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Spiritualité - Page 455

  • S'il te plaît, Maman, parle-moi de l'amour

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    Sans titre.pngS´il te plaît, Maman,

    parle-moi de l´amour

    de Inès PELISSIE DU RAUSAS,

    aux Editions Saint-Paul,

    novembre 2013,

    103 pages, 12€ 

    Résumé :

    L’adolescence approche... La « pré-adolescente » est votre fille de 9-13 ans, plus tout à fait enfant et pas encore devenue femme, soumise déjà à une forte pression. Elle est assaillie de questions. Le corps, ça sert à faire des expériences ? Mais alors, l’amour, « c’est crade » ? Et l’enfant, c’est un risque ? Comment vivra-t-elle les transformations de son corps qui annoncent sa puberté ? Comment s’identifier à son sexe, se préparer à sa vie de femme ?
    Comment s’aimer elle-même en étant bien dans sa peau ? « Pourtant, je rêve dans mon cœur d’aimer et d’avoir, un jour, un enfant... C’est quoi, devenir une femme ? Est-ce que je dois être prête à tout pour être populaire ? » 

    La pré-adolescente se découvre fragile et incertaine devant ce corps qui change. Pour s’accepter, pour se projeter dans l’avenir avec confiance, il lui faut découvrir assez tôt la beauté de son corps et la valeur de sa féminité, écouter les désirs de son cœur. Cet enjeu est vital pour elle. Elle a besoin de notre aide. 

    L’auteur invite les mères à ouvrir un dialogue avec leur fille de 9 à 13 ans. Elle propose trois conversations adaptées à l’évolution de l’enfant. Un guide empli de conseils pour l’éducateur, un parcours qui invite l’enfant à réfléchir par elle-même, face à son contexte (internet, clips des pop-stars, relations filles-garçons au collège, cours de SVT, expériences sexuelles précoces...) pour l’aider à grandir en déjouant les pièges contre l’amour. Un parcours qui vise à humaniser la sexualité, à la ré-enchanter !  

    L’auteur  
    Inès Pélissié DU RAUSAS est mariée et mère de cinq enfants. Elle est Docteur en philosophie et conférencière ; elle a publié La pudeur, le désir et l’amour (éditions des Béatitudes, 1996), et S’il te plaît, parle-moi de l’amour ! (éducation affective et sexuelle de l’enfant de 3 à 12 ans, éditions Saint-Paul, 2000), constamment réimprimé depuis. Ce nouvel ouvrage se situe dans la continuité du précédent, à destination des pré-adolescentes, de leurs mères et éducateurs. 
  • François : n'ayons pas peur du jugement final; nous ne serons pas laissés seuls

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    De Radio Vatican :

    Belle journée hivernale, ensoleillée mais froide, pour l’audience générale de ce mercredi. Le Pape François n’avait donc pas oublié de bien se couvrir, et notamment d’une écharpe, alors que pour la première fois, c’est une jeep couverte d’un toit de verre qu’il utilisait pour faire le tour de la Place Saint-Pierre avant de s’installer pour l’audience. Un périple au milieu des quelques 30.000 pèlerins et touristes venus pour l’occasion. Applaudissements, pancartes à son effigie ou avec son nom, pour autant d’expressions d’affection envers le Pape. Mais aussi des appels lancés haut et fort à son passage, concernant notamment la crise économique et sociale. « Saint-Père, a crié quelqu’un, nous avons besoin de travail, dites-le aux responsables politiques ».

