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Au rythme de l'année liturgique - Page 249

  • Nous gâtera-t-on la joie de Pâques ?

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    Certains le voudraient. A la RTBF par exemple où, curieusement, l'approche des célébrations du jour de Pâques inspire à nos déformateurs patentés des commentaires sur des propos "dérangeants" de l'évêque d'Anvers où sur de nouvelles "fuites romaines" s'échappant des lourdes murailles du Vatican (!). Rien de très nouveau même si les écrivassiers de service s'échinent à en faire des "buzz". Ce ne sont pas ces informations artificiellement montées en épingle qui nous empêcheront de fêter Pâques dans la joie et la sérénité. Au contraire, nous aurons même une pensée pour tous ceux qui voudraient troubler notre allégresse comme nous y invite ce stichère de la liturgie byzantine de Pâques :

    C’est le jour de la Résurrection !

    Que la fête nous illumine : embrassons nous,

    appelons frères, même ceux qui nous haïssent,

    pardonnons tout à cause de la résurrection et chantons :

    Le Christ est ressuscité des morts,

    par la mort Il a vaincu la mort,

    à ceux qui sont dans les tombeaux Il a donné la vie.

  • Etre chrétien sans croire à la Résurrection ?

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    Est-il possible d’être chrétien sans croire à la Résurrection ?

    Telle est la question posée sur Aleteia.org "Pour un chrétien, croire en la Résurrection de Jésus est une condition existentielle : nous sommes chrétiens parce que nous croyons que Jésus a triomphé de la mort, qu’il est ressuscité et qu’il est l’unique médiateur entre Dieu et les hommes. La résurrection du Christ est l’espérance qu’un jour, tous les hommes pourront ressusciter."

    Le site Aleteia propose des réponses à cette question, avec l'aide du P. Francisco Catão, docteur en théologie et professeur au Centre universitaire salésien de São Paulo. :

    - Croire en la résurrection de Jésus-Christ est le fondement du message chrétien. Privée de cette vérité, la foi chrétienne serait déjà morte. La résurrection de Jésus apporte quelque chose de nouveau, qui change le monde et la condition de l’homme. Elle confère une nouvelle dimension à l’histoire humaine, à l’existence personnelle : on est avec Dieu. Cela signifie aussi que Dieu s’est manifesté vraiment et que le Christ est pour les hommes le point de référence  le plus fiable.

    - En ramenant Jésus à la vie et l’élevant au sommet de sa gloire, Dieu a retourné le jugement des hommes et a exaucé la promesse faite à l’humanité dès ses origines, que la vérité et le bien, la justice et la paix triompheront.

    - La Résurrection est la forme de l’amour qui triomphe de la mort. Ce n’est pas un acte en soi qui n’appartient qu’à la divinité du Christ. C’est la source de notre résurrection future.

  • L'Hymne acathiste

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    Un « acathiste » est un hymne que l'on écoute debout. L'Acathiste à la Mère de Dieu, le premier et le plus connu des acathistes, est typiquement célébré aux matines du samedi de la cinquième semaine du grand Carême. Chez les Grecs, les stances de l'acathiste sont distribuées sur les quatre premiers vendredis de Carême. L'acathiste doit son origine au siège de Constantinople en 626, lorsque le patriarche Serge, en l'absence de l'empereur Héraclius, organisa la défense de la cité et consacra la ville à la Mère De Dieu. (source : pagesorthodoxes)


    HYMNE ACATHISTE

     

    Réjouis-toi, rayonnement de joie,
    Réjouis-toi, par qui le mal a disparu,
    Réjouis-toi, tu relèves Adam de sa chute,
    Réjouis-toi, par toi Eve ne pleure plus.
    Réjouis-toi, montagne inaccessible aux pensées des hommes,
    Réjouis-toi, abîme impénétrable même aux anges,
    Réjouis-toi, car tu deviens le trône et le palais du roi,
    Réjouis-toi, porteuse de Celui qui porte tout.
    Réjouis-toi, étoile annonciatrice du soleil levant,
    Réjouis-toi, par qui Dieu devient petit enfant,
    Réjouis-toi, car tu renouvelles toute créature,
    Réjouis-toi, en toi nous adorons le créateur.
    Réjouis-toi, mystère de la sagesse divine,
    Réjouis-toi, foi de ceux qui prient en silence,
    Réjouis-toi, qui as part aux miracles du Christ,
    Réjouis-toi, miracle proclamé par les anges.
    Réjouis-toi, O mère du sauveur. Alléluia, alléluia, alléluia !

