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Belgique - Page 442

  • Messe pour la Vie à Bruxelles, vendredi, à 18H00

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    Bruxelles, église de la Madeleine,

    comme chaque deuxième vendredi du mois,

    l’EUCHARISTIE sera célébrée pour la vie

    par un prêtre de la communauté Saint Jean,

    et précédée de l’adoration silencieuse, à 17h.

    Congrégation Saint Jean « Couvent de la Madeleine,

    225 avenue de Jette    1090 Jette    Bruxelles.

    http://www.missiondemarie.org

  • Mgr Harpigny et la mission de l'Eglise dans notre société

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    index.jpgInvité par la régionale Mons-Borinage des Anciens de l'Université de Louvain, Mgr Harpigny a choisi d'aborder le thème "La mission de l'Eglise catholique dans la société actuelle".
    "L'Eglise catholique va continuer demain, avec beaucoup moins de membres mais en demeurant en dialogue avec ceux qui ne partagent pas la même foi. Je suis optimiste car l'Evangile entraîne la joie" : c'est en ces termes que l'évêque de Tournai a conclu sa conférence à Frameries, le 4 février dernier.

    Après le concile Vatican II, a exposé Mgr Harpigny, beaucoup de laïcs ont estimé que l'Evangile devait être présenté sous la forme de valeurs partagées par tous les membres de la société, croyants et incroyants. Une telle perception a conduit à l'ignorance du coeur de la foi catholique. Voulant s'inscrire dans la société, les catholiques n'ont plus perçu ce qu'ils avaient de spécifique puisqu'ils travaillaient au service de tous et avec tous. Or annoncer le Christ ne signifie pas mettre en lumière des valeurs partagées avec tous les êtres humains.
    Mais, avec le temps, dit Mgr Harpigny, les catholiques se sont rendu compte que ce qu'ils annoncent est radicalement différent de ce qui est vécu au plan des valeurs. Quelle est la mission des laïcs catholiques ? Témoigner du Christ dans tous les domaines où ils ont un rôle, comme le mariage, la famille, l'activité professionnelle, les loisirs, la politique, la culture, etc.

    Confrontés à une diminution radicale du nombre de prêtres et de religieux, les laïcs catholiques, dit l'évêque, ont perdu le sens profond du ministère ordonné et de la vie consacrée. Beaucoup d'efforts ont été faits pour maintenir en place toute la pastorale qui existait avant la crise des années 1960 : paroisses, liturgie, catéchèse, présence auprès des malades... Et pour y arriver, il a fallu remplacer progressivement les prêtres et les religieux par des laïcs. On a par ailleurs créé de nombreux conseils : conseils locaux de pastorale, conseils d'unité pastorale, équipes d'animation pastorale, sans compter des équipes spécifiques pour la liturgie, la catéchèse, l'entraide, etc.
    Et les prêtres, désormais chargés d'un nombre croissant de paroisses, sont alors devenus des itinérants, allant d'une réunion à l'autre, mais sans pouvoir infléchir les orientations prises par d'autres, déplore Mgr Harpigny.

    Dans une société multiconvictionnelle, sans Dieu, l'Eglise cherche son identité. Il ne s'agit pas de se replier dans le communautarisme, le ghetto, l'invisibilité, car l'essence même de notre religion est l'annonce du Christ. Les chrétiens doivent donc apporter leur témoignage personnel de membres d'une Eglise ouverte, respectueuse de la liberté religieuse et solidaire à l'égard des exclus.

    dépêche cathobel sur catho.be

  • Génération pour la Vie

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    161933_175808902464036_4532423_n.jpgGénération pour la Vie est une association de jeunes francophones désireux de promouvoir le respect de la Vie humaine à travers un travail d’information et de sensibilisation de l’opinion publique.

