard de ces nouveaux modes de communication à condition, bien sûr, de ne pas en devenir l'otage ni de s'y éloigner de la vérité sur soi-même.

    Sur Radio Vatican, d'après Mgr Celli: Le Pape regarde Internet de façon positive.
    Bientôt un portail multimédia de nouvelles du Vatican
    (Radio Vaticana)

    Audio: http://212.77.9.15/audiomp3/00245195.MP3

    Le pape a une vision positive, mais pas pour autant naïve, au sujet d'Internet et des nouveaux médias: c'est ce que souligne Mgr Claudio Maria Celli, qui a mis l'accent sur l'importance que ce message attribue au témoignage des chrétiens dans le continent "numérique":

    "Le message parle de la présence d'un "style chrétien": c'est ce qui donne sa signification au titre du message, en ce sens que le témoignage d'acteurs catholiques ne peut se réduire au simple traitement de thèmes religieux, mais est appelé à se manifester sur le plan concret du témoignage personnel. "

    Honnête, ouverte, responsable et respectueuse de l'autre: telle est, selon l'évêque, le style de la présence chrétienne dans les médias. Un style, poursuit-il, qui le dicastère des Communications Sociales essaie lui aussi de mener à bien. Mgr Celli Lombardi et le père Lombardi ont ensuite expliqué que, bien que n'utilisant pas l'Internet, le Saint-Père suit avec grand intérêt et admiration l'évolution technologique de la communication. Si, donc, Benoît XVI écrit ses discours avec la plume, comme cela a été souligné, il est en même temps bien conscient de l'importance des instruments comme Youtube, comme l'a expliqué le père Federico Lombardi:

    "Quand nous avons proposé le canal sur Youtube, dont devait émerger la nouvelle "Le Pape sur Youtube", nous lui avons donné une belle notice, expliquant bien de quoi il s'agissait, et lui a mis son «BXVI» - ses initiales, quand il dit que quelque chose est bon - disant d'aller de l'avant, et qu'il était entièrement d'accord ".

    Au cours de la conférence de presse, on a vu que la béatification du pape Jean-Paul II rendrait encore plus étroite la coopération entre la Salle presse et le Conseil Pontifical pour les Communications Sociales. Et Mgr Celli a insisté sur la naissance d'un portail de nouvelles du Vatican, avec une forte dimension multimédia:

    "Multimédial, parce qu'indéniablement, il fera également référence aux émissions de Radio Vatican et à l'ensemble du service particulièrement précieux du Centre de Télévision du Vatican. Je l'avoue, j'ai un désir: être opérationnel pour Pâques. Une chose est certaine, nous y travaillons dur! "

    Enfin, le père Lombardi a annoncé aux journalistes que le 10 Février prochain, une exposition pour le 80e anniversaire de Radio Vatican sera inaugurée aux Musées du Vatican."

    C'est un encouragement pour les amateurs qui animent ce blog à poursuivre leur travail de réinformation dans un souci d'honnêteté et de vérité auquel ils invitent leurs visiteurs à s'associer activement.

  • 24 janvier, fête de saint François de Sales, patron des journalistes

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    francois_de_sales.jpg«"Dans le contexte de la post-modernité dans lequel nous vivons, un des défis culturels les plus important concerne la manière d'entendre la vérité », a affirmé le pape. En effet, la « culture dominante, celle qui est la plus diffusée dans l'aréopage médiatique, se pose, vis-à-vis de la vérité, avec une attitude sceptique et relativiste, la considérant de la même manière que de simples opinions et retenant, par conséquent, beaucoup de ‘vérités' comme possibles et légitimes ».

    « La vérité dont l'homme est assoiffé est une personne : le Seigneur Jésus », a affirmé Benoît XVI avec force. C'est en « connaissant » et en « aimant » cette vérité que « nous trouvons la paix véritable et le vrai bonheur ».

    « La mission de l'Eglise consiste à créer les conditions pour que cette rencontre de l'homme avec le Christ se réalise » a-t-il ajouté. « En collaborant à cette tâche, les organes d'information sont appelés à servir la vérité avec courage, pour aider l'opinion publique à regarder et à lire la réalité d'un point de vue évangélique ». « De cette exigence naît votre engagement constant à donner voix à un point de vue qui respecte la pensée catholique dans toutes les questions éthiques et sociales ». (zénit)

    Voir aussi de larges extraits du Message du Pape à l'occasion de cette 45e Journée des  Communications sociales (VIS) et le commentaire qui en est fait sur "Benoit-et-moi"

  • DIEU MERCI

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    logo_dieu_merci.jpgPrésentée par Hadrien Lecoeur, « Dieu merci !» est la première émission religieuse de la TNT. Son but : apporter un regard simple, original et positif sur la foi et les croyants.Figures marquantes ou simples anonymes, artistes, philosophes, aventuriers, historiens, hommes politiques ; tous viennent témoigner sur le plateau de Dieu merci ! de leur engagement spirituel, montrant un visage diversifié, ouvert et décomplexé des croyants.Découvrez chaque semaine des reportages sur le terrain, la chronique littéraire de Guillaume Zeller, des journaux de l’actualité religieuse avec Laure Degouy et les éditos piquants du petit Alexamenos. Un rendez-vous hebdomadaire incontournable pour expliquer, faire partager et aider chacun dans ses propres interrogations.  

    Vendredi dernier l’émission recevait François Foucart sur le thème « Pie XII et le nazisme ». Ancien journaliste à France Inter (1970-2000) où il sera entre autres, pendant 25 ans, chroniqueur judiciaire et informateur religieux (18 voyages avec le Pape Jean-Paul II). François Foucart a également collaboré au Figaro Magazine, à Spectacle du Monde, à Monde et Vie, à Direct 8 et à KTO. Aujourd’hui il collabore à Radio Notre-Dame, à L’Homme Nouveau et à Radio Courtoisie et préside l’association humanitaire des Enfants du Mékong.

     

    Retrouvez la vidéo en ligne de l’émission  sur "Direct8".