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  • Du 21 au 24 septembre 2019 : Saint Lambert au Cœur de Liège

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    careme à l'église du saint sacrement Liège GOPR0645.JPGDu 21 au 24 septembre prochains, l’église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132, face à la statue équestre de Charlemagne) présente, avec le concours du Trésor de la Cathédrale Saint-Paul, un ensemble d’œuvres illustrant la mémoire de saint Lambert dont l’assassinat, un 17 septembre  aux alentours de l’an 700, est à l’origine de la ville et du diocèse de Liège.

    L’exposition comporte des sculptures, gravures et estampes,20190918_102911.jpg des bannières et des livres liturgiques anciens  ainsi que de remarquables reproductions de vitraux illustrant la vie du martyr fondateur de la Cité ardente.

    La manifestation d’ouverture se tiendra le samedi 21 septembre prochain. Elle débutera à 16 heures  par le chant grégorien des Premières Vêpres de la Solennité de la Fête du saint évêque. Le chant sera suivi à 16h30 par un récital d’orgue que donnera Jean-Denis Piette : ce récital sera consacré aux compositeurs liégeois des XVIIe et XVIIIe siècles.

    Plain chant liégeois de la Fête de saint Lambert

    Magna Vox (antienne des vêpres) cliquez ci dessous:


    podcast

    A l'orgue: oeuvres liégeoises anciennes (extraits)

    cliquez ci-dessous:

    podcast
    podcast

    La visite guidée de l’exposition aura lieu à 17h00 : cette présentation se clôturera par une réception conviviale ouverte à tous.

    expo st lambert.jpg

    « Saint Lambert au cœur de Liège », exposition d’art et d’histoire à l’église du Saint-Sacrement, Bd d’Avroy, 132, ouverte au public les samedi 21 septembre (de 16h00 à 18h00), dimanche 22 septembre ( de 15h00 à 17h00), lundi 23 septembre (de 15h00 à 17h00) et mardi 24 septembre (de 15h00 à 17h00). Entrée libre.

     JPSC

  • L'ultime appel du cardinal Pell

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    De Vatican News :

    Le cardinal Pell fait un dernier appel

    Le cardinal George Pell, 78 ans, fait un ultime appel de sa condamnation à six ans de prison par le tribunal de Melbourne pour des abus sexuels commis sur des mineurs, annonce ce mardi la Haute Cour d'Australie.

    Après un premier procès pour des délits anciens d’abus sexuels qui s’est conclu sans verdict, lors d’un second procès, le jury a approuvé à l’unanimité un verdict de culpabilité. Le 13 mars dernier, l’ancien préfet du Secrétariat pour l’Économie du Saint-Siège a été condamné par le tribunal de Melbourne à six ans de prison. Il a été déclaré coupable d’abus sexuels commis à la fin des années 90 sur deux adolescents mineurs dans la cathédrale de Melbourne alors qu’il était archevêque du diocèse.

    Le prélat australien, qui clame son innocence, avait déjà fait appel de cette condamnation en première instance auprès de la Cour suprême de Victoria. À deux juges contre un, ce premier appel a été rejeté le 21 août dernier. Ses avocats avaient 28 jours pour présenter un ultime recours. C’est chose faite ce mardi. La Haute Cour d’Australie a été saisie à son tour pour juger l’affaire.

    Les avocats du cardinal appuient leur requête sur la position du troisième juge, qui estimait donc un appel recevable. Mark Weinberg considérait que le verdict rendu ne respectait pas le principe de base qui veut qu’une personne ne peut être condamnée seulement si les preuves démontrent sa culpabilité au-delà de tout doute raisonnable.

    Une longue procédure

    Selon l’Agence France Press, la Haute Cour d'Australie basée à Canberra pourrait refuser d’examiner l’appel. Les plus hauts magistrats du pays devront en décider, dans un processus qui pourrait prendre plusieurs mois.

    À l’issue du rejet de son premier appel, le directeur du bureau de presse du Saint-Siège, Matteo Bruni, avait fait savoir que le Saint-Siège reconnaissait «la décision du tribunal de rejeter le recours du cardinal Pell» et affirmait sa  «proximité avec les victimes d’abus sexuels, ainsi que son engagement à poursuivre, par l’intermédiaire des autorités ecclésiastiques compétentes, les membres du clergé qui commettent de tels abus».

