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Actualité - Page 1962

  • "Le sort des Coptes serait bien pire..."

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    images.jpgDans Famille Chrétienne

    Denis Bauchard, conseiller pour le Moyen-Orient à l’IFRI :

    « Si les Frères musulmans prenaient le pouvoir en Égypte, le sort des Coptes serait bien pire » Alors que les manifestations continuent place Tahrir au Caire, le vice-président égyptien Omar Souleiman a accepté de dialoguer avec des représentants des Frères musulmans, seule véritable force d’opposition dans le pays. Denis Bauchard, conseiller pour le Moyen-Orient au sein de l’Institut français des relations internationales (IFRI), analyse pour nous la situation en Égypte, les forces en présence et revient sur la situation des Coptes au pays des pharaons. Lire la suite ici

  • France : un rapport éclairant sur la situation en Afghanistan

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    Le Padre Benoit Jullien de Pommerol ex aumônier militaire a rédigé un rapport de mission concernant sa mission en Afghanistan effectuée au cours du premier semestre 2010; il est consultable ICI.

    Celui qui dit la vérité sera exécuté..." (Guy Béart).

    On a résilié le contrat du Padre, qui n'est donc plus aumônier du 2REP.

    Une pétition adressée au ministre de la défense est en ligne ICI.

    Et le site du diocèse aux armées est ICI...

    sur MYSHL

  • Afrique du Nord : un rapport alarmant de l'OTAN

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    "Signalons enfin qu’une libéralisation politique est nécessaire pour permettre la multiplication des moyens d’expression et l’activisme politique légitime. Si une telle évolution n’intervient pas, il est probable qu’une partie de ces nombreux jeunes gens sera attirée par des alternatives radicales, avec d’importantes implications sécuritaires pour la région et l’environnement international dans son ensemble."

    Les implications de «la poussée de jeunesse» dans les populations du Moyen-orient et de l'Afrique du nord

    Le rapport, dans son intégralité est accessible ici

  • L'appel des théologiens allemands passé au crible

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    L' "appel" pour un "renouveau" de l'Eglise, publié il y a quelques jours avec les signatures de 143 théologiens catholiques en Allemagne, désormais devenus plus de 200, a fait les gros titres, principalement en Allemagne: “Kirche 2011: Ein Notwendiger Aufbruch“ .

    Le professeur Manfred Hauke, enseignant de théologie dogmatique à la faculté de Lugano, analyse le document, et il le réfute méthodiquement, dans un article publié sur le journal catholique allemand Die Tagespost .

    Deux de ses collègues de Lugano ont signé cet "appel" ... et parmi eux le doyen de la Faculté de théologie de Münster, à l'origine du document.

    à découvrir ici

    Lire également : Peter Seewald contre l'Appel des 140 (sur Benoît-et-moi)

  • Un chrétien afghan risque d'être mis à mort pour apostasie

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    Selon Christian Today, Sayyed Moussa, l’Afghan arrêté en mai pour conversion au christianisme, s’est vu signifier qu’il serait mis à mort dans les trois jours s’il refusait de se convertir à l’islam. L’article est du 7 février.

    Toujours aucune nouvelle de la Croix Rouge, pour laquelle Sayyed Moussa travaillait depuis 15 ans…

    sur le blog d'Yves Daoudal

  • L'Erythrée meurt oubliée du monde

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    carte-erythree.gifTémoignage de Carlo COSTALLI*

    Bien que la guerre et les conflits directs avec l’Ethiopie soient finis depuis longtemps, l’Erythrée vit une situation extrême et préoccupante marquée par la misère qui conduit beaucoup d’habitants à fuir le pays. Des faits récents ont remis en pleine lumière le problème des milliers de réfugiés provoqués par cette situation, dont beaucoup se sont réfugiés au Soudan.


