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  • Au sommaire de la Nef (juillet-août)

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    FIC65683HAB30.jpg(Les titres en bleu sont des liens; en cliquant dessus, on accède aux articles.)

    ÉDITORIAUX
    L’imposture du gender, par Christophe Geffroy
    Quel avenir pour les métaux ? par Jacques de Guillebon

    ACTUALITÉ
    Benoît XVI en Croatie, par l’abbé Christian Gouyaud
    JMJ : Madrid sous le signe de la foi, par Hortense de Villers
    Pour apprendre le grégorien, entretien avec Claude Pateau
    Vie de l’Église : ordinations 2011, par Loïc Mérian
    L’autre Palestine, par Falk van Gaver
    La « démondialisation », par Christophe Geffroy
    Avortements de masse : Lebensborn ou Vivaldi ?
    par Romaric Sangars
    Chronique-Vie : Ne pas baisser les bras !
    par Pierre-Olivier Arduin
    International : Quand le peuple manque,
    par Paul-Marie Coûteaux

    ENTRETIEN
    Les Missionnaires de la Miséricorde divine : la priorité de l’évangélisation, entretien avec l’abbé Fabrice Loiseau

    DOSSIER : LES FINS DERNIÈRES
    De l’importance des fins dernières,
    par l’abbé Christian Gouyaud
    Ce que l’Église en dit, par l’abbé Christian Gouyaud
    Les limbes : état de la question, par l’abbé Tancrède Leroux
    L’enfer est-il vide ? par l’abbé Christophe J. Kruijen
    La réalité du purgatoire, par l’abbé Paul Préaux
    Défendre l’eschatologie avec J. Ratzinger,
    par l’abbé Christian Gouyaud
    Le rôle des funérailles, par l’abbé Albert Jacquemin
    « Le paradis à la porte », entretien avec Fabrice Hadjadj

    VIE CHRÉTIENNE
    Assomption : à l’école de Marie, par le père Pavel Syssoev
    Question de foi : Le prince doit-il être vertueux ?
    par l’abbé Hervé Benoît

    CULTURE
    Bismark, le chancelier de fer, par Michel Toda
    Au fil des livres : Un Thibon inédit, par Philippe Maxence
    Notes de lecture, chroniques musique, internet, livres jeunes, cinéma, sortir
    Un livre, un auteur : Père Michel Viot

    BRÈVES : toutes nos annonces du mois en ligne

  • La Grèce et la Communauté Européenne : une analyse "tirée par les cheveux"?

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    C'est du moins l'impression que l'on a lorsqu'on lit l'article de Dominique Decherf intitulé "La chute de Byzance" sur le site de "France Catholique" et qui commence ainsi :

    "La crise grecque pourrait entraîner, dit-on, une crise générale en Europe. Mais n’est-ce pas moins parce que la Grèce orthodoxe se montre rétive à la discipline nécessaire pour s’européaniser complètement que parce que l’Europe de l’Union a la prétention de s’helléniser sous la forme d’un nouvel empire byzantin ?"

    lire la suite ici pour se forger une opinion...

  • Les intellectuels menaceraient-ils le "désordre établi"?

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    "La dissidence des intellectuels a précédé la chute de l’Union soviétique. La révolte des intellectuels contemporains pourrait bien annoncer la chute de l’empire cosmopolite. Certes les oligarques du Système sont puissants : ils possèdent l’argent et contrôlent les médias classiques. Mais le pouvoir de ces oligarques est triplement menacé : par la révolte populiste, par la révolte numérique mais aussi par la révolte des intellectuels. Philosophes, anthropologues, économistes, géopoliticiens, géographes et sociologues sont de plus en plus nombreux à contester le désordre établi. A l’écart d’une actualité hollywoodienne, Andrea Massari nous propose de prendre un peu de hauteur… Explications."

    découvrir la suite de cette chronique proposée dans la "Tribune de Polemia" ICI

     

  • L'art des petits pas

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    Dans une note consacrée à sa participation au pèlerinage des pères (Vezelay-Cotignac) intitulée "Vous auriez pas vu ma Fin Véritable?", Koztoujours propose cette prière qu'il y a découverte; c'est une perle que nous vous proposons à notre tour :

    Seigneur, apprends-moi l’art des petits pas.
    Je ne demande pas de miracles ni de visions,

    Mais je demande la force pour le quotidien !

