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Eglise - Page 1365

  • Souffrir est un mal

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    A la question de Louis Daufresne (radio Notre-Dame) : – L’Église – ou la foi chrétienne – ne voit-elle pas une vertu rédemptrice dans la souffrance ?

    Le cardinal André Vingt-Trois répond : – Jamais l’Église n’a souhaité infliger la souffrance à qui que ce soit ! Ce n’est pas la souffrance en elle-même qui est rédemptrice, c’est la manière dont elle est vécue et offerte dans un acte d’amour par celui qui la supporte. Mais ce n’est pas à son entourage de décider pour la personne comment elle doit vivre sa souffrance. Souffrir est un mal et il est d’ailleurs tout à fait admirable de voir comment le corps médical, le personnel soignant se dépensent avec beaucoup de force pour atténuer la douleur des personnes. Ainsi, ils leur permettent de gagner plus de liberté pour donner sens à ce qu’ils vivent. C’est cela qui est déterminant.

    source

  • Asia Bibi est toujours en prison

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    De "Portes Ouvertes" :

    Pakistan : Asia Bibi, la persévérance et la foi dans l’épreuve

    Fidèle, patiente, déterminée, Asia Bibi, en prison pour blasphème depuis quatre ans, persévère dans la prière et le jeûne.

    un exemple de fidélité

    Asia Bibi est à genoux. Dans sa minuscule cellule sans fenêtre, elle prie. Dans son oreille, l’appel à la prière résonne. Cinq fois par jour, il lui rappelle qu’il suffit qu’elle renie sa foi pour être libre et retrouver sa famille, son mari, ses cinq enfants et sa vie d’avant.

    Mais Asia persévère. C’est sa foi en Jésus qui l’a conduite là et elle Lui reste fidèle. Elle sait qu’Il est le seul à pouvoir la faire sortir de sa prison et elle garde confiance. Elle a tout remis entre ses mains.

    Pas de nouveau verdict avant un an

    Cela fait quatre ans qu’Asia Bibi est privée de sa liberté et de sa famille. Quatre ans qu’accusée de blasphème pour avoir mentionné le prophète de l’islam lors d’une querelle avec les autres femmes du village, elle a été condamnée à mort. Elle a fait appel auprès de la haute cour de Lahore, mais celle-ci pourrait prendre encore un an avant de statuer sur son cas.

    En isolement pour sa propre sécurité

    Dans sa prison de Sheikphura, elle vit dans des conditions très difficiles. Elle est harcelée par ses co-détenues et elle a été agressée à plusieurs reprises. Elle ne peut voir sa famille qu’une fois par semaine et le reste du temps elle est en isolement pour sa propre sécurité.

    Les deux hommes politiques qui ont pris son parti ont été assassinés et plusieurs avocats qui avaient accepté de la défendre ont dû quitter le pays pour sauver leur vie.

    Mais Asia ne perd pas espoir.

    Persévérer dans la prière

    Un avocat chrétien nous encourage à continuer de prier pour elle et d’agir pour alerter le monde sur sa situation afin de faire avancer les choses :

    "Elle jeûne, elle prie, elle n’a pas abandonné son Dieu même dans les jours les plus sombres. Alors qu’elle persévère, pourquoi renoncerions-nous?"

  • 11 juillet : fête de saint Benoît

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    Ce 11 juillet, jour de la translation de ses reliques à Saint-Benoît-sur-Loire, on fête le père du monachisme occidental : Benoît  né vers 480 ou 490 à Nursie – mort en 547 (en latin Benedictus de Nursia), plus connu sous le nom de « saint Benoît » (en latin Sanctus Benedictus de Nursia). Fondateur de l'ordre bénédictin et a largement inspiré le monachisme occidental ultérieur. Il est considéré par les catholiques et les orthodoxes comme le patriarche des moines d'Occident à cause de sa Règle qui a eu un impact majeur sur le monachisme occidental et même sur la civilisation européenne médiévale. Le pape Paul VI l’a proclamé saint Patron de l’Europe le 24 octobre 1964, en ces termes:

