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  • Il n'y a que la crèche pour unir dans la concorde le prêtre et le philosophe athée

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    «Seule la crèche peut unir dans la concorde le prêtre et le philosophe athée»

    Le Père Grégoire Sabatié-Garat revient sur le sens profond de la Nativité et des fêtes religieuses. Selon lui, la double aspiration humaine à la concorde et à la liberté trouve dans l'évènement de Noël une réponse fondamentale.

    Prêtre du diocèse de Versailles, le Père Grégoire Sabatié-Garat est vicaire en paroisse (Conflans-Ste-Honorine, Andrésy et Maurecourt) et membre du Padreblog.

    Veillée de Noël 1940. Dans la froide obscurité du stalag XII-D près de Trèves, Jean-Paul Sartre venait d'écrire Bariona ou le Fils du tonnerre, une pièce de théâtre inspirée du genre médiéval des Mystères. «Il s'agissait simplement, écrira-t-il, de trouver un sujet qui pût réaliser, ce soir de Noël, l'union la plus large des chrétiens et des incroyants». Quel sujet fut ainsi capable d'unir largement le philosophe athée, les prêtres et tous les autres prisonniers ? C'est évidemment la Crèche, dont la vénération avait été popularisée par saint François d'Assise au début du XIIIe siècle.

     

    Les récits de la naissance de Jésus soulignent fortement son rapport à la concorde universelle : Jésus naquit dans le cadre historique de la Pax AugustiLa naissance de Jésus devait être éclairée par l'arrière-fond du règne d'Auguste, qui se voulait lui aussi porteur d'une bonne nouvelle de la paix. Dans ce rêve d'un espace unifié par la culture gréco-latine et la concorde civique, la sagesse juive se distinguait en refusant d'attendre des pouvoirs humains un quelconque salut pour ne l'espérer que de Dieu. La Crèche inaugure cette rencontre entre Rome et Jérusalem, où les grandes aspirations humaines s'ouvrent à l'irruption inouïe de Dieu dans l'histoire.

    «Vous avez le droit d'exiger qu'on vous montre la Crèche», écrivit Sartre, soulignant l'universalité de ce qui se donne à voir à Noël. Cette phrase si simple et prophétique reflète quelque chose de la lumière dont fut touché le futur chef de file de l'intelligentsia germanopratine ce soir-là. La Crèche appartient à tous ; son universalité est capable de toucher le cœur de quiconque aspire encore à une certaine allégresse et à la liberté.

    Les fêtes populaires non-religieuses sont la plupart du temps réjouissantes et fécondes. Mais sans leurs significations religieuses, elles finissent par poser une question amère : que reste-t-il à fêter si un salut ne nous est pas offert ?

    Grégoire Sabatié-Garat

    L'engouement suscité par une Coupe du monde de football pourtant contestée vient de montrer combien l'aspiration populaire à l'unité et à l'allégresse demeurait forte, même dans notre société postmoderne. Mais Kylian Mbappé, si grand sportif soit-il, ne saurait répondre aux aspirations existentielles de nos contemporains. Il n'en a ni la vocation ni le pouvoir. Le besoin de célébrer, de se rassembler, d'admirer demeure cependant et doit être pris au sérieux. Philippe Murray a bien décrit l'état de l'homme contemporain en recherche permanente du divertissement festif, l'homo festivus. Souvent nous «faisons la fête» pour aussitôt le montrer sur les réseaux «sociaux», comme si l'allégresse du moment présent ne nous suffisait pas. Ces réseaux donnent l'illusion de la communion (un nombre de contacts), l'illusion de la joie (un nombre de likes) mais ils laissent en définitive chacun seul face à l'algorithme et aux annonceurs publicitaires.

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  • L'affaire Rupnik : un scandale qui éclabousse l'Eglise et le pape

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    De Jean-Marie Guénois sur le site du Figaro via Il Sismografo :

    Marko Rupnik, le nouveau scandale qui éclabousse l’Église et le pape François

    ENQUÊTE - Le grand mosaïste slovène, prêtre jésuite qui a restauré de nombreuses églises est accusé de multiples agressions sexuelles sur des religieuses.

