Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Défense de la Vie - Page 166

  • Chine : un dissident encombrant

    IMPRIMER

    Jeanne Smits, sur son blog, commente "l'évasion" de ce dissident :

    L’avocat chinois aveugle et autodidacte Chen Guangcheng s’est échappé de son domicile où il était assigné à résidence dans des conditions très dures depuis plus d’un an et demi. « Il a pu sortir de chez lui le 22 avril et ses amis (…) l’ont conduit en lieu sûr, en dehors de sa province du Shandong », a indiqué à l’AFP Bob Fu, militant des droits de l’Homme basé aux Etats-Unis et en contact avec Chen. Chen Guangcheng a été incarcéré, battu, surveillé, privé de soins, pour avoir osé parler contre la politique de l’enfant unique en Chine et ses stérilisations et avortements forcés. (Source : Présent du 28 avril.)

    Lire la suite : http://leblogdejeannesmits.blogspot.com

  • Canada : choisir la vie au quotidien

    IMPRIMER

    « Choisir la vie au quotidien », c’est l’appel de l’Organisme catholique pour la vie et la famille, en vue de la Marche pour la vie, au Canada. (source : ZENIT.org - Anne Kurian)

    L'Organisme catholique pour la vie et la famille (OCVF), fondé par la Conférence des évêques catholiques du Canada (CECC) et le Conseil suprême des Chevaliers de Colomb, a publié un message à l'occasion de la Marche nationale pour la vie, qui aura lieu à Ottawa, le 10 mai 2012, sur le thème « L'avortement heurte tout le monde ». Des dizaines de milliers de Canadiens sont attendus pour cette marche dans les rues de la capitale, jusqu'au Parlement canadien.

    Déplorant notamment 100.000 avortements annuels dans une société qui « fait de l’être humain un simple moyen de parvenir à une fin », le message invite à un engagement concret pour la vie, au quotidien et auprès des politiques.

    Choisir la vie au quotidien

    S’engager pour la vie signifie « respecter la vie humaine à chaque stade de son développement et en toutes circonstances », souligne l’OCVF. Pour cela, il encourage chacun à « réfléchir à [ses] propres attitudes et à [son] propre mode de vie » afin d’être « cohérents dans [ses] propres actions ».

    Lire la suite

  • Virginie : l'échographie devient un préalable à l'avortement

    IMPRIMER

    « A compter du 1er juillet prochain, les femmes de l'Etat de Virginie (Etats-Unis) qui souhaitent avorter, devront effectuer une échographie; seules seront exemptées les femmes ayant subi un viol ou un inceste », indique « Gènéthique », la synthèse de presse de la Fondation Jérôme Lejeune.

    La Virginie, précise la même source, est le huitième Etat américain à imposer cette procédure avant un avortement.


    Concrètement, les femmes pourront refuser  de "voir l'image du fœtus et d'entendre les battements de son cœur", sous réserve de l'avoir stipulé par écrit.

    En revanche, elles ne pourront refuser l'échographie.

    Enfin, pendant celle-ci, le médecin aura l'obligation d'informer les femmes sur "les risques de l'avortement pour la santé, les modalités d'allocations maternité et les possibilités d'adoption". 
Il faut rappeler que l'avortement, aux Etats-Unis, est "dans la ligne de mire des législateurs".

    La loi a été votée dans le seul but d' "aider les femmes à prendre une décision bien informée".

    Mais pour Rosemary Codding, féministe, directrice du « Falls Church Health Care », un centre de santé de la Virginie qui effectue des avortements, "c'est une intrusion totale du gouvernement dans le cabinet médical, avec un seul objectif, continuer à faire honte aux femmes et les rabaisser". 


    Dans 32 Etats, l'avortement n'est pas remboursé par les fonds publics ; dans 46 Etats, des établissements de santé peuvent refuser de le pratiquer ; et dans 19 Etats, les conseils relatifs "aux risques de cancer du sein, de souffrance du fœtus, ou de dépression en cas d'avortement" sont obligatoires.