    « Messager de paix, artisan d'unité, maître de civilisation, et, avant tout, héraut de la religion du Christ et fondateur de la vie monastique en Occident, tels sont les titres qui justifient la renommée de saint Benoît, abbé. Alors que s'écroulait l'Empire romain désormais à son terme, que des régions de l'Europe s'enfonçaient dans les ténèbres et que d'autres ne connaissaient pas encore la civilisation et les valeurs spirituelles, c'était lui qui, par son effort constant et assidu, a fait se lever sur ce continent l'aurore d'une ère nouvelle. C'est principalement lui et ses fils qui, avec la croix, le livre et la charrue, apporteront le progrès chrétien aux populations s'étendant de la Méditerranée à la Scandinavie, de l'Irlande aux plaines de la Pologne.

    Avec la croix, c'est-à-dire avec la loi du Christ, il a affermi et a développé l'organisation de la vie publique et privée. Il convient de rappeler qu'il a enseigné aux hommes la primauté du culte divin avec l'Office divin, c'est-à-dire la prière liturgique et assidue... Avec le livre, ensuite, c'est-à-dire avec la culture : au moment où le patrimoine humaniste allait se perdre, saint Benoît, en donnant renom et autorité à tant de monastères, a sauvé la tradition classique des anciens avec une sollicitude providentielle, en la transmettant intacte à la postérité et en restaurant l'amour du savoir.

    Et enfin avec la charrue, c'est-à-dire avec l'agriculture et d'autres initiatives analogues, il a réussi à transformer des terres désertiques et incultes en champs très fertiles et en jardins gracieux. En unissant la prière au travail matériel, selon son mot célèbre : « Ora et labora » (Prie et travaille), il a ennobli et a élevé le travail de l'homme. C'est pourquoi le pape Pie XII a salué à juste titre dans saint Benoît le « père de l'Europe ».

    Lu par JPS sur le site du « Petit Placide » : Saint Benoît, patron de l'Europe

  • Développons une vision de croissance de notre Eglise

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    Plutôt que d'anticiper des situations de décroissance comme on le fait dans les restructurations pastorales dans nos diocèses, on ferait bien de s'inspirer des réflexions de Florence de Leyritz que l'on peut lire ici.

    Extrait :

    Nicky Gumbel, vicaire de la paroisse anglicane d’Holy Trinity Brompton et fondateur des parcours Alpha, disait il y a dix ans : « Si nous planifions la décroissance, nous l’aurons. Si nous développons une vision de croissance de notre église, nous connaîtrons cette croissance. » (...) Quand nous pensons notre pastorale en termes de maintenance ou de décroissance, nous sommes sûrs de mourir à petit feu. En revanche, si nous portons un regard d’espérance et de saine croissance, nous voyons des choses merveilleuses se passer.

  • Le nouvel évêque de Liège veut dépasser les clivages

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    Mgr Jean-Pierre Delville qui sera consacré évêque de Liège le 14 juillet répond aux questions de Christian Laporte et de Paul Vaute dans la Libre :

    extraits :

    ... Lors de votre présentation à la presse, le 31 mai dernier, vous avez cité parmi vos préoccupations celle des vocations. 

    En effet, cela me tient à cœur notamment pour avoir présidé le Séminaire de Louvain-la-Neuve et donné cours au Séminaire de Liège. La crise actuelle des vocations ne doit pas être ramenée à la difficulté de vivre le célibat. Les Eglises protestantes connaissent aussi cette crise. Mais il faut revaloriser le profil du futur prêtre. Il faut qu’il soit appelé, désiré, porté. 
     
