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Actualité - Page 1283

  • Le grand imam d'al-Azhar invite à tuer et crucifier les jihadistes de l'Etat Islamique

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    Lu sur Rfi.fr :

    Egypte: l'imam d'al-Azhar appelle à «crucifier» les membres de l’EI

    Le grand imam de la Mosquée égyptienne d’al-Azhar, haute autorité morale de l’islam sunnite, a estimé mercredi 4 février que les membres du groupe Etat islamique devaient être tués et crucifiés. Le cheikh Ahmed al-Tayeb réagissait à l’assassinat du pilote jordanien par les jihadistes.

    Les déclarations du cheikh Ahmed al-Tayeb ont été accueillies de manière mitigée, nous indique notre correspondant au Caire, Alexandre Buccianti. Certains y ont vu « une réaction tardive mais bienvenue de l’Azhar contre le groupe Etat islamique ». D'autres ont été choqués par la violence des propos qui, selon eux, « rejoignent les justifications données par l’Etat islamique pour ses actes barbares ».

    Le cheikh al-Tayeb s’est en réalité référé à un verset du Coran selon lequel « ceux qui font la guerre à Allah et son messager et sèment la corruption sur la terre seront tués ou crucifiés ou bien leur main droite et leur pied gauche seront coupés ».

    Les images du pilote jordanien brûlé vif par le groupe Etat Islamique qui ont été diffusées par plusieurs chaînes de télévision arabes ont provoqué de très violentes réactions de la part de l’opinion publique. Une opinion convaincue que les membres de l’Etat islamique sont les vrais ennemis d’Allah et de son prophète. (...)

  • Quand les chrétiens se font pointer du doigt pour les exactions des terroristes islamistes

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    Koz réagit à la pétition de Reporters sans Frontières qui somme les responsables des cultes d'encourager la liberté d'expression (source) :

    Vous ne me ferez pas taire au nom de la liberté d’expression

    Vous avez dit « pas d’amalgames » et je l’ai dit avec vous. Je suis de ceux qui considèrent que l’islam a un défi spécifique à relever avec la violence et qui refusent dans le même temps d’amalgamer l’islam dans son ensemble à ses fanatiques.

    Vous avez dit « pas d’amalgames », ne demandons pas aux musulmans de se désolidariser du terrorisme. « Pas d’amalgames« , et vous demandez aux chrétiens de se désolidariser de leurs bourreaux. Les assassins de janvier se réclament des organisations qui ont déporté les chrétiens en Irak, de celles qui ont emprisonné Asia Bibi pour avoir exprimé sa foi, de celles qui ont brûlé vifs un jeune couple dans un four à briques pour blasphème, au Pakistan. Les chrétiens n’ont pas attendu les pétitions parisiennes pour verser leur sang et donner des martyrs de la liberté de conscience.

    Vous avez dit « pas d’amalgames » et vous demandez aux chrétiens, après un attentat islamiste, de reconnaître la liberté d’expression. Pire encore, après l’assassinat de quatre d’entre eux, vous allez voir les Juifs pour leur intimer de signer votre pétition. Qui ne signe pas n’est pas démocrate.

    Lire la suite sur Koztoujours.fr

    Lire aussi : Mgr-Pontier-refuse-de-soutenir-l-initiative-de-Reporters-sans-frontieres-2015

  • Islam : faire confiance au pape François

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    D'Henri Hude sur Liberté Politique :

    Le pape François et l’islam : l'enjeu, c'est la paix

    Quel doit être aujourd’hui notre rapport à l’islam ? C’est une des questions qui importent le plus au bien commun. Voici quelques remarques sur la façon dont le pape François touche la question et sur la façon dont sa réponse est reçue.

    Certains demandent pourquoi le pape ne dénonce pas chaque jour à plus haute voix les cruelles persécutions que des groupes islamistes font subir aux chrétiens et à d’autres minorités, au Proche-Orient et en Afrique. La réponse est d’abord que le pape est déjà allé loin en justifiant en août, à son retour de Corée, l’idée d’une intervention internationale.

    Mais enfin, François est tenu à une certaine réserve. Il se trouve dans une situation analogue à celle de Pie XII durant la Seconde Guerre mondiale. Il parle avec grande prudence, n’agit pas en partisan, et stimule énormément ses subordonnés sur le terrain pour qu’ils diminuent les souffrances des persécutés. Tout bien considéré, c’est là ce qui est juste et raisonnable.