    L’association est née suite au succès de la Marche pour la Vie qui s’est déroulée à Bruxelles le 28 mars 2010. Ce jour là, à l’initiative d’un groupe de jeunes, des milliers de personnes se sont réunies - sous le regard incrédule des médias - pour demander aux autorités publiques de mettre fin à l’avortement. Une génération pour la Vie était née !

  • Un saint auquel se vouer...

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    Valenciennes_500_vie_de_s_amand_f_55.jpgAujourd'hui en Belgique, on fait mémoire de St Amand, évêque missionnaire...

    Saint Amand
    Evêque de Maestricht
    (début VIIème s. - c. 679)

            St Amand naquit au début du VIIème siècle dans l'ouest de la France. Il quitta assez jeune son pays natal, d'abord pour se faire moine dans l'île d'Yeu, puis pour vivre en ermite près de la cathédrale de Bourges. Il fut ordonné prêtre.

            C'est au terme de nombreuses années de vie silencieuse qu'il fut ordonné évêque et qu'il commença, sans doute après un pèlerinage à Rome, à évangéliser la Flandre puis les bords du Danube avant de revenir à Anvers.

            Amand était essentiellement un défricheur. Quand il avait fondé une communauté, il la laissait en d'autres mains et partait de l'avant. Lorsque le roi Sigebert II voulut le lier au siège épiscopal de Maestricht (Hollande), l'évêque déposa cette charge au bout de quelques années, malgré les instances du pape saint Martin.

            Il construisit nombre de monastères et l'Abbaye de Saint-Amand-les-Eaux (Nord) vers 679.

    EAQ

  • Monseigneur Léonard ouvre Bruxelles aux Communautés « Ecclesia Dei »

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    02-Leonard-Entree-Choeur-640x425.jpgMgr Léonard vient de confier à l' Institut du Christ Roi Souverain Prêtre (ICRSP) l'église du couvent Sainte-Anne à Bruxelles, en y nommant recteur le chanoine W. Hudson. Ce dernier est aussi directeur de la Brussels International Catholic School , une école privée bilingue français-anglais aujourd’hui située à proximité du siège des institutions européennes.

    L’Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre est une société apostolique en forme canoniale, de droit pontifical, inspirée par la spiritualité de saint François de Sales. Elle rassemble des prêtres célébrant la messe selon la forme traditionnelle du rite romain (missel de 1962)

    L’église conventuelle Sainte-Anne, maintenant confiée à l’ICRSP, se trouve à Watermael-Boitsfort (à l’avenue Léopold Wiener, 26). Le couvent Sainte-Anne est la maison mère des Religieuses du Saint-Sacrement, une congrégation belge fondée au XIX siècle. Celle-ci a décliné après le concile Vatican II et ne comporte plus aujourd’hui que quelques religieuses très âgées. Rappelons qu’à Liège, l’église du Saint-Sacrement, qui desservait aussi un couvent des religieuses de cet Ordre, a été rachetée en 2003 par une association de fidèles (sans lien avec l’I.C.R.S.P.). Cette église liégeoise est aujourd’hui desservie par  deux prêtres diocésains  attachés (sans exclusive) à la célébration de la messe selon le missel de 1962.

    À l’église Sainte-Anne de Watermael-Boitsfort, la messe latine traditionnelle sera célébrée selon l’horaire suivant : les dimanches et fêtes à 10h30, en  semaine (du lundi au vendredi): à 18h00. Le samedi, une adoration eucharistique est organisée de 10h00 à 12h00 et suivie de la messe.