    Vous avez aussi mis l’accent sur le rôle des laïcs et en particulier des femmes. Comment valoriser les vocations qui n’incluent pas le célibat ?
    Il ne faut pas se limiter aux intitulés officiels des ministères laïcs comme l’acolytat ou le lectorat. Ils doivent être incarnés dans des activités nouvelles, y compris sociales. L’expérience des pays du Sud, où des laïcs sont responsables de communautés, peut nous aider à cet égard. C’est dans ce cadre que nous pouvons réfléchir au rôle de la femme, non pas comme prêtre mais dans les fonctions où elle a sa place. On voit beaucoup de communautés nouvelles dirigées par des femmes, comme les Focolari avec Chiara Lubich et maintenant Maria Voce. Il y a aussi des secteurs comme la santé et la famille où les femmes ont une sensibilité particulière, même si ce n’est pas exclusif. Il ne faut pas se focaliser sur l’idée de devenir prêtre. Depuis Vatican II, le prêtre n’est plus celui qui fait tout. 
     
    Vous avez dit qu’il faut que les "clans" se parlent dans l’Eglise. L’unité dans la diversité, c’est le grand défi ? 
    On s’est fort polarisé sur une vision gauche-droite ou progressistes-traditionnalistes. Aujourd’hui, on voit mieux qu’il n’y a pas de position idéale. Il y a des diversités qui sont quand même une richesse. 
     
    C’est dans cet esprit que vous allez parfois célébrer la messe selon le rite préconcilaire à l’église du Saint-Sacrement à Liège ? Oui. Il y a une richesse et une beauté dans le rite d’avant Vatican II qui méritent d’être valorisées. Il faut cesser les exclusions réciproques. Eric de Beukelaer, comme doyen du centre-ville, a aussi cette volonté.  ...
  • Le Vatican pourrait entériner la fin du dialogue avec la FSSPX

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     D’Aymeric Christensen sur le site de « La Vie » :

    « Après la déclaration commune des évêques de la Fraternité Saint-Pie-X, publiée à l'occasion du 25e anniversaire de leur ordination illicite par Mgr Marcel Lefebvre, Rome aurait l'intention de clore officiellement le dialogue ouvert en 2009 avec les lefebvristes. Cette information est rapportée par le magazine allemand Focus (cité parl'agence Apic), qui précise que le préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, Mgr Gerhard Ludwig Müller, devrait s'exprimer à ce sujet très prochainement.

    Dans ce communiqué, que nous évoquions le 28 juin dernier dans la Matinale chrétienne de La Vie, les trois évêques de la Fraternité (Mgr Fellay, Mgr Tissier de Mallerais et Mgr de Galarreta – Richard Williamson ayant été exclu l'an dernier) réaffirmaient les fondamentaux lefebvristes, notamment le rejet de Vatican II.

    La déclaration précisait ainsi que « la cause des erreurs graves qui sont en train de démolir l’Église ne réside pas dans une mauvaise interprétation des textes conciliaires (…) mais bien dans les textes mêmes », et que « cinquante ans après le Concile, (...) les sacres conservent toute leur justification. »

    Par sa forme sans concession et sa réaffirmation du bien fondé des ordinations épiscopales de Mgr Lefebvre, le texte constituait un véritable défi lancé au Vatican, auquel celui-ci pourrait donc désormais répondre.

    Ouvert par Benoît XVI en 2009, avec la levée des excommunications qui pesaient sur les évêques de la FSSPX, le processus de dialogue avait abouti à fin 2011 à une proposition de reconnaissance canonique par l'Eglise, contre la reconnaissance par les lefebvristes d'un« préambule doctrinal » incluant l'acceptation du concile Vatican II. Après plusieurs allers-retours, la Fraternité avait finalement refusé l'an dernier de signer ce protocole, laissant la discussion au point mort.

    Par ailleurs, l'année écoulée a aussi été l'occasion pour la FSSPX de hausser le ton à plusieurs reprises, comme pour pousser Rome à adopter à son égard une nouvelle position canonique, qui reviendrait sur la levée des excommunications. Une éventuelle déclaration de Mgr Müller devrait permettre d'éclairer la réponse choisie par le Vatican. 

