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Spiritualité - Page 460

  • Sauver le chant liturgique

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    Excellente réflexion de Nicolas Bonnal sur Liberté Politique :

    Halte au massacre : sauvons l'excellence du chant chrétien

    C’est le temps des concerts en plein air ou dans les abbayes. Le temps aussi de redécouvrir la plénitude du chant liturgique, et du simple cantique à la messe de nos campagnes. Pour le meilleur, mais aussi parfois pour le pire. Comment chantons-nous, et pourquoi ? Profitons de l’été pour méditer sur l’excellence de nos chœurs, et la beauté de nos messes chantées…

    BEAUCOUP chantonnent à la messe le dimanche sans y prendre garde, laissant à des oreilles béotiennes et philistines le soin d’apprécier une véritable cacophonie de "bons choeurs" mais de voix éraillées. Si le prêtre et la chorale n’ont pas astreint l’assistance à une certaine discipline, cela peut à mon sens provoquer un véritable désastre sur le plan spirituel ; je le dis comme je le pense parce que de grandes voix et de grandes plumes se sont appliquées à dénoncer le chanté éraillé de la messe fatiguée qui n’honore pas Notre Seigneur.

    Il faut d’abord voir que la messe n’est pas une corvée, pas plus que le dimanche.

    Je me rappelle Sister Act, cette petite comédie osée racontant l’histoire d’une chanteuse réfugiée dans un couvent, et qui disait tout honnêtement que les gens préfèrent payer cent dollars au spectacle qu’aller écouter un chœur grelottant mais gratuit à la messe. C’est que le chœur – ou le cœur – n’y est pas. Le « catho » des médias, un peu oublieux de Bach et de Monteverdi, est alors le premier alors à collaborer à la mauvaise image qu’on a de lui, puisqu’il casse les oreilles de « son Dieu » comme de l’assistance.

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  • La révolution chrétienne

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    De Denis Sureau (L'Homme Nouveau) :

    Après le succès de son livre De Luther à Benoît XVI, le Père Michel Viot publie un nouveau livre à l'occasion du Synode sur la nouvelle évangélisation. Dans ces entretiens avec l'abbé Guillaume de Tanoüarn,, il s'interroge sur l'avenir de l'Eglise, particulièrement en Europe. Pourra-t-elle continuer à être présente dans l'espace public ? Ou retournera t-elle aux catacombes, voire à une certaine forme de "captivité babylonienne" avec exil à la clé ? Confrontés à la montée de l'islam et au défi du sécularisme, comment les chrétiens vivront leur foi chrétienne au grand jour dans une société hostile ?

    En s'appuyant notamment sur la lettre Porta fidei pour l'Année de la Foi, le Père Michel Viot répond à toutes les questions posées par l'abbé Guillaume de Tanoüarn sans craindre de secouer les pieux conformismes. Avec une conviction forte : c'est une véritable révolution chrétienne que la nouvelle évangélisation doit provoquer. 

    Né en 1944, le Père Michel Viot est vicaire épiscopal et aumônier de la maison d'arrêt dans le diocèse de Blois, conférencier et président de l'association « Ecouter avec l'Eglise ». Il a expliqué son itinéraire d'ancien pasteur luthérien et dirigeant maçonnique dans son précédent livre, De Luther à Benoît XVI, qui a remporté un vif succès.

     L'abbé Guillaume de Tanoüarn est docteur en philosophie (thèse sur Cajétan parue au Cerf en 2009) et directeur du centre culturel Saint-Paul à Paris.

    Disponible à la boutique de l'Homme Nouveau : La Révolution chrétienne

  • Le 13 octobre, le pape François consacrera le monde au Coeur immaculé de Marie

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    n-s-fatima-3-grande.jpg(Zenit.org - A. Bourdin) - Le pape François consacrera le monde au Cœur immaculé de Marie, à Rome le 13 octobre, aux pieds de la Vierge de Fatima, en l'anniversaire de l'apparition de 1917.

    La statue originale de la Vierge sera transportée à Rome, suivant le désir du pape François, à l’occasion de la Journée mariale promue par le dicastère de la nouvelle évangélisation le 13 octobre prochain, dans le cadre de l'Année de la foi.

    (...) Le site du sanctuaire de Fatima précise qu'en réponse au désir du pape François, la statue de Notre Dame du Rosaire de Fatima, qui est vénérée dans la petite chapelle des Apparitions, sera à Rome les 12 et 13 octobre à l’occasion de la Journée mariale.

