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Spiritualité - Page 512

  • 22e dimanche ordinaire : retrouver la pureté de notre vocation originelle

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    492568096.jpg"Ce qui sort de l’homme, voilà ce qui rend l’homme impur." (Mc 7,14-23)

    de Soeur Claire-Aimée Tricoire (sur le site des Soeurs Apostoliques de la Communauté Saint-Jean)

    « Rien de ce qui est extérieur à l’homme et qui pénètre en lui ne peut le rendre impur. Mais ce qui sort de l’homme, voilà ce qui rend l’homme impur. » (Mc 7,15). La pureté et l’impureté dont Jésus nous parle aujourd’hui n’est pas une question de loi ni de perfection religieuse. Jésus a dénoncé comme hypocrisie la pureté rituelle des Pharisiens qui ne concernait que l’extérieur et non le cœur. La pureté dont parle Jésus concerne la vocation la plus profonde de l’homme, celle voulue par le Créateur dès l’origine : « Faisons l’homme à notre image, comme notre ressemblance. » (Gn 1,26). Etre et devenir de plus en plus à l’image et à la ressemblance de Dieu, voilà en quoi consiste la véritable pureté de l’être humain. Pureté du miroir qui ne déforme pas ce qu’il reflète. Pureté des traits de l’icône qui éveille à la contemplation et s’efface devant le divin qu’elle révèle. Pureté de la source limpide qui sourd dans notre cœur et que n’atteint pas la boue de l’inconduite, de la fraude et de l’adultère. Pureté du souffle de vie insufflé à l’origine dans les narines d’Adam (Gn 2,7), que ne viciait pas alors la pollution de l’orgueil et de la démesure. O homme, quelle extraordinaire et mystérieuse vocation que la tienne ! « De la même bouche sortent la bénédiction et la malédiction » (Jc 3,10). Retrouve la pureté de ta vocation originelle ! Ton cœur est fait pour aimer, non pour trahir. Ta langue est faite pour bénir, non pour maudire ! Tes mains sont faites pour donner, non pour frapper ! Tes yeux sont faits pour contempler, non pour convoiter !

    Une homélie pour ce dimanche : http://www.carmel.asso.fr/22eme-Dimanche-T-O-Marc-7-1-8.html

  • Les intentions du pape pour septembre 2012

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    L’intention de prière universelle de Benoît XVI pour le mois de septembre concerne « les personnes engagées en politique », afin que « les responsables politiques agissent toujours avec honnêteté, intégrité et amour de la vérité ».

    Son intention de prière missionnaire porte sur « l'aide aux Eglises des pays pauvres » : « Pour que les communautés chrétiennes se rendent disponibles à l'envoi de missionnaires, prêtres, laïcs, et augmentent leur soutien concret en faveur des Eglises les plus pauvres. »

    source et commentaire (www.apostolat-priere.org)

    Benoît XVI nous dit : « la politique est un art complexe d'équilibre entre des idéaux et des intérêts, mais sans jamais oublier que la contribution des chrétiens est décisive uniquement si l'intelligence de la foi devient intelligence de la réalité, clé de jugement et de transformation. Une véritable ‘révolution de l'amour' est nécessaire ».

    Prions, comme le Saint-Père nous y invite, pour que l'engagement des hommes et des femmes en politique soit fondé « non sur des idéologies ou des intérêts de parti, mais sur le choix de servir l'homme et le bien commun, à la lumière de l'Evangile » (Benoît XVI).

  • Notre folie

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    L'épître de ce jour :

    Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 1,17-25.

    Frères, le Christ ne m'a pas envoyé pour baptiser, mais pour annoncer l'Évangile, et sans avoir recours à la sagesse du langage humain, ce qui viderait de son sens la croix du Christ.
    Car le langage de la croix est folie pour ceux qui vont vers leur perte, mais pour ceux qui vont vers leur salut, pour nous, il est puissance de Dieu.
    L'Écriture dit en effet : La sagesse des sages, je la mènerai à sa perte, et je rejetterai l'intelligence des intelligents.
    Que reste-t-il donc des sages ? Que reste-t-il des scribes ou des raisonneurs d'ici-bas ? La sagesse du monde, Dieu ne l'a-t-il pas rendue folle ?
    Puisque le monde, avec toute sa sagesse, n'a pas su reconnaître Dieu à travers les œuvres de la sagesse de Dieu, il a plu à Dieu de sauver les croyants par cette folie qu'est la proclamation de l'Évangile.
    Alors que les Juifs réclament les signes du Messie, et que le monde grec recherche une sagesse,
    nous, nous proclamons un Messie crucifié, scandale pour les Juifs, folie pour les peuples païens.
    Mais pour ceux que Dieu appelle, qu'ils soient Juifs ou Grecs, ce Messie est puissance de Dieu et sagesse de Dieu.
    Car la folie de Dieu est plus sage que l'homme, et la faiblesse de Dieu est plus forte que l'homme. (EAQ)

