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Eglise - Page 1366

  • Le “digest” de Lumen Fidei: dernière encyclique de Benoît, première de François

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    Pour les gens pressés, l’agence VIS propose un résumé de la première encyclique du Pape François intitulée Lumen Fidei (la lumière de la foi), publiée ce matin:

    1011452_634201909924184_1767964088_n.jpg Ce texte, qui s'articule en une introduction, quatre chapitres et une conclusion, est en réalité l'encyclique presque achevée de Benoît XVI sur la foi, à laquelle le Pape François a apporté sa propre contribution.

    L'introduction expose les buts et, tout particulièrement, la nécessité de redécouvrir le caractère lumineux de la foi, qui éclaire l'existence, aide l'homme à distinguer le bien du mal alors que la foi est souvent perçue comme une illusion, un saut dans l'inconnu qui entrave la liberté de la personne. En cette Année de la foi et en ce cinquantième anniversaire de Vatican II, "un concile sur la foi", il convenait de raviver une large perception de la foi, confessée dans son unité et son intégrité. Il ne s'agit pas d'un préjugé acquis mais d'un don de Dieu qu'il faut nourrir et renforcer. Qui croit, voit! Car la lumière de la foi, qui vient de Dieu, éclaire toute l'existence humaine. Elle vient du souvenir de la vie de Jésus et ouvre un vaste horizon.

    La suite ici: RESUME DE L'ENCYCLIQUE LUMEN FIDE

    Ne cherchons pas à déterminer la part de l’un et celle de l’autre des deux pontifes. C’est un document didactique sans être ennuyeux, très clair et profond à la fois, une porte ouverte sur l'acte de foi,  la réflexion spirituelle et la prière. Tout ce qu’il faut pour plaire aux « zelanti » et déplaire aux « politicanti , qui ne manqueront pas de la snober, car elle ne dogmatise sur aucune des grandes controverses qui agitent l'Eglise postconciliaire. JPS

  • Lumen Fidei, la première encyclique du pape François

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    LETTRE ENCYCLIQUE
    LUMEN FIDEI
    DU SOUVERAIN PONTIFE
    FRANÇOIS
    AUX ÉVÊQUES
    AUX PRÊTRES ET AUX DIACRES
    AUX PERSONNES CONSACRÉES
    ET À TOUS LES FIDÈLES LAÏCS
    SUR LA FOI

     

    1. La lumière de la foi (Lumen Fidei) : Par cette expression, la tradition de l’Église a désigné le grand don apporté par Jésus, qui, dans l’Évangile de Jean, se présente ainsi : « Moi, lumière, je suis venu dans le monde, pour que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres » (Jn 12, 46). Saint Paul aussi s’exprime en ces termes : « Le Dieu qui a dit ‘Que des ténèbres resplendisse la lumière’, est Celui qui a resplendi dans nos coeurs » (2 Co 4, 6). Dans le monde païen, épris de lumière, s’était développé le culte au dieu Soleil, le Sol invictus, invoqué en son lever. Même si le soleil renaissait chaque jour, on comprenait bien qu’il était incapable d’irradier sa lumière sur l’existence de l’homme tout entière. En effet, le soleil n’éclaire pas tout le réel ; son rayon est incapable d’arriver jusqu’à l’ombre de la mort, là où l’oeil humain se ferme à sa lumière. « S’est-il trouvé un seul homme qui voulût mourir en témoignage de sa foi au soleil ? »[1] demande le martyr saint Justin. Conscients du grand horizon que la foi leur ouvrait, les chrétiens appelèrent le Christ le vrai soleil, « dont les rayons donnent la vie »[2]. À Marthe qui pleure la mort de son frère Lazare, Jésus dit : « Ne t’ai-je pas dit que si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ? » (Jn 11, 40). Celui qui croit, voit ; il voit avec une lumière qui illumine tout le parcours de la route, parce qu’elle nous vient du Christ ressuscité, étoile du matin qui ne se couche pas.

    La suite sur vatican.va

  • En Egypte, l'espoir et la vigilance des chrétiens

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    Le processus islamiste est arrêté en Egypte: un signe positif pour tout le moyen orient et en particulier les minorités chrétiennes historiques qui doivent cesser de prendre la route de l’exil vers l’occident.  Ce qu’en dit Natalia Trouiller ce matin, sur le site de l’hebdomadaire “La Vie”. JPS.


