Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Médias - Page 209

  • Faire quelque chose d'à peu près rien...

    IMPRIMER

    L'agence Belga n'arrête pas de nous étonner. Ses dépêches sont généralement mal ficelées et, lorsqu'il s'agit de l'Eglise, elles sont d'une partialité confondante. Malheureusement, comment faire lorsque les évènements ne se prêtent pas ou peu à nourrir l'opinion d'informations croustillantes sur le monde ecclésiastique? Et bien, dans ce cas, on fait du bruit pour rien comme le montre une information propagée dans les médias et selon laquelle "Mgr Léonard serait harcelé d'e-mails"! Il se fait qu'ayant eu accès aux plus hautes fonctions dans l'Eglise de ce pays, le prélat ne peut plus répondre à tous ses correspondants comme il le faisait jadis. Il a donc pris une autre adresse e-mail, confiant à ses collaborateurs le soin de gérer sa correspondance électronique; il en a évidemment averti ses correspondants et cela s'arrête là. Un vrai non-évènement pourtant répercuté dans la Libre.be, dans "7 dimanche", etc.

  • Ecoutez Fabrice Hadjadj sur RCF

    IMPRIMER

    rcf_logo_sup.gifLors de son passage à Bruxelles, le 21 février dernier, pour y donner une conférence consacrée au "Paradis pour les nuls", Fabrice Hadjadj a eu l'occasion de rencontrer Véronique Bontemps pour un entretien sur RCF. Cet entretien, consacré à "la profondeur des sexes" est "podcasté" sur RCF et accessible ici :

    25/02/11 Chronique de la vie chrétienne
    avec Fabrice Hadijadj - Présentation : Véronique Bontemps.

    à découvrir ici (tout au bas de la page)
  • "Réponses catholiques"

    IMPRIMER
    Un blog, intitulé "réponses catholiques", est plein de ressources; il est l'oeuvre de l'abbé Hervé Courcelle Labrousse qui présente ainsi son blog :

    "Il y a sur Internet, beaucoup de critiques et de déclarations intempestives sur l’Évangile, l’Église, la foi catholique, le pape. Je souhaite aider, dans la mesure de mes moyens, à apporter quelques réponses aussi simples et justes que possibles.

    Combien de fois, dans la « vraie vie », ai-je rencontré des gens heureux d’entendre une parole non imposée, mais sans faux-semblants ni accommodations faciles, sur ces questions. Le Saint Esprit fera le reste dans le cœur des hommes de bonne volonté."

    On peut ausi poser des questions.

    Jusqu'à présent, des questions telles que : "un catholique peut-il pratiquer le yoga?", "comment prier?", "à quoi sert le pape?", "pourquoi les prêtres ne se marient-ils pas?", etc. ont déjà été traitées.

  • réfléchir aux langages développés par les nouvelles technologies en partant de la Révélation

    IMPRIMER
    Benoît XVI : « Nous sommes appelés à découvrir, y compris dans la culture numérique, des symboles et des métaphores qui peuvent aider à parler du Royaume de Dieu à l’homme contemporain »

    « La pensée et la relation ont toujours lieu selon la modalité du langage entendu naturellement au sens large et non seulement verbal. Le langage n’est pas un simple revêtement interchangeable et provisoire de concepts mais le contexte vivant et palpitant dans lequel les pensées, les inquiétudes et les projets des hommes naissent à la conscience et sont façonnés en gestes, symboles et mots. L’homme non seulement « utilise » mais dans un certain sens « habite » le langage. C’est ce qu’a souligné le Saint-Père Benoît XVI en recevant en audience ce matin les participants à la Plénière du Conseil pontifical pour les Communications sociales qui a lieu à Rome à compter d’aujourd’hui et jusqu’au 3 mars sur le thème « Langage et communication ».

    Lire la suite

  • A voir, sur "Dieu Merci", des émissions intéressantes

    IMPRIMER

    Cliquer sur un des liens suivants :

  • Connaissez-vous CATHOLIENS ?