    Des centaines de mouvements et d’institutions de dévotion mariale se rassembleront dans la capitale italienne pour cette occasion. Dans une lettre adressée à l’évêque de Leiria-Fatima, Mgr António Marto, le président du dicastère pour la nouvelle évangélisation, Mgr Rino Fisichella, a annoncé que « toutes les réalités ecclésiales de spiritualité mariale » étaient invitées à participer à cette journée.

    Le programme de la rencontre prévoit un pèlerinage au tombeau de l’apôtre Saint Pierre, le 12 octobre, ainsi que d’autres moments de prière et de méditation. La célébration de l’Eucharistie sera présidée par le pape François le 13 octobre, Place Saint-Pierre.

    « C’est le vif désir du Saint-Père que la Journée mariale puisse avoir comme signe particulier une des statues mariales les plus importantes pour les chrétiens du monde entier et c’est pour cette raison que nous avons pensé à la statue originale et bien-aimée de Notre Dame de Fatima », écrit Mgr Fisichella.Ainsi, la statue de la Vierge de l’un des sanctuaires les plus connus au monde quittera le Portugal le matin du 12 octobre pour y retourner dans l’après-midi du 13. En son absence, on installera dans la Chapelle des apparitions la première statue de la Vierge pèlerine de Fatima, intronisée dans la basilique Notre-Dame-du-Rosaire, le 8 décembre 2003.
  • Rester fidèles à nos engagements baptismaux

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    Lectures du jour (samedi 17 août) : http://levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=readings&localdate=20130817

    De l'homélie du Père Joseph-Marie Verlinde (homelies.fr)

    Comme les tribus d’Israël, nous affirmons notre volonté de demeurer fidèles – ce qui, formulé d’une manière aussi générale, n’est pas trop difficile. Les difficultés commencent lorsqu’il s’agit de descendre au niveau des situations concrètes de la vie quotidienne. C’est à ce niveau que le « oui » risque de se dénaturer en un « oui mais ». Or le « mais » est précisément la porte ouverte à tous les égarements. Comme le peuple d’Israël, nous ne mettons pas longtemps avant de trahir nos engagements ; pas forcément par une apostasie franche, mais plutôt par une série de compromissions, qui, mises bout à bout, équivalent dans les faits à une rupture d’Alliance. Nous sombrons dans la tiédeur ; par manque de délicatesse spirituelle, nous perdons le sens du péché ; et nous devenons par le fait même une proie facile pour l’ennemi, qui n’a aucune peine à nous entraîner à sa suite, sans même que nous nous en rendions compte. Hélas nous pouvons ainsi sombrer dans la mort spirituelle, tout en demeurant « convaincus d’être justes » (Lc 18, 9).

    Comment nous ressaisir lorsqu’on en est là ? Il me semble que l’essentiel réside dans une conversion de notre regard. Le fait que nous consentions à des compromissions qui nous éloignent toujours plus de l’Évangile, trahit en effet que nous ne portons plus le même regard sur notre vie quotidienne. Nous avons progressivement abandonné le regard surnaturel que procurent la foi, l’espérance et la charité, pour adopter un regard « d’en bas », simplement humain, naturel, sur les situations, les événements et les personnes. 

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  • Video de la Fête-Dieu 2013 présidée par le nouvel évêque de Liège

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    C'était le 1er juin 2013 en l'église du Saint-Sacrement, à Liège :

    http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com/archive/2013/06/03/le-futur-eveque-de-liege-a-celebre-la-solennite-de-la-fete-d.html

  • Pour François, la femme, dans l'Eglise, est plus importante que les évêques et les prêtres

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    Approfondir le rôle si important de la femmezenit.org (A. Bourdin)

    Paroles du pape François à l'angélus, en la fête de l'Assomption de la Vierge Marie

    Le pape François souhaite que l'on "approfondisse et comprenne de plus en plus, dans toute l’Église, le rôle si grand et si important de la femme ".

    C'est la seconde fois, après son entretien avec les journalistes lors du vol de retour Rio-Rome (28-29 juillet) que le pape aborde la question de la place de la femme dans la société et dans l'Eglise.

    Le pape a en effet évoqué ce jeudi 15 août, lors de l'angélus à Castelgandolfo, le 25e anniversaire de "Mulieris Dignitatem", la lettre apostolique de Jean-Paul II sur la 

    "Dignité de la femme", publiée le 15 août 1988, en l'année mariale, ce qui est une clef d electure importante por le document (cf. mulieris-dignitatem).