  • Du « Point » sur l’affaire Martin

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    Pour à la fois défendre les clarisses et dire leur soutien aux familles de victimes les évêques de Belgique se sont exprimés par la voix de leur porte-parole, le père jésuite Tommy Scholtès, dans les termes prophétiques que voici : les évêques assurent "comprendre la douleur des parents des victimes et des victimes elles-mêmes". Le communiqué ajoute:  "Ils ont pris connaissance de l’arrêt de la Cour de Cassation et ils respectent cette décision. Suite à une demande de la Justice, les Clarisses ont accepté l’accueil d’une personne remise en libération conditionnelle qui souhaite se reconstruire".

    Quand un athée proclamé vole au secours des Clarisses dans l’hebdomadaire « Le Point »,  cela donne ceci (extraits) :

    Charité chrétienne

    (…) Entre les déplorables carences de la justice belge et la grandeur morale des parents des petites martyres, il reste encore à comprendre - et je peux dire là, en âme et conscience, justifier - ce qui motive, en toute logique, les soeurs du couvent des Clarisses de Malonne, paisible bourgade située non loin de la ville de Namur, à accueillir aussi généreusement, peut-être à leurs risques et périls, une Michelle Martin, la femme la plus honnie du royaume, qui, sans leur providentiel secours, ne saurait où aller ni à quel saint (c'est le cas de le dire) se vouer, risquant même de se faire lyncher par une foule assoiffée de vengeance, à partir du moment où, soudain livrée ainsi à la rue, cette libération met sa vie, paradoxalement, en danger.

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  • Avec la vérité, il n'y a pas de compromis qui tienne

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    La catéchèse de Benoît XVI du mercredi 29 août, à l'occasion de la mémoire du martyre de Jean-Baptiste :

    Chers frères et sœurs,

    En ce dernier mercredi du mois d’août, nous fêtons la mémoire liturgique du martyre de saint Jean-Baptiste, le précurseur de Jésus. Dans le calendrier romain, il est l’unique saint dont on célèbre et la naissance, le 24 juin, et la mort venue par le martyre. La fête de ce jour est une mémoire qui remonte à la dédicace d’une crypte de Sébaste, en Samarie, où l’on vénère la tête du saint depuis la moitié du IVème siècle. Ce culte s’est ensuite étendu jusqu’à Jérusalem, dans les Eglises d’orient et à Rome, sous le titre de « Décollation de saint Jean-Baptiste ». Dans le martyrologe romain, on fait allusion à une seconde découverte de la précieuse relique transportée, pour l’occasion, dans l’église de Saint-Silvestre à Campo Marzio, à Rome.

    Ces quelques repères historiques nous aident à comprendre à quel point la vénération de saint Jean-Baptiste est ancienne et profonde. Dans les évangiles, son rôle par rapport à Jésus apparaît très nettement. Saint Luc, en particulier, raconte sa naissance, sa vie dans le désert, sa prédication, et saint Marc nous parle de sa mort dramatique dans l’Evangile d’aujourd’hui. Jean-Baptiste initie sa prédication sous l’empereur Tibère, en 27-28 après Jésus-Christ, et l’invitation très claire qu’il adresse à la foule accourue pour l’écouter est de préparer le chemin pour accueillir le Seigneur, de rendre droits les sentiers tordus de sa propre vie à travers une conversion du cœur radicale (cf. Luc 3, 4). Pourtant le Baptiste ne se limite pas à prêcher la pénitence et la conversion mais, en reconnaissant que Jésus est « l’Agneau de Dieu » venu pour enlever le péché du monde (Jean 1, 29), il a la profonde humilité de montrer en Jésus le véritable Envoyé de Dieu, en se mettant de côté pour que le Christ puisse grandir, être écouté et suivi. Dans un acte ultime, le Baptiste témoigne par son sang de sa fidélité aux commandements de Dieu, sans céder ni reculer, en accomplissant jusqu’au bout sa mission. Dans ses homélies, saint Bède, moine du IXème siècle, dit ceci : Saint Jean a donné sa vie pour [le Christ], même si on ne lui a pas ordonné de renier Jésus Christ, on lui a ordonné de taire la vérité (cf. Homélies 23 : CCL 122, 354). Et il n’a pas tu la vérité et c’est ainsi qu’il est mort pour le Christ qui est la Vérité. C’est justement par amour de la vérité qu’il ne s’est pas abaissé en se compromettant et qu’il n’a pas eu peur d’adresser des paroles fortes à celui qui s’était éloigné des voies de Dieu.