    Du V.I.S. : 

    Le Pape François a consacré la catéchèse de l'audience générale au dernier article du Credo relatif à la vie éternelle et au jugement dernier: "Lorsque nous pensons au retour du Christ pour le jugement dernier, qui sanctionnera définitivement les bonnes actions et les omissions de nos vies, nous savons être en présence d'un mystère suprême que nous ne pouvons pas même imaginer. Instinctivement, ce mystère nous fait peur, nous angoisse, alors que si on y réfléchit il ne peut que réjouir le coeur du chrétien et susciter un sentiment de consolation et de confiance". Puis il a expliqué que le témoignage des premières communautés chrétiennes est intéressant car elles accompagnaient leurs prières de l'acclamation Maranatha, une sorte de supplique signifiant Viens Seigneur!". C'était une certitude alimentée par la foi: Oui le Seigneur vient, il est proche. Dans cette formule est condensée la Révélation. Au final de son Apocalypse, Jean montre l'Eglise épouse qui s'adresse à son époux Jésus, qu'elle ne voit pas "alors qu'elle va être enveloppée de sa plénitude de vie et d'amour. Si nous envisageons le jugement dernier dans cette perspective, toute peur, tout doute s'efface pour faire place à une joie profonde. Car c'est alors que nous serons jugés et pourrons être revêtus de la gloire du Christ". La confiance du chrétien vient aussi de la certitude de ne pas être seul et abandonné au moment du jugement. Le Christ sera notre avocat auprès du Père et nous pourrons compter sur la bienveillance de tant de nos prédécesseurs dans la foi...qui continuent de nous aimer d'une façon indicible. Les saints vivent auprès de Dieu et, dans la splendeur de sa gloire, prient pour nous qui sommes encore sur terre". L'Evangile de Jean rappelle que le Christ a été envoyé par le Père non pour condamner le monde mais pour qu'il soit sauvé à travers son sacrifice. "Cela signifie que le jugement est commencé, ici bas. Le jugement est prononcé à chaque instant de notre vie, à l'épreuve de la manière dont nous percevons la foi dans le salut qu'opère le Christ, ou de notre incrédulité découlant de notre repli en nous mêmes. Le salut c'est s'ouvrir à Jésus. Tous nous sommes pécheurs et il nous pardonne. Il faut donc s'ouvrir à l'amour du Seigneur qui dépasse toute chose. S'ouvrir signifie se repentir du bien que nous n'avons pas fait... Le Seigneur s'est offert et continue de s'offrir et de nous combler de la grâce et de la miséricorde du Père. D'une certaine manière nous sommes nous mêmes nos juges. Nous nous condamnons à l'exclusion de la communion avec Dieu et nos frères... Ne cessons donc pas de veiller sur nos pensées et nos actes afin de goûter dès maintenant la splendeur de Dieu que nous contemplerons pleinement dans la vie éternelle".

    Et voici le texte adressé aux pèlerins de langue française :

    « Chers Frères et sœurs, lorsque nous pensons au retour du Seigneur et au jugement final, nous nous trouvons face à un mystère qui nous dépasse. N’ayons aucune peur, car ce sera le moment où nous serons jugés prêts à être revêtus de la gloire du Christ et à être conduits à la pleine communion avec Dieu. Nous ne serons pas laissés seuls. Jésus nous dit qu’à la fin des temps, ceux qui l’auront suivi prendront place dans sa gloire pour juger avec lui. Il est beau de savoir qu’en plus du Christ, nous pourrons compter sur l’intercession et la bienveillance de nombreux frères et sœurs qui nous ont précédés sur le chemin de la foi. Enfin, nous savons aussi que le jugement est déjà en acte dans le cours de notre existence, mettant en jeu notre responsabilité, comme réponse à notre accueil du salut ou à notre incrédulité et à notre fermeture sur nous-mêmes.»