    “Une Egypte plus sûre pour la minorité chrétienne ? C'est en tout cas ce que semble entrevoir la minorité copte, suite aux événements qui ont provoqué la déposition du président issu des Frères musulmans Mohammed Morsi. Différents responsables coptes catholiques ne cachent pas leur satisfaction. C'est le cas du père Rafic Greiche, porte-parole de l'Eglise catholique égyptienne, qui réfute dans AsiaNews l'appellation de "coup d'Etat" de l'armée, arguant que le président par intérim Adly Mansour est un "technicien" appelé à former un gouvernement transitoire d'union nationale, et non le pantin des militaires.


    Bien qu'une église catholique ait été attaquée hier dans le gouvernorat de Minya (Haute-Egypte), le patriarche d'Alexandrie des coptes catholiques, Sa Béatitude Ibrahim Isaac Sidrak, confie à l'agence Fides que "différents signaux montrent que nous sommes sur la bonne voie. Les erreurs de la fois précédente ne seront pas répétées, lorsque, dans l’euphorie de la fin politique de Moubarak, tout le reste fut perdu de vue et beaucoup de choses furent laissées dans le flou. Cette fois, les prochaines étapes ont été bien préparées. Aujourd’hui, le nouveau Président provisoire, Adly Mansour, prête serment et l’ordre démocratique sera progressivement pleinement rétabli. Nous ne pouvons pas dire de ne pas nourrir de craintes. La situation économique est préoccupante et rend tout un chacun plus exposé au risque d’être manipulé par les sirènes de la propagande. Les partisans de Morsi sentent qu’ils ont perdu et sur cela peuvent venir se greffer des sentiments de vengeance. Nous devons les convaincre qu’il existe une place également pour eux dans le pays, que personne ne les rejette, mais qu’ils doivent être et se comporter en Egyptiens, comme des compatriotes de tous les autres Egyptiens et ne pas viser à instaurer un despotisme religieux".


    Signe de l'attention portée par les coptes à une bonne harmonie nationale, les responsables coptes orthodoxes et catholiques, parmi lesquels le pape copte-orthodoxe Tawadros II, ont joint leur voix à celles du nouveau président et du cheikh d'Al-Azhar, plus haute autorité sunnite, pour veiller à ce que les Frères musulmans et leurs partisans ne soient pas victimes de vengeance. "Il faut éviter une chasse aux sorcières contre les islamistes", a ainsi martelé le père Rafic Greiche.”


    Ici: En Egypte, l'espoir et la vigilance des chrétiens

  • Ni progressistes, ni conservateurs

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    Une excellente consigne proposée sur Metablog par l'abbé de Tanouärn à la suite de jésuites américains : "Ni progressistes ni conservateurs"

    Une suggestion des jésuites américains nous est transmise en français par Aymeric Christensen dans La Vie. Je crois qu'elle plaira aux lecteurs assidus de metablog. Il s'agit de bannir de son vocabulaire les termes de "conservateurs" ou de "progressistes", lorsque l'on parle de chrétiens véritables  (cf. lavie.fr). Non pas seulement parce que les étiquettes sont réductrices, mais parce que tous les chrétiens, dans la mesure où ils le sont, sont des révolutionnaires.

    Juste une petite anecdote, avant d'aller plus loin. Alors que je faisais du stop sur l'autoroute (oh ! c'était autour de mes trente ans, un autre monde, une autre vie), les policiers veulent contrôler ce drôle d'oiseau en robe longue noire, qui tend le pouce sous un cagnard épouvantable. - "Rien à signaler ? Mais pourquoi ce drôle d'uniforme ?". Je leur explique que je suis prêtre (ou séminariste d'ailleurs peut-être), "traditionaliste"... Et comme je ne suis pas sûr qu'ils comprennent le terme, j'ajoute "conservateur". Mal m'en a pris. L'un d'entre eux me reprend du tac au tac : - Conservateur, vous ? J'ai plutôt l'impression que vous êtes un révolutionnaire". Cette petite histoire m'est resté, allez savoir pourquoi et il me semble qu'elle est de circonstance.

