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Spiritualité - Page 458

  • Mère Térésa de Calcutta (5 septembre)

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    Bienheureuse Mère Térésa de Calcutta (Evangile au Quotidien)

    Religieuse et fondatrice des « Missionnaires de la Charité »

    « Par mon sang, je suis albanaise. Par ma nationalité, indienne. Par ma foi, je suis une religieuse catholique. Pour ce qui est de mon appel, j’appartiens au monde. Pour ce qui est de mon cœur, j’appartiens entièrement au Cœur de Jésus. »

    Mère Térésa, de son nom patronymique Anjezë Gonxhe Bojaxhiu, naît le 26 août 1910 à Üsküb, Empire ottoman (actuellement Skopje, Macédoine)

    Cadette de Nikola et Drane Bojaxhiu, famille d’origine albanaise, elle reçut sa première communion à l’âge de cinq ans et demi et fut confirmée en novembre 1916.

    A l'âge de douze ans, Agnès commence à ressentir l'appel de se consacrer à Dieu.

    La vie de mère Térésa comporte alors deux périodes bien tranchées : sa vie dans l'institut de sœurs de Lorette et sa vie dans l'ordre des Missionnaires de la charité.

    A l'âge de dix-huit ans, en 1928, elle entre à l'Institut des « Sœurs de Lorette », en Irlande. En 1929 elle est envoyée à Calcutta. En 1931, après deux années de noviciat, elle fait sa première profession de foi et elle prend le nom de Térésa. Elle enseigne la géographie à l'école Sainte-Marie à Calcutta où elle est nommée directrice en 1944.

    Elle reçoit l'appel de consacrer sa vie aux pauvres des bidonvilles. En 1946, avec le soutien de l'archevêque de Calcutta, elle obtient, du Vénérable Pie XII (Eugenio Pacelli, 1939-1958),  la permission de quitter l'ordre des « Sœurs de Lorette ».

    En 1948, la vie de mère Térésa se transforme ; c’est un tournant dans sa vie. Elle s'installe dans un bidonville (à Taltola, en Inde) avec quelques autres religieuses qui l'ont suivie. Elle fait la fondation des « Missionnaires de la Charité », établie officiellement dans le diocèse de Calcutta en 1950.

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  • Fichermont, 20-21 septembre : samedi Saint-Joseph (Verbe de Vie)

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  • Europe : retrouver l'esprit de Robert Schuman (mort il y a 50 ans)

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    « Il est temps de retrouver l’esprit de Robert Schuman » (COMECE)

    Déclaration du Cardinal Marx à l’occasion du 50e anniversaire de la mort de Robert Schuman

    Nous commémorons aujourd’hui le 50e anniversaire de la mort de Robert Schuman. Une grande page de l’histoire européenne aura été écrite en ce demi-siècle qui a suivi sa disparition. La Paix entre les nations, si souvent ennemies dans le passé, la prospérité dont a bénéficié un nombre sans précédent de citoyens ordinaires et la méthode constructive et coopérative avec laquelle la politique est conduite au sein de la famille des nations en Europe : tout cela est à mettre en grande partie au crédit de la vision de Robert Schuman. L’Union européenne, fruit d’une expérience transnationale de coopération unique initiée par la Déclaration Schuman du 9 mai 1950, a apporté une paix de longue durée à un continent, si souvent marqué par les guerres, et a crée entre les nations un esprit de solidarité, qui a aussi transformé la vie économique et sociale en Europe.

    Pourtant, l’héritage de Robert Schuman est fragile. La crise bancaire de 2008 et la crise économique, si elles ne sont pas traitées en s’appuyant sur les principes que Schuman a établis il y a plus de 60 ans, risquent de compromettre irrémédiablement la réussite que fut jusqu’à présent l’Union européenne. La Paix et la Solidarité, ces objectifs principaux qu’avaient défini le 9 mai 1950 celui que l’Europe considère comme son premier Père fondateur, doivent plus que jamais être poursuivis en 2013, étant donné le grave impact de la crise sur la société européenne dans son ensemble, et particulièrement sur les plus fragiles dans nos sociétés. Le Pape François a plusieurs fois attiré l’attention des décideurs et des citoyens européens sur le véritable drame que constituent les « nouveaux pauvres ».

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  • Un miracle insignifiant ?

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    L'Evangile du jour : Lc 4, 38-44

    En quittant la synagogue, Jésus entra chez Simon. Or, la belle-mère de Simon était oppressée par une forte fièvre, et on implora Jésus en sa faveur. Il se pencha sur elle, interpella vivement la fièvre, et celle-ci quitta la malade. A l'instant même, elle se leva, et elle les servait.

    Au coucher du soleil, tous ceux qui avaient des infirmes atteints de diverses maladies les lui amenèrent. Et Jésus, imposant les mains à chacun d'eux, les guérissait. Des esprits mauvais sortaient de beaucoup d'entre eux en criant : « Tu es le Fils de Dieu ! » Mais Jésus les interpellait vivement et leur interdisait de parler parce qu'ils savaient, eux, qu'il était le Messie.