    IMPRIMER


    Le référenceur des meilleurs sites catholiques francophones

  • Cathobel en remet une couche

    IMPRIMER

    p07_anne_morelli_(600_x_600).jpgPublicité gratuite sur Cathobel, l'agence interdiocésaine d'information religieuse: encore un caucus sur le célibat des prêtres (cliquez ici :  http://www.catho.be/index.php)! C’est dimanche prochain,  27 février, dans l’émission de la RTBF « Et  dieu (avec minuscule évidemment) dans tout cela » de l’animateur Jean-Pol Hecq : avec deux libre-exaministes bon teint : Baudouin Decharneux, directeur du Centre Interdisciplinaire d’Etudes des Religions et de la Laïcité (CIERL) de l’Université Libre de Bruxelles et son adjointe, l’inénarrable Anne Morelli ainsi que l’abbé Eric de Beukelaer, ancien porte-parole du cardinal Danneels, pour jouer le rôle du chrétien de service. En fait, il s’agit d’ une resucée d’un débat organisé par l’ULB au mois de novembre 2010. Sur le même sujet, Cathobel vous invite, en prime, « à ne pas manquer l’édito » du P. Charles Delhez dans l’édition du journal paroissial « Dimanche » qui paraîtra le même jour. Nous avons déjà dit tout le mal que nous en pensions dans ce « post » :Encore le célibat des prêtres et l’ordination sacerdotale des femmes

  • Europe : l’arrivée d’un nouveau front anti-chrétien

    IMPRIMER

    par Marco Respinti, Bussola Quotidiana, 22-02-2011 (merci à la traductrice!)

    Hier (le 21), les ministres des affaires étrangères de l’Union européenne ont approuvé un texte de condamnation vraiment peu courageux. Parmi ceux qui souhaitaient une prise de position plus décisive, on trouve Sophia Kuby, Allemande, Directrice exécutive de l’European Dignity Watch, une ONG née l’année dernière mais déjà très active dans la défense de ceux qu’elle définit statutairement comme « les trois piliers les plus importants de la société : la vie, la famille et les libertés fondamentales ».

    Le document venait à peine d’être rendu public que, pensant aux conditions dans lesquelles un très grand nombre de Chrétiens vivent, vous l’avez qualifié de « faible ». Pourquoi ?

    Parce qu’il est trop générique. De plus, il ne faut pas se préoccuper seulement des persécutions violentes desquelles les Chrétiens sont victimes en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie, mais aussi de celles, croissantes, qui les touchent en Europe même. En effet, la population n’a même pas vent de celles-ci, tandis que n’importe quel geste politiquement incorrect à l’égard d’un musulman provoque immédiatement un énorme scandale dans les médias.  Prenons, par exemple, les récentes attaques dont plusieurs prêtres catholiques ont été la cible en Allemagne, surpris en pleine nuit par des hommes encagoulés qui, parlant avec un accent étranger, les ont tellement battus qu’il a fallu emmener à l’hôpital. La nouvelle a été relayée par les journaux locaux et par quelques titres nationaux seulement, mais, à peine un jour plus tard, elle est tombée dans l’oubli. Imaginez ce qu’il se serait passé si cet incident était arrivé à un Imam…

    Pourquoi les Chrétiens sont-ils persécutés ?

    Permettez que je réponde en me focalisant à nouveau sur le scénario européen, dont s’occupe l’European Dignitiy Watch. En Europe, il existe une persécution « structurale » croissante, qui se traduit par une discrimination croissante des Chrétiens à travers des lois hostiles, des politiques vexatoires et des opinions publiques malveillantes. Nous recensons constamment des exemples de lois qui limitent les libertés fondamentales, tant au niveau européen qu’au niveau national, visant à créer une « justice » majeure mais qui se définit pourtant seulement comme un droit à la non-discrimination. Le critère qui semble guider les institutions communautaires aujourd’hui est donc l’égalité absolue qui rend n’importe quelle différence intrinsèquement illégitime sur le plan moral.  Mais la discrimination est une chose et la différence en est une autre. Je m’explique : pour un Chrétien, le mariage et la famille sont des valeurs centrales.  Dans la perspective chrétienne, le mariage entre un homme et une femme constitue une réalité tellement unique et précieuse qu’elle en devient un sacrement. Pour cette raison, les Chrétiens pensent que cette institution mérite une protection spéciale, un principe du reste intégré dans la plus grande part des constitutions des Etats européens. En résumé, il est naturel que les Chrétiens considèrent le mariage comme étant profondément différent de tout autre type d’union entre individus. Cela signifie-t-il pour autant que les Chrétiens discriminent ceux qui, ne se mariant pas, ne jouissent pas de cette protection particulière ?

    L’Europe est sûrement en train de devenir le théâtre d’une persécution « blanche ». Mais, dan le reste du monde, là où l’on meurt chaque jour au nom du Christ, quelles sont, à votre avis, les situations les plus graves ?