    • Edit 08.07, 17h45 : Dans le journal italien La Repubblica, Enzo Bianchi, fondateur de la communauté monastique de Bose, qui dit tenir cette information « de bonnes sources », affirme que la Fraternité Saint-Pie-X serait sur le point de célébrer de nouvelles ordinations épiscopales. Un tel acte, s'il avait lieu, constituerait une ultime provocation vis-à-vis de Rome, et ne serait probablement pas sans conséquences.

     Ici : Le Vatican pourrait entériner la fin du dialogue avec la FSSPX

    Une dérive alors sans doute irréversible après l’échec des efforts entrepris par Benoît XVI, un schisme fruit d’intransigeances réciproques relatives à un concile controversé et d’obstinations souvent attisées, de part et d’autre, comme le montre encore le brûlot lancé le 8 juillet dans la « Reppublica »  par le célèbre « prieur » progressiste Enzo Bianchi.  JPS.

  • 2013 : le monde plus religieux sauf l’Europe ?

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    Les religions - surtout le christianisme et l'islam- comptent plus de croyants dans le monde mais l'Europe n'est plus le centre de la chrétienté. C’est ce qu’on peut lire sur le site aleteia qui se réfère au quotidien italien « La Stampa » du 4 juillet :

     « Le plus prestigieux centre de statistique religieuse au monde, le Center for the Study of Global Christianity de South Hamilton (Massachusetts), vient de publier son rapport tant attendu : « Christianity in its global Context, 1970-2020 »  (Le  christianisme dans son contexte global, 1970-2020), présentant toute une série de statistiques mises à jour en 2013, avec une projection jusqu’en 2020.

    L’essentiel du résultat de cette vaste enquête peut se résumer en une phrase: le monde devient non pas moins, mais plus religieux. En particulier, le nombre de chrétiens et de catholiques est en augmentation, mais principalement en Afrique et en Asie, tandis que les Amériques restent stables et que l’Europe devient moins religieuse, moins chrétienne et moins catholique.

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  • L'homélie de François à Lampedusa

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    Homélie du pape François auprès des migrants de Lampedusa le 8 juillet 2013 (via La Vie)

    Immigrés morts en mer, dans ces bateaux qui au lieu d’être un chemin d’espérance ont été un chemin de mort. Ainsi titrent des journaux. Il y a quelques semaines, quand j’ai appris cette nouvelle, qui malheureusement s’est répétée tant de fois, ma pensée y est revenue continuellement comme une épine dans le cœur qui apporte de la souffrance. Et alors j’ai senti que je devais venir ici aujourd’hui pour prier, pour poser un geste de proximité, mais aussi pour réveiller nos consciences pour que ce qui est arrivé ne se répète pas. Que cela ne se répète pas, s’il vous plaît ! Mais tout d’abord, je voudrais dire une parole de sincère gratitude et d’encouragement à vous, habitants de Lampedusa et Linosa, aux associations, aux volontaires et aux forces de sécurité, qui avez montré et montrez de l’attention aux personnes dans leur voyage vers quelque chose de meilleur. Vous êtes une petite réalité, mais vous offrez un exemple de solidarité ! Merci ! Merci aussi à l’archevêque Mgr Francesco Montenegro pour son aide, son travail et sa proximité pastorale. Je salue cordialement le Maire, Mme Giusi Nicolini, merci beaucoup pour ce qu’elle a fait et fait. Je désire me tourner en pensée vers les chers immigrés musulmans qui commencent, ce soir, le jeune du Ramadan, avec le vœu d’abondants fruits spirituels. L’Église vous est proche dans la recherche d’une vie plus digne pour vous et vos familles. A vous : (oshià) !

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  • Encyclique Lumen Fidei : le commentaire de l’abbé de Tanoüarn

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    Extraits :

     (…) "A quatre mains", c'est ainsi qu'elle est présentée, elle est signée Franciscus, François pape. Mais elle est manifestement le dernier document qui soit rédigé par le pape Benoît. On reconnaît et son style, archidocumenté que ce soit dans l'ordre sacré ou dans l'ordre profane (Nietzsche, Rousseau, Wittgenstein), et sa manière, douce ne prenant jamais l'adversaire de front mais ne lui laissant aucune chance, et aussi sa volonté de faire le point sur tous les sujets afférents au sujet principal, comme on le fait dans un cours bien professé : salut par la foi, rapport foi et science, foi et société, foi et Eglise etc. C'est tout Benoît XVI, cela. - Un peu difficile à lire ? - C'est vrai, avouons-le. Comme ses trois autres encycliques d'ailleurs. Mais pour celui qui veut se donner la peine de la lire, quelle fécondité !