  • Notre-Dame de Lorette (10 décembre)

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    Le 4 octobre 2012, Benoît XVI célèbrait la messe au sanctuaire de Lorette. Il y prononçait cette homélie :

     ... ici à Lorette, nous avons l’opportunité de nous mettre à l’école de Marie, de celle qui a été proclamée bienheureuse parce qu’elle a cru (Lc 1, 45).Ce sanctuaire, construit autour de sa maison terrestre, abrite la mémoire du moment où l’Ange du Seigneur est venu à Marie avec la grande annonce de l’Incarnation, et où elle a donné sa réponse. Cette humble habitation est un témoignage concret et tangible du plus grand évènement de notre histoire : l’Incarnation, le Verbe qui se fait chair, et Marie, la servante du Seigneur est la voie privilégiée par laquelle Dieu est venu habiter parmi nous (cf Jn 1, 14). Marie a offert sa propre chair, s’est mise tout entière à disposition de la volonté de Dieu, devenant un « lieu » de sa présence, « lieu » dans lequel demeure le Fils de Dieu. Ici, nous pouvons rappeler la parole du Psaume par laquelle, d’après la Lettre aux Hébreux, le Christ a commencé sa vie terrestre en disant au Père : « Tu n'as voulu ni sacrifice ni offrande, Mais tu m'as formé un corps… Alors j'ai dit : Voici, je viens pour faire, ô Dieu, ta volonté » (10, 5.7). Marie prononce des paroles similaires devant l’Ange qui lui révèle le plan de Dieu sur elle : « Je suis la servante du Seigneur, qu’il me soit fait selon ta parole » (Lc 1, 38). La volonté de Marie coïncide avec la volonté du Fils dans l’unique projet d’amour du Père, et en elle, s’unissent le ciel et la terre, le Dieu créateur et sa créature. Dieu devient homme, et Marie se fait « maison vivante » du Seigneur, temple où habite le Très-Haut. Ici à Lorette, il y a cinquante ans, le Bienheureux Jean XXIII invitait à contempler ce mystère, à « réfléchir sur ce lien entre le ciel et la terre, qui est l’objectif de l’Incarnation et de la Rédemption », et il continuait en affirmant que le Concile avait pour but d’étendre toujours plus les bienfaits de l’Incarnation et la Rédemption du Christ à toutes les formes de la vie sociale (cf. AAS54, (1962), 724). C’est une invitation qui résonne encore aujourd’hui avec une force particulière. Dans la crise actuelle, qui ne concerne pas seulement l’économie, mais plusieurs secteurs de la société. L’Incarnation du Fils de Dieu nous dit combien l’homme est important pour Dieu et Dieu pour l’homme. Sans Dieu, l’homme finit par faire prévaloir son propre égoïsme sur la solidarité et sur l’amour, les choses matérielles sur les valeurs, l’avoir sur l’être. Il faut revenir à Dieu pour que l’homme redevienne homme. Avec Dieu, même dans les moments difficiles, de crise, apparait un horizon d’espérance : l’Incarnation nous dit que nous ne sommes jamais seuls, que Dieu entre dans notre humanité et nous accompagne.

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  • Le pape François, dévot de l'Immaculée

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    Rome, 8 décembre 2013 (Zenit.org)

    « Le Seigneur vient ! Attendons-le ! »,  a exhorté le pape François avant la prière de l’angélus, méditant sur la beauté de la Vierge Marie, l’Immaculée en disant : « Elle nous enseigne à vivre ce temps de l’Avent dans l’attente du Seigneur ».

    Le pape a invité la foule à invoquer avec lui trois fois le qualificatif biblique donné par l’Ange à la Vierge Marie dans l’Evangile de l’Annonciation: « pleine de grâce », ou, dans la traduction liturgique de la bible, « comblée-de-grâce ».

    Paroles du pape François avant l’angélus

    Chers frères et sœurs, bonjour,

    Ce deuxième dimanche de l’Avent tombe le jour de la fête de l’Immaculée Conception de Marie, et alors notre regard est attiré par la beauté de la Mère de Jésus, notre Mère ! C’est avec une grande joie que l’Eglise la contemple « pleine de grâce » (Lc 1, 28), et, en commençant par ces mots, nous la saluons tous ensemble : « Pleine de grâce ». Disons trois fois : « Pleine de grâce ! » Tous : « Pleine de grâce ! Pleine de grâce ! Pleine de grâce ! » Et ainsi, Dieu l’a regardée dès le premier instant de son dessein d’amour. Il l’a regardée, belle, pleine de grâce. Elle est belle, notre Mère ! Marie nous soutient sur notre chemin vers Noël, parce qu’elle nous enseigne à vivre ce temps de l’Avent dans l’attente du Seigneur. Parce que ce temps de l’Avent est une attente du Seigneur, qui viendra tous nous visiter lors de la fête, mais aussi, chacun, dans notre cœur. Le Seigneur vient ! Attendons-le !

