Gaudete, in Domino semper : iterum dico, gaudete. Dominus enim prope est.
Soyez dans la joie du Seigneur, soyez dans la joie, le Seigneur est proche
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Gaudete, in Domino semper : iterum dico, gaudete. Dominus enim prope est.
Soyez dans la joie du Seigneur, soyez dans la joie, le Seigneur est proche
Homélie du Frère Jean-Christian Lévêque, o.c.d., sur le site du Carmel en France pour le 3e Dimanche de l’Avent, Gaudete ; Mt 11,2-15
« Es-tu celui qui doit venir ? »
L’Évangile de Jésus est-il encore capable de parler à nos contemporains, ou faut-il inventer une autre parole ? Le style d’action de Jésus, celui des Béatitudes, peut-il encore sauver le monde, ou faut-il proposer autre chose ?
Ces questions, Jean le Baptiste se les est posées, en constatant à quel point la manière de Jésus différait de la sienne. Il a connu, lui aussi, une rude épreuve de la foi, une incertitude telle qu’il a fait poser à Jésus, par ses propres disciples, la question décisive :« Es-tu Celui qui doit venir (le Messie attendu par Israël), ou devons-nous en attendre un autre ? »
Nul mieux que lui n’avait senti les aspirations de son temps, cet extraordinaire désir de liberté, de propreté, d’authenticité, qui soulevait le peuple juif. Les temps étaient durs, à cette époque aussi, pour tous ceux qui se voulaient fidèles.
Il y avait les Romains, c’est-à-dire la paix par la force, donc la paix sur un volcan. I1 y avait la propagande officielle pour les dieux de l’Empire. Il y avait la toute-puissance des circuits commerciaux de l’occupant, et les plaisirs faciles d’une civilisation déjà décadente.
Jean, pour toute réponse, est parti au désert Pas très loin des grandes villes, mais en plein désert. Et les gens, par centaines, sont venus le trouver, lui l’ascète, l’homme au cœur taillé à coups de serpe !
Alors ils ont. entendu une parole étrange, inattendue, plus révolutionnaire que tous les cris de révolte :« Repentez-vous, car le règne de Dieu est proche ! » Jean était l’homme d’une seule idée, d’une seule passion :« Dieu ne pactise pas avec le péché ». Il l’a dit sur les bords du Jourdain aux gens du peuple, aux soldats, aux fonctionnaires. Il l’a dit dans le palais d’Hérode :« Tu n’as pas le droit d’avoir la femme de ton frère ! » ; et il s’est retrouvé en prison. Mais après tout, que lui importait, puisqu’il avait pu reconnaître le Messie, celui qu’on attendait, et l’avait désigné à ses partisans :« le voilà, celui qui va enlever le péché du monde ».
Il avait eu la grandeur d’âme de passer le relais à Jésus :« il faut qu’Il croisse et que je diminue ! » ; et voilà que, dans sa prison, il entend parler des œuvres du Christ, de sa prédication, de son style très particulier. Jean jeûnait : Jésus mange et boit avec tout le monde, même avec les pécheurs. Jean avait prédit un grand coup de balai,« un grand coup de cognée à la racine de l’arbre ». Jean avait annoncé : attention, le grain va être vanné, et la menue paille, celle qui ne fait pas le poids, sera dispersée au grand vent ! et voilà que Jésus refuse le style d’un messie guerrier et nationaliste et qu’il prêche la tendresse de Dieu ; voilà que Jésus, au lieu de soulever les masses, prend le temps de rencontrer chacun, chacune, comme un être irremplaçable ; voilà que le Messie tourne le dos à toute libération par la force brutale et montre l’essentiel : Dieu venant à la rencontre de l’homme.