    J’ai récemment parcouru l’Eryhrée – pour rendre visite aux initiatives financées là-bas (à hauteur de 0,5%) par le Mouvement chrétien des Travailleurs (MCL), à travers de grandes difficultés, et j’ai assisté personnellement à des situations angoissées et angoissantes d’un peuple vivant des situations extrêmes. Et pourtant, les autorités affirment que la situation approche de l’autonomie alimentaire ! Cela serait possible si, au lieu de faire la guerre, des accords commerciaux avaient été signés avec l’Ethiopie: il est très difficile de comprendre comment il se fait que deux Etats subsahariens, seuls héritiers d’une grande civilisation, ont pu se livrer à une guerre aussi longue et aussi destructrice.

    L’Erythrée s’enlise dans une situation de misère inextricable mais, par un inexplicable silence de la part des mass-médias internationaux (dans le pays, les journalistes étrangers ne sont pas admis), presque rien ne filtre de la situation dans laquelle le pays sombre et d’où, par ailleurs, les missionnaires sont expulsés et où les ONG ne peuvent exercer leurs activités.

    Les ordres religieux présents en Erythrée, malgré de fortes restrictions, travaillent dans des zones difficiles, que ce soit en raison des conditions géographiques ou du contexte socio-économique ; souvent, ils sont là où personne d’autre ne voudrait se rendre. En-dehors du témoignage de leur vie religieuse, de l’activité paroissiale, de l’assistance spirituelle, ils accueillent dans leurs maisons des centaines d’orphelins et gèrent un vaste réseau d’assistance de promotion sociale, étant donné que deux tiers des Erythréens vivent de l’aide humanitaire.

    Les centres de subsistance tenus par les religieux ne réussissent pas à atténuer la demande des besoins alimentaires, due à des périodes de sécheresse récurrente avec les famines qu’elles entraînent. Ce travail est mené par les religieux dans un des contextes socio-politiques les plus désespérants qui soit. Et le flux des réfugiés est en constante augmentation: au Soudan seul, il n’y en a pas moins de 250.000.

    Parmi les rencontres particulièrement importantes que j’y ai faites, il y eut celle avec l’ambassadeur d’Italie en Erythrée, Marcello Fondi. Au cours de cet échange, il a été question du drame vécu par les jeunes contraints de laisser leur propre terre pour chercher un futur meilleur et qui, hélas, trouvent souvent la mort dans les déserts ou sur la mer. Le Mouvement chrétien des Travailleurs développera son implication en Erythrée avec « le souhait que la société internationale organise l’accueil des réfugiés et aide l’Erythrée à trouver des chemins de liberté, de progrès, de paix, de justice et de travail pour tous les Erythréens ».

    (*) President du Movimento Cristiano Lavoratori

    dans la Bussola Quotidiana, 10 février 2011

  • Quand la grenouille veut se faire aussi grosse que le boeuf...

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    "Audiences décevantes pour les Magritte du Cinéma

    Avec 13.000 téléspectateurs et une part de marché de 0,8 % (contre 0,6 % d’habitude pour la chaîne…), la cérémonie a réalisé une audience qui équivaut à zéro. Sans même parler du niveau lamentable de cette émission et de sa demi-heure d’introduction (suivie par… 842 téléspectateurs, soit moins que la call-TV nocturne), l’opération voulue par la Communauté française d’intéresser le public belge à son cinéma est donc un plantage total.

    À titre de comparaison, à la même heure, 300.000 personnes ont regardé « Qui veut gagner des millions ? » sur TF1 et 270.000 « Julie Lescaut » sur la RTBF."

    dans Le Soir

    Sans compter les fonds qui ont été largement dépensés et bien mal employés à cette occasion.