    Chacun se souvient des réactions disproportionnées au discours pourtant si rationnel et apaisé de Benoît XVI à Ratisbonne. Chacun vient d’être témoin de l’hypersensibilité de toute une partie du monde musulman à quelques stupides caricatures. Que ne dirait-on donc pas, si à la suite d’un discours trop énergique de François, des centaines de chrétiens étaient lynchés en terre d’islam ?

    L’analogie des deux situations me paraît frappante. Aussi je renvoie aux citations choisies du livre de Pierre Blet sj, Pie XII et la Seconde Guerre mondiale, Perrin, 1997, 2005 (un concentré de ses études monumentales [1]).  

    Une interprétation réaliste de la doctrine de la guerre juste

    François n’est pas un utopiste pacifiste. 

    Du point de vue de la doctrine sur la guerre, son enseignement marque même une inflexion par rapport au pacifisme plus marqué de ses prédécesseurs, un certain retour à une application plus « réaliste » de la doctrine classique de la guerre juste. Au cours de sa conférence de presse dans l’avion de retour d’Asie, il n’hésite pas à dire que l’agression injuste doit être « arrêtée », sans entrer dans la détermination des moyens.

    Tout en démarquant la théorie de la guerre juste de l’impérialisme qui peut en abuser, il légitime le recours à la force armée contre le terrorisme islamiste. Il ajoute que c’est aussi un droit pour l’agresseur que de se voir opposer une résistance, sans laquelle il deviendrait toujours plus mauvais. 

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  • Pakistan : les minorités religieuses sans protection

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    Lu sur le site de La Vie :

    La situation délicate des minorités religieuses

    Selon l'ONG Human Rights Watch (HRW), le gouvernement du Pakistan doit assurer la sécurité des minorités religieuses du pays. C’est ce qu’affirme un nouveau rapport international de l’ONG, rapporte l'agence Fides ce samedi 31 janvier.

    En ligne de mire de ce rapport : les attaques contre les minorités religieuses au Pakistan, qui ont augmenté de manière significative en 2014. « Le gouvernement du Pakistan a fait bien peu de choses en 2014 pour arrêter le nombre croissant d’homicides et la campagne de répression des groupes extrémistes qui frappent les minorités religieuses »déclare à Fides Phelim Kine, vice-directeur de Human Rights Watch pour l’Asie. Et d'ajouter : « Le gouvernement ne parvient pas à respecter son devoir fondamental, qui est de protéger la sécurité de ses ressortissants et de faire respecter l’Etat de droit ».

    Disparitions forcées et exécutions sommaires

    D'après les données du rapport, à Karachi – plus grande ville du pays – la violence sectaire a causé « au moins 750 homicides ciblés l’an dernier ». La province du Baloutchistan représente une « zone chaude » dans laquelle ont été enregistrées des « disparitions forcées, des exécutions sommaires et des tortures qui demeurent impunies », note également le rapport.

    Le rapport met aussi en évidence des « abus notables » envers les femmes, « alors même que les femmes des minorités religieuses sont particulièrement vulnérables », complète Fides« Chaque année, rappelle le rapport, au moins 1.000 jeunes filles appartenant aux communautés chrétiennes et hindoues sont contraintes à se marier avec des musulmans. »

    Une école chrétienne « saccagée »

    Ce lundi 2 février, dans la foulée de la publication de ce rapport, leCatholic Herald relate (en anglais) qu’une école chrétienne du nord du Pakistan a été « saccagée » mercredi 28 janvier par « des centaines d'étudiants musulmans », en signe de protestation aux caricatures de Charlie Hebdo.

    Les manifestants, qui demandent la fermeture de l'établissement, « auraient blessé quatre étudiants », précise le Catholic Herald« Il est très triste de voir les musulmans radicaux attaquer les chrétiens pakistanais à cause de Charlie Hebdo, confie (en anglais) Nasir Saeed, directeur de l'ONG chrétienne Centre for Legal Aid Assistance and Settlement (CLAAS). Les chrétiens condamnent les caricatures blasphématoires. 67 ans après la naissance du Pakistan, c'est une honte que les chrétiens ne soient toujours pas considérés comme des citoyens pakistanais, mais comme des “alliés occidentaux” ».

  • La fécondation in vitro à 3 parents votée en Grande-Bretagne

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    Un pas supplémentaire vers le "meilleur des mondes" ?