Jean ne s’y reconnaît plus, et, dans sa prison où il va être décapité, il lui vient l’idée lancinante qu’il a travaillé pour rien, que son œuvre est trahie ; et il a peur d’être désavoué :« Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ? »
Jésus répond par des faits, et par une citation de l’Ecriture.« Relis Isaïe, Jean, tu y verras ceci : » Alors se dessilleront les yeux des aveugles, s’ouvriront les oreilles des sourds. Le boiteux grimpera comme un cerf et la langue du muet poussera des cris de joie« . Et Jésus d’ajouter, citant encore Isaïe : » La bonne nouvelle est annoncée aux pauvres« . Heureux celui qui ne trouvera pas en moi une occasion de chute. Heureux, Jean, celui qui ne butera pas, obstinément, contre la nouveauté que je lui apporte ! »
Voilà le drame de l’espérance que nous vivons, à notre tour, aujourd’hui : nous savons, par la foi, qu’en Jésus Dieu nous a tout donné, le pardon, un chemin de vie, l’espérance de la gloire, et quand, dans la prière, nous rejoignons le Christ, nous lui redisons,loyalement, « Seigneur, à qui irions-nous ? » Tu as les paroles de la vie éternelle, toi et personne d’autre ! Nous voyons vraiment en lui la Tête du Corps qu’est l’Église , mais la manière dont grandit son Corps sur la terre nous déconcerte parfois, et nous déçoit souvent
Nous voudrions une Église rayonnante : nous la voyons inquiète et minoritaire. Nous l’aimerions sans rides : et elle est prise, elle aussi, dans les remous de l’histoire. Nous la souhaiterions hardie : or elle avance au pas des pécheurs que nous sommes. Est-ce l’Église que tu voulais, Seigneur, ou devons-nous en attendre une autre ? Il n’y a pas d’autre Christ ; il n’y aura pas d’autre Église. Le salut est là, offert par Dieu en visage d’homme, en langage d’hommes. Mais Dieu nous surprend toujours par sa merveilleuse obstination à passer par l’histoire, à œuvrer dans l’histoire.
Il nous faut accepter que le Christ ne vienne pas seulement pour bénir nos initiatives, qu’il ne soit pas seulement la conclusion de nos raisonnements, et ne parle pas forcément dans le sens de nos certitudes. Il vient chez nous avec une parole toute nouvelle, qui commente notre histoire, qui l’éclaire, lui donne sens et l’oriente définitivement. Aujourd’hui comme au temps du Baptiste, nous ne pouvons comprendre ce que le Christ fait dans le monde ou en nous que sur la base de sa parole.
Il nous faut croire que le Christ est l’avenir absolu du monde, même si son message ne nous met pas dans le monde en position de force, car la position du chrétien dans ce monde est celle du service, qui est l’avenir de notre communauté, même s’il faut pour cela traverser le désert.
Il nous faut redire avec conviction que le Christ, aujourd’hui encore, est « force de salut » pour tout homme et pour le monde en marche, même si sa force ouvre un chemin de douceur et de pardon. Mais le monde attend un signe visible de cette présence du Christ, et ce signe, ce sera notre unité et le réalisme de notre action. Le signe que le Christ est venu et qu’il vient, c’est qu’on s’occupe de tous les pauvres pour leur porter une bonne nouvelle de joie, c’est que la maladie et la souffrance reculent, c’est que la lumière est proposée à tous ceux qui tâtonnent, c’est que toutes les barrières sont abaissées, celles des nations comme celles des classes sociales, et que tous les chrétiens, indistinctement, se retrouvent frères autour de la même Eucharistie.
Il est bon pour nous que Dieu soit toujours autre, même quand il se fait tout proche, que Dieu reste libre, pour être le garant de notre liberté. Il est Celui qui vient, librement, souverainement, divinement. Nous le guettons ici, il viendra par là. Et c’est par-là qu’est le salut.
Solennité de l'Immaculée Conception, Paroisse Saint-Vincent-de-Paul 'Les Réformés', Marseille le 8 décembre 2009. Site officiel et prédications
De Radio Vatican (Hélène Destombes) :
Audience générale : "ne jamais perdre l'Espérance"
« Ne jamais perdre l’espérance », qui est la « vertu des petits »: c’est l’appel lancé par le Pape ce matin lors de l’audience générale, tenue dans la salle Paul VI. François a initié ce mercredi (7 décembre) un nouveau cycle de catéchèse sur l’espérance chrétienne… Prenant appui sur le chapitre 40 du Livre d’Isaïe, autrement appelé le Livre de la Consolation, le Souverain Pontife a enjoint les fidèles à attendre dans la confiance e la venue du Seigneur.
Le temps de l’Avent est celui de l’attente , un temps où le croyant est appelé à réfléchir sur le sens de l’espérance, « l’Espérance qui ne déçoit jamais », contrairement à l’optimisme, a précisé le Pape. Dieu lui-même nous enseigne à espérer, par la bouche de ses prophètes, à qui il demande d’encourager son peuple, de lui adresser une parole de Consolation. Isaïe assure ainsi au peuple d’Israël, alors en exil, que ses tribulations sont finies, que le retour sur sa terre est proche. Le prophète l’invite donc « à préparer le chemin du Seigneur, en s’ouvrant à ses dons de Salut ». La consolation commence en effet « avec la possibilité de marcher sur le chemin de Dieu », une voie à préparer dans le désert, pour pouvoir retourner chez soi. La vie est souvent un désert, a encore reconnu le Pape, mais « si nous nous confions à Dieu, elle peut devenir une autoroute belle et large ». Il suffit pour cela de « ne pas perdre l’espérance, de continuer à croire, toujours, malgré tout ». C’est l’Espérance qui nous redonne le sourire, lorsque tout semble n’être que ténèbres autour de nous.