    "Je désire rappeler le 25eme anniversaire de la Lettre apostolique Mulieris dignitatem, du bienheureux pape Jean-Paul II, sur la dignité et la vocation de la femme. Ce document est riche de remarques qui méritent d’être reprises et développées ; et à la base de tout cela, se trouve la figure de Marie ; en effet, ce document est sorti à l’occasion de l’Année mariale. Faisons nôtre la prière rédigée à la fin de cette Lettre apostolique (cf. n. 31), afin que, en méditant le mystère biblique de la femme, condensé en Marie, toutes les femmes s’y retrouvent elles-mêmes et y trouvent la plénitude de leur vocation et que l’on approfondisse et comprenne de plus en plus, dans toute l’Église, le rôle si grand et si important de la femme !", a déclaré le pape François.

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  • Ma plus belle invention, dit Dieu, c'est ma Mère

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    Ma plus belle invention

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    Ma plus belle invention, c’est ma Mère. 
    Il me manquait une maman, et Je l’ai faite. 
    J’ai fait ma Mère avant qu’elle ne me fasse. C’était plus sûr. 
    Maintenant, je suis vraiment un homme comme tous les hommes. 
    Je n’ai plus rien à leur envier, car j’ai une maman. 
    Une vraie. 
    Ça me manquait. 
    Ma Mère, elle s’appelle Marie, dit Dieu. 
    Son âme est absolument pure et pleine de grâce. 
    Son corps est vierge et habité d’une telle lumière que sur terre Je ne me suis jamais lassé de la regarder, de l’écouter, de l’admirer. 
    Elle est belle, ma Mère, tellement belle que, laissant les splendeurs du ciel, Je ne me suis pas trouvé dépaysé près d’elle. 
    Pourtant, Je sais ce que c’est, dit Dieu, que d’être porté par les anges ; 
    Ca ne vaut pas les bras d’une Maman, croyez-moi. 
    Ma Mère Marie est morte, dit Dieu. 
    Depuis que j’étais remonté vers le ciel, elle me manquait, Je lui manquais. 
    Elle m’a rejoint, avec son âme, avec son corps, directement. 
    Je ne pouvais pas faire autrement. Ça se devait. 
    C’était plus convenable. 
    Les doigts qui ont touché Dieu ne pouvaient pas s’immobiliser. 
    Les yeux qui ont contemplé Dieu ne pouvaient rester clos. 
    Les lèvres qui ont embrassé Dieu ne pouvaient se figer. 
    Ce corps très pur qui avait donné un corps à Dieu ne pouvait pourrir, mêlé à la terre ... 
    Je n’ai pas pu, ce n’était pas possible, ça m’aurait trop coûté. 
    J’ai beau être Dieu, Je suis son Fils, et c’est moi qui commande. 
    Et puis, dit Dieu, c’est encore pour mes frères les hommes que j’ai fait cela. 
    Pour qu’ils aient une maman au ciel. 
    Une vraie, une de chez eux, corps et âme. 
    La mienne. 
    Maintenant, qu’ils la prient davantage ! dit Dieu. 
    Au ciel, ils ont une maman qui les suit des yeux, avec ses yeux de chair. 
    Au ciel, ils ont une maman qui les aime à plein cœur, avec son cœur de chair. 
    Et cette maman, c’est la mienne, qui me regarde avec les mêmes yeux, qui m’aime avec le même cœur. 
    Si les hommes étaient plus malins, ils en profiteraient, 
    ils devraient bien se douter que Je ne peux rien lui refuser ... 
    Que voulez-vous, c’est ma maman. Je l’ai voulue. Je ne m’en plains pas. 
    L’un en face de l’autre, corps et âme, Mère et Fils, Eternellement Mère et Fils...

    Michel Quoist

  • Dormition ou Assomption ?

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    Dormition ou Assomption ? La Vierge Marie en Orient et en Occident (source)

    Le 15 août, dit dans diverses contrées la « fête de la Vierge », est l’une de ces dates où l’on célèbre Marie. Mais de quelle solennité s’agit-il ? D’aucuns, catholiques, répondent : c’est l’Assomption de la Vierge Marie ; et d’autres, orthodoxes, rétorquent : c’est la Dormition de la Mère de Dieu !

    Par Antoine FLEYFEL, maître de conférence à l’Université catholique de Lille et responsable des relations académiques de l’Oeuvre d’Orient

    Il n’est pas besoin de rappeler que la Vierge Marie est une figure majeure de foi en Orient et en Occident, pour les catholiques et pour les orthodoxes. Ceux-ci la fêtent et l’honorent de diverses manières, à travers moult célébrations liturgiques, artistiques ou populaires. Le 15 août, dit dans diverses contrées la « fête de la Vierge », est l’une de ces dates où l’on célèbre Marie. Mais de quelle solennité s’agit-il ? D’aucuns, catholiques, répondent : c’est l’Assomption de la Vierge Marie ; et d’autres, orthodoxes, rétorquent : c’est la Dormition de la Mère de Dieu !