    LONDRES VOTE LA FIV À 3 PARENTS

     

    La Chambre des Communs a voté hier après-midi, à 382 voix pour et 128 contre, l'autorisation de créer des embryons à partir de 3 ADN. Ce vote constitue une première mondiale. Le texte doit maintenant passer par la Chambre des Lords, "une étape considérée comme une simple formalité",d'après l'AFP.

     

    A la veille de ce vote, la Grande Bretagne a reçu une lettre ouverte signée de 43 députés européens pour l'alerter quant aux problèmes éthiques soulevés par cette autorisation si elle était donnée (Cf. Royaume-Uni, 43 députés contre la FIV à "3 parents").

     

    De nombreux scientifiques émettent leur grande réserve au sujet de la conception in vitro d'êtres humains à partir de trois patrimoines génétiques. "C’est une nouvelle étape dans la manipulation des gamètes à des fins thérapeutiques", commente Jean-Yves Nau.

     

    Le Pr René Frydman, pionnier de la Fécondation in vitro en France, ne semble pas faire confiance à cette technique de remplacement mitochondrial (Cf. Synthèse Gènéthique du 3 février 2015). Il estime d'une part que cette méthode est "insuffisamment testée"[1]Et d'autre part, parce qu'elle entraine une modification génétique qui se transmettra de génération en génération[2], invite à la plus grande prudence.  Enfin, il fait part de sa crainte de voir ce procédé utilisé à l'avenir pour faciliter des grossesses tardives, et non plus seulement pour empêcher la transmission de maladies génétiques.

     

    Pour David King "une fois cette frontière éthique franchie, une fois acté le fait qu’il est permis de manipuler le génome humain, il deviendra difficile de ne pas franchir les étapes suivantes pour aboutir à un monde de bébés fabriqués sur mesure, un scénario que tout le monde veut éviter", un avis partagé par Jacques Testart (Cf. Synthèse Gènéthique du 4 mars 2014).

     

    Des experts ont par ailleurs soulevé des incertitudes, notamment celles relatives aux risques encourus par les enfants ainsi conçus. Ce risque porte sur le développement de certaines affections, comme les cancers.

     

    Enfin, les Eglises catholique et anglicane d'Angleterre ont aussi émis des réserves.

     

    [1] Cette méthode n'a jusqu'à présent été testée que chez le singe.

    [2] Le remplacement mitochondrial modifie les cellules germinales, c'est-à-dire les cellules des organes sexuels. Elles transmettront à leur descendance les mutations génétiques qu'elles auront subies.

    Source: 

    AFP 3/02/2015 - Le Monde (Paul Benkimoun) 3/02/2015 - La Croix (Tristan de Bourbon) 4/02/2015 - Blog de Jean-Yves Nau 4/02/2015

  • Toute famille a besoin d'un père

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    La présence du père est fondamentale

    Cité du Vatican, 4 février 2015 (VIS). A l'audience générale, tenue Salle Paul VI, le Saint-Père a poursuivi sa catéchèse sur la figure du père, abordant après l'absence la question de son rôle: "Toute famille a besoin d'un père", a-t-il affirmé d'emblée. Citant un passage du livre des proverbes, témoignant de l'émotion d'un père satisfait d'avoir transmis à son fils la première valeur qu'est la sagesse du coeur. "Je serai heureux chaque fois que tu agiras avec sagesse... C'est le témoignage que ce père avait désiré transmettre..., la capacité à penser et agir, à parler et à juger avec sagesse et rectitude. Pour cela", dit-il à son fils, "je t'ai enseigné ce que tu ignorais, j'ai corrigé les erreurs que tu ne voyais pas... J'ai du moi-même me mettre à l'épreuve de la sagesse et éviter tout excès de sentiment ou de ressentiment afin de gérer d'inévitables compréhensions et de trouver les mots justes pour me faire comprendre... Tout père sait combien il est difficile de transmettre cet héritage...mais connaît aussi la consolation et la satisfaction lorsque ses enfants montrent de l'avoir bien acquis... Mais la première condition" à la réussite "est la présence du père au sein de la famille, aux côtés de la mère, afin de partager la vie et toutes les tâches de la famille. Le père doit être présent tout au long de la croissance des enfants, partager leurs jeux, répondre à leurs questionnements, corriger leurs erreurs. Présent, le père ne doit cependant pas être un patron étouffant ses enfants, qui les empêche de grandir.