    Lire la suite sur Metablog

  • Indonésie : la liberté religieuse de nouveau bafouée

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    Radio Vatican

    Des centaines d'extrémistes islamistes ont lancé une série de deux jours de protestations contre la construction de l'église catholique de Saint Stanislas Kostka à Kranggan, sous-district de Bekasi Regency, dans la province de Java-Ouest. Dans une situation très similaire à celle des fidèles de l'Eglise Yasmin – engagés dans une rude bataille avec les autorités de Bogor – les catholiques Kranggan sont susceptibles de voir leurs efforts réduits à néant, le processus d'obtention des permis a commencé en 2003 et toutes les obligations légales, y compris le funeste Imb ont été remplies. Toutefois, selon les manifestants, un édifice chrétien dans une région à majorité musulmane ne servirait qu’à «nourrir» l'affrontement interreligieux et mettrait en danger la coexistence pacifique entre les différentes religions. Lors des manifestations un peu plus tôt cette semaine, les extrémistes ont lancé un appel aux autorités en leur demandant de geler l’octroi de l’Imb (Izin Mendirikan Bangunan).

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  • Joseph Ratzinger : Pourquoi suis-je encore dans l’Eglise ?

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    Une réflexion exprimée à Munich le 4 juin 1970 et qui n’a rien perdu de son étonnante actualité, à l’heure où l’on parle à nouveau de réformer l’Eglise.  

    Le pape émérite était à l’époque titulaire de la chaire de dogmatique de l’université de Ratisbonne.  Quelques extraits de la conférence du futur Benoît XVI :

    «  J'aimerais (…) fournir une première réponse sous forme d'une analogie. (…) Nous avions dit qu'en examinant l'Eglise de trop près nous avions fini par perdre de vue l'ensemble. On peut approfondir cette idée en la rapprochant d'une image que les Pères de l'Eglise ont mise en évidence dans leur interprétation symbolique du monde et de l'Eglise. Ils expliquèrent que la lune figurait dans l'organisation du cosmos ce qu'était l'Eglise dans l'organisation du salut, au sein du cosmos intellectuel et spirituel. (…)

    L'Eglise reflète la lumière du Christ

    Pour les Pères, l'application à l'Eglise de la symbolique de la lune découlait de deux idées principales : d'une part de la correspondance entre la lune et la femme (la mère), d'autre part de l'idée que la lune n'est pas source de lumière, puisqu'elle la reçoit d'Hélios. Sans lui, elle ne serait qu'obscurité ; elle brille, mais sa lumière n'est pas sa lumière, c'est la lumière d'un autre. Elle est lumière et obscurité à la fois. Elle-même n'est qu'obscurité, mais elle dispense une clarté, qui lui vient d'un autre, dont la lumière se propage par son intermédiaire. C'est exactement en cela qu'elle représente l'Eglise, qui illumine bien qu'elle ne soit elle-même qu'obscurité : elle ne puise pas la lumière en elle-même, mais elle la reçoit du véritable hélios, le Christ, si bien qu'elle peut, bien qu'elle ne soit elle-même qu'un amas de pierre (...), éclairer les ténèbres dans lesquelles nous vivons de par notre éloignement de Dieu — « la lune nous raconte le mystère du Christ » (Saint Ambroise).

    L'astronaute ou la sonde lunaire ne découvrent sur la lune qu'un désert, des pierres, du sable et des montagnes, mais aucune source de lumière : la lune n'est en définitive que cela, elle n'est qu'un désert de sable et de pierres. Et pourtant, elle est, non pas en soi, mais parce qu'elle reçoit et réfléchit la lumière, source de lumière et elle le reste à l'époque des voyages dans l'espace. (…) Alors je pose la question : n'avons-nous pas là une image véritable de l'Eglise ? [1]

    L'Eglise est l'Eglise du Christ

    Ce que recouvre cette image me paraît être essentiel. Néanmoins (…) j'aimerais l'expliquer en m'appuyant sur une autre observation. (…) Notre Eglise ainsi que toutes les nombreuses églises se sont substituées à Son Eglise ; chacun a désormais la sienne. Les églises sont devenues nos entreprises dont nous sommes fiers ou dont nous avons honte ; beaucoup de petites propriétés privées se juxtaposent, il ne s'agit que de nos églises « à nous », que nous bâtissons nous-mêmes, qui sont nos œuvres et nos propriétés, et que nous voulons donc en conséquence transformer ou maintenir en place. Derrière « notre église » ou aussi derrière « votre église », « Son Eglise » a disparu. Mais la seule qui compte, c'est la Sienne et, si elle n'existe plus, alors notre église doit aussi démissionner. Une église qui ne serait que la nôtre serait une entreprise vaine et puérile (…).

