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  • L'euthanasie d'un mineur en Belgique : un double abandon

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    De Laurence Henry sur genethique.org :

    EUTHANASIE D’UN MINEUR EN BELGIQUE : LE DOUBLE ABANDON

    Quel triste jour que ce samedi 17 septembre 2016 où La Libre, quotidien belge, titrait "Un mineur euthanasié pour la première fois en Belgique"[1] ! L'article rappelle que "cette possibilité existe légalement depuis le début 2014". En une semaine l'affaire était pliée. Le dossier remis à la Commission fédérale de contrôle et d'évaluation de l'euthanasie la même semaine, validé puis acté par l'équipe que nous peinons à qualifier de soignante.

    La mort, pour les enfants, est donc une possibilité, un choix comme un autre. La poire ou le fromage, la glace ou la crème au chocolat, la vie ou la mort. Quand on a pris la poire, on peut avoir un regret et prendre le fromage au repas suivant, ou pourquoi pas la crème au chocolat. Mais lorsque c'est la mort qui est choisie, on ne peut pas prendre la vie ensuite puisqu'il n'y a plus de choix possible.

    "Les enfants aussi ont droit à voir abréger leurs intolérables souffrances. Je trouve même ordurier qu'on ose s'y opposer", dit Françoise dans les commentaires de cet article. Comment pourrait-on être contre cet avis !? Sauf que Françoise s'est trompée de moyen. La finalité est la même pour tous, abréger la souffrance. Abréger la souffrance, ce n'est pas abréger la vie. C'est permettre la vie en faisant disparaître la souffrance. Nous voyons aussi le sacro-saint principe d'autonomie et la liberté allègrement détournés et remplacés par le libertarisme où la responsabilité dans l'exercice de la liberté disparait, où l'autonomie fait force de loi et empêche toute protection de l'individu au nom du respect de ses désirs. Il n'y a donc pas de protection de l'enfant qui, dans cette situation précise, devient le prescripteur de sa propre mort. Respectons sa liberté, son autonomie dont il n'est pas entièrement possesseur, ni au sens de la loi ni au sens psychologique, social,… Cependant la mort est une possibilité pour lui. Pas dans le sens où elle arriverait fortuitement, fatalement mais planifiée, préméditée. La mort s'organise comme toute notre vie qui se désenchante en ne laissant aucune place à l'aléatoire, au surprenant. Et parce que ce surprenant est parfois infiniment regrettable, nous le refusons en bloc.

    Cette mort possible est le signe d'un double abandon. Celui des Hommes devant la souffrance. Ils capitulent, croyant avoir gagné, mais ils se sont fait avoir en signant un faux traité de Paix. Celle-ci se défile. La souffrance augmente, s'accumule. Et l'on ne cesse de courir après le seul moyen qui paraît envisageable pour "abréger" cette souffrance qui envahi tout l'être : faire disparaître celui qui souffre. Nous nous esquivons devant elle, nous louvoyons pour ne pas l'affronter. Tuer celui qui souffre n'est pas et ne sera jamais affronter la souffrance mais c'est affronter celui qui nous rend la présence et l'existence de cette souffrance intolérable.

    Le deuxième abandon est celui des adultes devant la souffrance des enfants, devant les enfants, devant leur responsabilité première. Les adultes abandonnent la place essentielle qui permet aux enfants de croître et de s'affirmer enfin comme adulte, c'est-à-dire comme celui qui fait face, qui prend à bras le corps le problème présent et connaît l'obligation à laquelle il est tenu, celle de répondre de ses actes devant ces générations futures. Il accepte ses devoirs en particulier envers les enfants. Il les accepte et retranscrit son intention dans ses actes, dans son devoir de protection, dans le devoir qu'il a de se battre contre la souffrance et non contre l'enfant. Ces enfants sont abandonnés. La société, les adultes leur disent qu'ils ne peuvent plus rien faire pour eux, que l'unique chose qu'ils peuvent encore proposer est la mort.