    L’Evangile de saint Luc nous présente Marie, une jeune-fille de Nazareth, petite localité de Galilée, à la périphérie de l’empire romain, et aussi à la périphérie d’Israël. Un petit village. Et pourtant, c’est sur elle, cette jeune-fille de ce petit village lointain, sur elle, que s’est posé le regard du Seigneur, qui l’a choisie pour être la mère de son Fils. En vue de cette maternité, Marie a été préservée du péché originel, c’est-à-dire de cette fracture dans la communion avec Dieu, avec les autres et avec la création qui blesse en profondeur tout être humain. Mais cette fracture a été guérie à l’avance dans la Mère de Celui qui est venu nous libérer de l’esclavage du péché. L’Immaculée est inscrite dans le dessein de Dieu ; elle est le fruit de l’amour de Dieu qui sauve le monde. »

    Et la Madone ne s’est jamais éloignée de cet amour : toute sa vie, tout son être est un « oui » à cet amour, est un « oui » à Dieu. Mais certainement, cela n’a pas été facile pour elle ! Quand l’Ange l’appelle « pleine de grâce » (Lc 1, 28), elle en est « toute bouleversée », parce que, dans son humilité, elle se sent comme un rien devant Dieu. L’Angle la réconforte : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir un fils (…) et tu lui donneras le nom de Jésus » (v. 30). Cette annonce la bouleverse encore plus, aussi parce qu’elle n’était pas encore mariée avec Joseph ; mais l’Ange ajoute : « L'Esprit Saint viendra sur toi (…), c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, et il sera appelé Fils de Dieu » (v. 35). Marie écoute, obéit intérieurement et répond : « Voici la servante du Seigneur ; que tout se passe pour moi selon ta parole» (v. 38).

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  • La communion des divorcés remariés

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    De Patrick Kéchichian, écrivain et journaliste, dans le journal « La Croix » (extraits) :

    « La question de l’accès au sacrement de l’Eucharistie pour les divorcés remariés revient régulièrement et bruyamment sur le devant de la scène. La blessure et la frustration subjectivement ressenties par certains fidèles – dont ce n’est évidemment pas la sincérité qui doit être mise en doute – se transforment alors en plainte, et la plainte en revendication. Puis le ton monte. On n’écoute plus, tant il devient urgent de parler soi-même. On oublie de penser sa foi, on se contente de l’éprouver comme un sentiment – un sentiment qui, dès lors, commande la pensée. (…)

    Tout jugement qui veut s’approcher de la vérité doit s’élever de la sphère de l’opinion à celle de la pensée. Or, il faut aller sans attendre au noyau de la question, appeler un chat un chat et un sacrement un sacrement. Que désigne ce mot ? Un rapport étroit, indissoluble justement, entre, d’une part, un geste, une parole liturgiques et, d’autre part, l’économie du salut, contenue et exprimée dans la Révélation biblique. À la lumière de ce rapport, nos vies se déroulent, dans la solitude et le partage, dans les difficultés, les tourments et les joies, les promesses et les ruptures. Les sacrements, ici ceux du Mariage et de l’Eucharistie, n’ont pas vocation à se mettre sous la dépendance de ces difficultés, ou à se définir par rapport à elles.

