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  • BXL et Tournai, 16 et 17 janvier : Divorcés, aimer encore

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    Le père Michel Martin-Prével en Belgique pour présenter son nouveau livre

     « Divorcés Aimer encore»

    le 16 janvier 2012 à 19h30 à Bruxelles (librairie UOPC).

    le 17 janvier 2012 à 17h30 à Tournai (librairie Siloé, rue des Jésuites 28)

    Le Père Michel Martin-Prével est membre de la Communauté des Béatitudes en France depuis 1981. Veuf après trente-deux ans de mariage, et père de trois enfants, il a été ordonné prêtre en 2009. Il exerce un ministère d'accompagnement auprès de couples en difficulté et de divorcés depuis plus de vingt ans. Il est également l’auteur de plusieurs livres aux Editions des Béatitudes dont : « La communion de désir » et « Lettre aux divorcés ». Il a une grande expérience pastorale avec des couples mariés, des époux séparés vivants seuls et des personnes divorcées remariées.« L’objet de ce livre est d’aider des divorcés, qui se trouvent dans n’importe quelle situation, à retrouver leur vocation humaine à l’amour et à prendre pleinement leur place dans l’Eglise, après avoir connu un échec conjugal».  L’auteur résume ainsi son travail en précisant qu’il ne s’adresse pas qu’à des personnes divorcées mais vise à faire comprendre à un large public la parole de l’Eglise sur cette question difficile, douloureuse et délicate du divorce. Pari audacieux d’autant plus qu’il entreprend avec courage, comme le remarque le père Sonnet dans sa préface, de montrer que si cette position parait dure et peu compréhensible dans la société actuelle c’est parce que l’Eglise entend rester fidèle à l’enseignement du Christ, pour redire la beauté et la grandeur du mariage chrétien. Une approche positive pour aider divorcés, restés seuls ou remariés à progresser vers l’attitude juste entre miséricorde et vérité, et vivre en paix leur situation.

    www.ouipourlavie.org

  • Un astre nouveau au firmament du Vatican

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    La Libre de ce jour publie la plaisante pasquinade que lui a adressée Mutien-Omer Houziaux :

    Une nouvelle consultante au Vatican

    Les Goemans, les Nougé, les Magritte, les Chavée, et autres hérauts belges du messianisme surréaliste risquent de perdre un peu de leur éclat singulier. En cette période de l’Epiphanie, c’est une nouvelle étoile qui vient d’apparaître au firmament des visionnaires de l’art aléatoire. L’astre nouveau a été baptisé Laurette; outre d’éminentes activités publiques, elle assumera désormais de tout autres fonctions, également élevées, quoique occultes. De source généralement bien informée, on apprend en effet que Rome l’aurait investie d’une prélature (putative) au titre de guide spirituelle et protectrice des catholiques belges. Chargée d’évaluer le travail des personnes à surveiller, elle aurait déjà, par courrier ultramontain, envoyé une première note plus que sévère à propos d’un suspect. Peu de choses ont filtré des prérogatives exactes confiées au nouveau primat (un titre encore non féminisé), mais il semble bien qu’une de ses principales missions serait de remettre le catéchisme de l’Eglise catholique en conformité avec la législation belge, en veillant toutefois à ne pas porter atteinte aux droits acquis d’autres confessions. Mission délicate s’il en est. Chacun sait, en effet, que le législateur belge a pris sur des questions au demeurant politiquement considérées comme mineures des positions avancées (comme on qualifie certains fromages de "un peu trop goûteux"). Au vu des informations qui circulent sur Internet, il semble que la tâche confiée à la nouvelle dignitaire pourrait connaître quelques revers de fortune, une certaine opposition se faisant de moins en moins silencieuse. Attendons donc le temps pascal : selon une tradition presque bimillénaire, il paraît que ce temps-là est propice à une certaine résurrection des esprits.