    Quand il fit jour, il sortit et se retira dans un endroit désert. Les foules le cherchaient ; elles arrivèrent jusqu'à lui, et elles le retenaient pour l'empêcher de les quitter. Mais il leur dit : « Il faut que j'aille aussi dans les autres villes pour leur annoncer la Bonne Nouvelle du règne de Dieu, car c'est pour cela que j'ai été envoyé. »

    Et il se rendait dans les synagogues de Judée pour y proclamer la Bonne Nouvelle.

    l'homélie du Père Joseph-Marie Verlinde (homélies.fr - archive 2007)

    La guérison de la belle-mère de Pierre, que Jésus relève de sa fièvre, voilà un miracle en apparence bien insignifiant ; au point qu’on est enclin à se demander pourquoi saint Luc en fait mention ? Notre étonnement grandit encore lorsque nous découvrons qu’il s’agit du tout premier miracle relaté dans le troisième évangile ! Dans la logique narrative, il devrait donc avoir une valeur paradigmatique et orienter l’interprétation de tous les miracles qui vont suivre. Bref, les deux versets qui introduisent l’Évangile de ce jour, méritent toute notre attention.

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  • Le mystérieux visage de Sierck-les-Bains

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    Décidément, il continue à faire parler de lui. Qui ? Quoi ? Le mystérieux visage du Christ de Sierck-les-Bains.

    ci-contre : Photo prise par Jean-Pierre Snyers le 24 mais 2013 (cliquer sur la photo pour l'agrandir)

    Encore hier, sur internet, je suis tombé sur un article de « France bleu » datant du 7 août dernier. Sous le titre : « Une découverte toujours inexpliquée », on lit : « Ce qui est surprenant, mystérieux, c'est que le visage du Christ n'a pas disparu. Ni les aléas climatiques, ni l'usure n'ont altéré cette image apparue il y a 28 ans sur ce mur défraîchi du centre ville ». Pour ne rien vous cacher, je suis allé trois fois dans cette localité située à un jet de pierre des frontières allemandes et luxembourgeoises (aujourd'hui surnommée le « Lourdes » de la Moselle). J'y ai rencontré

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  • BXL 19 septembre : rentrée académique à l'Institut Sophia

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    Communiqué :

    Investir dans une formation solide pour fonder sa vie en Christ

    Bonjour !

    La rentrée académique de l'année Sophia est fixée au jeudi 19 septembre 2013.


    Pour les  jeunes qui souhaitent poser leur candidature pour cette année
    c'est encore possible !

    Voici le contact pour rencontrer les responsables de l'année de formation :

    institutsophia@yahoo.fr  -Tél: +32 ( 0 ) 477 042 367

    Nous ne manquerons pas de vous tenir informés de l'ensemble des activités de l'Institut Sophia.

    Belle rentrée!

    P.S. Les jeunes du Kot SOPHIA sur "You TUBE" =  ICI

  • Le témoignage d'un pèlerin à Lourdes

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    LOURDES.

    Lourdes, aujourd’hui comme hier et demain : le valide côtoie celui qui l’est moins. L’heureux aide celui qui le paraît de manière plus discrète, à moins que ce ne soit l’inverse.

    Le handicapé descend dans la rue !

    Son poing est-il levé ? Que revendique-t-il ? Rien, si ce n’est l’espérance, l’espoir d’un miracle ou à tout le moins d’une reconnaissance.

    Pas besoin de violence, pas besoin de slogan : un consensus général règne sur la ville. Il nous vient de sainte Bernadette, de la Vierge, de Dieu, de l’Eglise.

    Le regard interrogatif, craintif, agressif ou rempli de pitié du « normal », du « valide » ne pèse plus sur l’utilisateur de la chaise roulante : le malchanceux fait partie intégrante du décor, la différence s’estompe dans les faits, dans les gestes, mais surtout dans le regard des autres.

    La solidarité est présente. La joie est présente.

    Lourdes est la capitale mondiale de la tolérance, du véritable droit à la différence.

    Que ces mots sont aujourd’hui galvaudés, au point d’en devenir des poncifs d’une pensée unique détestable.

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  • Les intentions de prière du pape pour septembre 2013

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    Intention de prière universelle : La valeur du silence

    Pour que les hommes de notre temps, souvent submergés par le bruit, redécouvrent la valeur du silence et sachent écouter la voix de Dieu et de leurs frères.

    Intention de prière pour l'évangélisation : Les chrétiens persécutés

    Pour que les chrétiens persécutés puissent être témoins de l'amour du Christ.

    Le Père Frédéric Fornos, coordinateur européen de l’Apostolat de la prière, commente pour Zenit le défi du silence. Celui concernant « les chrétiens persécutés » est traité dans le webmagazine « Prier au cœur du monde » dans la rubrique « Dernière minute »  http://www.apostolat-priere.org/index.php/derniere-minute.html

    S'éveiller au silence pour écouter

    Bruit ! Voitures, haut-parleurs dans la rue, télévision ou radio dans les maisons, machines, appareils électroniques partout, nous vivons noyés dans le bruit. Celui qui s’entend. Mais bruit aussi des images, des messages écrits, reçus, transmis en continu. Bruit subi, mais aussi bruit choisi. Or le silence nous décolle de nous-mêmes et ouvre l’oreille de notre cœur ; nous en avons besoin, autant que d’oxygène.