    Nous voyons cette grande figure, cette force passionnée, cette résistance contre les puissants. Et nous nous demandons : d’où vient cette vie, cette intériorité si forte, si droite, si cohérente, dépensée si totalement pour Dieu et pour préparer un chemin à Jésus ? La réponse est simple : de son rapport avec Dieu, de la prière, qui est le fil conducteur de toute son existence. Jean est le don divin longtemps invoqué par ses parents, Zacharie et Elisabeth (cf. Lc 1, 13) ; c’est un don grand, humainement inespéré, parce que tous deux étaient avancés en âge et qu’Elisabeth était stérile (cf. Lc 1, 7) ; mais rien n’est impossible à Dieu (cf. Lc 1, 36). L’annonce de cette naissance se produit justement dans le lieu de la prière, dans le temple de Jérusalem, et elle arrive quand c’est à Zacharie que revient le grand privilège d’entrer dans le lieu le plus sacré du temple pour présenter à Dieu l’offrande de l’encens (cf. Lc 1, 8-20). Même la naissance du Baptiste est marquée par la prière : le chant de joie, de louange et d’action de grâces que Zacharie élève vers le Seigneur et que nous chantons tous les matins aux laudes, le « Benedictus », exalte l’action de Dieu dans l’histoire et indique de manière prophétique la mission de son fils, Jean : précéder le Fils de Dieu fait chair pour lui préparer un chemin (cf. Lc 1, 67-79). Toute l’existence du précurseur de Jésus est alimentée par ce rapport à Dieu, en particulier la période passée dans des régions désertes (cf. Lc 1, 80) ; les régions désertes qui sont le lieu de la tentation, mais aussi le lieu où l’homme sent sa pauvreté parce qu’il est privé de soutiens et de sécurités matérielles, et il comprend que l’unique point de référence solide qui lui reste est Dieu lui-même. Mais Jean-Baptiste n’est pas seulement un homme de prière, du contact permanent avec Dieu, il est aussi un guide dans cette relation. Lorsqu’il rapporte la prière que Jésus enseigne à ses disciples, le « Notre Père », l’évangéliste Luc note que la demande est formulée par les disciples avec ces mots : « Seigneur, apprends-nous à prier, comme Jean l’a appris à ses disciples » (Lc 11, 1).   

    Chers frères et sœurs, célébrer le martyre de saint Jean-Baptiste nous rappelle à nous, chrétiens d’aujourd’hui, qu’on ne peut pas s’abaisser à des compromis avec l’amour du Christ, avec sa parole, avec la vérité. La vérité est vérité, il n’y a pas de compromis possible. La vie chrétienne exige, pour ainsi dire, le « martyre » de la fidélité quotidienne à l’évangile, c’est-à-dire le courage de laisser le Christ grandir en nous afin qu’il puisse orienter nos pensées et nos actions. Mais ceci ne peut se réaliser dans notre vie que si notre relation à Dieu est solide. La prière n’est pas du temps perdu, elle ne vole pas de la place à nos activités, pas même à nos activités apostoliques ; c’est exactement le contraire : si nous sommes capables d’avoir une vie de prière fidèle, constante, confiante, alors Dieu lui-même nous donnera la capacité et la force de mener une vie heureuse et sereine, pour surmonter les difficultés et lui rendre courageusement témoignage. Que saint Jean-Baptiste intercède pour nous, afin que nous sachions toujours préserver le primat de Dieu dans notre vie. Merci.

    source : zenit.org

  • Les traditionalistes fidèles à Rome célébreront la messe dans la basilique Saint-Pierre le 3 novembre prochain

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    Les promoteurs de la forme extraordinaire du rite romain organisent un rassemblement à Rome le 3 novembre prochain. Le site web « TradiNews » reproduit une interview de leur porte-parole publiée par le journal français « Présent » :

     — Thomas Murphy, vous êtes le porte-parole officiel du Cœtus internationalis pro Summorum Pontificum : quel est l’objectif de ce comité ?