    25 décembre 2022

    Avec de nouveaux ornements, l’église promettait d’être belle. Le grand mosaïste slovène Marko Rupnik, jésuite de son état, devait couvrir de son art liturgique aux milles scintillements l’intérieur et l’extérieur de l’édifice. Comme il l’avait fait pour rajeunir la basilique Notre-Dame-du-Rosaire, à Lourdes, et tant d’autres églises partout dans le monde, y compris au Vatican. Mais, coup de théâtre, il n’entrera pas dans celle de Saint-Joseph-le-Bienveillant, sise à Montigny-Voisins, dans le diocèse de Versailles.

    Son contrat a été brutalement rompu, le 8 décembre, par l’évêque, Mgr Luc Crépy, et par le père Pierre-Hervé Grosjean, curé de cette paroisse et en charge du projet. «Cela a été une évidence immédiate, partagée à l’unanimité par les équipes paroissiales et diocésaines impliquées dans ce projet, commente ce dernier. Mais nous gardons le même élan pour offrir une église paroissiale de 800 places à ce nouveau quartier de 32.000 habitants. Nous allons lancer un nouvel appel à des artistes pour orner notre église. Elle commence déjà à sortir de terre. Elle devrait être inaugurée l’hiver prochain.»

    Les artistes ne manquent pas, mais Rupnik avait une notoriété internationale. Il était demandé partout dans le monde. Jean-Paul II lui avait confié, en 1996, les mosaïques de la chapelle Redemptoris Mater, dans les palais du Vatican. Quelle raison lui vaut une telle disgrâce? À 68 ans, ce prêtre artiste, ami du pape François, vient de tomber très bas: il est accusé de multiples agressions sexuelles sur des religieuses d’un ordre qu’il avait fondé en Slovénie, la communauté de Loyola. Deux cas sont référencés par la justice ecclésiale, sept autres pourraient suivre. L’une de ses accusatrices parle même d’une «vingtaine de victimes» religieuses.

    1,7 million d’euros pour la décoration d’une chapelle à Rome

    L’affaire a explosé aux premiers jours de décembre, à Rome. Un coup de tonnerre tant la notoriété du mosaïste était immense. Le scandale a ensuite rebondi, car le supérieur général des Jésuites, le père Arturo Sosa, a menti publiquement sur le dossier, le 7 décembre. Il en fait lui-même la démonstration, le 14 décembre, en se contredisant, preuve qu’il avait intentionnellement caché la vérité pour couvrir la gravité des faits.

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  • Le Message Urbi et Orbi du pape lors de la fête de Noël 2022

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    "MESSAGE " URBI ET ORBI DE SA SAINTETÉ LE PAPE FRANCOIS (source)

    NOËL 2022

    Dimanche 25 décembre 2022

    Chers frères et sœurs de Rome et du monde entier, joyeux Noël !

    Que le Seigneur Jésus, né de la Vierge Marie, vous apporte à tous l'amour de Dieu, source de confiance et d'espérance, ainsi que le don de la paix annoncée par les anges aux bergers de Bethléem : "Gloire à Dieu au plus haut des cieux et paix sur la terre à ceux qu'il favorise" (Lc 2, 14).

    En ce jour de fête, nous tournons notre regard vers Bethléem. Le Seigneur vient au monde dans une étable et il est couché dans une mangeoire pour animaux, car ses parents ne trouvaient pas de place dans l'auberge, même si le moment était venu pour Marie d'accoucher. Il vient parmi nous en silence et dans l'obscurité de la nuit, parce que la parole de Dieu n'a pas besoin de projecteurs ni de voix humaines fortes. Il est lui-même la Parole qui donne un sens à la vie, il est la Lumière qui éclaire notre chemin. "La vraie lumière, celle qui illumine tout le monde - nous dit l'Évangile - venait dans le monde" (Jn 1, 9).