    Les deux fêtes se confondent effectivement dans une même date, et l’histoire lie, dans un certain sens, l’évolution de ces deux visions de la personne de Marie. Cependant, force est de constater que cette célébration n’est pas qu’une expression de la diversité de l’Église, mais aussi l’endroit d’un différend dogmatique qui existe entre les catholiques et les orthodoxes. Si les premiers considèrent la Dormition comme faisant partie du dogme de l’Assomption, les seconds refusent ce dernier, et pour cause, sa dépendance du dogme de l’Immaculée conception que les Églises orthodoxes rejettent. Pourtant, la Dormition et l’Assomption sont deux concepts qui expriment une même réalité : le départ exceptionnel de Marie. Cet article a comme but de mettre en lumière ces différentes lectures du « mystère de Marie ». Pour commencer, faisons un peu d’histoire.

    Bien que saint Éphrem (+373) évoque dans ses écrits la préservation du corps de Marie après son décès, de l’impureté de la mort, les plus anciennes traditions de la croyance en la Dormition ou en l’Assomption de la Vierge Marie remontent aux Ve et VIe siècle. On les trouve présents dans des traités théologiques, des textes liturgiques, des écrits apocryphes et des traditions populaires. Au VIe siècle, l’empereur Byzantin Maurice déclara le 15 août jour de la fête de la Dormition de la Vierge Marie. Un siècle plus tard, cette solennité mariale trouva son chemin vers l’Occident, grâce au pape Théodore. Au VIIIe siècle, elle changea de nom et s’intitula fête de l’Assomption. Si la Dormition n’est pas considérée comme un dogme par l’Église orthodoxe, l’Église catholique proclama la croyance en l’Assomption de la Vierge Marie comme dogme en 1950. 

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  • Lettre à Gilberte Degeimbre (qui a vu la Vierge à Beauraing)

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    Chère Gilberte,

    Je viens de lire votre témoignage dans « Dimanche ». Il est bouleversant ! Comment ne pas être ému aux larmes en vous lisant ? Comment ne pas se sentir rejoint, réconforté, apaisé et finalement heureux en vous entendant ? En peu de mots, vous nous avez tout dit ! Tout ce qu'un être humain doit savoir : Dieu existe, Jésus est réssuscité, il y a une vie éternelle après notre mort et ceux qui nous sont chers, nous les retrouverons ! Oui, vous nous avez tout dit, et si vous pouvez affirmer ces réalités sans pareil, nous faire entrevoir ces richesses inestimables, c'est parce que vous êtes l'une des seules personnes au monde qui les avez vues ! Oui, à travers Marie, à travers Celle que vous appelez tendrement la sainte Vierge, c'est tout le ciel qui est venu vers vous !

    Vous savez, Gilberte, nous nous connaissons depuis longtemps. A maintes reprises, j'ai eu le bonheur de vous rencontrer et même de vous interviewer. Et puisque nous nous connaissons, et puisque nous nous apprécions, je vais maintenant prendre la liberté de vous dire quelque chose que vous n'aimerez probablement pas. Que veux-je vous dire ?... Que vous êtes une personne extraordinaire ! Je sais ce que vous allez me répondre. Je vous entends déjà me rétorquer : « Non, non, je ne le suis pas, je ne suis rien, croyez-moi !... » Tant pis, je persiste ! Vous aviez neuf ans à l'époque des apparitions. Neuf ans quand le ciel s'est ouvert à Beauraing. Neuf ans quand vos yeux d'enfant ont contemplé l'indicible, la tendresse inexprimable, la beauté la plus inouïe. 80 ans après, vous témoignez toujours. Et vos mots, votre regard et votre visage, transpirent la sincérité, la transparence et la vérité d'une dame qui porte en son coeur l'inaltérable reflet de Celle qui est venue la visiter. Si, vous êtes extraordinaire, Gilberte ! Car, rien ne vous obligeait à parler, à partager la grâce immense qui vous a été accordée afin que « le monde sache ». Vous (comme les quatre autres témoins) auriez pu vous taire, garder le trésor pour vous. Mais au risque de subir des moqueries, des haussements d'épaules et des négations obstinées, vous avez préféré nous rejoindre dans notre nuit, dans notre cécité de croyants qui espèrent mais qui n'ont jamais vu.