    En d’autres termes, devant l’autel et devant Dieu, un sacrement reçu l’est absolument. Hors de cette absolue réception, le sens du sacrement tombe, ou au moins s’étiole. À ce sens complexe et dûment réfléchi, on a donc tort d’opposer un droit personnel revendiqué par une conscience propre qui n’est pas juge en la matière, conformément au principe bien connu qui stipule que « personne n’est juge en sa propre cause ». Comme le souligne Mgr Müller, invoquer ici ce droit au nom de la miséricorde divine est une manière de réduire et d’instrumentaliser cet attribut de Dieu, inséparable de sa justice et de sa sainteté. L’expérience vécue n’a pas à entrer en concurrence avec la nature objective de l’acte sacramentaire. Elle n’a pas à lui dicter sa loi.

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  • Plain-chant à Liège: trois séminaires avec Marcel Pérès

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    Le plain chant vous intéresse ? Voici une offre de trois week-ends organisés par l’Académie de Chant grégorien ( http://www.gregorien.be) à l’Abbaye bénédictine de la Paix Notre-Dame à Liège (Bd d’Avroy, 52) :

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    → Avec Marcel PÉRÈS, directeur de l’Ensemble vocal « Organum » et du CIRMA (Centre Itinérant de Recherche sur les Musiques Anciennes), trois séminaires thématiques : le chant vieux romain, du 20 au 22 décembre 2013 ; la notation neumatique carrée, du 10 au 12 janvier 2014 ; le plain chant médiéval entre Meuse et Rhin, du 7 au 9 mars 2014 .Plus de détails :

     Ici  L’Académie de Chant grégorien rouvre ses portes à Liège

     ou là : Trois séminaires à Liège avec Marcel Pérès. 

     Renseignements et inscriptions : secrétariat de l’académie à Liège : Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42/7, B-4020 Liège. Tél. 04.344.10.89 (en cas d’absence : tél. portable 0498.33.46.94 de Ghislain Lahaye). Courriel :jpschyns@skynet.be. On peut aussi s’inscrire ici : Inscription en ligne 

  • Ancien rite et nouveaux horaires pour l’abbaye de Wisques (Nord-Pas-de-Calais)

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    L’abbaye bénédictine Saint-Paul de Wisques (près de Saint-Omer, dans le Nord-Pas-de-Calais, a été reprise au mois d’octobre par les moines de l’abbaye Notre-Dame de Fontgombault.

    L’arrivée de treize frères venus de Fontgombault s’accompagne du départ de huit moines sur quatorze de Saint-Paul de Wisques dans plusieurs monastères de la famille de Solesmes à Ligugé dans la Vienne, Saint-Wandrille et Croixrault en Normandie, La Source à Paris, Keur Moussa au Sénégal ou Solesmes même, dans la Sarthe.

    Quelques informations pratiques pour les visiteurs et retraitants :

    Adresse :

    exergue-abbaye.jpgAbbaye Saint Paul de Wisques
    Rue de l’école
    62219 Wisques
    France 
    Tél. : 03 21 12 28 50

    Hotellerie

    Vous éprouvez le besoin de vous arrêter un peu pour réfléchir, prendre une décision, aller à la rencontre du Seigneur qui vous attend…?

    Vous cherchez un lieu de silence et de recueillement ?
    Vous souhaitez partager, avec la communauté la prière liturgique de l’Église ?

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  • Croyez-vous que le Christ est vivant, qu'Il vit, qu'Il nous ressuscitera tous ?

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    Le pape François amène la foule à proclamer sa foi

    Source : Famille Chrétienne - Sybille d'Oiron

    Le Saint-Père a commenté lors de l’audience générale de ce mercredi la résurrection de la chair. Avec entrain, il a suscité une proclamation de la foi par la foule qu’il venait de longuement visiter, comme chaque semaine.

    Elle ne désemplit pas, cette place Saint-Pierre ! Pour l’audience générale du mercredi 4 décembre, le soleil qui paraît au-dessus de la colonnade y trouve réunie une foule nombreuse, chaque semaine un peu plus emmitouflée.