    Rends-moi attentif et inventif pour saisir

    Au bon moment les connaissances et expériences

    Qui me touchent particulièrement.

    Affermis mes choix

    Dans la répartition de mon temps.

    Donne-moi de sentir ce qui est essentiel

    Et ce qui est secondaire.

    Je demande la force, la maîtrise de soi et la mesure,

    Que je ne me laisse pas emporter par la vie,

    Mais que j’organise avec sagesse

    Le déroulement de la journée.

    Aide-moi à faire face aussi bien que possible

    A l’immédiat et à reconnaître l’heure présente

    Comme la plus importante.

    Donne-moi de reconnaître avec lucidité

    Que la vie s’accompagne de difficultés, d’échecs,

    Qui sont occasions de croître et de mûrir.

    Fais de moi un homme capable de rejoindre

    Ceux qui gisent au fond.

    Donne-moi non pas ce que je souhaite,

    Mais ce dont j’ai besoin.

    Apprends-moi l’art des petits pas !

  • Comment croire qu'il n'y aurait pas de résurrection pour nous ?

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    "Evangile au Quotidien" propose aujourd'hui ce beau commentaire :

                Un arbre arraché, coupé même sur le pied, puis replanté -- le saule, par exemple -- repousse et refleurit ; et un homme arraché de dessus le sol ne revivra pas ? Les semences moissonnées reposent, dorment dans les greniers et revivent au printemps ; et l'homme moissonné, jeté dans les greniers de la mort, ne revivra pas ? Un bourgeon de vigne, une branche coupée et transplantée, se ravivent et portent des fruits ; et l'homme pour qui tout a été créé, une fois tombé ne pourra pas se relever ?

               Contemplez aussi ce qui se passe autour de vous. Méditez sur le tableau de ce vaste univers. Je sème du blé ou toute autre graine ; il tombe, il pourrit et ne peut plus servir à la nourriture de l'homme. Mais de sa pourriture il renaît, il s'élève, il se multiplie. Je n'ai semé qu'un seul grain et j'en recueille vingt, trente et plus. Or pour qui a-t-il été créé ? N'est-ce pas pour notre usage ? Ce n'est pas pour elles-mêmes que toutes ces semences sont sorties du néant. Donc ce qui a été créé pour nous meurt et renaît, et nous, pour qui ce prodige s'opère tous les jours, nous serions exclus de ce bienfait ? Comment croire qu'il n'y aurait pas de résurrection pour nous ?

    Saint Cyrille de Jérusalem (313-350), évêque de Jérusalem et docteur de l'Église Catéchèses baptismales, n° 18, 6 ; PG 38, 1021

  • La France s’inquiète d’une possible scission de la Belgique

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    v-bart.jpgSur son blog, Jean Quatremer, correspondant du journal Libération auprès de l’Union européenne,  a écrit ce vendredi 8 juillet :

    « Deux députés français, Robert Lecou, élu UMP de l’Hérault, et Jean-Pierre Kucheida, élu PS du Pas-de-Calais, étaient en Belgique, hier et aujourd’hui, pour préparer un rapport parlementaire sur la crise belge qui devrait être publié à la rentrée. Le hasard faisant bien les choses, ils ont débarqué dans le Royaume au moment où Bart De Wever le précipitait dans l’abime.

    Ils ont rencontré politiques et journalistes (belges et français, dont moi-même) afin de se faire une idée de la gravité de la crise. Les deux parlementaires étaient manifestement effarés de découvrir l’ampleur du fossé séparant les Francophones des Néerlandophones. Ils ont notamment posé beaucoup de questions sur les scénarios qui pourraient mener à un éclatement du pays et sur un éventuel rattachement de la Wallonie à la France… En juillet 2010, déjà, le quai d’Orsay avait lancé une réflexion sur le sujet afin de ne pas être pris par surprise si le pire arrivait. On peut comprendre l’angoisse, tardive, des autorités françaises, puisque, c’est la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, qu’une telle instabilité menace directement ses frontières, instabilité qui pourrait créer de graves tensions entre les « puissances européennes ».