    Mutien-Omer Houziaux

  • Pendjab : l'enseignement catholique confronté à une volonté d'islamisation

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    Le site des Missions Etrangères de Paris souligne la dégradation de la situation de l'enseignement catholique au Pendjab. Extrait :

    "Outre les problèmes financiers, les écoles chrétiennes du Pendjab, y compris les plus réputées, doivent affronter les discriminations liées à l’islamisation progressive du pays. En 2005, le ministre de l’Education du Pendjab, Imran Masood, déclarait pourtant aux responsables de l’enseignement catholique de Lahore : « Nous ne vous considérons pas comme des étrangers. Vos écoles sont nos écoles (…) et nous pensons que les minorités doivent participent pleinement à l’éducation de notre nation (…). S’il vous plaît, ouvrez des écoles secondaires et des universités. Nous vous accorderons volontiers toutes les autorisations nécessaires et nous vous restituerons toutes les écoles qui ne l’ont pas encore été » (2). Mais en 2006, malgré ses promesses, le gouvernement rendait obligatoire pour les établissements secondaires du pays « l’enseignement de l’islam et de l’arabe (l’Islamiyat) comme matière principale, et de la morale pour les non-musulmans ». Une mesure rapidement dénoncée par les minorités comme fortement discriminatoire, les élèves ayant choisi les cours de morale échouant systématiquement aux examens..."

    Lire l'entièreté de l'article

  • La solidarité, remède contre l'individualisme

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    Comme en chaque début d'années, le Saint-Père a reçu les organes dirigeants de la Région Latium, de la Municipalité et de la Province de Rome, devant lesquels il a évoqué la complexité et l'acuité des problèmes générés par la crise. Celle ci, leur a dit Benoît XVI, "peut être une occasion pour la société toute entière de voir si ses critères actuels ont produit un monde juste et solidaire, ou si il ne faudrait pas repenser profondément les valeurs de référence... Des valeurs qui peuvent favoriser une reprise économique mais aussi le développement intégral de la personne". Puis il a dénoncé "l'individualisme, qui occulte la dimension relationnelle de l'homme, et le conduit à se replier sur son petit monde, attentif à satisfaire avant tout ses désirs et besoins personnels au détriment des besoins d'autrui. La spéculation des loyers, un accès de plus en plus difficile à l'emploi des jeunes, la solitude accrue des personnes âgées, l'anonymat croissant des périphéries, comme une perception trop souvent superficielle de la marginalité et de la pauvreté", découlent de cette mentalité. Il convient donc de "retrouver la relation à l'autre comme élément constitutif de la vie", et de comprendre que Dieu "est seul capable d'offrir aux hommes un accueil sans condition et un amour infini".

    Les institutions publiques doivent favoriser la conscience de ce que nous sommes tous membres de la même réalité, en développant l'accueil, la solidarité et la légalité. Chaque individu "doit apprendre à se sentir hôte d'une maison commune, dont il doit lui aussi avoir soin". La solidarité, a poursuivi le Pape, "constitue une exigence de charité et de justice que, dans les moments difficiles, les plus aisés mettront au service de qui se trouve en difficulté". Quant aux institutions publiques, elles doivent "défendre la famille, fondée sur le mariage, qui est la cellule essentielle de la société", et appliquer la charité de façon particulière en faveur des jeunes. Ils " sont les plus pénalisés par le chômage" et ont besoin de "politiques en mesure de leur assurer un logement à prix correct ainsi qu'un emploi". Ainsi on leur évitera d'être "victimes de criminels, proposant de faux bénéfices". Le Saint-Père a conclu en disant qu'il est également "nécessaire de faciliter une culture de la légalité, en aidant les citoyens à comprendre que les lois servent à canaliser les énergies de la société en faveur du bien public". Ainsi a-t-il recommandé aux institutions publiques de prendre des mesures justes et équitables, "qui tiennent aussi compte de la loi que Dieu a inscrite dans le coeur de l'homme, et que la raison permet à chacun de connaître".

    Source : AC/VIS (Vatican Information Service) 20120112 (450)

  • Un voeu pieux : "Que les écoles osent affirmer leur identité catholique"

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    Nos églises sont désertées et en voie de désacralisation, nos médias et nos politiques bannissent toute référence au christianisme, mais, figurez-vous, la plupart des parents qui mettent leurs enfants à l'école libre sont très attachés à l'engagement catholique de ces écoles. Si, si, c'est relaté sur le site de catho.be : que-les-ecoles-osent-affirmer-leur-identite-catholique.

    Ces écoles qui ont désaffecté leurs chapelles pour en faire des parkings ou des salles de gymnastique, où l'on ne prie plus, où la religion enseignée relève davantage des sciences humaines que du catholicisme, où il est mal seyant de se réclamer du pape ou du primat de Belgique, où il faut renoncer de près ou de loin à tout ce qui pourrait apparaître comme une forme de "prosélytisme", ces écoles sont donc censées être invitées à affirmer leur identité catholique pour répondre aux attentes des parents. L'eusses-tu cru?