    En Asie et en Afrique particulièrement, l’Islam prend progressivement le contrôle des pays les plus pauvres. Ceci implique de nouvelles vagues de cruautés contre « les autres », comme on a pu le voir en Egypte, en Irak et en Turquie les derniers mois. Dans des pays comme le Nigéria et l’Indonésie, les Chrétiens étaient habitués à vivre leur foi librement, mais, aujourd’hui, ils sont devenus des citoyens de seconde classe, exclus de beaucoup d’activités publiques et leurs vies sont constamment menacées.

    Actuellement, si en Afrique, en Asie ou au Moyen-Orient, il est clair que le danger vient uniquement de l’Islam radical, en Europe, la situation est différente.  En effet, encore que les minorités islamiques soient en train de faire mûrir chez nous aussi une conscience nouvelle qui ne provoque pas peu de problèmes dans les grandes villes et jusque dans les écoles, le problème central du Vieux Continent réside dans l’auto-élimination des valeurs chrétiennes opérée par les classes politiques, par les médias et par les institutions. Rappelons-nous, par exemple, la décision prise par la Cour européenne des Droits de l’Homme à propos de la supposée illégitimité de la présence des crucifix dans les écoles italiennes.  Autre exemple révélateur, le rapport rédigé par le Conseil de l’Europe en octobre au sujet des limites à imposer à l’objection de conscience des médecins et des hôpitaux qui refusent de pratiquer l’avortement. A l’heure qu’il est, l’Union européenne discute de cette directive sur le « principe de parité » qui conférerait à n’importe qui le droit d’accuser qui que ce soit de discrimination sur base d’un sentiment personnel d’ « inégalité ». Dans beaucoup de pays européens, les lois qui punissent l’incitation à la haine interdisent la citation en public de passages de la Bible, comme cela s’est produit il y a peu de temps en Grande-Bretagne. Bref, la liste grandit et, pour cette raison, il est indispensable de revenir à la raison. 

  • Encore le célibat des prêtres et l’ordination sacerdotale des femmes

    IMPRIMER

    00_queston.jpgDans la  livraison en ligne, (à paraître le 27 février) de « Dimanche », le journal hebdomadaire des paroisses francophones de Belgique,  son directeur, le P. Charles Delhez, s.j.  enfourche à nouveau l’un de ses canassons favoris : le célibat des prêtres et l’ordination des femmes. Voici un extrait de sa prose obsessionnelle :

    « (…) Il faut bien distinguer les deux dossiers. L’un est disciplinaire, l’autre théologique.

    «  À propos de l’obligation du célibat, il y a déjà une diversité reconnue à l’intérieur de l’Église catholique. Les églises catholiques orientales – non latines, mais en communion avec Rome – n’ont jamais adopté cette règle. Un homme marié peut donc devenir prêtre, mais un prêtre célibataire ne peut plus se marier. Telle est la règle. Dans l’Église latine, on n’ordonne prêtre que ceux qui font la promesse de rester célibataires. Ne pourrait-on cependant pas imaginer, dans l’Église latine, la même diversité qu’à l’intérieur de l’Église catholique dans son ensemble ? C’est que les Églises locales évoluent bien différemment aujourd’hui. Des réponses adaptées à la situation de chaque pays ou de chaque région du monde serait sans doute heureuses.

    « Tout autre est la question posée par l’ordination des femmes. Elle est théologique. L’Église est-elle tenue par le fait que Jésus n’a choisi comme apôtres – les Douze – que des hommes, alors qu’il était entouré également de femmes ? Elles ont d’ailleurs joué un rôle très important, comme premiers témoins de sa résurrection, par exemple. S’agirait-il d’une donnée culturelle ou d’une volonté divine ?(…) ».

    C’est trop peu dire aux chers paroissiens de « Dimanche » que l’obligation du célibat sacerdotal est simplement disciplinaire. La raison est aussi théologique. Mgr Cabello, Vicaire Régional de la Prélature de l’Opus Dei en Belgique en avait fait la démonstration au Père Delhez, dans la Libre Belgique du 2 décembre dernier :

    « Quels sont les raisons théologiques pour le célibat ?

    Le sacerdoce ministériel est plus qu’un office sacré exercé au service de la communauté. C’est une transformation sacramentelle de la personne du prêtre en celle du Christ. Dans le sacerdoce, la personne est assumée par Dieu au point de pouvoir dire : ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi (Ga 2, 20). On comprend ainsi que le prêtre accepte avec joie de vivre ce célibat dont le Christ est prototype et exemple.