    Voici trois mois, le nouvel archevêque de Malines-Bruxelles avait, par ailleurs, implanté dans la capitale belge une autre société sacerdotale traditionnelle : la  FSSP - Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre . Celle-ci œuvre à l’église Saints Jean et Etienne «aux Minimes», sise dans la partie haute du centre historique de la ville de Bruxelles (rue des Minimes, 57),  Les activités de la FSSP à Bruxelles s’y déroulent comme suit : messe dominicale traditionnelle chantée à 9h, messes basses le vendredi à 18h30 et le samedi à 9h. En outre, la Fraternité est autorisée à organiser un certain nombre d’activités, selon un calendrier mensuel comportant  l’adoration du T.S. Sacrement, un Cercle thomiste, Domus Christiani (groupe de foyers catholiques) et des catéchismes pour enfants et adultes. Ajoutons que dimanche dernier 30 janvier à 18h30,  Mgr Léonard a lui-même célébré une messe pontificale selon le rite traditionnel pour de nombreux fidèles réunis dans cette belle église des Minimes (XVIIIe siècle).

  • Publication du nouveau Rapport sur le régime belge des Cultes

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    LLC.jpgNous l’avons déjà signalé : mardi dernier, 1er févier 2011, un nouveau rapport sur la réforme de la législation sur les cultes et les organisations philosophiques non confessionnelle a été présenté par le Ministre de la Justice Stefaan De Clerck à la Commission de la Justice de la Chambre des Représentants.

    Précisons que le texte complet de ce rapport, assuré par un Groupe de travail interuniversitaire co-présidé par les professeurs Louis-Léon Christians (UCL) et Michel Magits (VUB), avec Mme Caroline Sagesser (ULB) et le professeur Luc de Fleurquin (KULeuven) (Arrêté royal du 13 mai 2009), est disponible sur le site du SPF Justice : partie 1 , partie 2 , partie 3 . Un excellent résumé de ce rapport figure sur catho.be .

    Le Liégeois Louis-Léon Christians est une figure bien connue du monde ecclésial : docteur en droit et docteur en droit canonique, il dirige à l'Université catholique de Louvain (Louvain-la -Neuve) la chaire de droit des religions, consacrée aux régimes des cultes et aux garanties de liberté religieuse en Europe, ainsi qu'au droit canon et aux droits religieux comparés. Il coordonne également le pôle "Droit et religions" du master pluridisciplinaire en sciences des religions. Il enseigne aussi à l'Institut catholique de Paris, à l'Université de Paris XI et à l'Universitaire Centrum Sint Ignatius Antwerpen. Il est expert notamment auprès du Conseil de l'Europe et membre expert du Centre fédéral belge d'avis et d'information sur les organisations sectaires nuisibles.

  • Oecuménisme de pointe à la K.U.L.

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    pict_293851.jpgHier, à la Chandeleur, la Katholieke Universiteit Leuven (K.U.L) célébrait sa fête patronale. A cette occasion elle a remis à Rowan Williams,  « archevêque » anglican de Canterbury, les insignes de docteur honoris causa de sa faculté de théologie.

    Dans la « Libre Belgique », Christian Laporte explique aujourd’hui le sens de cet hommage académique. Selon lui, le « patron » de l’ « Église » anglicane méritait d’entrer dans la grande famille universitaire louvaniste parce qu’il s’inscrit  la défense de valeurs qui sont aussi mises en exergue de longue date en terre louvaniste.

    Lesquelles ? A cet égard, le journaliste interconvictionnel et postséculier de la Libre Belgique  cite les propos de Lieven Boeve, doyen de la faculté de théologie de la K.U.L.,  soulignant que Rowan Williams joue  un rôle de pointe dans la redéfinition de la place de la religion dans la société européenne. notamment "parce qu’il refuse de rejeter globalement la culture européenne occidentale comme nihiliste ou relativiste ».

    Pour illustrer les mérites du nouveau membre de la  « grande famille louvaniste » le doyen cite trois 220px-Katharine_Jefferts_Schori_2.jpgexemples, d’ordres fort différents : d’abord, le récipiendaire n’a pas hésité à plaider pour l’intégration sans réserve des musulmans tout en allant à l’encontre des clichés sur le ‘choc des civilisations’; de même, lors de la crise financière, il a mis les dirigeants devant leurs responsabilités éthiques". Enfin, « avec un modus operandi qui mérite le respect », Rowan Williams s’est aussi investi sans réserve dans des discussions délicates comme la nomination d’évêques féminines ou l’ordination d’homosexuels.