    Le Vatican attend le verdict final

    Au Vatican, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi attend l'issue de la procédure en cours et la conclusion du processus d'appel avant de se saisir de l'affaire.

    Le cardinal Pell est actuellement interdit d’exercer un ministère public, conformément aux dispositions prises dès juin 2017 par l'Église australienne lors du retour du cardinal Pell dans son pays.

    George Pell a été nommé évêque auxiliaire de l’archidiocèse de Melbourne en 1987, avant de devenir lui-même archevêque de Melbourne en 1996. Il est ensuite devenu archevêque de Sydney en 2001 et a été créé cardinal le 21 octobre 2003 par Jean-Paul II. En avril 2013, le Pape François l’a nommé membre du Conseil des cardinaux et en février 2014, préfet du Secrétariat pour l’Économie, qui était alors nouvellement créé.

    Fin juin 2017, après deux ans d’enquête en Australie, il a été formellement incriminé avec divers chefs d’inculpation pour des «délits anciens de violence sexuelle», dans deux affaires distinctes.

  • Cachez ce "C" que je ne saurais voir

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    De Jean-Jacques Durré sur cathobel.be :

    Un « C » si gênant ?

    Invitée de l’émission « De zevende dag » sur la VRT, la ministre d’Etat Miet Smet a estimé que, même s’il est encore trop tôt pour en discuter, il faudra que son parti – le CD&V – abandonne le « C » qui signifie « Christelijk », c’est-à-dire « Chrétien ». Motif: « Nous sommes un parti chrétien culturel, mais plus un parti chrétien religieux ».

    La question me taraude: pourquoi le mot « chrétien » est-il si gênant? Nombre d’associations ont d’ores et déjà gommé de leur patronyme ce « C » devenu importun. Pensons à la JOC (devenue en Belgique ‘Jeunes organisés et combatifs’), au défunt PSC, parti frère du CD&V, aux Scouts de Belgique et même à l’Université catholique de Louvain qui par une belle entourloupe a gardé le C, mais sans avoir à le prononcer puisqu’on dit maintenant UCLouvain, tout comme les Facultés universitaires Notre-Dame de la Paix qui sont devenues l’UCNamur. Concernant d’ailleurs cette dernière, on aura remarqué avec tristesse que son recteur s’est directement distancé de notre confrère et ancien rédacteur en chef, le père Charles Delhez sj, après sa remarquable carte blanche publiée dans La Libre Belgique du 30 août, intitulée « Ne banalisez pas le drame de l’avortement! » Il y abordait les projets de loi visant à modifier la loi sur l’IVG (voir ci-contre). « Il parle en son nom et pas au nom de l’université », a courageusement dit le recteur. J’en reste pantois!

    Faut-il rappeler que toute notre civilisation européenne est basée sur la culture judéo-chrétienne? Mais on veut absolument occulter cette vérité. Même la nouvelle présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a parlé de l’Europe en citant ses racines « greco-latines ». Et personne n’a réagi. En politique, la démocratie chrétienne a façonné nos contrées en se revendiquant de la doctrine sociale de l’Eglise. Nos écoles et universités catholiques étaient basées sur les valeurs de l’Evangile, qui sont humanistes, même si ce mot est repris par d’autres. Trouver gênant que le mot « chrétien » apparaisse dans son appellation est un signe de faiblesse. Avons-nous honte de porter les valeurs évangéliques? Conclusion: en occultant ces valeurs évangéliques, nous sommes appelés à nous fondre dans la masse, et donc à disparaître.

  • Céder aux revendications de bricolages procréatifs est une lâcheté

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    De GRÉGOR PUPPINCK :

    GRÉGOR PUPPINCK : "CÉDER AUX REVENDICATIONS DE BRICOLAGES PROCRÉATIFS EST UNE LÂCHETÉ"

     17 septembre 2019

    A l’heure où, en France, l’Assemblée nationale discute du projet de loi de bioéthique, la Cour européenne des droits de l’homme se penche sur une série de revendications autour de la procréation médicalement assistée. Docteur en droit et directeur de l'ECLJ (Centre européen pour le droit et la justice), Grégor Puppinck fait le point.