    Tous ces mots qui me viennent, j'aurais pu les écrire à mon ami Albert ; à cet ami à qui je dois aussi la foi qui m'anime aujourd'hui. Comme vous, il avait eu la grâce de contempler Marie ; la Vierge immaculée. Comme vous, il me disait : « Quand on a vu un coin du ciel, il est si difficile de rester dans la brume d'ici-bas ! ». A présent, plus de brume. C'est sur les chemins éternels d'un monde prodigieux qu'il marche désormais. Et ses yeux, comme les vôtres un jour, quand viendra l'heure du grand passage, ne cessent de s'émerveiller, et ses lèvres ne cessent de murmurer ce mot que je vous adresse de tout coeur : « Merci ! ».

    Jean-Pierre Snyers - jpsnyers.blogspot.be

  • 15 août : Assumpta est Maria in caelum

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    EGLISE DU SAINT-SACREMENT À LIÈGE 

    Bd d’Avroy, 132 

    JEUDI 15 AOÛT 2013 A 10 HEURES

    MESSE DE LA

    FÊTE DE L’ASSOMPTION DE LA SAINTE VIERGE 

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     (Guido Reni, école vénitienne, XVIIe s)

    célébrée selon le missel de 1962

    Évangile du Magnificat (Luc, 1, 41-50)  

    Propre grégorien de la messe « Signum Magnum »

    Kyriale IX « Cum Iubilo »

    Motets à Notre-Dame 

    Ave Maria de Franz Schubert (1797-1828), Laudemus Virginem (canon à trois voix extrait du Livre Vermeil de Montserrat, XIVe s.), Magnificat du 8e ton alterné en plain-chant et faux bourdon. 

    par la Schola du Saint-Sacrement  

    A l’orgue, Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers 

    Livrets à votre disposition sur la table au fond de l’église pour suivre la messe 

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  • Missionnaires de l'Immaculée

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    La Mission de l'Immaculée (source)

    Association publique de fidèles fondée par saint Maximilien Kolbe en 1917

    Lors du séjour à Rome de Maximilien Kolbe, la franc-maçonnerie règne en souveraine en Italie, et se montre ouvertement hostile à l'Eglise catholique : manifestations, cortèges, banderoles à la gloire de Satan et injurieux envers le Pape ne sont pas rares. 

    Maximilien se sent interpellé par de tels faits: «Est-il possible que nos ennemis doivent mettre tout en oeuvre et l'emporter, et nous rester sans rien faire, sans passer à l'action ? N'avons-nous donc pas des armes plus puissantes, comme la protection de l'Immaculée ? La Femme "sans tâche" victorieuse de toutes les hérésies ne laissera pas place libre à nos ennemis.» 

    Le 16 octobre 1917 au soir, dans une chambre du Collège International des frères Mineurs Conventuels, à Rome, 42 via San Teodoro, Maximilien Kolbe, avec six autres confrères, fonde la Mission de l'Immaculée (M.I). 

    Le but 

    Faire en sorte que tous les hommes se convertissent à Dieu, même s'ils ne sont ni catholiques ni croyants, en particulier les francs-maçons, et que tous deviennent saints, sous la protection et par la médiation de la Vierge Immaculée.

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  • Le Président de la Russie fustige l’Occident sécularisé

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    Tous ceux qui ont connu les années de plomb de l’U.R.S.S. peuvent se frotter les yeux une fois encore en lisant ceci sur le site de  Campagne Québec-Vie

    "Vladimir Poutine a exorté les dirigeants politiques du monde entier à faire cesser les persécutions violentes qui ont éclaté contre les chrétiens dans de nombreux pays du Moyen-Orient.

    S'exprimant récemment à Moscou, lors d'une réunion avec les chefs des églises orthodoxes, le président russe a noté « avec inquiétude » que « dans de nombreuses régions du monde, notamment au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, les tensions interconfessionnelles s'intensifient et les droits des minorités religieuses sont violés, y compris ceux des Chrétiens et des Orthodoxes ».

    "Ce problème pressant devrait faire l'objet d'une attention étroite de l'ensemble de la communauté internationale", a déclaré M. Poutine. "Il est particulièrement important aujourd'hui de faire des efforts pour prévenir les conflits interculturels et interreligieux, car ils sont associés aux bouleversements les plus graves." Poutine a fait l'éloge de la coopération croissante entre les Églises orthodoxes et l'État russe, en disant: « Nous agissons en tant que partenaires et collègues authentiques pour résoudre les tâches domestiques et internationales les plus pressantes, et pour mettre en œuvre des initiatives conjointes pour le bénéfice de notre pays et de ses habitants».

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