    Pour la « Libre Belgique », en nommant le primat anglican  docteur honoris causa de sa faculté de théologie, la K.U.L. « a fait elle aussi montre d’une indépendance certaine, notamment face aux évêques et plus encore face à son grand chancelier, Mgr Léonard ».

    On peut en effet deviner sans peine que Mgr Léonard ne partage pas tous les points de vue exprimés par Rowan Williams. Entre autres excentricités, le nouveau docteur louvaniste a plaidé pour l'introduction de la charia, la loi islamique, dans certaines parties de la législation britannique et lors des attaques sur les Twin Towers de Manhattan il a surpris l’opinion en déclarant que « les terroristes pouvaient avoir des objectifs moraux sérieux ». Par ailleurs, il a géré de manière fort « libérale » les remous provoqués au sein de la « Communion » anglicane par l’application de la théorie du « gender », dont voici quelques exemples : l'introduction d'un rite de bénédiction pour des couples de même sexe (dans le diocèse de New Westminster), la nomination d'un évêque ouvertement homosexuel (comme « évêque » du New Hampshire), tout comme celle d’un autre pasteur homosexuel affirmé (candidat à l'évêché de Reading) ou la « consécration » presbytérale d'une femme vivant elle aussi en couple homosexuel dans l’ « Église épiscopale » des Etats-Unis. Signalons aussi que cette « Église » est présidée  par une femme « évêque » depuis 2006 (le « presbytérat » féminin dans la « Communion anglicane » existe depuis 1974).

  • Belgique : au sommaire de "Pâque Nouvelle"

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    paque(2).jpg 

    Un nouveau numéro de la revue trimestrielle "Pâque nouvelle" vient de sortir. Une publication, dans laquelle Anne-Marie Libert revient sur le thème de la conférence qu’elle a prononcée le 27 novembre dernier à l’église du Saint-Sacrement à Liège. Son article,  qui dénonce l’ordre nouveau qui s’installe contre la vie, s’intitule « La tactique du salami ».

     Toutes les autres contributions sont aussi à citer. Épinglons « Verbum Domini  (au sujet de la dernière exhortation de Benoît XVI) et « Lectio divina » ( par l’abbé Bruno Jacobs), « Et le Verbe s’est fait chair » (par l’abbé Pascal-Marie Jerumanis), « Que ta volonté soit faite » (par Marion Guében-Baugniet), un portrait du P. Joseph Kentenich, fondateur du mouvement marial international (90 pays) de Schönstatt (par Bénédicte et Paul-Bernard Lesuisse) et un article sur le livre du cardinal Marx, archevêque de Munich intitulé,comme de juste : « Le Capital » (par Joseph Pirson).

    Depuis le décès (août 2010) du regretté Mgr Dangoisse, la rédaction de « Pâque Nouvelle » est dirigée par l’abbé Bruno Jacobs (bjacobs@gmx.com).

    Le secrétariat et la gestion des abonnements sont confiés à Marc Emond (tél.+32 (0)83.61.36.30 courriel marc.emond@skynet.be )

    L’abonnement annuel coûte 13€ (Belgique) ou 15€ (autres pays). Pour un premier abonnement découverte ou un abonnement-cadeau à un ami : 10€ (Belgique) ou 12€ (autres pays). A verser au compte IBAN : BE57 0682 1849 3335   BIC : GKCCBEBB de Pâque Nouvelle.