Et qui sont ceux qui savent continuer à espérer ? « Ceux qui entourent Jésus à sa naissance » : les petits, « rendus grands par leur foi et leur espérance ». Laissons-nous donc enseigner l’espérance, la « vertu des petits », a exhorté le Pape. « Attendons avec confiance » la venue du petit enfant de Bethléem, « quel que ce soit le désert de nos vies, il deviendra un jardin florissant ».
A l’église du Saint-Sacrement, Bd d’Avroy, 132 à Liège
Le samedi 17 décembre 2016 à 17h00
« Du vent, du soleil et du Ciel… »
Dans l’esprit de Noël, un récital classique et un peu d’exotisme que
BOGDAN NESTERENKO
nous amène avec les traditions du monde slave et de son Ukraine natale :
à découvrir le 17 décembre à 17h00 au Saint-Sacrement
concert (église)
P.A.F. : 8 euros
suivi du verre de l'amitié gratuit (salle du piano)
Gratuit enfant -12 ans
Tous renseignements : tel. 04.344.10.89 ou sursumcorda@skynet.be
JPSC
Du Frère Jean-Christian Levêque o.c.d., cette homélie pour le 2e dimanche de l’Avent :
« Convertissez-vous ! »
A quelques semaines de Noël, Dieu ne ramène ensemble au désert, pour y entendre l’appel du Précurseur, une nouvelle invitation à nous convertir. Comme Marc et Luc, Matthieu commence son récit de la vie publique de Jésus en décrivant le ministère de Jean le « Baptiseur ».« En ces jours-là paraît Jean le Baptiste, qui proclame dans le désert de Judée : Convertissez-vous, car le Règne des cieux est là ! »
Jean proclame. L’insistance est donc mise sur sa Parole, sur son message ; c’est ensuite seulement (versets 7 à 13) que Matthieu parlera de son baptême. Paradoxalement, Jean a choisi, pour prêcher le désert, le désert de Judée que nous avons traversé plusieurs fois ensemble, ces collines arides, toutes blanches de soleil, qui invitent à la solitude et au recueillement, à quelques kilomètres seulement de Jérusalem ou de Bethléhem. Jean ne s’est pas planté sur les places des villes ou aux grands carrefours, là où les gens sont forcés de passer ; il s’est enfoncé dans le désert… Ainsi tous ceux qui voudront l’entendre devront d’abord prendre la route et rompre avec la facilité.
Car le langage de Jean est celui de l’authenticité et de l’effort :« Convertissez-vous, » proclame-t-il. Et c’est tout un programme de vie spirituelle. Car la conversion ce n’est pas seulement un changement de mentalité, mais toute une dé-marche vers Dieu. On imagine souvent que la conversion, c’est un instant privilégié dans une existence. C’est beaucoup plus que cela. C’est toute une vie qui part d’un instant de rencontre. La conversion, c’est un événement, mais plus encore un cheminement. Un retournement, certes, mais surtout un retour, qui dure toute la vie. Car il ne s’agit pas seulement d’un remords passager, qui ramène l’homme sur lui-même ou sur ses fautes, mais d’un pèlerinage d’amour, qui ramène l’homme vers Quelqu’un, vers Celui qui appelle, vers le Règne de Dieu, c’est-à-dire vers le Dieu qui crée la paix et la joie.
Si l’on se convertit, c’est parce que « le Règne de Dieu est là », littéralement : « parce que le Règne de Dieu s’est rendu proche » définitivement. Le Règne de Dieu (des cieux), c’est l’établissement sur la terre, de l’autorité souveraine de Dieu, c’est, si l’on veut, la réalisation de son plan de salut. Ce Règne de Dieu est là (« il vous a atteints », dira Jésus (Mt 12, 28), parce que le Messie est là, qu’il s’est rendu tout proche, pour toujours. Et la rencontre de l’Envoyé de Dieu, personnellement, en foyer, en fraternité, en communauté, c’est la grande affaire d’une vie, c’est le moment à ne pas manquer, c’est le cheminement à ne pas refuser
Après avoir ainsi résumé le message du Baptiste, Matthieu s’arrête un instant sur sa personnalité, un peu hors série, et sur son rôle dans l’histoire du salut. Nous ne nous appesantirons pas trop longtemps sur les sauterelles… Par les écrits des Esséniens nous savons que les sauterelles étaient comestibles. On les mangeait volontiers, soit bouillies, comme des crevettes, dans l’eau salée, soit séchées au soleil et confites dans le miel, soit pilées et mélangées à la pâte des galettes.