    Jésus est né au milieu de nous, il est Dieu avec nous. Il vient accompagner notre vie quotidienne, partager avec nous toutes choses : nos joies et nos peines, nos espoirs et nos craintes. Il vient comme un enfant sans défense. Il est né dans la nuit froide, pauvre parmi les pauvres. Ayant besoin de tout, il frappe à la porte de notre cœur pour trouver chaleur et abri.

    Comme les bergers de Bethléem, entourés de lumière, puissions-nous nous mettre en route pour voir le signe que Dieu nous a donné. Puissions-nous surmonter notre somnolence spirituelle et les paillettes superficielles des fêtes qui nous font oublier Celui dont nous célébrons la naissance. Laissons derrière nous le brouhaha qui endort nos cœurs et nous fait passer plus de temps à préparer les décorations et les cadeaux qu'à contempler le grand événement : le Fils de Dieu né pour nous.

    Frères et sœurs, tournons nos regards vers Bethléem, et écoutons les premiers cris légers du Prince de la Paix. Car Jésus est vraiment notre paix. La paix que le monde ne peut donner, la paix que Dieu le Père a accordée à l'humanité en envoyant son Fils dans le monde. Saint Léon le Grand a résumé le message de cette journée dans une phrase latine concise : Natalis Domini, natalis est pacis : "la naissance du Seigneur est la naissance de la paix" (Serm. 26, 5).

    Jésus-Christ est aussi le chemin de la paix. Par son incarnation, sa passion, sa mort et sa résurrection, il a ouvert le chemin qui mène d'un monde fermé sur lui-même et opprimé par les ombres sombres de l'inimitié et de la guerre, à un monde ouvert et libre pour vivre dans la fraternité et la paix. Frères et sœurs, suivons ce chemin ! Mais pour le faire, pour pouvoir marcher derrière Jésus, nous devons nous débarrasser des fardeaux qui nous pèsent et nous bloquent le chemin.

    Quels sont ces fardeaux ? Quel est ce poids mort ? Les mêmes forces négatives qui ont empêché le roi Hérode et sa cour de reconnaître et d'accueillir la naissance de Jésus : l'attachement au pouvoir et à l'argent, l'orgueil, l'hypocrisie, le mensonge. Ces forces nous empêchent d'aller à Bethléem, elles nous excluent de la grâce de Noël et elles bloquent l'entrée sur le chemin de la paix. En effet, nous devons reconnaître avec tristesse que, alors même que le Prince de la Paix nous est donné, les vents glacés de la guerre continuent à secouer l'humanité.

    Si nous voulons que ce soit Noël, la naissance de Jésus et de la paix, regardons vers Bethléem et contemplons le visage de l'Enfant qui est né pour nous ! Et dans ce visage petit et innocent, voyons les visages de tous ces enfants qui, partout dans le monde, aspirent à la paix.

    Voyons aussi les visages de nos frères et sœurs ukrainiens qui vivent ce Noël dans l'obscurité et le froid, loin de chez eux à cause de la dévastation causée par dix mois de guerre. Que le Seigneur nous inspire des gestes concrets de solidarité pour aider tous ceux qui souffrent, et qu'il éclaire l'esprit de ceux qui ont le pouvoir de faire taire le tonnerre des armes et de mettre fin immédiatement à cette guerre insensée ! Malheureusement, nous préférons écouter d'autres conseils, dictés par des modes de pensée mondains. Mais qui écoute la voix de l'Enfant ?