     

    Réjouis-toi, échelle par qui Dieu descendit du ciel,
    Réjouis-toi, pont conduisant au ciel ceux qui sont sur la terre,
    Réjouis-toi, ton enseignement surpasse tout savoir,
    Réjouis-toi, tu illumines l’esprit des croyants.
    Réjouis-toi, par qui les cieux se réjouissent avec la terre,
    Réjouis-toi, par qui la terre jubile avec les cieux,
    Réjouis-toi, bouche silencieuse des apôtres,
    Réjouis-toi, fermeté des témoins du Christ.
    Réjouis-toi, qui rends inébranlable notre foi,
    Réjouis-toi, qui sais la splendeur de la grâce,
    Réjouis-toi, par qui l’enfer est dépouillé,
    Réjouis-toi, qui nous revêts de gloire.
    Réjouis-toi, mère de la lumière sans déclin,
    Réjouis-toi, aurore du jour véritable,
    Réjouis-toi, qu’illumine le mystère de la Trinité,
    Réjouis-toi, allégresse de toutes les générations.
    Réjouis-toi, O mère du sauveur. Alléluia, alléluia, alléluia !

     

    Réjouis-toi, mère de l’Agneau et du pasteur,
    Réjouis-toi, bergerie de l’unique troupeau,
    Réjouis-toi, qui nous libères des œuvres de ténèbres,
    Réjouis-toi, tu nous ouvres les portes du paradis.
    Réjouis-toi, qui nous délivres de la mort et du tombeau,
    Réjouis-toi, par qui le paradis s’entrouvre de nouveau,
    Réjouis-toi, clé du royaume du Christ et porte du ciel,
    Réjouis-toi, espérance des biens éternels.
    Réjouis-toi, rayonnement du soleil véritable,
    Réjouis-toi, éclat de la lumière sans couchant,
    Réjouis-toi, toi qui illumines nos cœurs,
    Réjouis-toi, flambeau portant la lumière inaccessible.
    Réjouis-toi, toi qui fais couler des fleuves d’eau vive,
    Réjouis-toi, image vivante de l’eau du baptême,
    Réjouis-toi, coupe puisant la joie,
    Réjouis-toi, vie de joie mystérieuse.
    Réjouis-toi, O mère du sauveur. Alléluia, alléluia, alléluia !

  • Quand Jésus libère les prisonniers et quand Marie veille dans l'espérance

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    paques.jpgzenit.org : Le saint Samedi, où Jésus libère les prisonniers

    Une méditation du Père Daniel-Ange

    A l’occasion du Triduum pascal, le P. Daniel-Ange, fondateur de "Jeunesse Lumière", propose aux lecteurs de Zenit des méditations sur le Jeudi Saint (le lavement des pieds, l’eucharistie et le sacerdoce, l’agonie à Gethsémani, et l’arrestation de Jésus : cf. Zenit du 4 avril 2012), le Vendredi Saint (la crucifixion et les paroles de Jésus en croix, cf. Zenit du 5 avril 2012), sur le Samedi Saint et la Résurrection (ci-dessous).

    Le saint Samedi, où Jésus libère les prisonniers, où Marie veille dans l’espérance [Jn 19, 38-42, Mt 27, 57-60, Mc 15, 42-46, Lc 23, 50-54]

    Le ciel est devenu tout noir. Très bientôt, la première étoile du shabbat va resplendir. On ne pourra plus marcher, surtout plus l’ensevelir. Alors tout se précipite. A deux pas du Golgotha, voici un jardin… pour lui qui vient d’ouvrir le jardin du paradis ! Et de même qu’un joseph l’a couché dans la crèche, voici un autre Joseph (d’Arimathie, celui-ci) qui va le coucher dans le tombeau. Et en cette nuit qui tombe, se repointe ce brave Nicodème, déjà venu en pleine nuit pour apprendre du Rabbi à renaître de l’eau et de l’Esprit [Jn 3].