    C’est en la bénissant que le pape la parcourt, et les gardes du corps ont désormais l’habitude de se voir confier les poupons encapuchonnés. Longuement, lentement, se penchant de sa papamobile pour ici serrer une main, là glisser sur toutes celles tendues par un groupe de jeunes et, fréquemment, s’arrêter pour embrasser un enfant, le pape consacre la majeure partie de ce rendez-vous hebdomadaire à la chaleur de ces échanges incarnés. Avec, visiblement, un plaisir partagé. Puis il rejoint l’estrade centrale qui lui est destinée.

    Dans l’Évangile du jour (Jn 11, 25-26), le Christ dit : « Je suis la Résurrection et la vie. Qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ». Depuis plusieurs semaines, le Saint-Père saisit l’occasion de ces audiences pour délivrer une catéchèse sur le Credo. Ce mercredi sera donc consacré à la résurrection de la chair, commentée brièvement et, selon son usage, en trois points.

    L’espérance, pour illuminer notre histoire

    « Ce n’est pas une vérité simple, commence-t-il par reconnaître. Alors que nous sommes immergés dans ce monde, il n’est facile de comprendre la réalité future. Mais l’Évangile nous illumine : notre résurrection est liée à celle de Jésus. C’est parce que Lui est ressuscité que nous pourrons ressusciter.

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  • A la venue de Noël...

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    ... chacun se doit bien réjouir, car c'est un testament nouvel que tout le monde doit tenir (comptine provençale).

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    Pierre Matot a débuté sa carrière comme professeur d’orgue, d’harmonie et de solfège au conservatoire de Huy. Il fut ensuite chargé de cours d’orgue et professeur d’harmonie au conservatoire royal de Liège et termina sa carrière d’enseignant comme directeur de l’Académie Grétry à Liège. Ses récitals d’orgue l’ont conduit dans plusieurs pays d’Europe, aux Etats-Unis et au Mexique. Notamment associé au corniste Francis Orval, au violoniste Michel Leclerc, à la mezzo Cécile Leleux, il participa aussi à plusieurs concerts donné par l’orchestre philharmonique de Liège.

    Au programme de son récital :  kyrie anonyme (XIVe s.), œuvres de Conrad Paumann (XVe s.),Thomas de Santa Maria, Antonio de Cabezon et trois anonymes (XVIe s.), Johann Pachelbel (XVIIe s.), Jean-Sébastien Bach et Wolfgang-Amadeus Mozart (XVIIIe s.) et César Franck (XIXe s.).

    L’orgue de l’église du Saint-Sacrement est un instrument reconstitué et harmonisé à l’ancienne en 1983 par le facteur d’orgue André Thomas (Ster-Francorchamps), à partir des vestiges de l’orgue de Sibret, près de Bastogne. Il servit jusqu’en 1995 à la chapelle Saint-Lambert (XVIIIe s.) à Verviers, avant d’être racheté pour l’église du Saint-Sacrement à Liège (édifice achevé en 1766).

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    NOËLS A L'ORGUE

    Eglise du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132), samedi 7 décembre 2013, 11 heures. Entrée libre. Apéritif offert à l’issue du concert, dans les locaux attenant à l’église.

     JPSC

  • BD : la vie de Benoît Labre, prix 2014 de la bande dessinée d'Angoulême

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    2014-01_bd_quelques_ecorces-c15c1.jpgLu ICI :

    Le prix international 2014 de la bande dessinée chrétienne d'Angoulême est décerné à l’album :

    « Quelques écorces d’orange amère : une vie de Benoit Labre »

    Scénario Christophe Hadevis - Dessin d’Erwan Le Saëc - Couleur Tatiana Domas

    Éditions de l’Emmanuel

    Parmi les 9 albums sélectionnés, le jury de la bande dessinée chrétienne d’Angoulême, réuni à la Conférence des Evêques de France à Paris le mercredi 27 novembre 2013, sous la présidence du Père Michel Manguy, vicaire épiscopal curé doyen à Angoulême, a choisi de primer l’album :