    L'Evangile parle de l'exemplarité du père céleste, le seul nous dit Jésus que l'on peut définir Père Bon. La parabole du fils prodigue, ou mieux du père miséricordieux, montre toute la délicatesse et la patience d'un père dans l'attente du retour de son fils. Le père doit être patient. En effet, un bon père doit savoir attendre et pardonner. Corriger avec fermeté ne veut pas dire humilier. Oui, les pères doivent faire preuve de patience, et se limiter à espérer lorsqu'ils ne peuvent rien faire de plus. Ils doivent prier est espérer, faire preuve de douceur, de magnanimité et même de miséricorde". Dans le Pater, Jésus nous enseigne ce qu'est la paternité. Sans la grâce qui vient du père céleste, tout père perd courage et abandonne ses responsabilités. Or ses enfants ont besoin d'avoir un père présent lorsqu'ils prennent conscience de leurs faux pas. S'ils feront tout pour ne pas le manifester, ils ont besoin de ce père qui saura soigner des blessures difficiles à traiter. Notre mère l'Eglise soutient de toutes ses forces la présence positive des pères au sein de leurs familles car ils sont pour la nouvelle génération, à l'instar de Joseph, des guides et des diffuseurs indispensables de la foi, de la bonté et de la justice".

  • Inde : sale temps pour les chrétiens

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    Inde : le nonce appelle à l'apaisement après les violences anti-chrétiennes (Radio Vatican)

    (RV) Au lendemain d’une énième attaque visant une église catholique, le nonce apostolique en Inde est sorti de sa réserve pour appeler à la lutte contre les discriminations et à la promotion du dialogue et de l’harmonie. Cet appel intervient dans un climat de fortes tensions et de violences anti-chrétiennes. Dernier épisode en date : une église catholique de New Delhi a été saccagée lundi matin par des assaillants qui ont ouvert le tabernacle, volé le ciboire et jeté les hosties à terre. Incendies criminels, messes perturbées par des jets de pierre, autels brisés, statues renversées… c’est la cinquième profanation en l’espace de deux mois contre un lieu de culte catholique, dans la capitale indienne. Les églises de New Delhi ont commencé à s’équiper en urgence de caméras de surveillance.

    Le nonce s’est donc efforcer d’apaiser les esprits. S’adressant aux 140 évêques indiens réunis en assemblée plénière à Bangalore, Mgr Salvatore Pennachio leur a rappelé que le témoignage chrétien doit toujours être offert dans un esprit de dialogue sincère et de respect, en harmonie avec les autres croyants, pour construire des ponts de fraternité et de solidarité pacifique dans une société meilleure. Le représentant du Saint-Siège s’est également adressé aux chrétiens pour qu’ils œuvrent en faveur de la communion entre tous les membres de la société civile, sans discriminations ni favoritismes.

    Les évêques demandent des mesures urgentes

    « L’Eglise indienne, a-t-il dit, doit continuer à lutter contre toutes les formes d’injustices et agir pour que tous les fidèles aient les mêmes droits et les mêmes chances ». Après les attaques contre les lieux de culte catholique, qui blessent les sentiments religieux, les évêques indiens ont publié une note demandant aux autorités de prendre des mesures urgentes et efficaces pour empêcher les actes de violences contre les minorités religieuses. Ils pressent les autorités de garantir la sécurité et la protection des chrétiens, d’autant que la recrudescence des violences anti-chrétiennes intervient alors que des élections locales sont prévues le 7 février.

    Le Secrétaire de la Commission épiscopale « Justice, paix et développement » s’est dit consterné par le silence du gouvernement. « L’Eglise élève la voix, mais elle n’obtient pas de réponse », a-t-il dit. De son côté, l’archevêque de New Delhi s’est dit convaincu que ces agressions sont bien planifiées et qu’elles s’inscrivent dans une campagne de haine et de propagande, menée par des groupes qui ont intérêt à briser l’harmonie religieuse et la paix sociale de la nation.

    Dans le reste du pays également, les chrétiens font face à différentes sortes d’agression. A la suite de l’arrivée au pouvoir en mai dernier de la droite nationaliste hindoue, les communautés chrétiennes se sentent à la merci des exactions commises par les hindouistes. De grandes campagnes de conversion à l’hindouisme ont d’ailleurs été lancées, encouragée par des parlementaires. 

  • Djihadisme : la Belgique se retrouve en première ligne

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    Le fait de voir la Belgique désignée comme cible numéro 1 du terrorisme islamiste de l'EI ne constitue pas le moindre des paradoxes de la situation actuelle :

    "L'Etat islamique va conquérir l'Europe depuis la Belgique"

    Le Vif (Belga)

    La rédaction du quotidien Het Laatste Nieuws a reçu une lettre anonyme de menaces rappelant qu'aux yeux de l'organisation Etat islamique (EI), notre pays est la cible d'"attentats à la voiture piégée et aux explosifs".