    Enfin, d'autres Etats tentent "de faire reconnaître l'humanité de l'embryon et ses droits constitutionnels".

    (source : Zenit.org)

  • La mise à mort des enfants anencéphales

    IMPRIMER

    Une étape dans l'inhumanité vient d'être franchie au Brésil. Mais elle suscite des réactions dans le corps médical. C'est ici : leblogdejeannesmits.blogspot.com et cela commence ainsi :

    Le Tribunal fédéral suprême du Brésil a donné son feu vert à l’avortement des anencéphales, mais tous les médecins du Brésil ne sont pas d’accord, loin s’en faut. Le vice-président du Conseil fédéral pour la médecine, le Dr Carlos Vital, n’a pas perdu de temps pour mener une contre-attaque, s’exprimant dans le plus populaire des magazines d’informations de son pays, Veja.
     
    Et il l’a fait de la manière la plus frappante, expliquant de façon brutale la manière dont les bébés anencéphales seront légalement mis à mort dans le sein de leur mère.
     
    Notant que l’avortement d’un anencéphale se pratique au cours du 2e ou du 3e trimestre, le Dr Vital a souligné que les médecins avaient le choix entre deux méthodes : le curetage ou l’aspiration.
     
  • Pennsylvanie : un million de chrétiens soutiennent le combat de l’Église catholique pour la défense de la liberté religieuse

    IMPRIMER

    C'est la bonne nouvelle que nous découvrons sur un site très bien documenté où l'on pourra lire le détail de cette information :

    americatho/un-million-de-chretiens-de-pennsylvanie-soutiennent-le-combat-de-leglise-catholique-pour-la-defense-de-la-liberte-religieuse

  • Irlande : le Parlement refuse de légaliser l'avortement

    IMPRIMER

    Source : Nouvelles de France ()

    Irlande. La proposition de loi légalisant l’avortement a été rejetée jeudi par l’immense majorité des Teachta Dála (membres de l’Oireachtas, le Parlement irlandais) : le Dáil Éireann s’y est opposé par 111 voix contre 20. Un résultat « décevant » pour Sinead Ahern, porte-parole de Choice Irlande, mais néanmoins conforme à celui de l’enquête en ligne réalisée par le Parti travailliste irlandais qui voit sa proposition de légaliser l’avortement rejetée par plus de 89% des internautes y ayant participé.

    Les lobbies  "pro-choix" ne s’avouent pas vaincus pour autant : ils ont prévu de remettre la question sur le tapis à l’automne 2012 et espèrent cette fois-ci l’emporter.

    Les débats jeudi furent l’occasion pour certains députés de défendre les droits de l’enfant à naître (« Je crois que l’enfant dans l’utérus est une personne et que, par conséquent, il y a une obligation de protéger la vie humaine », a argumenté Eamon O’Cuiv), de s’opposer à un projet qu’ils jugent extrémiste (Paul Bradford a par exemple regretté qu’à l’heure actuelle, la seule alternative à la culture anti-avortement de l’Irlande soit la culture de l’avortement de la Grande-Bretagne ou des États-Unis. Il a, pour cela, préfèré le statu quo.) ou insuffisant (« Ce projet de loi ne va pas assez loin » a déploré Catherine Murphy).

    Lire tout l'article : Le Parlement irlandais refuse de légaliser l'avortement

  • Les biobanques encouragées dans l'Hexagone

    IMPRIMER

    source : genethique.org

    Jeudi 19 avril 2012, Le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) a rendu un avis n°117 dans lequel il recommande de "favoriser  le développement de biobanques à caractère familial  et solidaire en promouvant le recueil des produits cellulaires, issus du  sang de cordon, du cordon lui-même et du placenta". Pour le professeur Alain Grimfield, président du CCNE, "on a transformé un déchet  de soins [ ndlr : le cordon ombilical] en organe noble".

