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  • RDC : le président du Sénat congolais regrette que les « experts » chargés d’instruire, en commission parlementaire belgo-belge, le procès de l’œuvre colonisatrice de la Belgique au Congo aient omis d’en souligner les aspects positifs.

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    Lu sur le blog de la journaliste du « Soir », Colette Braekmann (extrait) :

    Statue du roi Léopold II au Congo, près de Kinshasa, ex-Léopoldville

    « Nous recevant en marge de la visite de parlementaires belges à Kinshasa, le président du Sénat congolais Modeste Bahati Lukwebo  a accepté de commenter le rapport présenté par les experts chargés de présenter le travail de la commission décolonisation.  Pour lui en effet, « il importe d’être réaliste et de rappeler toutes les facettes de l’entreprise coloniale. Certes, il y a eu des contraintes, la chicotte a été utilisée, mais en même temps les ressources du Congo ont été mises en valeur. L’’impunité n’existait pas et les lois étaient appliquées ; les enfants étaient obligés d’aller à l’école  et  sanctionnés s’ils n’y allaient pas… » Se souvenant d’un passé qui n’est pas si éloigné, le numéro deux de l’Etat congolais regrette que les experts aient omis de souligner les aspects positifs de la colonisation : « il n’y avait pas que les questions politiques.. Il ne faudrait pas oublier que des plantations ont été créées, que de nouvelles villes sont apparues, dotées d’un plan d’urbanisation.  Bukavu en est un exemple : créée par les Belges, la ville était très belle, très attrayante pour les touristes. Aujourd’hui elle est ravagée par les érosions, les maisons s’effondrent ou sont ravagées par des incendies : c’est un effet de la guerre, de la mauvaise gouvernance . Bravant les règlements, les gens ont construit dans des parcelles qui ont été loties, on a coupé les arbres.. Au fil du temps,  beaucoup de Congolais se souviennent de l’époque coloniale avec nostalgie  et beaucoup seraient tentés de dire « c’était mieux avant » ajoutant  que les nouveaux dirigeants n’ont pas valu mieux que les Belges ! Ces derniers  veillaient à ce que les règles soient appliquées et obligeaient les gens à travailler, mais pour leur bien… Si on veut se développer, il faut de la discipline…»

    L’ancien colonisateur devrait il présenter des excuses ? « Oui, il faudrait s’excuser pour les excès qui ont été commis, mais aussi faire la balance entre le positif et le négatif.. Tout n’était pas mauvais, il faut avoir le courage de le dire. Et de nombreux compatriotes ont regretté que Patrice Lumumba ait manqué de respect envers le roi Baudouin.. » […]

    Ref. Le président du Sénat congolais se montre indulgent envers la colonisation belge 

  • Un secrétaire de Padre Pio se souvient de l'infatigable saint

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    Du Père Seán Connolly sur The Catholic World Report :

    Un secrétaire de Padre Pio se souvient de l'infatigable Saint

    "La grandeur de Padre Pio, dit le père John Aurilia, O.F.M. Cap, réside dans sa fidélité au simple désir d'être "un pauvre frère qui prie"."

    2 novembre 2021

    Le père John Aurilia, O.F.M. Cap., qui a été le secrétaire personnel de saint Padre Pio.

    La plupart d'entre nous connaissent les saints à travers les récits écrits de leur vie. Beaucoup de saints sont devenus saints eux-mêmes en lisant la vie des saints. Dans une lettre à sa tante, sainte Thérèse écrivait : "J'aime beaucoup lire la vie des saints. Le récit de leurs actes héroïques enflamme mon courage et m'incite à les imiter."

    Connaître personnellement un saint est tout autre chose. Nous avons tous probablement rencontré des "saints de tous les jours" qui, bien que cachés du monde, atteignent néanmoins de grands sommets de vertu en accomplissant fidèlement les devoirs ordinaires de leur état de vie. Bien que leurs actes ne soient pas célèbres, ce sont les Béatitudes vivantes qui nous inspirent. Peu de gens, cependant, ont l'occasion de connaître personnellement ces saints qui ont atteint le sommet de la vertu héroïque reconnue par l'Église à travers la canonisation.

    Padre Pio, décédé il y a 53 ans, est l'un des plus grands saints de notre temps. Au milieu de notre époque moderne et séculaire, Dieu a suscité ce prophète, thaumaturge et "Crucifix vivant" à travers les stigmates pour nous rappeler le surnaturel et nous montrer le chemin du retour vers Lui. Chaque année, il y a de moins en moins de personnes qui ont connu Padre Pio personnellement ; il y en a certainement encore moins qui l'ont connu aussi bien que John Aurilia, O.F.M. Cap. qui a été son secrétaire personnel.

    J'ai pu récemment passer un agréable dimanche après-midi avec le père Aurilia dans le presbytère de sa paroisse où il a répondu avec plaisir à mes nombreuses questions, déclarant au début de notre conversation : "C'est un honneur pour moi de servir en tant qu'ambassadeur de Padre Pio !".

    Le père Aurilia a maintenant 80 ans et est prêtre depuis 55 ans ; il est curé de la paroisse de l'Immaculée Conception dans le Bronx, à New York. Il est né à Montemarano, dans la province d'Avellino, en Italie. À l'âge de 14 ans, il est entré au petit séminaire des Franciscains capucins, nouvellement créé, situé à Pietrelcina, la ville natale de Padre Pio.