    La lettre, tapée à la machine, est arrivée par voie postale mardi. Rédigée en français, le courrier témoigne, selon des spécialistes, d'"une logique de l'EI certaine". Le(s) auteur(s) s'adresse à la population belge, à Bart De Wever et au roi Philippe. La lettre renvoie également à une vidéo diffusée sur internet la semaine passée par l'EI et dans laquelle notre pays, la France et les Etats-Unis sont menacés.

    "Ce qui s'est passé en France va se répéter en Belgique", promet l'auteur du courrier. Que ce soit dans les grandes villes ou à la campagne. "L'EI va conquérir l'Europe depuis la Belgique", ajoute-t-il. "Car vous tenez un procès contre Sharia4Belgium et retenez plusieurs de nos frères prisonniers." La lettre a été saisie par la police.

  • Notre erreur : absolutiser les libertés individuelles en oubliant le bien commun

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    L'évêque d'Ajaccio, Mgr Olivier de Germay, met le doigt avec beaucoup de lucidité sur les travers de notre société et sur la conception aberrante de la liberté d'expression qui sont à la racine des dérives auxquelles nous assistons :

    Libres pour aimer (source relayé par Riposte Catholique)

    Editorial de l’Evêque d’Ajaccio

    Au lendemain des attentats de Paris, la France s’est redressée et rassemblée pour dire non au fanatisme meurtrier et pour défendre ce droit fondamental qu’est la liberté d’expression. Saluons cette belle capacité à dépasser nos différences et à nous rassembler.

    La liberté d’expression est une valeur à laquelle nous sommes attachés. Et c’est à juste titre que nous nous scandalisons devant le cas de Raif Badawi récemment condamné à 1000 coups de fouet pour avoir critiqué le Royaume d’Arabie saoudite. Est-elle pour autant un absolu ? Si c’était le cas, il faudrait supprimer la loi condamnant le négationnisme ou l’incitation à la haine raciale.

    En tant que liberté individuelle, la liberté d’expression s’inscrit dans le cadre de la vie en société. Vouloir en faire un absolu, c’est renoncer à construire la paix sociale. De ce point de vue, réagir aux attentats par une diffusion massive de caricatures de Mahomet est la plus mauvaise des réponses. Certains revendiquent et interprètent ce choix comme le refus de céder au terrorisme.

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  • Banneux, 20-22 février : Session sur la Famille

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  • "Marche pour la Vie" 2015 : un appel des organisateurs

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    L'organisation de la Marche Pour la Vie (qui aura lieu le 29 mars à Bruxelles) est lancée !

    Les tracts à distribuer sont à votre disposition. Afin de mieux les faire parvenir aux quatre coins de la Belgique, nous faisons appel à votre collaboration.

    Vous nous aideriez dès à présent en diffusant des tracts et en acceptant d'en prendre en dépôt chez vous; contact : info@march4life.be

  • Belgique : quand les euthanasieurs ont la seringue légère

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    Lu ICI :

    Belgique : Tom Mortier saisit la CEDH à propos de l'euthanasie de sa mère

    Tom Mortier n'a su que sa mère avait « choisi » l'euthanasie qu'une fois la piqûre létale administrée. Elle avait 64 ans ; c'est au lendemain de sa mort que l'hôpital belge où elle a été euthanasiée en avril 2012 a pensé à avertir le fils, en précisant que le motif de l'euthanasie était une « dépression non soignable ». Il vient de saisir la Cour européenne des droits de l'homme de l'affaire, avec l'assistance de l'Alliance Defending Freedom, une association conservatrice siégeant à Vienne, en Autriche, qui a pour objet la défense des « valeurs familiales traditionnelles ».

    Outré de voir comment sa mère a été tuée, alors qu'elle avait une maladie psychique, Tom Mortier avait déjà saisi dans un premier temps l'Ordre des médecins en Belgique, et il avait porté plainte contre X auprès du parquet de Bruxelles.

    Son objectif ? Relancer en Belgique le débat sur l'euthanasie alors que la loi est appliquée de manière de plus en plus fantaisiste.

    Et montrer que la commission de contrôle chargée d'évaluer les euthanasies belges a posteriori n'évalue rien du tout.