    Cette eau et cet Esprit qui viennent de couler de son Cœur ouvert.

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  • Méditer le Vendredi Saint avec le Père Daniel Ange

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    Au couchant, huit diamants qui scintillent

    Paroles du Christ dans sa Passion

    Père Daniel-Ange

    Voici une méditation pour le Vendredi Saint, sur « ces huit paroles » du Christ dans sa Passion, comme « huit diamants », selon l’expression du P. Daniel-Ange.

    A l’occasion du Triduum pascal, le P. Daniel-Ange propose en effet aux lecteurs de Zenit des méditations sur le Jeudi Saint (le lavement des pieds, l’eucharistie et le sacerdoce, l’agonie à Gethsémani, et l’arrestation de Jésus : cf. Zenit du 4 avril 2012), le Vendredi Saint (la crucifixion et les paroles de Jésus en croix, ci-dessous), sur le Samedi Saint et la Résurrection.

    Au couchant, huit diamants qui scintillent

    Viens, écoute ! Écoute maintenant ces huit paroles, les toutes dernières paroles de Dieu sur la terre, qui vont consteller ses dernières heures parmi nous. A l’aube de sa vie apostolique, nous entendions son chant avec les huit couplets. Au soir couchant, nous recevons ces huit paroles. Alors, des couplets de chant. Ce soir, des murmures d’agonisant. Alors, joués sur une colline, au bord du lac de Galilée. Ce soir, criées sur une colline, aux abords des murs de la Cité.

    Aucun des évangélistes ne les rapporte toutes. Feuilles d’automne emportées par le vent, tombant çà et là, et qu’il nous faut recueillir une à une, ultimes diamants de la Parole de Dieu[1].

    Chacune de ces paroles est murmurée ou criée, suivant le cas, au prix d’atroces douleurs. Elles sont littéralement arrachées à son corps tétanisé. Pour avoir le souffle nécessaire pour murmurer ne fût-ce qu’une seule syllabe, il lui faut se soulever sur ses pieds transpercés, en tirant sur ses poignets aussi transpercés. Chacune de ces ultimes paroles est donc chargée d’une souffrance intolérable, donc d’un amour inimaginable. Souffrance à son paroxysme. Amour à son apogée. Leur prix : infini, comme cet Amour-là.

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  • L'Acte qui consacre l'humanité dans l'amour

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    En mourant, Jésus dit : "Tout est consommé" (Jn 19). Dans la mort de Jésus, l'histoire humaine tout entière parvient à sa consommation, à son sommet. Un homme de notre race a été jusqu'au bout de l'amour ; il a fait de sa mort un acte parfait d'amour, s'abandonnant sans réserve entre les mains du Père (Lc 23, 46) et entre les mains de ses frères pécheurs (Lc 23, 33-34). Cet Acte est indépassable : il porte d'un coup l'histoire à son accomplissement, et si celle-ci continue, c'est pour que les hommes entrent dans cet Acte, le fassent leur, acceptant d'être pris en lui, sanctifiés, consacrés par lui, qui les transforme et leur permet d'aller, eux aussi, jusqu'au bout de l'amour. L'Acte de mourir de Jésus sur la Croix est l'acte auquel l'humanité entière est suspendue, l'Acte qui la sanctifie et la consacre tout entière dans l'amour.