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  • Roberto de Mattei : « Sint ut sunt aut non sint »…

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    Lu sur le site « Riposte Catholique » (extraits) :

    En relation avec la douloureuse question des Franciscains de l’Immaculée (voir ici : Liturgie de la messe : François en contradiction avec Benoît XVI ?), le professeur Robert de Mattei va faire paraître dans la prochaine livraison de l’édition en français du mensuel Correspondance Européenne (10 septembre), un remarquable texte de controverse. Très hardi et très intéressant… Nous avons obtenu de l’éditeur, que nous remercions, la permission de le reproduire ici en avant-première… Bonne lecture ! À noter que la traduction en français de l’ouvrage fondamental du professeur de Mattei,Vatican II. Une histoire à écrire, vient de paraître aux Éditions Muller. Une formidable contribution d’un grand historien de l’Église à notre compréhension du dernier en date des conciles œcuméniques (…) :

    « Un pape franciscain, Clément XIV, supprima les Jésuites en 1773. Le Pape jésuite François sera-t-il celui qui supprimera ou, pire encore, “réformera”, un Institut franciscain en 2013 ? Les Franciscains de l’Immaculée n’ont pas le passé glorieux des Jésuites mais leur cas présente quelque analogie avec celui de la Compagnie de saint Ignace et représente surtout une expression symptomatique de la profonde crise dans laquelle se débat aujourd’hui l’Église catholique... 

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  • Bois-Seigneur-Isaac (Ophain) : le monastère Saint-Charbel vous invite à son jubilé

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    Les moines libanais maronites ont la joie de vous inviter, à l’occasion de l’ouverture de l’année jubilaire de la Grande Procession à Bois-Seigneur-Isaac (1414 – 2014), à participer à cette grande fête eucharistique,

    le dimanche 15 septembre 2013.

    La messe d’ouverture de notre jubilé, sera présidée par son Excellence Mgr. Jean-Luc HUDSYN à 10h30 et suivie de la procession dans les rues de Bois-Seigneur-Isaac

    Nous avons la joie de vous inviter à participer à la fête de St Charbel 2013

    Du 1 oct  jusqu’au  9 oct à 17h30: Neuvaine à St. Charbel

    • Mardi 1 octobre 

    - 18h00: Messe

    - 20h00: Film sur St. Charbel (le grand miracle)

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  • Serviteur mauvais et paresseux...

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    L'Evangile de ce dimanche (Mt 25, 14-30) nous interpelle directement : 

    Jésus parlait à ses disciples de sa venue ; il disait cette parabole : « Un homme qui partait en voyage appela ses serviteurs et leur confia ses biens. A l'un il donna une somme de cinq talents, à un autre deux talents, au troisième un seul, à chacun selon ses capacités. Puis il partit. Aussitôt, celui qui avait reçu cinq talents s'occupa de les faire valoir et en gagna cinq autres. De même, celui qui avait reçu deux talents en gagna deux autres. Mais celui qui n'en avait reçu qu'un creusa la terre et enfouit l'argent de son maître. 

    « Longtemps après, leur maître revient et il leur demande des comptes. Celui qui avait reçu les cinq talents s'avança en apportant cinq autres talents et dit : 'Seigneur, tu m'as confié cinq talents ; voilà, j'en ai gagné cinq autres. — Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t'en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton maître.' Celui qui avait reçu deux talents s'avança ensuite et dit : 'Seigneur, tu m'as confié deux talents ; voilà, j'en ai gagné deux autres. — Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t'en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton maître.'

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  • L'inquiétude de l'amour

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    (source) Le pape a célébré la messe d’ouverture du 184e Chapitre général de l'Ordre de Saint-Augustin, avant-hier, 28 août 2013, pour la fête de saint Augustin, en la basilique de Rome dédiée au saint évêque d’Hippone.

    Au cours de son homélie, il a exhorté à ne pas être des chrétiens « endormis » mais à garder « l’inquiétude spirituelle de la recherche de la vérité, de la recherche de Dieu » et « l’inquiétude de l’amour » qui recherche « toujours, sans répit, le bien de l’autre, de la personne aimée ».

    "Tu nous as fait pour Toi et notre cœur est sans repos tant qu’il ne repose en Toi" (Les Confessions, I,1,1). Dans ces paroles, devenues célèbres, avec lesquelles saint Augustin d’adresse à Dieu dans les Confessions, est exprimée la synthèse de toute sa vie.

    "Sans repos / Inquiétude". Cette parole me touche et me fait réfléchir. Je voudrais partir d’une question : quelle inquiétude fondamentale Augustin vit-il dans sa vie ? Ou peut-être devrait-je dire: quelles inquiétudes est-ce que ce grand homme et saint nous invite à susciter et à maintenir vives dans notre vie ? J’en propose trois : l’inquiétude de la recherche spirituelle, l’inquiétude de la rencontre avec Dieu, l’inquiétude de l’amour.

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