    — Le Cœtus Internationalis rassemble différents groupes de fidèles qui œuvrent chacun avec leur propre style à la promotion du motu proprio Summorum Pontificum. Faire travailler ensemble ces groupes et les unir dans la charité est notre première action. Notre objet, c’est l’organisation d’un pèlerinage à Rome lors du week-end de Toussaint.

    Nous profitons de l’Année de la Foi et du cinquième anniversaire de Summorum Pontificum pour inviter les associations, les groupes et les mouvements de fidèles d’Europe et du Monde entier à se joindre à nous à Rome pour exprimer leur soutien au Saint-Père et le remercier pour sa « Magna Carta » libérant la liturgie grégorienne. Nous lançons un appel à tous les fidèles pour affirmer ensemble notre foi catholique et notre fidélité au Souverain Pontife ainsi que pour exprimer notre conviction que la liturgie traditionnelle latine est un instrument parfaitement adapté à la Nouvelle Evangélisation, notamment par son attrait sur la jeunesse et son universalité.

    Pour ce faire, le pèlerinage aura comme point d’orgue la célébration d’une messe pontificale selon la forme extraordinaire du rite romain le samedi 3 novembre, à 10 heures, en la basilique Saint-Pierre, le cœur battant du catholicisme.  

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  • Affaire Martin: “je suis leur chef, donc je les suis”

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    pict_441948.gifLe 28 août, la justice belge a confirmé la décision de libérer l'ex-femme et complice de Marc Dutroux. Le soir même, elle est arrivée, sous les injures du public, au couvent des clarisses à Malonne près de Namur, où elle fera sa réinsertion sociale.

    Selon l’agence Belga, relayée par « La Libre » , tous les éditorialistes des journaux flamands  « expriment leur compassion pour le combat difficile qu'ont mené les proches des victimes de Marc Dutroux..

    Ils ont par contre la dent dure contre le "populisme" qui a prévalu ces derniers jours dans la sphère politique. "Il est amer de voir à quel point le monde politique ne se comporte pas de manière adulte par rapport aux décisions de son propre appareil judiciaire", juge De Morgen, qui qualifie le populisme de "dangereux".

    "Au lieu d'aller affronter la tempête et expliquer l'affaire Martin à la population, les hommes politiques n'en ont que pour 'l'adaptation de la loi', de sorte que 'ce type de monstres' ne puisse plus être libéré."

    Le Standaard qualifie également d'"indigne" ce "surf sur les vagues de l'émotion populaire". "Le cas de Michelle Martin montre que seul l'instrument imparfait qu'est la Justice nous sépare de l'arbitraire et de la vengeance pure et simple. Pour maintenir ce mince mur de séparation, nous devons accepter des jours comme ceux-ci. Aussi dur que ce soit."

    La Gazet van Antwerpen fustige aussi la tendance à suivre l'opinion publique de nombreux hommes politiques, même si le journal appelle à l'action. "Ils (les hommes politiques) feraient mieux de prendre collectivement leurs responsabilités et d'adapter la loi Lejeune, de telle sorte qu'aucun cas Martin-bis ne soit possible."

    Het Nieuwsblad n'est pas tendre avec la Justice. "Il y a seize ans, la Justice a montré un visage inhumain et une imperméabilité au monde qui frisait l'incompétence. Il faut se demander si cela s'est amélioré en profondeur." Le journal pointe surtout le manque de préparation et d'accompagnement des victimes. Mais il insiste aussi sur l'importance de l'Etat de droit et s'en prend à l'attitude inconséquente de certains hommes politiques.

    Enfin, De Standaard et Het Laatste Nieuws prennent encore la défense des Clarisses. "Les soeurs suivent le cheminement chrétien qu'elles ont choisi. Elles offrent une porte de sortie à quelqu'un qui n'avait nulle part ailleurs où aller, à une femme avec un passé mais pas d'avenir", juge Het Laatste Nieuws. "Elles méritent pour cela compréhension et respect, pas des menaces. Si des nonnes sont menacées dans un lieu de paix, où va le monde ?"

    Ici : Michelle Martin: les journaux flamands critiquent le "populisme" des politiques  

  • Le numéro 1524 de l'Homme Nouveau

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    Au sommaire du numéro 1524 daté du 1er septembre 2012 :

    Dossier : La spiritualité orientale

    Notre époque ressemble à bien des égards aux premiers siècles chrétiens. Les Pères de l'Église nous livrent une source spirituelle.

    Actualités

    Vatican : La sage gouvernance de Benoît XVI.

    Bioéthique : Une victoire mitigée.