    Le 6 octobre 2013, CNN diffusait un reportage sur l'euthanasie des mineurs en Belgique[2]. Deux enfants, deux mères et deux situations radicalement différentes. Ella-Louise et Isabella. Ella-Louise n’a ni l’âge, ni les capacités intellectuelles et cognitives pour entrer dans le cadre de la loi. Ici le choix ne peut être fait que par les parents. Ella-Louise est rentrée à la maison pour y mourir. Ses parents ayant décidé de ne pas la nourrir, regrettent l'absence de cadre légal et se posent la question de l'utilité de la vie de leur fille. Le petit corps souffreteux d’Ella-Louise ne peut laisser personne indifférent, de même que la douleur et la détresse de sa maman. Les images sont insoutenables, mais cette mère ne pouvait affronter cette épreuve seule au milieu d'une société qui lui dit que la seule issue pour sa fille est la mort.

    Isabella, ensuite. Nous y voyons sa mère lui expliquer ce qu’est l’euthanasie. On est gêné par la manière dont sa mère lui présente l’euthanasie. Elle lui explique qu'elle ira dans un endroit où elle ne souffrira plus, là où il y Dieu mais que c'est pour toujours. Isabella dit que ce n'est pas bien. Sa mère regarde la journaliste en souriant et répétant la phrase que sa fille vient de prononcer : "Ce n'est pas bien". Mais sa mère reproche amèrement à la société son dédain pour ce qu’ils sont, ce qu’ils représentent, pour la gêne qu’ils provoquent chez chacun de nous. Pour l'abandon dont ils sont l'objet.

    L'euthanasie ne règlera nullement le problème de la souffrance de l'enfant et de ses parents. Elle majorera l'angoisse des enfants, leur fera choisir la mort pour que leur maman arrête de pleurer. Elle leur fera craindre l'abandon et surtout craindre de ne pas être aimer juste pour qui ils sont mais pour ce qu'ils ont ou n'ont pas. Elle leur fera craindre le mésamour de leurs parents, l'insuffisance d'amour devenu conditionné à l'avoir plus qu'à l'être, dans cette société qui pousse sans cesse plus vers la mort pour éviter à l'Homme d'affronter ses responsabilités, l'aléatoire, le surprenant.

    [1] http://www.lalibre.be/actu/belgique/un-mineur-euthanasie-pour-la-premier...

  • Le grec et le latin, un héritage vivant

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    De Julien de Rubempré sur "Le Nouveau Cénacle" :

    « De La Nécessité Du Grec Et Du Latin » : Les Langues Anciennes, Un Héritage Vivant

    Gilles Siouffi et Alain Rey publient aux éditions Flammarion un livre mêlant curiosité et érudition pour défendre et illustrer l’urgence vitale de continuer à enseigner les langues anciennes aux nouvelles générations. 

    S’il est bien un élément constitutif de notre identité nationale, c’est notre langue. Indéniable. En plein débat sur l’origine de nos ancêtres, nous pouvons en identifier au moins deux, incontestables et immortels : le latin et le grec. Trésors ouverts à chaque citoyen, prétendument inaccessibles selon les fossoyeurs de l’Education nationale, ces langues polissent encore celle que nous parlons aujourd’hui, la subliment. La nuancent. En rehaussent la saveur.

    Soufi et Rey expliquent à cet égard cette crispation à l’encontre de cet héritage qui, peu à peu, s’en va : « Aux racines de cette hantise, il y a d’abord une peur de la rupture, de la séparation. Une peur de l’inconnu vers lequel nous nous dirigerions seuls et privés de ces soutiens ». Mais, par-delà les crispations identitaires, Gilles Soufi et Alain Rey montrent en premier lieu que tout n’est pas si limpide. Ces racines sont flagrantes, certes, mais plus sinueuses qu’on ne le pense au premier abord.