    « Puissances européennes », un langage du XIXe siècle tout à fait adapté, car c’est tout le modèle européen qui prend l’eau en ce moment : une Belgique, modèle de cohabitation entre communautés, qui prend le gite, une zone euro attaquée par les marchés faute de vouloir franchir le pas fédéral, une Allemagne tentée par le Sonderweg (le chemin solitaire)… Autant de crises qui ont un point commun : le refus de la solidarité entre riches et pauvres, la certitude que seuls on s’en sort mieux, le rejet de l’autre. On sait où cela a mené l'Europe dans le passé. »

    Coulisses de Bruxelles, UE

  • Lire en vacances : découvrir ou redécouvrir Marie Noël

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    imagesCAG4Y52R.jpgNée à Auxerre dans une famille très cultivée mais peu religieuse, Marie Noël, de son vrai nom Marie Rouget (1883-1967), resta célibataire et s’éloigna très peu de sa ville natale. Sa vie ne fut pas si lisse pour autant : un amour de jeunesse déçu (et l’attente d’un grand amour qui ne viendra jamais), la mort de son jeune frère un lendemain de Noël (d’où elle prit son pseudonyme), les crises de sa foi...tout cela sous-tend une poésie aux airs de chanson traditionnelle.

    Les admirateurs du génie de la muse d'Auxerre savent qu'il existe un mystère Marie Noël. D'où, bien des fables qui circulent à son sujet : les uns lui prêtant des aventures sentimentales qui n'ont jamais eu lieu que dans leur imagination ; d'autres faisant de cette fille d'humaniste, chargée de parchemins universitaires, une autodidacte ; d'autres encore, une institutrice, ou une bergère. Certains critiques, comme l’auteur de l’ « histoire littéraire du sentiment religieux en France », l'abbé Henri Bremond  (1865-1933), un moderniste de la première heure, ne voient en elle que « gaminerie angélique » …

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  • Un Congrès sur le volontariat catholique

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    "Un congrès rassemblera quelque 150 représentants des bénévoles catholiques d’Europe – évêques, responsables des conférences épiscopales et des grandes organisations caritatives - à Rome les 10 et 11 novembre 2011, dans le cadre de l’Année du volontariat de l’Union européenne, a annoncé aujourd’hui à la presse le cardinal Robert Sarah, président du conseil pontifical Cor Unum.

    La Commissaire européenne à la Coopération internationale, l'aide humanitaire et la réaction aux crises, Mme Kristalina Georgieva, a été invitée à la rencontre, qui rassemblera aussi des témoins comme Veronika Ottrubay, qui vit à l'Arche de Jean Vanier depuis 1985 et qui est responsable de « La Ferme » de Trosly : un témoignage de la « vie de foi » du volontariat catholique.

    Le volontariat représente en Europe quelque 140 millions de personnes : il s’agit de « mettre l’accent sur la contribution catholique à cette réalité » sur le vieux continent, et de réfléchir, a précisé le cardinal Sarah, à l’identité du volontariat catholique, dessiner un « cadre général » et identifier les « défis », les « rapports avec les institutions publiques »."

    C'est Zenit qui nous en informe, et, comme dans le cas de la Caritas, on constate le besoin de recadrer l'action caritative dans sa dimension, véritablement catholique. Tout l'article est à lire ICI

  • Elisabeth de la Trinité bientôt canonisée grâce à la guérison d'une malade belge ?

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    "Il y a une dizaine d’années, une femme malade s’est rendue au carmel de Flavignerot en fauteuil roulant pour prier la bienheureuse. Lors de sa prière, la quadragénaire, de nationalité belge, aurait alors réussi à se mettre debout et marcher sans aide.