    De façon sans précédent par son ampleur, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a décidé de juger une série d’affaires de bricolage procréatif. En cause : la séparation complète entre le sexe, la procréation et la parentalité ; l’effacement de la famille biologique comme référence des normes sociales.

    Ces affaires nous montrent à quel point le désir d’enfant peut conduire à la folie ; et comment cette folie peut devenir réalité grâce à la technique. Devenue réalité, elle s’attaque à présent aux normes juridiques pour transformer ce désir en droits et reconfigurer, à travers eux, la réalité sociale à son image, dans l’espoir illusoire de se normaliser.

    Voici d’abord un résumé de ces affaires ; nous verrons ensuite les problèmes qu’elles posent.

    Le désir de faire un enfant avec un mort

    Une femme française conteste le refus des autorités françaises de transférer des spermatozoïdes congelés de son défunt compagnon vers une clinique espagnole où elle pourrait procéder à une insémination post mortem. Elle met ainsi en cause la loi française qui impose que l’homme et la femme formant le couple désireux de recourir à une procréation médicalement assistée (PMA) soient « vivants » et qu’il soit mis fin à la conservation des gamètes en cas de décès de la personne (V. D. c. France).

    Le désir de la mère d’être le père de l’enfant

    Dans une autre affaire, la véritable mère d’un enfant conçu avec un don anonyme de sperme se plaint de ne pas figurer comme « père » sur l’acte de naissance, au motif que, transsexuelle, elle avait déjà obtenu d’être identifiée comme « homme » sur son propre état civil. Elle voit dans le fait d’être qualifiée de « mère » une violation de ses propres droits et de ceux de l’enfant en ce que cela « contredirait fondamentalement leur perception de leur relation » et les contraindrait à révéler fréquemment la transsexualité de la mère (O.H. et G.H. c Allemagne).

    La demande d’une présomption de maternité pour la « femme de la mère »

    Deux lesbiennes allemandes se plaignent, en leur nom et en celui de l’enfant, que la compagne de celle qui a accouché ne bénéficie pas d’une « présomption de maternité », à la différence des hommes dans les couples hétérosexuels qui bénéficient de la présomption de paternité. Elles dénoncent une discrimination, alors même que la « femme de la mère »  a pu adopter l’enfant. Le cas est compliqué par le fait que l’enfant a été porté par l’une et conçu avec l’ovule de l’autre et le sperme d’un donneur anonyme ; ce qui est interdit en Allemagne (R.F. et autres c. Allemagne).

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  • Deux événements pour promouvoir le droit d'accès des citoyens à l'information du pouvoir public

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    Deux événements pour promouvoir le droit d'accès des citoyens à l'information du pouvoir public

    18 sept. 2019

    En partenariat avec l’UCLouvain et Transparencia, WeCitizens organise le 27 septembre prochain à Louvain un Workshop en anglais à propos du contrôle citoyen sur l’action publique. L’objectif de l’activité est que les citoyens puissent se familiariser avec leur droit d’accès aux informations du pouvoir public.

    WeCitizens est membre du consortium SIA4Y (Strengthening civil society rights by information access for European youth) qui promeut la participation des citoyens en politique et plus particulièrement la transparence concernant l’activité politique.

    Dans le cadre de ce projet, WeCitizens organise deux évènements qui s’adressent aux (jeunes) citoyens, professeurs, académiques et fonctionnaires qui traitent de l’action civique.

    La journée d’étude du 27 septembre se tiendra dans les locaux de la KULeuven. A travers les conférences, le story-telling et les activités pratiques, ce workshop familiarisera les participants avec les modalités de contrôle citoyen sur l’action publique. On y présentera entre autres l’activité de l’ombudsman et de la commission d’accès aux documents administratifs, les plateformes internet Transparencia et PoliticiansOnline.

    Le congrès, qui se tiendra les 6 et 7 novembre à Bruxelles, réunira les partenaires du projet (Pologne, Finlande, Estonie et Lettonie), des représentants d’ONG, des mandataires européens et tout public intéressé. Il présentera un état des lieux international et proposera un code de bonnes pratiques en matière d’accès à l’information publique.

    Contact :

    Pour s’inscrire : carlier@wecitizens.be
    Pour la presse : pinon@wecitizens.be , 0497 527751
    Poster : http://www.wecitizens.be/docs-en/I21-poster.jpg