    Bernard Weill, néphrologue et rapporteur membre du CCNE, précise que "dans ces banques, le sang de cordon récolté pourra, en priorité et si nécessaire, être utilisé pour traiter les frères et sœurs atteints" de maladies de sang héréditaires comme la drépanocytose ou la thalassémie. Il ajoute que dans l'hypothèse où il n'y aurait pas d'utilisation par un membre de la famille, "le sang sera, dans le cadre d'un don solidaire et anonyme, mis à disposition d'autrui, en France ou à l'étranger, dans le cadre d'un réseau d'échange international". D'après le CCNE, ces banques devraient être publiques ou privées, à but non lucratif. celui-ci réitère son opposition à la création de banque privées de sang de cordon qui exigent de payer pour conserver ces cellules.

    En France, afin de développer les unités de sang de cordon qui à 63% proviennent de l'étranger, le CCNE estime nécessaire de réaliser "une vaste information auprès des femmes enceintes" afin de les inciter à donner leur consentement éclairé et par écrit à ce don "bien avant la naissance".

  • Le "Friday Fax" du 20 avril

    IMPRIMER

    Friday-Fax-Header-French.jpg

    Austin Ruse présente le contenu du Friday Fax de cette semaine :

    Tim Herrmann vous commente les commentaires de Melinda Gates, qui se prétend fidèle catholique alors qu’elle est en désaccord avec l’enseignement de l’Eglise en matière de contraception. Elle s’est en effet exprimée en faveur d’un large accès à la contraception et particulièrement en Afrique. Elle travaille en collaboration avec le Fonds de l’ONU pour la Population.

    Voir : L’épouse du milliardaire attaque l’enseignement de l’Eglise sur la contraception

    Lisa Correnti s’est penchée sur le nouvel attirail préparé par la Fondation Internationale du planning familial conçu pour aider les personnes souhaitant envoyer aux institutions de l’ONU veillant au respect des droits de l’homme des plaintes pour violation de leurs droits sexuels..

    Voir : Les militants de l’IVG créent un nouveau « Kit des droits sexuels » pour l’ONU

  • Elections en France : le numéro spécial de Gènéthique

    IMPRIMER

    Numéro spécial Gènéthique

    Bioéthique et élections présidentielles 2012

    A la veille du premier tour des élections présidentielles, Gènéthique se propose de recenser les différentes prises de paroles et positions des candidats sur les sujets de bioéthique qu'ils ont évoqués.
    Gènéthique retranscrit les citations trouvées dans la presse, sur les sites de campagne ou à l'occasion de discours publics.
     

  • Barrer la route à l'eugénisme en Europe

    IMPRIMER

    Dénoncé à juste titre par les défenseurs de la dignité de la personne lorsqu'il était de règle dans l'Allemagne nazie, l'eugénisme s'est réintroduit insidieusement dans nos moeurs et dans certaines pratiques médicales; il risque à présent de s'inscrire dans nos législations. Il est plus que temps de se mobiliser.

    Europe : arrêter l'eugénisme, maintenant

    L'enjeu de l'affaire Kruzmane contre Lettonie (ndbelgicatho : du nom d'une femme qui se plaint d'avoir donné la vie à un enfant "anormal", faute d'avoir pu l'avorter après "dépistage")

    (ZENIT.org) – C’est la première fois que des organisations en faveur de la trisomie 21 agissent ensemble au niveau européen pour une telle affaire : comment l’eugénisme pourrait-ilêtre considéré comme un « droit humain » ?

    La Fondation Jérôme Lejeune se mobilise aux côtés d’autres associations et familles européennes de personnes porteuses de trisomie 21 pour dénoncer une possible reconnaissance de l’eugénisme des enfants à naître, handicapés ou malades, comme un droit fondamental en Europe par la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH). Tel est l’enjeu de l’affaire Kruzmane contre Lettonie en cours de jugement à Strasbourg.