Quant au vêtement du Baptiste (tunique en poils de chameau et ceinture de cuir), il rappelait étrangement celui du poète Elie ( 1 Rg 1,8), et Jean ne l’avait pas choisi au hasard. Par son habillement il annonçait son intention de placer toute sa vie dans le sillage du grand prophète de Yahweh. Et l’Evangéliste Matthieu renchérit, en insérant explicitement le Baptiste dans la lignée des prophètes : "Ce Jean est celui dont a parlé le prophète Isaïe : Dans le désert une voix crie : Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers (Is 40,3).Comme le prophète qui annonçait le retour des déportés (6esiècle avant J.-C), Jean inaugurera les temps nouveaux : Dieu, par Jésus, va délivrer son peuple (nous tous) de tout esclavage spirituel.
Puis Matthieu revient au message du Baptiste, et spécialement à sa sévérité envers les Pharisiens et les Sadducéens : « Engeance de vipères »… autrement dit « : Vous ne produisez que des œuvres de mort ». Certes, ils viennent « en grand nombre » mais Jean ne veut pas que l’on se fasse baptiser uniquement par snobisme. « Produisez donc un fruit qui exprime votre conversion » : Dieu, en effet, ne se contentera pas de simples sentiments ni de pratiques purement extérieures : il veut des actes concrets, qui engagent l’homme tout entier. La foi elle-même doit se purifier de toute recherche de facilité : « N’allez pas dire en vous-mêmes : Nous avons Abraham pour père ! » Selon la doctrine juive courante, Israël profitait des mérites d’Abraham, mais, pour le Baptiste, compter sur ces mérites-là serait encore s’appuyer sur un privilège religieux : la conversion serait incomplète. Les vrais enfants d’Abraham sont tous ceux, (Israélites ou non), qui imitent sa foi et son engagement total dans le projet de Dieu.
A travers les Pharisiens et les Sadducéens, c’est nous qui sommes pris à partie par le Précurseur. Car nous aussi sommes menacés par la routine, et nos retours vers le Seigneur restent trop souvent des engouements passagers. Nous aussi, nous risquons de nous sécuriser par les gestes religieux que nous posons ou par les idées que nous défendons, sans nous soucier suffisamment de porter du fruit par une vraie conversion du cœur et de l’intelligence.
Comme elle est bienfaisante, cette rudesse de Jean, qui vient balayer avant chaque Noël toutes nos lenteurs, toutes nos paresses, toutes nos pauvres excuses, alors que les années passent et que s’alourdit en nous, d’Avent en Avent, le poids des occasions perdues d’aimer Dieu avec tout nous-mêmes.
Mais combien plus puissante pour notre cœur est la promesse que Jean nous apporte et nous redit de la part de Dieu : « Le Messie vous baptisera dans l’Esprit et le feu ». Oui, Jésus qui vient va nous plonger, si nous le voulons, dans l’Esprit et le feu, dans l’Esprit qui est feu.
Toutes les scories de notre intelligence et de notre affectivité, ce qui est en nous opaque à la grâce, rétif à la charité, tout ce qui nous rend sourds et aveugles, le feu de l’Esprit l’emportera, parce qu’il vient nous purifier.
Mais en même temps, tous nos désirs impuissants de servir le Règne de Dieu, toutes nos espérances de pauvres, tous nos deuils assumés, toutes nos solitudes offertes, l’Esprit va les transformer en sa propre flamme, la flamme de Dieu, qui donne au monde lumière et chaleur.
Voici le temps liturgique de l’Avent. Que célèbre-t-on sous ce vocable ? « Adventus », en latin, signifie avènement. En l’occurrence celui du Roi des Cieux. Il est venu : une incarnation dans l’humilité de la crèche. Il vient toujours vers nous : dans le mystère de l’eucharistie. Il reviendra dans la gloire à la fin des temps : car la figure de ce monde transitoire passera. Les chrétiens, depuis l’origine de l’Eglise, ont cette formule de prière : « Marana Tha », Veni, Domine Jesu.