    L'Appel d'Alain Tasso pour les chrétiens du Liban : À l'approche de la visite du Pape au Liban, l'écrivain franco-libanais Alain Tasso lance un appel pour le renouveau de l'Église au Proche-Orient.

    Des sandwiches qui dérangent aux USA : L'affaire Chick-fil-A dénote une volonté de lutter contre ceux qui osent défendre le mariage.

    La prévention du suicide, une des priorités de santé publique.

    Culture

    Alexandre Vialatte, un Auvergnat irréfutable.

    Figure spirituelle

    Sainte Jeanne Jugan, amie et Petite Sœur des Pauvres.

    Magistère

    Saint Dominique, un homme de prière avant tout.

    Tribune

    Le cardinal Zen, une force au service du Christ.

    Disponible à la boutique de l'Homme Nouveau :
    Journal n°1524 du 01-09-2012

  • Jean-Baptiste : un témoignage à la vérite sans compromis

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    Le Caravage, décollation de saint Jean-Baptiste

    « En tant que prophète authentique, Jean rendit témoignage à la vérité sans compromis. Il dénonça les transgressions des commandements de Dieu, même lorsque leurs auteurs en étaient les puissants. Ainsi, lorsqu’il accusa Hérode et Hérodiade d’adultère, il le paya de sa vie, scellant par le martyre son service au Christ qui est la Vérité en personne. Invoquons son intercession, ainsi que celle de la très sainte Vierge Marie, afin que de nos jours également, l’Eglise sache demeurer toujours fidèle au Christ et témoigner avec courage de sa vérité et de son amour pour tous ».

     Benoît XVI

  • La rentrée académique au Séminaire de Tournai

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    La rentrée académique aura lieu le mercredi 3 octobre 2012 au Séminaire de Tournai.
    - à 17h, dans l’église du Séminaire, Eucharistie présidée par Mgr Guy Harpigny, au cours de laquelle trois candidats-diacres recevront le lectorat.
    - à 18h30, au grand auditoire, conférence par le Père Philippe Henne, o.p., professeur à la Faculté de Théologie de Lille : « L’utilité des études sur les Pères avec la présentation de deux figures, Clément de Rome et la communauté paroissiale, Grégoire le Grand et l’Eglise dans le monde ».
    - à 19h30, réception
    Chacun est cordialement invité.

    Le frère Philippe Henne est né le 11 septembre 1954 à Ville-sur-Haine, près de Mons. Il a fait ses études secondaires au collège Saint-Vincent de Soignies. Après ses études de philologie romane, il enseigna à l’Institut Sainte-Marie de Quiévrain. Après une année de postulat résidentiel à Froidmont, il commença son noviciat à Fribourg (Suisse) en 1978. Il y étudia la théologie et obtint son diplôme en 1983. Il défendit une thèse de doctorat sur la christologie chez Clément de Rome et dans le Pasteur d‘Hermas en juin 1989. Depuis Depuis 1993, il est professeur à la faculté de théologie de l’Université catholique de Lille.

  • Leuven : Abdij van Park : exposition des oeuvres des soeurs de Bethléem

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    Exposition des oeuvres des moniales de Bethléem d'Opgrimbie, organisée par l'Aide à l'Eglise en Détresse

    17 novembre, à 14:00 – 29 novembre

    Abdij van Park 5, 3001 Leuven
    Kerk in Nood geeft u de kans om kennis te maken met de Monastieke Familie van Bethlehem. Het monasterium in Opgrimbie is een oord van stilte en eenzaamheid waar God aanbeden en verheerlijkt wordt tot heil voor de wereld en waar eenieder welkom is om in stilte en eenzaamheid tot zichzelf te komen en God te ontmoeten in het stille suizen van Zijn Aanwezigheid. De zusters vervaardigen kunstvoorwerpen, waardoor zij getuigen van Gods schoonheid en Zijn onuitsprekelijk Mysterie. Die religieuze beelden, iconen en aardewerk worden u aangeboden in het Wagenhuis van de Abdij van Park van 17 tot 29 november 2012, elke dag van 14.00u-17.00u. De toegang is gratis.

  • 9 septembre : messe et procession à Bois-Seigneur-Isaac

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    Les Moines de l'Ordre Libanais Maronite

    ont l'honneur de vous inviter à participer à la Grande Procession du Saint Sacrement

    Le Dimanche 9 Sept 2012

    10h00: Messe présidée par son Excellence Mgr. André-Joseph Léonard

    Archevêque de Malines – Bruxelles

     suivie de la Grande Procession à 11h00

    Quatre communautés animent la Procession:

    Belge, Française, africaine et libanaise