    Les associations européennes d’ores et déjà co-signataires de la déclaration en ligne sur le site www.stopeugenicsnow.org font part de leur action commune de mobilisation et sensibilisation sur ce grave sujet à travers ce communiqué en ligne.

    Outre les citoyens européens appelés à signer individuellement la déclaration, d’autres associations et organisations européennes prolongeront la liste des organisations signataires pour apporter leur soutien à cette mobilisation dans les jours à venir.

  • Quand un assistant aux FUNDP Namur défend la liberté d'avorter...

    IMPRIMER

    Suite à la publication en opinion, dans la Libre, d'un mauvais papier commis par un assistant aux Facultés Notre-Dame de la Paix à Namur (!!!) refusant de reconnaître le caractère sacré de la vie de l'enfant à naître, une amie de ce blog nous propose cette réponse :

    Cher Nathanaël,

    Je suis sans voix et sans conscience. C’est ce que tu dis toi-même dans ton « opinion » publiée ce 14 avril dans La Libre. Tu voudrais me faire croire que je n’ai pas droit au chapitre, moi l’embryon ou le fœtus, car je n’ai pas encore de vie psycho-sociale ? Ma vie est réalité. Je suis dans le ventre de ma mère. Comme tu le soulignes, je ne suis « qu’un fœtus » dont la vie ou la mort dépend du choix de grands « sages » éclairés qui estiment qu’ils sont libres de décider si je dois vivre ou mourir, selon que je gène ou que je suis désiré.

    Cher Nathanaël, tu es plus fort que moi et tu mets la main sur moi. Tu saisis ta liberté de choix pour briser ma liberté de ma vie. Ta liberté ne s’arrête-t-elle pas là ou la mienne commence ? Ce que tu appelles ta liberté, je la vois plutôt comme synonyme d’égoïsme, comme un choix totalitaire, centré sur toi et toi seul, réduisant les sans voix que nous sommes à des objets, des esclaves du maître que tu es.

    J’aime beaucoup le philosophe que tu cites et qui nous incite à agir de façon à augmenter le nombre de choix. Oui, donne-moi aussi MON choix, ma liberté.
    Agis pour que je puisse, moi aussi légiférer !

    Quitte ta logique scientifique souveraine, et ton enfermement égoïste. Pense à me faire vivre, car toi aussi tu as un cœur qui peut se laisser aimer…par moi …

    Embryon Nathanaël, en hébreux « Donné à Dieu »

  • F.I.V. et D.P.I. obligatoires dans le meilleur des mondes de demain ?

    IMPRIMER

    Ces perspectives hallucinantes trouvent aujourd'hui droit de cité dans des publications "scientifiques" qui laissent augurer le pire comme l'écrit Jeanne Smits sur son blog :

    Obliger les parents à utiliser le diagnostic pré-implantatoire ?

    C'est l'idée avancée par deux bioéthiciennes américaines qui verraient bien les parents qui choisissent la fécondation in vitro contraints par la loi de recourir au « DPI » pour assurer le bien-être de leur progéniture, augmenter son autonomie et réduire les inégalités.

    Janet Malek de la East Carolina University et Judith F. Daar, de la Whittier Law School de Californie en font une obligation morale qui pourrait se traduire en une obligation légale, en tout cas lorsque des parents qui se savent porteurs d'une maladie génétique rare et transmissible décident « de manière indépendante d'avoir recours à la fécondation in vitro ». A défaut de le faire, ils devraient encourir une responsabilité légale s'ils n'ont pas recours au DPI « en vue d'éviter de donner le jour à un enfant souffrant de sérieux dommages du fait de l'affection héréditaire », assurent les deux bioéthiciennes.

    Lire la suite ici : obliger-les-parents-utiliser-le-diagnostic-pré-implantatoire