    Cet acte de mourir, Jésus l'a anticipé (...) réellement et d'une manière merveilleusement significative pour nous, à la Cène. La veille de sa mort, pour la gloire du Père et la joie de ses frères, Jésus se fait pain des hommes. Il prend le pain qui est son corps; anticipant sa mort, il prend en main la totalité de son être et de son existence, il se prend lui-même et se rompt; ma vie, nul ne la prend, mais c'est moi qui la donne (Jn 10, 18) : il se rompt lui-même, avant même d'être rompu par nous tous, ses frères pécheurs; il se partage: consommant sa mort à lui-même, il devient capable de se partager entre tous dans un partage où il est vraiment tout entier à chacun; il passe au Père dans les autres et, nous regardant tous, il dit : "Mon corps, c'est vous". La Parole par laquelle il se livre est efficace : il est déjà mort, il vit déjà au coeur des siens. La Passion ne fera qu'accomplir ce qu'il a dit; les hommes seraient d'ailleurs bien incapables de faire mourir celui qui est la Vie, s'il ne voulait lui-même mourir pour eux et par eux, dans l'amour.

    Mais, à la Cène, Jésus dit : "Faites ceci en mémoire de moi" (Lc 22, 19). Ceci n'est pas simplement le rite à réitérer, c'est l'Acte posé ce soir-là. L'Eglise est tout entière invitée à entrer dans l'Acte qui la sauve et la consacre : nous sommes sauvés, nous faisons de notre vie un acte d'amour parfait dans la mesure où "nous faisons ceci en mémoire de Lui", dans la mesure où nous prenons, où nous nous rompons dans la mort à nous-mêmes et où nous devenons réellement le pain des autres, à la gloire du Père. L'Acte de mourir de Jésus, son acte parfait d'amour est re-présenté (rendu présent (...) à l'humanité, jusqu'à la fin des siècles, dans l'Eucharistie. La messe est le moment où cet Acte nous rejoint et où nous le laissons s'emparer de nous, nous consacrer et nous "transsusbtantier" pour que, nous aussi, nous allions jusqu'au bout de l'amour.

    Un texte de Jean-Marie Hennaux repris dans le recueil "Chaque jour tu nous parles" (Orval), t. 2, pp. 120-121.

  • Saint Richard de Chichester

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    Chancelier de l'Université d'Oxford et évêque de Chichester.

    (+1253)

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  • Semaine Sainte, Passion et Pâques : téléchargements

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    exultet_music.gifExultet vous offre un large éventail de chants liturgiques et de méditations pour passer ces jours denses dans la beauté et le recueillement. Cliquer sur le logo.

  • Les intentions du pape pour avril 2012

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    INTENTIONS DE PRIERE POUR AVRIL

    L'intention de prière générale de Benoît XVI pour avril est : «Pour que de nombreux jeunes sachent accueillir l’appel du Christ à le suivre dans le ministère sacerdotal ou dans la vie religieuse et missionnaire ».

    Son intention missionnaire est : « Pour que le Christ ressuscité soit signe d’une réelle espérance pour les hommes et les femmes du continent africain ».

    L'INTENTION MISSIONNAIRE pour le mois d'avril est commentée par l'Agence Fides

    « Pour que le Christ ressuscité soit signe d'une réelle espérance pour les hommes et les femmes du continent africain »

    L'Afrique est « le continent de l'espérance » par excellence. Mais comme toutes les réalités humaines, il n'est pas en mesure de trouver le fondement de son espérance en lui-même. S'il est vrai que l'Eglise africaine est pleine de jeunesse et de vitalité, il n'en est pas moins vrai que la société africaine a terriblement souffert au cours de ces dernières décennies suite aux luttes fratricides entre ses différents groupes ethniques. Comme le reste du monde, l'Afrique a, aujourd'hui encore, besoin du salut de Jésus Christ, Lui qui est notre seule paix et notre espérance, la seule source de réconciliation authentique.

    Il est nécessaire que les blessures causées par ces guerres soient guéries par la grâce divine, par le pardon offert et reçu sincèrement. Comme le Bon Samaritain, le Seigneur se penche sur l'homme, sur tout l'homme, offrant l'huile parfumée de Son Esprit Saint pour guérir ses blessures, causées par les divisions, la haine et la violence. Dans les coeurs guéris par le Christ, l'humble Médecin qui s'est fait chair pour nous, une véritable espérance pourra de nouveau germer, espérance qui ne se fondera pas sur les seules paroles humaines mais sur la force et la promesse du Seigneur.