    « Quelques écorces d’orange amère : Une vie de Benoit Labre »

    Le jury a apprécié le graphisme et plus particulièrement la dominante des couleurs qui parlent d’elles-même et illustrent la tonalité de l’existence de Benoit Labre. Une histoire qui sort des sentiers battus traditionnels. Celle d’un homme qui vit un total abandon à Dieu. Qui va de lieux en lieux comme un type paumé et dans cette errance spirituelle sa seule accroche est Dieu. Il y avait ses détracteurs, des gens qui le traitaient de fou et tous ceux qui ont découvert qu’il y avait un homme extraordinaire derrière ce vagabond.

    C’est tout à fait dans le ton de ce que nous dit l’Eglise à travers le pape François et son regard sur le pauvre. Nous venons de vivre la démarche Diaconia autour du frère, des exclus et des démunis et cette bande dessinée donne une tonalité à notre regard sur l’être humain sa pauvreté, sa désespérance et comment Dieu est présent dans l’être humain en toutes circonstances.

    plus de détails : http://angouleme.catholique.fr/Quelques-ecorces-d-orange-amere

  • Avent : faire retraite sur le web

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    Différentes propositions :

    cfr : http://info.catho.be/2013/11/28/ces-cyber-retraites-qui-vous-font-vivre-lavent-autrement/#.UpsuqsRWySo

     

    1. Vers la lumière : Retraite de l'Avent « Notre Dame du Web

      www.ndweb.org/2013/11/retraite-avent-2013/
       
      21 nov. 2013 - Vers la lumière : Retraite de l'Avent. flier avent 2013 v2. 8 propositions s'articuleront autour de chaque semaine : un édito donnant la tonalité ...
      1. Retraite dans la Ville

        www.retraitedanslaville.org/
         
        Le cœur de Retraite dans la Ville est le couvent des frères dominicains de ... Aventdans la Ville ... Approfondissez votre foi sur la web tv du Jour du Seigneur.
        1. Retraite en ligne | Province de Paris des Carmes Déchaux

          www.carmes-paris.org/retraite-en-ligne/
           
          Pour vivre l'Avent 2013, la Province des Carmes de Paris vous propose une retraiteavec Élisabeth de la Trinité, carmélite béatifiée en 1984 par Jean-Paul II et  ...
        2. Retraites en ligne avec les Fraternités de Jérusalem | Facebook

          https://www.facebook.com/retraitesavecjerusalem
           
          Depuis 2007, les Fraternités de Jérusalem proposent sur leur site de vivre des ... Bien sûr, rien ne remplace une «vraie» retraite avec ce que cela implique de mise à ...L'homélie de la Solennité de Toussaint 2013 à Saint-Gervais, par frère  ...
          1. Cyber retraite Avent - Notre Dame du Cénacle

            www.ndcenacle.org/page-1105.html
             
            La structure de cette cyber-retraite repose sur : ... La cyber-retraite de l'Avent de Notre Dame du Web aide chaque année plus de 8.000 ... 2013-01-ouganda  ...
          2. Et aussi : "Monastère Invisible" http://www.monastere-invisible.com/enseignement.php
  • Apparitions mariales : mythe ou réalité

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    Notre ami Jean-Pierre Snyers recense ici le livre de Louis Mathoux intitulé "Apparitions mariales : mythe ou réalité ?" (éditions Mols, 192 pages, 19,8 €)