Une messe dominicale en chant grégorien, avec le concours de l’organiste Patrick Wilwerth et d’un duo de violons assuré par deux membres de l’Ensemble Darius : Anne-Sylvie Primo et Frédéric Vandendunghen. Eglise du Saint-Sacrement, Bd d’Avroy, 132, dimanche 4 décembre 2016, 10h00.
Plus de renseignements : 04.344.10.89
Introït du 2e dimanche de l’Avent :
Populus Sion, ecce Dominus veniet ad salvandas gentes: et auditam faciet Dominus gloriam vocis suae, in laetitia cordis vestri.
Qui regis Israel, intende: qui deducis velut ovem Ioseph
Peuple de Sion, voici que le Seigneur va venir pour sauver les nations. Le Seigneur fera entendre sa voix éclatante pour la joie de ton cœur.
Ecoute, Toi qui règnes sur Israël et conduis Joseph comme une brebis.
JPSC
Le samedi 3 décembre 2016 à 20h00, concert en l’Église Notre Dame de Stockel.
Adresse du jour: 23 Rue Vandermaelen, 1150 Woluwé-St-Pierre.
Entrée: 12€/8€ – 10/6€ en prévente (réduit - de 15ans, gratuit - de 7ans)
Réservations: BE61 0016 7515 2917 (votre nom + nb de places)
Renseignements: 0485/665.660 ou meltingvox@telenet.be
Le samedi 10 décembre 2016 à 20h00, concert en l’Église Saint-Roch.
Adresse du jour: 60 Chaussée d'Anvers à 1000 Bruxelles.
Entrée: libre
Renseignements: 0485/665.660 ou meltingvox@telenet.be
Le samedi 17 décembre 2016 à 20h00, concert en l’Église Sainte-Anne.
Adresse du jour: Chaussée de Tervuren 189, 1160 Auderghem
Entrée: 12€/8€ – 10/6€ en prévente (réduit - de 15ans, gratuit - de 7ans)
Réservations: BE61 0016 7515 2917 (votre nom + nb de places)
Renseignements: 0485/665.660 ou meltingvox@telenet.be
En ce mois de décembre 2016, l’intention de prière universelle du Pape est pour les enfants soldats. Son intention de prière pour l’évangélisation est pour le peuple d’Europe et Evangile. (Source)
Intention de prière universelle – les enfants soldats
Prions pour que soit éliminé partout dans le monde le scandale des enfants soldats.
Prier au coeur du monde consacre son numéro à cette intention
Intention de prière pour l’évangélisation – Peuple d’Europe et Evangile
Prions pour que les peuples d’Europe redécouvrent la beauté, la bonté et la vérité de l’Évangile qui donnent à la vie, joie et espérance.
Les Amis du Ban de Soiron ont le plaisir de vous inviter au
CONCERT DE NOEL
En l'église Saint-Roch de Soiron
Le dimanche 11 décembre 2016 à 16h.
Avec le concours
du Choeur Saint-JO de Cheratte,
sous la direction de Denise Wiliquet,
accompagnement au clavier : Dominique Winandy,
à l'orgue de Soiron : Pol Wers
à la clarinette : Patrick Navette
aux percussions : Joseph Nihant
Une ambiance conviviale et un programme éclectique à souhait avec des pièces classiques, des extraits de musiques de film, des musiques du monde et des Noëls traditionnels.
Entrée : 12€. (au profit de la restauration des orgues de Soiron)
« S’approcher de l’Enfant-Dieu », une route que vous êtes plus de 13. 400 à suivre avec le Père Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus, nouvellement béatifié le 19 novembre dernier.
Après cette introduction à notre retraite pour entamer notre marche, vous recevrez le contenu de la 1ère semaine de l’Avent dans 2 jours (vendredi 25 novembre), puis chaque vendredi pour les semaines suivantes. Pour les nouveaux retraitants, merci de lire les recommandations ci-dessous avant de télécharger le texte de l’introduction.
Inscriptions toujours ouvertes : sur l’article de présentation de la retraite ou directement via le formulaire d’inscription.
*Avec une communauté dominicaine : Viens habiter parmi nous - Avent dans la Ville 2016 -
« Viens habiter parmi nous », tel est le thème de notre retraite cette année.
« Viens habiter parmi nous » et notre maison commune, selon l’expression chère à notre pape François, pourra être transformée. Cette venue extraordinaire n’est pas une venue du passé. Elle éclaire aujourd’hui nos vies.