  • "Une souffrance cachée": une brochure de la conférence épiscopale

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    L'information est apparue ce matin sur le site de catho.be :

    "Dans la foulée des travaux de la Commission parlementaire «  », qui a abouti entre autres à la constitution de tribunaux d’arbitrage pour indemniser les victimes d’ dont les faits sont prescrits aux yeux de la loi, la Conférence épiscopale présente ce jeudi matin à la presse une brochure intitulée « Une souffrance cachée – Pour  une  approche globale des  abus  sexuels  dans  l’Eglise ». Ce document de 52 pages, publié aux Editions Licap, entend être la réponse des Evêques de Belgique et des Supérieurs des Religieuses et Religieux de Belgique aux cas d’abus sexuels commis notamment par des membres du clergé.  L’ouvrage est divisé en deux parties. La première vise, entre autres, à tirer les leçons de récits douloureux entendus de la part des victimes et porte à rompre le silence et à ne pas  ne pas laisser les abuseurs en paix.  La seconde partie entend poser les jalons en vue du traitement et de la prévention des abus sexuels..."

    lire la suite ici : http://info.catho.be/

    Tout cela est sans doute bel et bien mais personne ne nous empêchera de penser que ces dérives tragiques se sont produites dans un contexte d'atonie religieuse et de relâchement généralisé et qu'il serait grand temps de retrouver un tonus religieux et spirituel à la hauteur des défis actuels. Dans la perspective de cette année de la foi qui s'ouvrira à l'automne prochain, nous sommes curieux de voir quelles propositions seront faites aux catholiques de Belgique pour sortir de cette léthargie déprimante. 

     

  • Hongrie : où trouver un antidote à la désinformation ?

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    Il est difficile de trouver dans la presse en langue française quelque chose de correct à propos de la Hongrie. On n'entend que les aboiements indignés de la meute enragée. Comment ce pays ose-t-il braver le consensus du politiquement correct en édictant une constitution où la famille, l'embryon humain, et même Dieu, ont droit à des égards particuliers? Mais nos redresseurs de torts ont plus d'un tour dans leur sac et s'apprêtent à recourir à des pressions économiques pour contraindre la Hongrie à revenir à des sentiments plus conformes à notre modèle de "démocratie libérale avancée".Et "Dimanche" ne fait pas mieux, comme nous le fait remarquer une de nos lectrices :

    "Quelque chose de correct à propos de la Hongrie? Ce n'est sûrement pas dans le "Dimanche" de cette semaine que vous le trouverez. Le très "progressiste" Pascal André s'est fendu d'un article vengeur et sans nuances sur ce qu'il appelle la dérive inquiétante de Viktor Orban. Sans faire la distinction entre les aspects positifs du point de vue chrétien et d'autres purement politiques et économiques qui peuvent effectivement être l'objet de critiques. Mais de là à prétendre que "c'est salir et instrumentaliser le nom de Dieu que de l'associer à une telle dérive autocratique", il y a de la marge. Le moins que l'on puisse dire c'est que l'unique hebdo catholique francophone est plutôt orienté..."

    Notre amie du site "Benoît-et-moi" n'a pas ménagé ses efforts pour trouver, en Italie et en Angleterre, des articles qu'elle a courageusement traduits et mis en ligne. Nous vous invitons à en prendre connaissance :

    Où va la Hongrie? L'unanimité de la grosse presse contre ce petit pays d'Europe centrale méconnu, qui souffre d'être "mal" sorti du communisme, commence à ressembler à un lynchage télécommandé. Deux articles de la Bussola d'aujourd'hui apportent un éclairage différent. (11/1/2012)

    Ou va la Hongrie? (suite) En prolongement des deux articles de la Bussola traduits hier, voici un article du quotidien britannique The Telegraph, témoignage de l'écrivain anglais d'origine hongroise Tibor Fisher. (12/1/2012)

    Il faut prier pour la Hongrie! Une lettre d'un agent pastoral hongrois, ingénieur à la retraite. Mon amie Marie-Anne l'a traduite pour mes lecteurs, en les remerciant de leur sympathie pour ce pays en danger. (12/1/2012)

  • Une video de Mgr Di Falco sur la christianophobie

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    Un évêque s'exprime sans langue de bois; c'est à découvrir en cliquant sur le lien suivant : http://dimancheprochain.over-blog.com

  • Rencontre-conférence avec Mgr Léonard à Hal, ce dimanche 15 janvier

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    Dimanche 15 janvier à 15h30

    en la Basilique Notre-Dame,

    conférence de Mgr Léonard

    en visite pastorale dans le doyenné de Hal

    L'occasion de rencontrer et de soutenir notre archevêque constamment attaqué et diffamé pour des propos qui ne sont rien que catholiques et la plupart du temps déformés, et cela aussi bien à l'intérieur de l"Eglise que par la laïcité combattante.