    Le latin, tout d’abord, ne peut être pris en un seul bloc. Il y a des latins. Celui de Virgile, celui de Cicéron et jusqu’à Constantin ou même le latin médiéval, cette langue a évolué puisqu’elle était vivante. De même que le grec ancien qui s’est modernisé jusqu’à devenir la langue grecque d’aujourd’hui. Par ailleurs, au cours du chapitre intitulé « La guerre des grammaires », il est précisé page 49 : « Il est absurde de dire que la grammaire latine est le seul moyen d’accès à la grammaire française. Si les élèves d’aujourd’hui ont parfois (comme à tout époque) des difficultés avec la grammaire française, ce n’est pas parce qu’ils ignorent le latin ». On y apprend même que lors des siècles passés, pour parler un meilleur français, il était conseillé de se détacher du latin ! Les grammairiens du XVIe siècle auraient d’ailleurs vivement protesté « contre ce poids des catégories de la grammaire latine sur la description du français » …

    Le latin et le grec sont des langues vivantes

    « Dans ce contexte, les langues antiques grecque et latine continuent de vivre dans les langues modernes faites de strates très anciennes qui y subsistent toujours »

    Néanmoins, les auteurs résument magnifiquement la vitalité des langues classiques en affirmant : « Le grec est un luxe, dans le français : le latin est la base ». Ce sont les « pierres vives », si chères à Rabelais qui vivent encore et toujours à travers l’Eglise d’une part et d’autre part dans les nouveaux mots que nous créons au fil des ans. Nous apprenons ainsi (p.74) que deux volumes d’Harry Potter ont été publiés avec une traduction latine, qu’il existe toujours des périodiques écrits et publiés en latin classique et qu’un glossaire paru en 2002 recense tous les mots de notre monde contemporain traduits en latin !

    Nous utilisons des mots et des expressions latines tous les jours (Vade-mecum, lavabo, stricto sensu, nota bene, placebo et plus tristement Fluctuat nec mergitur …) et « Dans ce contexte, les langues antiques grecque et latine continuent de vivre dans les langues modernes faites de strates très anciennes qui y subsistent toujours » (p. 167). Les « nouveaux mots » – comme par exemple cosmonaute – ont été forgés à partir de leur racine grecque (« cosmos » dans ce cas précis) ; preuve de l’incroyable vitalité de ces langues plurimillénaires.

    L’auteur de ces lignes a été un piètre latiniste. Et le mot est très faible. Des jours et des nuits à apprendre des déclinaisons, à essayer de traduire cinq lignes pour récolter au final un zéro pointé … Quand bien même ! Le latin et le grec sont comme les mathématiques : parfois, on n’y comprend rien. Pourtant, il est impératif de savoir compter, comme il est essentiel de maîtriser l’étymologie pour comprendre la plupart des notions. Cet essai revigorant, plaisant et limpide est à mettre entre toutes les mains, ne serait-ce que pour saisir l’ampleur de notre dette à l’égard de cette antiquité qui n’en finit par de vivre …

  • Euthanasie, fin de vie : Carine Brochier et Henri de Soos sur KTO

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    Le dossier : à partir de 14 minutes 20

    Voir aussi : belgique-frenesie-legislative-sur-la-fin-de-vie

  • Nouveau débat sur la GPA au Conseil de l'Europe

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    De Marianne Meunier sur le site du Journal La Croix :

    La GPA de nouveau en débat devant le Conseil de l’Europe

    La gestation pour autrui a fait l’objet d’une résolution rejetée par la commission des questions sociales du Conseil de l’Europe, très divisée sur cette pratique.

    La commission des questions sociales du Conseil de l’Europe a rejeté par 19 voix contre 17, mercredi 21 septembre, une résolution à partir d’un rapport sur la très délicate question de la Gestation pour autrui (GPA).