Durant quatre semaines, nous allons célébrer la venue de Dieu. Quatre prédicateurs se succéderont jusqu’à la fête de Noël. Chaque jour, chacun selon sa tonalité particulière, frère Christophe Boureux (couvent de la Tourette), Catherine Motte (Lille), frère Jean-François Bour (couvent de Tours) ou frère Jean-Étienne Long (couvent de Clermont-Ferrand) nous partageront leurs méditations.
Durant la première semaine le frère Christophe nous invitera à ouvrir nos fenêtres sur le monde créé ; la venue de Dieu est une Bonne Nouvelle pour la création. Catherine, durant la seconde semaine, nous permettra d’entrer au lieu même où Dieu souhaite prendre place, à l’intérieur de soi.
Durant la troisième semaine, le frère Jean-François nous fera redécouvrir notre place de collaborateur auprès de Dieu. Et le frère Jean-Étienne nous aidera à célébrer l’enfant de la crèche de Bethléem.
Durant cette retraite, nous pourrons prier grâce aux offices chantés par les frères du couvent des dominicains de Lille. Nous pourrons confier nos prières à l’intercession des autres internautes ou des communautés religieuses. Nous serons ainsi unis par la prière durant ce temps de retraite, nous portant les uns les autres devant Dieu, Lui qui se fait proche pour nous réconforter.
« Viens habiter parmi nous ». Trois jeunes étudiants, les « Domini Cantores », les « chanteurs du Seigneur » viendront enrichir notre démarche par la beauté de leur chant. Ils chanteront la présence de Dieu parmi nous.
« Viens habiter parmi nous ». Chaque année, la retraite de l’Avent est l’occasion d’ouvrir une fenêtre sur des réalités humaines différentes. La fête de Noël est une invitation adressée à tous de voir autrement le monde qui nous entoure, en particulier les plus petits et les plus faibles. Jean Vanier, fondateur de L’Arche, nous proposera une préparation du cœur pour rencontrer l’autre différent, une ouverture des yeux à la venue de Dieu.
Nous vous donnons rendez-vous le dimanche 27 novembre 2016. Que le Seigneur prépare nos cœurs à sa venue !
Viens Seigneur habiter parmi nous, nous t’attendons ! (Frère Xavier Pollart, op)
* ou, avec le JRS (Famille ignatienne) :
Accueillir le Christ & l'Etranger
Cette année pour ce beau temps de l’Avent à la rencontre de Jésus, Dieu-fait-homme, nous cheminerons avec le Service Jésuite des Réfugiés (JRS) pour apprendre à accueillir le Christ.
Diverses entrées y seront proposées :
• Un topo introductif, pour se sensibiliser à un aspect de l’accueil.
• Des passages bibliques, pour nous nourrir des Écritures.
• Un témoignage de personne migrante, comment il ou elle a vécu l’accueil dans ce nouveau pays.
• Une recette de cuisine proposée par un réfugié : Facile à faire et venue de l’autre bout du monde pour enchanter nos palais.
• Un tableau pour que le beau nous enseigne quelque chose de l’accueil.
• Un mur spirituel pour partager notre expérience sur ce chemin d’accueil.
Toute l'équipe de Notre Dame du Web.
« C'est pourquoi exhortez-vous réciproquement, et édifiez-vous les uns les autres,
comme en réalité vous le faites. » 1 Thessaloniciens 5:11
Soyez un missionnaire de prière
Merci pour vos prières au sein de la communauté
Vivons les 30 jours de l'Avent avec les prophéties bibliques
Invitez maintenant vos amis par mail ou sur les réseaux sociaux à prier avec vous, afin d’élargir le cercle de prière.
Vivons les 30 jours de l'Avent avec les prophéties bibliques
Redécouvrons la beauté des prophéties bibliques qui annonçaient le Christ afin de se préparer à l'accueillir aujourd'hui à Noël, dans l'espérance de sa prochaine venue glorieuse !
Une communauté animée par l'Association Marie de Nazareth (2923 priants)
« Seigneur, je voudrais être missionnaire. Malgré ma petitesse »
Extrait d’une prière de la petite Thérèse de l’Enfant-Jésus qui avait si soif de la mission qu’elle est entrée au couvent à 14 ans, où elle a prié toute sa vie pour les missionnaires. La prière est une mission, faites-en la vôtre !
En union de prière,
l'équipe d'Hozana
http://hozana.org/intention/6360/priere-30-propheties-bibliques-pour-l-avent?