    Notre époque connaît une grave famine de paix également dans d'autres régions et sur d'autres théâtres de cette troisième guerre mondiale. Pensons à la Syrie, encore marquée par un conflit qui est passé au second plan mais qui n'est pas terminé. Pensons aussi à la Terre Sainte, où ces derniers mois la violence et les affrontements ont augmenté, entraînant dans leur sillage des morts et des blessés. Supplions le Seigneur que là, sur la terre qui l'a vu naître, le dialogue et les efforts pour construire une confiance mutuelle entre Palestiniens et Israéliens puissent reprendre. Que l'Enfant Jésus soutienne les communautés chrétiennes vivant au Moyen-Orient, afin que chacun de ces pays puisse faire l'expérience de la beauté de la coexistence fraternelle entre individus de confessions différentes. Que l'Enfant Jésus aide le Liban en particulier, afin qu'il puisse enfin rebondir avec l'aide de la communauté internationale et avec la force née de la fraternité et de la solidarité. Que la lumière du Christ illumine la région du Sahel, où la coexistence pacifique entre les peuples et les traditions est perturbée par les conflits et les actes de violence.  Que cette lumière conduise à une trêve durable au Yémen, à la réconciliation au Myanmar et en Iran, et à la fin de toute effusion de sang. Qu'elle inspire les autorités politiques et toutes les personnes de bonne volonté des Amériques à tenter d'apaiser les tensions politiques et sociales que connaissent les différents pays ; je pense en particulier au peuple haïtien qui souffre depuis longtemps.

    En ce jour, alors que nous sommes assis autour d'une table bien garnie, ne détournons pas notre regard de Bethléem, une ville dont le nom signifie "maison du pain", mais pensons à tous ceux, en particulier les enfants, qui ont faim alors que d'énormes quantités de nourriture sont gaspillées chaque jour et que des ressources sont dépensées en armes. La guerre en Ukraine a encore aggravé cette situation, mettant des peuples entiers en danger de famine, notamment en Afghanistan et dans les pays de la Corne de l'Afrique. Nous savons que chaque guerre provoque la faim et exploite la nourriture comme une arme, empêchant sa distribution aux personnes qui souffrent déjà. En ce jour, prenons exemple sur le Prince de la Paix et, en commençant par ceux qui exercent des responsabilités politiques, engageons-nous à faire de la nourriture uniquement un instrument de paix. Et tandis que nous nous réjouissons de nous retrouver avec nos proches, pensons aux familles qui connaissent de grandes difficultés et à celles qui, en cette période de crise économique, luttent contre le chômage et manquent du nécessaire.

    Chers frères et sœurs, aujourd'hui comme hier, Jésus, la vraie lumière, vient dans un monde gravement malade de l'indifférence, un monde qui ne l'accueille pas (cf. Jn 1, 11) et qui le rejette même, comme il le fait avec de nombreux étrangers, ou qui l'ignore, comme nous le faisons trop souvent avec les pauvres. Aujourd'hui, n'oublions pas les nombreuses personnes déplacées et les réfugiés qui frappent à notre porte à la recherche d'un peu de confort, de chaleur et de nourriture. N'oublions pas les marginaux, ceux qui vivent seuls, les orphelins, les personnes âgées - qui sont la sagesse de leur peuple - qui risquent d'être mis de côté, et les prisonniers, que nous considérons uniquement pour les erreurs qu'ils ont commises et non comme nos semblables.

    Frères et sœurs, Bethléem nous montre la simplicité de Dieu, qui ne se révèle pas aux sages et aux intelligents, mais aux petits, à ceux qui ont un cœur pur et ouvert (cf. Mt 11, 25). Comme les bergers, partons nous aussi en hâte et laissons-nous surprendre par l'événement impensable de Dieu qui se fait homme pour notre salut. Lui, la source de tout bien, se fait pauvre [1], demandant en aumône notre pauvre humanité. Laissons-nous toucher par l'amour de Dieu. Et suivons Jésus, qui s'est dépouillé de sa gloire pour nous faire participer à sa plénitude[2]. [2]

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    [1] Cf. SAINT GREGOIRE de NAZIANCE , Or. 45.

    [2] Cf. ibid.

  • Ordinations et entrées au Séminaire de Namur en 2022

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    Le Séminaire de Namur assure la formation des candidats au sacerdoce des diocèses francophones de Belgique (Malines-Bruxelles, Namur, Liège et Tournai).