    Benoît XVI a précisé cette idée en rappelant que le centre de la vie des prêtres est la célébration de l’eucharistie. Les paroles de la consécration sont ici centrales : "ceci est mon corps, ceci est mon sang". Le prêtre parle donc in persona Christi. Le Christ l’unit à son "moi". C’est une union au Christ ressuscité, avec la plénitude de vie qui est propre à la résurrection et dont Jésus parle aux Sadducéens (cf. Mt 22). C’est une vie nouvelle dans laquelle le prêtre est déjà au-delà du mariage. Le célibat est donc une anticipation du monde de la résurrection (cf. Osservatore Romano éd. fr., 15-6-10, p. 6).

    En outre, le célibat manifeste de façon excellente la charité pastorale du bon pasteur qui se livre sans réserves au service de son troupeau. Et dans sa tâche pastorale et paternelle, son cœur s’élargit et sa virginité sacerdotale devient féconde.

    Voilà donc, brièvement évoquées, des raisons historiques et théologiques en faveur du célibat sacerdotal. En conclusion : l’ordination d’hommes mûrs mariés (viri probati) ne serait pas contraire à la tradition, mais elle comporterait son lot de graves difficultés pratiques, dont la création de deux classes de prêtres ne serait pas la moindre. Elle rendrait moins transparente l’identification du prêtre avec le Christ et l’empêcherait de vivre une disponibilité totale pour ses fidèles. Et pour vraiment être conforme à la vie de l’Eglise telle que nous l’ont léguée les apôtres, elle exigerait de ces hommes et de leurs épouses une continence totale et perpétuelle. »

    Lors du colloque tenu  sur ce même sujet à Ars du 24 au 26 janvier derniers, le cardinal Mauro Piacenza, nouveau préfet nommé à la tête de la Congrégation romaine pour le Clergé par Benoît XVI, a redit la même chose en d’autres termes  « Il faut dépasser la réduction, si diffuse en certains milieux, du célibat à une simple loi ecclésiastique. C’est une loi pour la seule raison qu’il s’agit d’une exigence du Sacerdoce et de la configuration au Christ opérée par le Sacrement. En ce sens la formation au célibat, en plus de tous les aspects humains et spirituels, doit comporter une solide dimension doctrinale, car on ne peut pas vivre ce dont on n’en comprend pas le motif ! » et il a ajouté plus sévèrement : «  le « débat » sur le célibat qui réapparaît périodiquement au cours des siècles, ne favorise pas la compréhension sereine de la part des jeunes générations à propos d’une donnée aussi déterminante de la vie sacerdotale ».

    S’agissant, en second lieu, des interrogations théologiques du P. Delhez sur la possibilité d’un sacerdoce féminin, ne lui faisons pas l’injure  de le renvoyer  aux motifs exposés dans la Lettre Apostolique «Ordinatio Sacerdotalis  » de Jean-Paul II, laquelle se conclut solennellement comme suit « Afin qu'il ne subsiste aucun doute sur une question de grande importance qui concerne la constitution divine elle-même de l'Église, je déclare, en vertu de ma mission de confirmer mes frères (cf. Lc 22,32), que l'Église n'a en aucune manière le pouvoir de conférer l'ordination sacerdotale à des femmes et que cette position doit être définitivement tenue par tous les fidèles de l'Église (…) » ni à l’article 1378 du code de droit canonique qui précise : «  tant celui qui attente la collation de l’ordre sacré que la femme qui attente la réception de l’ordre sacré, encourent l’excommunication latae sententiae réservée au Siège Apostolique ».

    Sur ce point le débat théologique doit être considéré comme clos dans l’Eglise catholique.
    Il est regrettable que des médias d’Eglise, sauf erreur, y reviennent sans cesse. L’article se trouve ici : Célibat des hommes et ordination des femmes, par P. Charles Delhez

  • EXULTET : 4000 enseignements, conférences et témoignages en ligne

    IMPRIMER

    exultet.gifEn "Audio", eXultet vient de franchir le cap symbolique des 4000 enseignements, conférences et témoignages mis en ligne. Cela représente 6 mois d'écoute 24h/24.

    à découvrir sur le site d'Exultet

    "L'équipe d'eXultet fait un travail considérable pour mettre à la disposition de tout le monde - mais spécialement des jeunes - des enseignements et de la musique qui rafraîchissent l'esprit humain et donnent de l'orientation dans des moments difficiles dans la vie.

    Grâce à eXultet, je peux (re)vivre les moments forts des sessions et des rencontres des diverses communautés catholiques.

    eXultet est la réponse concrête à la quête spirituelle du monde actuel et nous fait entrer avec simplicité dans la communion et le partage avec l'Eglise sans frontière de sensibilité..."
    (témoignage de Fabian, jeune Autrichien étudiant à Rome)