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  • 3 juillet : l'apôtre Thomas

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    1215005756381.jpgLors de l'Audience générale du 27 septembre 2011, le pape Benoît XVI a consacré sa catéchèse à l’apôtre Thomas que l'on fête aujourd'hui, 3 juillet.

    Chers frères et sœurs,

    Poursuivant nos rencontres avec les douze Apôtres choisis directement par Jésus, nous consacrons aujourd'hui notre attention à Thomas. Toujours présent dans les quatre listes établies par le Nouveau Testament, il est placé dans les trois premiers Evangiles, à côté de Matthieu (cf. Mt 10, 3; Mc 3, 18; Lc 6, 15), alors que dans les Actes, il se trouve près de Philippe (cf. Ac 1, 13). Son nom dérive d'une racine juive, ta'am, qui signifie « apparié, jumeau ». En effet, l'Evangile de Jean l'appelle plusieurs fois par le surnom de «Didyme» (cf. Jn 11, 16; 20, 24; 21, 2), qui, en grec, signifie précisément « jumeau ». La raison de cette dénomination n'est pas claire.

    Le Quatrième Evangile en particulier, nous offre plusieurs informations qui décrivent certaines caractéristiques significatives de sa personnalité. La première concerne l'exhortation qu'il fit aux autres Apôtres lorsque Jésus, à un moment critique de sa vie, décida de se rendre à Béthanie pour ressusciter Lazare, s'approchant ainsi dangereusement de Jérusalem (cf. Mc 10, 32). A cette occasion, Thomas dit à ses disciples : « Allons-y nous aussi, pour mourir avec lui ! » (Jn 11, 16). Sa détermination à suivre le Maître est véritablement exemplaire et nous offre un précieux enseignement : elle révèle la totale disponibilité à suivre Jésus, jusqu'à identifier son propre destin avec le sien et à vouloir partager avec Lui l'épreuve suprême de la mort. En effet, le plus important est de ne jamais s’écarter de Jésus. D'ailleurs, lorsque les Evangiles utilisent le verbe « suivre » c'est pour signifier que là où Il se dirige, son disciple doit également se rendre. De cette manière, la vie chrétienne est définie comme une vie avec Jésus Christ, une vie à passer avec Lui. Saint Paul écrit quelque chose de semblable, lorsqu'il rassure les chrétiens de Corinthe de la façon suivante : « Vous êtes dans nos cœurs à la vie et à la mort » (2 Co 7, 3). Ce qui se produit entre l'Apôtre et ses chrétiens doit, bien sûr, valoir tout d'abord en ce qui concerne la relation entre les chrétiens et Jésus lui-même : mourir ensemble, vivre ensemble, être dans son cœur comme Il est dans le nôtre.

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  • François : bon sang, mais c'est bien sûr !

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    IOR, Curie, nominations, Lampedusa, discours et prédications incisives... Les plus perspicaces commenceraient-ils à voir où le pape veut aller ? C'est ce que l'on peut penser à la lecture d'un article du journaliste espagnol J.L. Restan traduit sur le site de notre amie de Benoît-et-moi. C'est à lire ici : http://benoit-et-moi.fr/2013-II/articles/tout-devient-clair.html

  • IOR : on fait le ménage

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    Cité du Vatican, 2 juillet 2013 (VIS). Hier soir a été diffusé par la Salle de Presse du Saint-Siège un communiqué exposant les derniers changements survenus au IOR:

    Après de longues années de service, dans l'intérêt de l'institut et du Saint-Siège, le Directeur M.Paolo Cipriani, et le Vice Directeur M.Massimo Tulli ont présenté leur démission, aussitôt acceptée par le Conseil de supervision et par la Commission cardinalice. Ces organes ont demandé au Président M.Ernst von Freyberg d'assumer leur intérim. L'Autorité de contrôle financier et la Commission spéciale nommée le 26 juin ont pris acte. Le Président, est désormais assisté de M.Roland Marracini à la vice présidence, tandis que M.Antonio Montaresi sera en charge du contrôle et mise en conformité des opérations et des projets. Tous deux ont acquis leurs compétences dans le secteur bancaire en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. Le Président, après avoir remercié Mr.Cipriani et M.Tulli pour l'application manifestée durant leur activité, s'est félicité de l'arrivée de M.Marranci et de M.Montaresi, dont il a salué l'excellence professionnelle. Puis il a tenu à rappeler que depuis 2010 la direction oeuvre sérieusement à aligner le IOR sur les standards internationaux en matière d'anti-recyclage. Au-delà des résultats acquis et de progrès largement dus aux organismes directifs et au personnel du IOR, il est clair que l'accélération du processus nécessite une nouvelle direction. Par ailleurs le Conseil de supervision a engagé les démarches destinées à pourvoir les postes de Directeur et Vice Directeur. En mai le Président du Conseil de supervision a chargé le Promontory Financial Group de renforcer le dispositif anti-recyclage de l'institut selon sept axes de travail, de manière à contrôler efficacement les rapports avec la clientèle. Le Président Freyberg a en outre demandé à Mme.Elizabeth McCaul et à M.Raffaele Cosimo (PFG pour l'Europe) d'assumer la charge de conseillers à la gestion du IOR. Rappelons que le IOR, un organisme créé en 1942 par décret pontifical, a pour mission statutaire d'aider le Saint-Siège et l'Eglise catholique de par le monde. Il protège le patrimoine d'un nombre précis et défini de personnes physiques et juridiques affiliées à l'Eglise, selon les normes du droit canonique et la législation de l'Etat de la Cité du Vatican. La gouvernance du IOR se compose d'une Commission cardinalice, d'un Prélat, d'un Conseil de supervision et d'une Direction. Le IOR, qui compte 114 employés, dispose d'un siège unique sur le territoire de l'Etat du Vatican.

  • L'autre suaire

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    Manoppello.jpgL'autre suaire (via Famille de Saint-Joseph)

    Évoquer « le suaire » revient à faire référence au fameux linceul de Turin. Il existe pourtant à Manoppello, en Italie, un autre suaire, représentant le Christ ressuscité… Sr Véronique-Marie nous en livre les secrets et l'histoire.

    Épisode 1 ; Épisode 2 ; Épisodes 3 et 4

  • Le choix de Benoît XVI, un merveilleux exemple de relation avec Dieu en conscience

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    Lors du dernier Angelus, le Pape a évoqué un "merveilleux exemple" de relation avec Dieu en conscience, celui de Benoît XVI "lorsque le Seigneur lui a fait comprendre dans la prière, quel était le pas qu'il devait faire. Il a suivi sa conscience avec un grand discernement et un grand courage, c'est-à-dire la volonté de Dieu qui parlait à son cœur". Cet exemple "nous fait beaucoup de bien, c'est un exemple à suivre". (VIS)

  • ONU : Non à la politique anti-vie

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    (Zenit.org - Hélène Ginabat - Anne Kurian) - La santé n’est pas « la santé simplement sexuelle et reproductive », rappelle le Saint-Siège, qui dénonce « la destruction délibérée et systématique de la vie humaine naissante ».

    Mgr Francis A. Chullikatt, observateur permanent du Saint-Siège aux Nations-Unies de New-York, a pris la parole lors de la IVe session du Groupe de travail sur les objectifs du développement durable, sur le thème « La santé, dynamique des populations » le 19 juin 2013.

    L'accès à la santé pour tous

    Le Saint-Siège entend « promouvoir un réel accès aux soins de santé tout au long de la vie, de la conception jusqu'à la mort naturelle », explique Mgr Chullikatt.

    C’est pourquoi il invite les États à « aller au-delà d'une logique épuisée, stéréotypée et fatale qui réduit cet objectif à la santé simplement sexuelle et reproductive, ce qui masque un défaitisme nihiliste, faisant passer pour un « service » de santé la destruction délibérée et systématique de la vie humaine naissante ».

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