    L’auteure du rapport, la Belge Petra de Sutter, sénatrice socialiste et chef du service de médecine reproductive à l’hôpital universitaire de Gand, avait pourtant revu sa copie depuis un premier vote défavorable par la même commission, en mars dernier. Comme le permettent les règles du Conseil de l’Europe, les débats se sont tenus à huis clos et les textes n’ont pas été publiés avant le vote.

    Intitulée « l’intérêt de l’enfant dans la GPA commerciale », la résolution rejetée mercredi 21 septembre souligne les problèmes inhérents au statut des enfants quand ces derniers naissent dans le cadre d’une GPA, « surtout lorsqu’elle est transfrontalière », précise Petra de Sutter, contactée par « la Croix ».

    Débat sur la notion de « GPA altruiste »

    Dans son premier rapport, celle-ci avait présenté un état des lieux de la GPA dans les pays du Conseil de l’Europe, qui pour certains l’autorisent (l’Ukraine), pour d’autres la tolèrent (la Belgique) et pour d’autres encore l’interdisent (la France). Elle y avait établi explicitement une distinction entre la GPA « commerciale » en la condamnant, et la GPA « altruiste », c’est-à-dire sans contrepartie financière pour la mère porteuse, en proposant de l’autoriser tout en la réservant aux seuls ressortissants du pays où elle se déroule. Objectif : éviter le « tourisme procréatif ».

    Ce premier rapport avait été rejeté, la notion de GPA « altruiste » étant loin de faire l’unanimité. Toute GPA est commerciale du point de vue de « No maternity traffic », coalition d’ONG considérant la GPA comme un trafic humain et réclamant son abolition sans condition par le Conseil de l’Europe.

    « Comme nous étions divisés sur la question de la GPA altruiste, j’ai enlevé cette notion de mon rapport pour ne mentionner que la GPA commerciale », explique Petra de Sutter. Pour autant, l’usage de l’adjectif « commerciale » a, du point de vue des opposants à la GPA, laissé planer le doute sur la possibilité d’une autre forme de GPA pouvant être acceptée.

    Recommandation acceptée

    Malgré le rejet de la résolution, le rapport de Petra de Sutter a donné lieu à une recommandation qui, elle, a été acceptée, par 17 voix contre 14. « Cette recommandation dit aux ministres des affaires étrangères de mettre en place des lignes directrices sur la GPA », indique Petra de Sutter. Objectif : « sauvegarder les droits de l’enfant », précise un communiqué de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe publié après le vote.

    Devant être discutée lors de la prochaine séance plénière, en octobre, la recommandation doit recevoir la majorité renforcée des deux tiers pour être adoptée.

    Sérieux enjeux

    Si les textes adoptés par le Conseil de l’Europe ne sont pas contraignants, ceux-ci peuvent jouer un rôle de référence. « La valeur d’une résolution sur la GPA serait considérable car elle exprimerait une position théoriquement commune aux 47 États membres du Conseil de l’Europe, explique Gregor Puppinck, juriste et directeur du Centre européen pour le droit et la justice, opposé à toute forme de GPA.

    Aussi, elle donnerait une légitimité aux actions entreprises par d’autres organisations. En droit international, les institutions se citent mutuellement. Quand la Cour européenne des droits de l’homme traite une affaire, elle s’appuie sur les résolutions de l’assemblée. »

    La sinuosité du cheminement des textes au sein Conseil de l’Europe n’empêche pas que s’y jouent de sérieux enjeux.

  • Acheter un enfant pour 120.000 euros ? C'est possible au Hilton de Bruxelles ce week-end

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    En opinion sur le site de la RTBF :

    Isabella Lenarduzzi, Patric Jean et Xavier Lombard :

    Qui veut acheter un enfant 120 000 euros au Hilton de Bruxelles ce week-end?