    Cette guérison inexpliquée va faire l’objet d’une enquête de l’archevêché, qui va démarrer lundi à 18 heures à Dijon. Un « tribunal diocésain » va tâcher de réunir des témoignages et autres éléments tangibles permettant d’orienter l’enquête, qui pourrait durer plusieurs mois, voire plusieurs années. Cette instance est composée de Mgr Minnerath, archevêque de Dijon, d’un juge délégué de l’archevêché, Mgr Ennio Apeciti, d’un « promoteur de justice », le chanoine Paul Chadeuf, délégué du diocèse pour la vie consacrée et du père Yves Frot, qui remplira la tâche de notaire."

    C'est ce que rapporte "Le Bien Public" (Côte d'Or), qui précise : "Élisabeth de La Trinité, née en 1880, est entrée au carmel de Dijon à l’âge de 21 ans. Atteinte d’une maladie incurable, elle recueille ses prières sur des carnets et meurt le 9 novembre 1906. La Dijonnaise a été béatifiée par le pape Jean-Paul II le 25 novembre 1984."

    Elisabeth de la Trinité est une grande mystique comme en témoigne cette prière très inspirée reproduite ci-dessous :

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  • Pie XII a sauvé des milliers de juifs et a protégé leur patrimoine

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    "La récente ouverture de certaines sections des archives secrètes du Vatican a permis de constaté que le pape Pie XII a non seulement contribué à sauver des milliers de juifs des rafles nazies, mais qu'il a également sauver leur patrimoine." 'Zenit : http://www.zenit.org/article-24905?l=french

    La Fondation « Pave the Way » a annoncé le 29 juin dernier que ses chercheurs avaient découvert des documents d'une « grande importance ».

    Lire la suite dans l'article de Zenit mentionné ci-dessus.

  • Des prêtresses ? Le patriarche de Lisbonne bat sa coulpe...

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    Après avoir fait des déclarations étonnantes au sujet de l'accès des femmes au sacerdoce que, selon le cardinal Policarpo, patriarche de Lisbonne, ne devrait pas rencontrer d'obstacle théologique, il est revenu sur ces déclarations en déclarant que l'ordination des femmes est "impossible" :

    "Le patriarche est revenu sur la « complémentarité de l’homme et de la femme dans l’histoire du salut », qui « atteint sa plénitude dans la révélation du Christ et de Marie », et sur le ministère sacerdotal, enraciné dans le Nouveau Testament, qui, a-t-il rappelé, dès le début, « n’était conféré qu’aux hommes ». 

    « Le fait qu’il n’y ait pas de femmes parmi ses successeurs et collaborateurs, a-t-il souligné, ne signifie pas minimiser la femme, mais rechercher la complémentarité entre l’homme et la femme qui se réalise pleinement dans les relations entre le Christ et Marie ».

    Selon le cardinal Policarpo, une des causes de la revendication du sacerdoce féminin est « la perte de conscience de la dignité sacerdotale de tous les membres de l'Église, réduisant l’expression sacerdotale à un sacerdoce ordonné ».

    Une autre cause serait, selon lui, « la compréhension du sacerdoce ministériel comme étant un droit et un pouvoir, sans percevoir que personne, ni homme ni femme, ne peut revendiquer ce droit, se trouvant à accepter l’appel de l'Église à ce service, qui inclut le don de sa propre vie ».

    Le magistère récent des papes, a-t-il rappelé, interprète cette tradition ininterrompue de n’ordonner que des hommes « non seulement comme un moyen pratique de procéder, qui peut changer au rythme de l’action de l’Esprit Saint, mais également comme expression du mystère de l'Église, que nous devons accueillir dans la foi ».

    « Nous sommes donc invités à respecter le magistère du Saint-Père, dans l’humilité de notre foi, à approfondir encore ce lien entre le sacerdoce ministériel et la qualité sacerdotale de tout le Peuple de Dieu et à découvrir le moyen féminin de construire l'Église, dans le rôle décisif de la mission de nos sœurs, les femmes », a conclu le cardinal Policarpo." (Zenit)

    Conclusion : même un cardinal devrait tourner sa langue 77 fois 7 fois dans sa bouche avant de s'exprimer, surtout sur des questions aussi délicates.