    Bon ; commençons par la conclusion. Dans les dernières pages de son dernier livre, intitulé « Apparitions mariales : mythe ou réalité ? » (Ed Mols, 2013) Louis Mathoux aborde le dogme de la virginité de Marie. Le moins que l'on puisse dire est « qu'il n'y est guère favorable  ». Mais cette interrogation est-elle bien utile ? Chacun connaît la position de l'Eglise catholique à ce sujet. Et si, comme le font les Témoins de Jéhovah et les protestants, on trouve des arguments bibliques pour affirmer que Jésus aurait eu des frères, bien plus forts, à mon sens, sont ceux qu'on peut trouver pour affirmer le contraire. Soit ! Là où cela devient problématique, c'est quand on se pique de se pencher sur les apparitions... de la Vierge. Que va tirer comme conclusion celui qui refuse le dogme de la virginité de la Mère du Seigneur ? Immanquablement que tous les lieux d'apparitions où Marie se présente comme  étant la Vierge ne peuvent pas être authentiques. C'est plutôt « mal barré ! ». Or, étrangement, l'auteur semble bel et bien souscrire à la réalité de la venue de  la « Vierge immaculée » à Beauraing et de la « Vierge des pauvres à Banneux » Là, j'avoue que ma logique a du mal à suivre... Je passe...

    Très globalement, outre le fait de se présenter comme vierge, que semble reprocher notre écrivain à Celle qui nous apparaît ? 1) D'être conservatrice, trop à droite. Exemples Fatima, Rue du Bac, La Salette, Pellevoisin. 2) De délivrer des messages apocalyptiques, peu conciliables avec la charité évangélique . Exemples : à nouveau Fatima, La Salette , mais aussi tous les lieux non-reconnus par l'Eglise. Sur ce point, je ne peux pas lui donner  entièrement tort.. Comment souscrire à des discours pour le moins douteux tels que ceux tenus à  Bayside, à Kérézinen, à Naju ou à Garabandal ? D'ailleurs, comme le rappelle Louis Mathoux avec raison, nul n'est tenu de croire aux apparitions et encore moins en celles qui ne sont pas approuvées par l'évêque du lieu.

    Bien construit et bien écrit, cet ouvrage de 191 pages mériterait néanmoins certaines précisions,  Un cas parmi d'autres : à la page 22, on lit qu'un juif nommé Alphonse Ratisbonne, s'est tourné vers le catholicisme sous l'influence de la Vierge de la rue du Bac. C'est ce qui s'appelle rater l'essentiel.  En fait, sa conversion est due à une apparition de Marie qui lui est arrivée dans une église de Rome en 1842. Voilà qui est bien plus pertinent! Dans un autre registre, certaines affirmations font sourire et mériteraient clairement une dérision à la hauteur de leur stupidité. En effet, parlant des lacrymations d'une statue de la Vierge à Akita (il y en eu à 101 reprises, ce que l'auteur ne dit pas), on apprend que le verdict de la commission d'enquête fut sans appel : les sécrétions diverses émanant de la statue seraient en fait produites inconsciemment par l'esprit malade de la voyante ! Franchement! A force de vouloir nier mordicus le surnaturel, on finit par tenir des propos délirants ! Cela dit, l'évêque du lieu n'étant pas fou, n'a évidemment pas tenu compte de cette niaiserie et a reconnu officiellement le miracle en 1984 qui fut encore confirmé par le cardinal Ratzinger en 1988.

    Bref, que penser de ce livre ? Aurions-nous affaire à un auteur de mauvaise foi ? Je ne le pense pas. Car à côté de propos très discutables ou trop superficiels, se trouvent relatés avec sérieux et sans les trahir des phénomènes tels que le miracle du soleil de Fatima, le mystérieux manteau de Guadalupe, l'incorruptibilité du corps de Catherine Labouré et de celui de sainte Bernadette ou la guérison de Jacqueline Aubry à l'Ile-Bouchard. Loin de s'en moquer, Louis Mathoux s'interroge et semble y souscrire. Cela dit, problème : comment  accepter ces prodiges tout en ne croyant pas aux apparitions qui s'y rapportent ? Voilà qui est bien délicat, surtout dans des endroits comme Fatima où le miracle était annoncé par l'apparition !  A boire et à manger, donc, dans cet ouvrage qui risque de laisser sur leur faim les croyants  comme les incroyants...

    Jean-Pierre Snyers (jpsnyers.blogspot.com)