  • Michael Lonsdale, porte-parole de l’embryon humain

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    "Tandis que s’ouvre en France le débat parlementaire sur la révision des lois de bioéthique, c’est tout un symbole que celui qui incarne l’humble moine-médecin du film « Des hommes et des dieux » se mobilise pour porter la parole de celui qui est encore sans voix : l’embryon humain. À la suite d’une conférence de presse, le célèbre acteur a déposé hier à l’Assemblée nationale une pétition signée par plus de 10 000 citoyens (écouter le récit sur Radio Notre Dame). Relayée notamment par Le Point, cette initiative constitue la face la plus médiatique d’une large mobilisation, comme en témoigne le succès de la pétition lancée par l’Alliance pour les droits de la vie, ou encore l’appel aux députés signé, entre autres, par Charles Beigbeder, Claude Bébéar, Rémi Brague ou encore Chantal Delsol (lire Famille Chrétienne)...."

    La suite à découvrir sur "Urgence com' catho"

  • A Java-Centre, des islamistes brûlent des églises chrétiennes

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    A Java-Centre, des islamistes brûlent des églises chrétiennes en réclamant la peine de mort pour un chrétien accusé de blasphème

    Mardi 8 février, une foule d’extrémistes musulmans en colère a attaqué trois églises chrétiennes, un orphelinat ainsi qu’un centre de soins tenus par des chrétiens à la suite d’une décision de justice rendue le matin-même par le tribunal de Temanggung, localité de Java-Centre. Il s’agit d’un bilan non exhaustif, les nouvelles parvenant depuis Java faisant état d’une situation qui n’est pas encore revenue au calme.

    Lire la suite

     

  • Accord de dédommagement pour des victimes d’abus sexuels aux Pays-Bas

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    Un accord prévoyant le dédommagement d’ »au moins 26 victimes » d’abus sexuels commis dans des internats aux Pays-Bas par des membres de l’ordre des Salésiens de Don Bosco entre 1950 et 1971 a été conclu fin janvier. Ce chiffre de 26 paraît étrangement faible par rapport aux quelque 2000 signalements enregistrés durant l’année 2010 par la commission indépendante chargée d’enquêter sur les abus sexuels présumés commis par des membres du clergé catholique aux Pays-Bas. 

    Sur Osservatore Vaticano

  • Le président soudanais publie un décret républicain acceptant le résultat du référendum

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    Le président soudanais publie un décret républicain acceptant le résultat du référendum
    D'après l'Agence de Presse Xinhua, le président soudanais Omar el-Béchir a publié lundi un décret républicain acceptant le résultat final du référendum sur le Sud Soudan qui entraîne la sécession de la région, selon la chaîne de télévision officielle soudanaise.

    Le ministre soudanais chargé des Affaires de la présidence, Bakri Hassan Salih, a lu le décret républicain, signé par M. el- Béchir : "Nous déclarons notre acceptation du choix du peuple du Sud Soudan et nous promettons d'œuvrer en faveur de la résolution des problèmes en suspens et de bâtir des relations constructives entre le nord et le sud du Soudan".

    Les résultats du référendum, qui montrent que 98,83 % des électeurs sont favorables à la sécession entre le nord et le sud contre 1,17 % de voix pour l'unité, ont été remis à M. el-Béchir et à ses deux vice-présidents, Salva Kiir Mayardit et Ali Osman Mohamed Tahaa, par le président de la Commission sur le référendum sur le Sud Soudan, Mohamed Ibrahim Khalil, lors d'une cérémonie officielle diffusée en direct lundi sur Sudan TV.

    "Nous avons reçu les résultats et nous les acceptons chaleureusement car ils expriment la volonté des citoyens du Sud Soudan", a indiqué M. el-Béchir lors de la cérémonie.

    Avec l'annonce des résultats et de la sécession officielle du sud, le nord et le sud du Soudan sont entrés dans une période de transition que les observateurs ont qualifié de pic des conflits politiques entre les deux parties.

    Le nord et le sud du Soudan doivent s'entendre sur les problèmes épineux, connus comme les arrangements post-référendum, dans un contexte de grands différends concernant un autre référendum sur Abyei, région riche en pétrole située à la frontière entre le nord et le sud. Les problèmes les plus frappants entre les deux parties concernent les arrangements sécuritaires, les frontières, les recettes pétrolières, les distributions des ressources naturelles, la nationalité, les dettes extérieures, le statut des sudistes vivant dans le nord et vice versa, et le statut des unités intégrés.