  • The Economist : "redessinez la Belgique et vous cassez la mystique de la tolérance européenne"

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    The trouble with Flanders Why Belgium’s unending linguistic disputes matter to Europe
    Le communiqué de Belga repris par LaLibre relève les passages suivants:
    "Le monde ne prête pas beaucoup attention à la Belgique. Il pourrait toutefois devoir s'y intéresser sous peu. Avec une crise qui s'éternise, la scission de la Belgique apparaît moins impensable qu'auparavant. Et ses effets se feraient sentir bien au-delà du monde imaginaire de Tintin et des hommes à chapeau de Magritte"

    L'hebdomadaire "rappelle que la "lente dissolution" de la Belgique, devenue une "coquille vide", est allée paradoxalement de pair avec l'intégration progressive du Vieux continent, dont le pays reproduit - à plus petite échelle - un trait fondamental, à savoir une division entre un nord frugal et germanique, et un sud latin dépendant des subsides."Mais cela ne veut pas dire que la Belgique pourrait se scinder sans que personne n'y trouve ombrage", ajoute le magazine."L'Espagne et l'Italie ne seront alors pas les seules à s'inquiéter de ce précédent; une région riche se séparant d'une plus pauvre. Les nationalistes écossais parlent d'indépendance au sein de l'Europe. De nombreux anciens pays communistes disposent d'importantes minorités nationales: pensons aux Hongrois de Slovaquie. Redessinez la Belgique et vous cassez la mystique de la tolérance européenne".

    Cet article remet les choses en perspective et voit dans la scission de Louvain et dans l'attitude de l'Eglise belge le point de départ de ce processus de division. Les catholiques belges n'ont-ils pas failli en cédant à l'esprit de division ("diabolos" en grec) alors qu'ils auraient dû et devraient encore être des faiseurs d'unité et de compréhension, fidèles en cela à un idéal de catholicité ("universalité" en français)? Depuis lors, dit l'Economist, la politique belge a succombé au tribalisme...

  • Belgique : la solidarité grandit une culture

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    L'opinion d'un de nos "blogueurs"...

    "La solidarité grandit une culture", tel était le thème de la soirée-spectacle qui a eu lieu hier soir au KVS, à Bruxelles, et qui a remporté un très grand succès. On ne peut qu'applaudir à cette dénonciation d'une vision nationaliste haineuse et à cet appel pour que nous continuions à vivre en harmonisant nos différences. On connaît l'adage "le patriotisme est l'amour des siens, le nationalisme est la haine des autres". L'agression, hier soir, à son domicile, d'un bourgmestre de la périphérie bruxelloise par un groupe extrémiste (le TAK) en constitue une triste illustration.

    Demain, la manifestation "shame" réunira sans doute des milliers de gens qui désirent que l'on mette fin à cette crise politique interminable et qu'un gouvernement soit mis en place. Le succès de cette manifestation conduira-t-il à une "révolution moules-frites" comme le suggère Philippe Geluck? Ce serait souhaitable car il est vrai que si cette crise perdure, le crédit dont notre pays bénéficie encore va être totalement ruiné avec les conséquences que l'on imagine sur les investissements venant de l'étranger, sur les prêts que l'on voudra encore bien nous consentir, avec toutes les répercussions imaginables sur l'activité économique, sur l'endettement global et sur l'emploi...

    Irons-nous, irez-vous, manifester? Nous sommes dans le domaine des opinions et des choix où l'on ne peut se revendiquer d'aucune certitude, la politique n'étant que l'art du possible. Manifester pour qui, manifester pour quoi? Voilà ce qu'il faut sans doute tâcher d'élucider avant de se décider. Si l'on m'interdit d'y arborer le drapeau de notre pays comme il semble que la consigne en soit donnée, cela m'inquiète fortement.

    Se souvient-on encore de l'historien libéral Henri Pirenne qui affirmait qu'en Belgique, le catholicisme tenait lieu de sentiment fédérateur? La déchristianisation avancée de notre pays n'est pas sans lien avec la disparition des solidarités et la montée des particularismes antagonistes. Ne serait-ce pas la clef de ce processus où "la Belgique s'éteint lentement comme une bougie" pour reprendre l'expression cynique de Bart De Wever?

    Quand une société n'est plus unie par le haut, par des valeurs supérieures, elle se décompose par le bas...