    Vous ne rêvez pas : une bourse pour Gestation Pour de l’Argent est organisée à l’hôtel Hilton de la gare Centrale de Bruxelles. Une douzaine de sociétés américaines, indiennes ou canadiennes viennent vendre des bébés. Les prix pratiqués s’étalent sans honte 120 000€, 150 000€ et sans garantie de succès, mais avec de nombreuses options possibles (sexe, jumeaux, couleur de la peau etc…)

    La Gestation Pour Autrui consiste à planifier la vie intime d’une tierce personne pendant une année voire plus, en vue d’abandonner son enfant à la naissance. Cet enfant coupé à la naissance de sa mère sera contraint de s’attacher aux parents qui ont négocié, planifié, contractualisé cette séparation. Notons que la GPA est envisagée ici en dehors de toute considération d’orientation sexuelle, ou de nature des personnes qui y sont impliquées. Les couples qui achètent les services de GPA sont dans le monde, en grande majorité des couples hétérosexuels.

    Un revers historique de l’égalité femme-homme

    Les raisons pour demander l’interdiction de la GPA sont nombreuses et ont été exposées lors des auditions du Sénat belge en 2015. Par exemple, la contractualisation de la femme comme objet au service de commanditaires payeurs est une régression des droits de la femme, un revers historique de l’égalité femme-homme. Ce serait la porte ouverte à une pente glissante de marchandisation du corps féminin. L’existence d’un contrat négocié point par point même non enregistré pour la conception d’un enfant est une réification de l’enfant. Cet enfant serait considéré comme un bien, dont la conception est discutée comme une simple marchandise et dont les caractéristiques sont débattues.

    La GPA éthique est une fiction, dans les pays ou la GPA a été légalisée comme aux États-Unis, les dérives sont la commercialisation à outrance, la sélection du sexe, la sélection des gamètes de femmes en fonction de leur rang social, la sélection de la mère porteuse en fonction du prix etc… Encadrer la GPA en Belgique ne freinera pas le tourisme procréatif dans les pays qui autorisent la GPA commerciale. Bien au contraire, dans les pays qui ont encadré la GPA, le nombre de GPA internationales est en forte croissance.

    Ce commerce doit être aboli

    La Belgique a des hôpitaux à la pointe de la recherche, plusieurs dizaines de femmes ont pu enfanter après un cancer qui les a rendues stériles. Leurs ovaires ayant été congelés au préalable. Récemment c’est l’ovaire d’une enfant de 5 ans qui a été réimplanté 20 ans plus tard avec succès. La fin de la GPA sera un moteur pour continuer les recherches et trouver de nouvelles solutions techniques de procréation.

    Ce commerce des femmes et des enfants doit tout simplement être aboli en Belgique. Les intermédiaires et ceux qui en font la publicité doivent être sanctionnés.

    Où sont les hommes et les femmes politiques pour se lever contre ce commerce révoltant. Voulons-nous vivre dans un monde où tout se vend, tout s’achète même la dignité des femmes et celle des enfants ? Où sont les syndicalistes, les universitaires, ou les journalistes pour faire pression pour l’annulation et l’interdiction de telles foires de ventres à louer et de bébés à vendre ?

    Isabella Lenarduzzi est la fondatrice de JUMP "Promoting Gender Equality, Advancing the Economy", Patric Jean est auteur et réalisateur, et Xavier Lombard est entrepreneur

  • Le Cardinal Sarah contre la dictature du bruit

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  • Assise

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    Sur zenit.org :

    Un Appel d’une seule voix au terme d’une journée de rencontres

    « La paix est le nom de Dieu »

    Allocution du pape François avant l’engagement final d’Assise pour la paix

    Méditation du pape François pour la prière oecuménique d’Assise pour la paix (texte complet)

    Supplication oecuménique pour la paix dans le monde

    Les menus de la paix, Journée de prière avec le pape

    Premier geste de la Journée pour la paix

    Paroles du pape à Sainte-Marthe

    Le dialogue est indispensable, l’alternative, c’est la guerre