    Ont été ordonnés au cours de l’année écoulée :
    (N.B. Sont repris ici les ordinands qui ont suivi leur formation, en tout ou en partie, au Séminaire à Namur)

    Archidiocèse de Malines-Bruxelles :
    • Marc GIRAUD a été ordonné prêtre le 19 juin 2022 à Bruxelles, par le Cardinal J. De Kesel, archevêque de Malines-Bruxelles.
    • Thaddée NZAZI a été ordonné diacre en vue du ministère presbytéral le 9 octobre 2022 à Ixelles, par le Cardinal J. De Kesel.
    • Deiver David GONZALEZ ARCE, membre du Chemin Néo-catéchuménal, sera ordonné diacre en vue du ministère presbytéral le 11 décembre 2022 à Jette, par le Cardinal J. De Kesel.
    • Cyril de NAZELLE, membre de la Communauté de l’Emmanuel, sera ordonné diacre en vue du ministère presbytéral le 8 janvier 2023 à Ixelles, par le Cardinal J. De Kesel.

    Diocèse de Namur :
    • Boris HOUENGNISSOU a été ordonné prêtre le 26 juin 2022 à Namur, par Mgr P. Warin, évêque de Namur.
    • Justin BAILLY a été ordonné diacre en vue du ministère presbytéral le 30 octobre 2022 à Ciney, par Mgr P. Warin.
    • Antoine-Marie NGO THAI HIEP sera ordonné diacre en vue du ministère presbytéral le 18 décembre 2022 à Bertrix, par Mgr P. Warin.

    Diocèse de Liège :
    • Guillaume GIROUL a été ordonné prêtre le 3 juillet 2022 à Liège, par Mgr J.-P. Delville, évêque de Liège.
    • Nikola HALLEUX a été ordonné diacre en vue du ministère presbytéral le 12 novembre 2022 à Liège (Outremeuse), par Mgr J.-P. Delville.

    Diocèse de Tournai :
    • Éloi MEVA’A a été ordonné diacre en vue du ministère presbytéral le 9 octobre 2022 à Mouscron, pa Mgr G. Harpigny, évêque de Tournai.

    Sans oublier aussi d’autres engagements, notamment chez les religieux:
    (N.B. Ici aussi, nous ne mentionnons que ceux qui ont suivi leur formation au Séminaire à Namur)
    • Fr. JERRY, membre de la Fraternité de Tibériade, a prononcé ses vœux perpétuels le 30 avril 2022, en présence de Mgr P. Warin.
    • Fr. FAUSTIN, moine trappiste de Scourmont (Chimay), a été ordonné prêtre le 14 mai 2022, par Mgr G Harpigny.
    • Allan AZOFEIFA, membre du Chemin Néo-catéchuménal, a été ordonné prêtre le 26 juin 2022 à Arras, par Mgr O. Leborgne.
    • Fr. JEAN-BAPTISTE, moine bénédictin de Maredsous/Gihindamuyaga a été ordonné prêtre le 16 juillet 2022 en son abbaye.
    • Fr. LUC, moine bénédictin de Maredsous/Gihindamuyaga a été ordonné diacre en vue du ministère presbytéral le 16 juillet 2022 en son abbaye.
    • Fr. DAVID, Augustin de l’Assomption, a été ordonné diacre en vue du ministère presbytéral le 6 novembre 2022 à Woluwé-St-Lambert, par Mgr J. Kockerols.

    Chronique de la vie au Séminaire, au fil des mois… :

    Début septembre, nous avons accueilli deux nouveaux séminaristes en propédeutique (Laurent, de Tournai, et Paul, de Liège), tandis que Martin (de M.-Bruxelles), nous a rejoints après deux années de philosophie à Paris. Cette année, la communauté du Séminaire compte donc 17 séminaristes, issus des 4 diocèses francophones de Belgique. Bien entendu, d’autres séminaristes des communautés nouvelles (néo-catéchuménat, Emmanuel), des religieux et des étudiants de l’IDF (futurs professeurs de religion, futurs assistants paroissiaux ou auditeurs libres) suivent également les cours au Studium du Séminaire.