    Les arrangements sécuritaires sont les problèmes les plus compliqués entre les deux parties, car le Soudan possède trois armées : les Forces armées soudanaises du nord, l'Armée de libération populaire soudanaise du sud, et les Unités intégrés conjointes qui sont composées d'individus du nord et du sud.

    L'Accord de paix signé entre le nord et le sud du pays en 2005 stipule que les unités intégrées conjointes doivent constituer le noyau de l'armée du Soudan post-referendum et accepter le résultat du référendum, sinon elles seront dissolues, ce qui signifie que ce dossier pourrait déclencher des tensions sécuritaires entre les deux parties.

    Le partage des recettes du pétrole représente également un problème épineux sur lequel les deux parties doivent trouver une solution, notamment pour la production actuelle et future.

    Le problème de l'eau émerge comme un des problèmes après la séparation du Sud Soudan, car de nombreux affluents du Nil traversent le Sud Soudan.

    Les deux parties doivent également examiner les problèmes concernant les avoirs de l'Etat, les dettes extérieures, les accords internationaux, la devise et le système bancaire."

  • Officiel : le Sud-Soudan a secoué le joug de l’islam

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    13a722cdsud-soudan.jpgDans son édition du lundi 7 février 2011, le journal « La Croix » donne les résultats définitifs du référendum libérateur : Les Sud-Soudanais ont voté à 98,83% en faveur de l'indépendance ouvrant la voie à la naissance d'un nouvel Etat en Afrique. Les résultats , affichés sur des écrans lors d'une cérémonie à Khartoum, montrent que sur les 3.837.406 votes valides, seulement 44.888, soit 1,17%, étaient en faveur du maintien de l'unité avec le Nord.

    Pour mémoire, après deux décennies de conflit sanglant (2 millions de morts recensés) entre le Nord, principalement musulman et arabe, et le Sud, majoritairement chrétien et noir, une trêve fut signé entre les protagonistes en 2002 et consolidée trois ans plus tard, le 9 janvier 2005, par un accord de paix signé à Naivasha au Kenya. Celui-ci accordait au Sud Soudan une large autonomie pendant 6 ans, période au bout de laquelle les habitants de la région devaient être conviés à un référendum d'autodétermination

    Ce référendum, qui s'est tenu du 9 au 15 janvier 2011 et dont la communauté internationale a salué la crédibilité, était un élément clé de l'accord de paix précité. Aux termes de celui-ci,. lla séparation effective est attendue le 9 juillet prochain. D’ici là, Nordistes et Sudistes doivent encore se mettre d'accord sur des dossiers sensibles, dont la délimitation des frontières, le partage des revenus du pétrole ou encore le statut de la région contestée d'Abyei. 

    À Juba, principale ville du Sud-Soudan,  l'annonce des résultats a été accueillie dans la liesse. Le président de l’actuelle région du Sud-Soudan, Salva Kiir, a souligné que l'indépendance  n'était "pas la fin de la route, parce que nous ne pouvons pas être ennemis". Il a promis sagement de permettre la libre circulation des biens et personnes entre les deux pays, de contribuer à faire annuler la dette étrangère du Soudan et à faire lever les sanctions économiques prises par les Etats-Unis contre Khartoum. Dans la matinée de lundi, le président soudanais Omar el-Béchir a dit accepter les résultats et respecter le choix des Sud-Soudanais, s'engageant à « maintenir les liens entre le Nord et le Sud et les relations fondées sur la coopération ».

    Le sort de cette région jouxtant l’Ituri congolais n’est pas indifférent aux Belges attachés à leur ancienne colonie.

    Sur l’imprégnation chrétienne des populations sud soudanaises, voir les vidéos illustratives :  Les Sud-soudanais fêtent Noël  et Sud-Soudan : les chrétiens pour l'indépendance