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  • Jean Climaque dresse une échelle vers le Ciel

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    saint-Jean-Climaque-2.jpgSAINT JEAN CLIMAQUE (525-605) est fêté le 30 mars

    "Il venait de Palestine quand il se rendit au monastère Sainte-Catherine du Sinaï. Il avait 16 ans et il y restera dix-neuf ans sous la direction d'un moine vénérable qui lui apprend la vie parfaite. Un jour, ce dernier l'emmène auprès d'abba Jean le Sabaïte, ascète respecté. Celui-ci verse de l'eau dans un bassin et lave les pieds de Jean, et non pas du vénérable vieillard. Interrogé pourquoi, Jean le Sabaïte répond : « J'ai lavé les pieds de l'higoumène du Sinaï. »

    La prophétie devait se réaliser quelques décennies plus tard. En attendant, son maître étant mort, Jean se retire au désert durant quarante  ans. Il ne refuse jamais de donner quelques conseils et quelques enseignements quand on vient le trouver. Des envieux le traitant de bavard, Jean comprend qu'on enseigne plus par les œuvres que par les paroles. Il rentre alors dans le silence. On devra le supplier de reprendre ses enseignements, ce qu'il fera par miséricorde. Après avoir longuement visité les monastères de l'Égypte, il revient au Sinaï et c'est à ce moment qu'il est élu higoumène du monastère Saint- Catherine.

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  • Liège : prière pour les martyrs durant la Semaine Sainte

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    La Communauté de Sant'Egidio, Liège, nous communique :

    Depuis plusieurs années, la Communauté de Sant'Egidio débute la Semaine Sainte en se souvenant des martyrs contemporains. Cette année encore, Sant'Egidio organise à Liège une prière oecuménique en mémoire des martyrs contemporains, le lundi 2 avril 2012 à 19H00, à l'église Saint-Barthélemy. La prière sera présidée par Monseigneur Aloys Jousten, en présence des représentants oeucuméniques. En particulier, au XXe siècle, sous l'oppression communiste, il y a eu un véritable oecuménisme des martyrs qui est né.

    Au cours de la prière, nous nous souviendrons de tous ceux et toutes celles qui ont donné leur vie pour la foi au cours des dernières années. Parmi eux figureront Shabbaz Bahtti, ministre chrétien des minorités au Pakistan, assassiné il y a un an. Sant'Egidio commémore les martyrs contemporains depuis 2000 et accueille des reliques et souvenirs des martyrs de notre temps dans la basilique San Bartolomeo à Rome.

    Sant'Egidio célèbrera aussi la Semaine Sainte à Liège, du jeudi au samedi saint, à l'église Saint-Barthélemy.

    www.santegidio.be - www.santegidio.org

  • "Le Roi que les jeunes triomphalement acclament"

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    « Le Roi que les jeunes triomphalement acclament », par le P. Daniel-Ange

    Se préparer au Dimanche des Rameaux et à la JMJ !

    ROME, mardi 27 mars 2012 (ZENIT.org) –  Le P. Daniel-Ange propose aux lecteurs de Zenit de participer à l’entrée du Christ à Jérusalem, en la contemplant et revivant de l’intérieur, en préparation au Dimanche des Rameaux, dimanche prochain, 1er avril, qui est aussi la Journée mondiale de la jeunesse 2012 et le grand porche de la Semaine Sainte.

    Le Roi que les jeunes triomphalement acclament

    [Lc 19, 28-44 ; Mt 21, 1-11 ; Mc 11, 1-11]

    La joyeuse entrée dans sa Cité

    Viens et vois Jésus tout embaumé, prenant sa dernière nuit de repos chez ses amis. La dernière de ces nuits qui ont si souvent refait ses forces durant ses courses apostoliques.

    Tôt le lendemain, la petite troupe reprend la route de Jérusalem. Ils gravissent ces quelques centaines de mètres qui les séparent du sommet du mont des Oliviers : le petit hameau de Bethphagé. Et là-haut, tout à coup, en ce dimanche matin : la Ville sainte dans son éclatante splendeur ! Cette Ville sainte, telle que Jésus – de ce même endroit – l’avait découverte avec ses yeux émerveillés d’enfant de 12 ans.

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