  • La porte ouverte à la sélection prénatale du sexe ?

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    La synthèse de presse de Généthique relaie cette information :

    "Début janvier 2012, la revue Federation of American Societies for Experimental Biology a publié l'étude d'une équipe sud-coréenne, selon laquelle un simple test sanguin en début de la grossesse suffira bientôt à déterminer le sexe de l'enfant. Jean-Pascal Beaupré, journaliste québécois pour Cyberpresse s'interroge sur les questions éthiques soulevées par cette avancée scientifique.

    Au Québec, l'avortement étant autorisé jusqu'à 12 semaines de grossesse, il n'est pas possible d'avorter en raison du sexe de l'enfant, puisque l'on en a connaissance au cours du 4eme mois (16e semaine). Mais les motifs de recours à l'avortement sont nombreux et dépassent déjà l'ordre médical : situation économique, stabilité du couple, raison professionnelle, etc. Jean-Pascal Beaupré s'inquiète de la possible sélection du sexe qui pourrait arriver avec cette possibilité de connaître le sexe de l'enfant dès les premières semaines de grossesse.

    Il souligne que cette avancée contient en germe des dérives qui pourrait faire tomber le pays dans une surreprésentation des garçons par rapport aux filles, comme en Chine.

    Il appelle à s'interroger sur les conséquences hypothétiques d'une telle découverte : "on peut se demander si la possibilité de connaître le sexe du bébé aussi tôt ne serait pas un incitatif supplémentaire, et superflu, à renoncer à mener une grossesse à terme"."

  • Le principal défi de l'Eglise en 2012

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    Quel sera le principal défi de l'Eglise en 2012 ?

    Aleteia propose un dossier consacré à cette question qui se pose de manière particulièrement cruciale dans notre pays alors qu'on prévoit de désacraliser des dizaines d'églises et qu'on enregistre une chute vertigineuse des prêtres en activité :

    "Le défi majeur auquel l’Eglise fait face aujourd’hui est la « profonde crise de la foi qui touche de nombreuses personnes ». Pour y répondre, le pape convoque une « Année de la foi », qui se déroulera de 2012 à 2013, afin d’encourager tous les membres de l’Église à être des témoins de Jésus-Christ, capables d’indiquer aux nombreuses personnes en recherche de vérité la « porte de la foi ».

    Dans ces temps de crise, l’Eglise se trouve confrontée à de formidables défis. On parle souvent de crise dans la pratique religieuse, de crise des vocations au sacerdoce et de la vie consacrée, de divisions au sein même de l’Eglise... Certains prônent une réforme de l’Eglise. Mais quel est le principal défi auquel l’Eglise fait face aujourd’hui ?"

    Voir la réponse détaillée sur ce site : http://www.aleteia.org/

  • Saint Aelred de Rievaulx, docteur de la charité et de l'amitié

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    StAelred.jpgAelred de Rievaulx (1109-1167)

    Aelred naquit vers 1109, d'une famille qui habitait le Nord de l'Angleterre. Enfant remarquablement doué, il fut élevé à la cour d'Ecosse avec le fils du roi. Aimer, être aimé, telle était sa nature. Lorsqu'il eut compris que rien ne doit être préféré à l'amour du Christ, il entra au monastère de Rielvaux, en 1135. Désormais rien de ce qui n'était assaisonné au sel de l'Ecriture Sainte ne put en aucune manière entraîner son affection.

    Saint Aelred, le "Docteur de la charité et de l'amitié"

    D'une grande douceur au milieu de ses frères, il les surpassait tous par sa vertu. En 1143, il fut envoyé comme abbé dans la fondation de Rievaulx à Revesby, près de Lincoln. Quatre ans plus tard, la communauté de Rievaulx l'élisait comme abbé. Aelred voulut que la gloire propre de sa maison fut d'être plus que toute autre la demeure de la charité et de la paix. De cette vertu qui lui était si agréable, il devait parler avec une grâce singulière dans les traités qu'il nous a laissés. Le “Miroir de la Charité”, et plus encore, le “Traité de l’amitié spirituelle” ont fait d'Aelred le “Docteur de la charité”, de l’amitié humaine tout spécialement, qui mène à Dieu.

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