    (…) L'ancien Préfet du Saint Office qu'est Benoît XVI n'oublie pas de le mentionner, en matière de foi, il n'y a pas de détails :

    "Étant donné qu’il n’y a qu’une seule foi, celle-ci doit être confessée dans toute sa pureté et son intégrité. C’est bien parce que tous les articles de foi sont reliés entre eux et qu’en nier un seul, même celui qui semblerait de moindre importance, revient à porter atteinte à tout l’ensemble. Chaque époque peut rencontrer plus ou moins de difficultés à admettre certains points de la foi : il est donc important de veiller, afin que le dépôt de la foi soit transmis dans sa totalité (cf. 1 Tm 6, 20), et pour que l’on insiste opportunément sur tous les aspects de la confession de foi. Et puisque l’unité de la foi est l’unité de l’Église, retirer quoique ce soit à la foi revient à retirer quelque chose à la vérité de la communion" (n. 48).  

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  • Une encyclique, deux papes, une atmosphère étrange au Vatican ?

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    C’est le point de vue de Jean-Marie Guénois dans le Figaro :

    Une encyclique, deux papes. Étrange atmosphère, vendredi, au Vatican. Alors qu'était publiée la première encyclique du pape François, intitulée «Lumière de la foi», très largement rédigée par son prédécesseur, Benoît XVI - qui n'apparaît pas comme cosignataire du texte -, ce dernier s'est présenté publiquement aux côtés de son successeur pour l'inauguration d'une statue de saint Michel archange, dans les jardins du Vatican. Seront-ils à nouveau côte à côte pour la canonisation commune de Jean-Paul II et de Jean XXIII, également annoncée vendredi? Rien ne l'interdit. Il faudra toutefois attendre pour le savoir. Cette cérémonie interviendra «avant la fin de l'année», assure le Vatican, mais la date est inconnue.

    Connue en revanche, lisible en quatre-vingts pages, la première encyclique du Pape François, Lumen Fidei, («Lumière de la foi»), selon les premiers mots de la lettre, qui donnent toujours le titre, est en réalité une encyclique d'une facture… propre à Benoît XVI. Tout le trahit dans le texte: style, points d'insistance, références théologiques et littéraires. Ce document était bien avancé, le 11 février, quand le pape allemand abdiqua. Cette encyclique fut même donnée comme «abandonnée» après la renonciation du Pape. Il apparaît que François, qui reprend le texte à son compte - car une double signature est canoniquement impossible, deux papes ne peuvent avoir autorité de signer en même temps un document -, souhaite ainsi rendre hommage à son prédécesseur.

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  • La liste des martyrs espagnols s'allonge

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    (VIS) La Congrégation pour la cause des saints vient de promulguer de nouveaux décrets reconnaissant notamment le martyre "en haine de la foi" :

    du serviteur de Dieu José Guardiet y Pujol, prêtre espagnol tué en haine de la foi le 3 août 1936.

    du serviteur de Dieu Mauricio Íñiguez de Heredia, religieux espagnol, et ses 23 compagnons hospitaliers de St.Jean de Dieu, tués en haine de la foi en 1936 ou 1937.

    du serviteur de Dieu Fortunato Velasco Tobar, prêtre espagnol, et ses 13 compagnons de la Congrégation de la Mission, tués en haine de la foi entre 1934 et 1936.

    de la servante de Dieu María Asunción (Juliana González Trujillano), religieuse espagnole, et ses 2 consoeurs Franciscaines missionnaires de la Mère du divin Pasteur, tuées en haine de la foi en 1936.