    L'histoire de la construction de ce séminaire est très connue à l'époque. Lorsque Padre Pio était un jeune prêtre, il passait beaucoup de temps dans sa ville natale pour se remettre de ses problèmes de santé. Au cours d'un de ces séjours, il se promenait avec le pasteur local, Don Alfredo. Lorsqu'ils arrivèrent à un champ ouvert, Padre Pio remarqua qu'il avait remarqué une forte odeur d'encens et que Dieu devait avoir des projets pour cet endroit. Quelques années plus tard, une convertie américaine riche et généreuse, Mary Pyle, acheta le même champ et y construisit un nouveau séminaire pour les Capucins.

    Les séminaristes se rendaient chaque année à San Giovanni Rotondo, qui, dans les années 1950, était devenu un lieu de pèlerinage. Des milliers et des milliers de personnes venaient chaque année pour voir le célèbre stigmate qui résidait dans son couvent. La petite ville était inondée de pèlerins de tous horizons - paysans, médecins, avocats et journalistes - qui étaient prêts à dormir dehors dans les champs et à attendre jusqu'à deux semaines pour se confesser au Padre. Le Père Aurilia n'avait que 15 ans lorsque, en tant que novice, il rencontra pour la première fois Padre Pio. Il s'est laissé aller à l'exubérance de sa jeunesse en serrant la main de Padre Pio, la tenant fermement et la rapprochant de lui pour qu'il puisse voir de ses propres yeux la blessure des stigmates. Le Padre s'empresse de retirer sa main en disant : " Ça fait mal ! Y prêtes-tu attention ?"

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  • Parution d'un livre consacré à la "Mafia de Saint-Gall"

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    De Roberto de Mattei sur Corrispondenza Romana :

    REVIEW: THE ST. GALLEN MAFIA – Exposing the Secret Reformist Group Within  the Church by Julia Meloni. | Fr. Z's Blog

    La "Mafia de St-Gall". Un livre de Julia Meloni

    3 novembre 2021

    Ceux qui veulent comprendre ce qui se cache derrière le Synode sur la synodalité ouvert le 10 octobre par le Pape François ne peuvent se passer du livre de Julia Meloni qui vient de paraître, The St. Gallen Mafia (TAN, 2021), qui en retrace les prémisses historiques et idéologiques.

    La lecture de ce livre est aussi passionnante qu'un roman, mais tout est documenté selon une méthode historique rigoureuse. Cet aspect mérite d'être souligné à l'heure où certaines théories du complot sont exposées de manière superficielle et parfois fantaisiste. Pour pallier l'absence de preuves, ces théories utilisent la technique du récit, qui fait appel aux émotions plutôt qu'à la raison, et séduit ceux qui, par un acte de foi, ont déjà décidé de croire à l'improbable. Julia Meloni, quant à elle, raconte l'histoire d'une véritable conspiration, en exposant avec précision la fin, les moyens, les lieux et les protagonistes. C'est l'histoire de la "mafia saint-galloise", comme l'a définie l'un de ses principaux représentants, le cardinal Godfried Danneels (Karim Schelkens et Jürgen Mettepenningen, Gottfried Danneels, Editions Polis, Anvers 2015).

    Saint-Gall est une ville suisse dont a été évêque en 1996 Mgr Ivo Fürer, qui était jusqu'à l'année précédente secrétaire général de la Conférence des évêques européens. En accord avec le cardinal Carlo Maria Martini (1927-2012), archevêque de Milan, Mgr Fürer a décidé d'inviter un groupe de prélats à établir un programme pour l'Église du futur. Le groupe s'est réuni pendant dix ans, entre 1996 et 2006. Les personnalités clés, outre le cardinal Martini, étaient Walter Kasper, évêque de Rottenburg-Stuttgart, et Karl Lehmann (1936-2018), évêque de Mayence, tous deux destinés à recevoir la pourpre de cardinal. Deux autres futurs cardinaux ont été cooptés par la suite : Godfried Danneels (1933-2019), archevêque de Malines-Bruxelles et Cormac Murphy-O'Connor (1932-2017), archevêque de Westminster. Ils ont été rejoints en 2003 par le cardinal de la Curie romaine Achille Silvestrini (1923-2019), grâce auquel le groupe de Saint-Gall est devenu un puissant lobby, capable de déterminer l'élection d'un pape. Quelques jours après les funérailles de Jean-Paul II, à l'invitation de Silvestrini, la "mafia saint-galloise" s'est réunie à la Villa Nazareth à Rome pour convenir d'un plan d'action pour le prochain conclave. Sur une photographie parue dans The Tablet du 23 juillet 2005, à côté du cardinal Silvestrini, on voit les cardinaux Martini, Danneels, Kasper, Murphy-O'Connor, Lehmann, tous "membres clés et anciens de la mafia de Saint-Gall", comme l'écrit Julia Meloni (p. 5).

    Le projet initial était d'élire le cardinal Martini au trône papal, mais c'est en 1996, année de la création du groupe, que l'archevêque de Milan a commencé à ressentir les premiers symptômes de la maladie de Parkinson. En 2002, le cardinal a rendu la nouvelle publique en passant le relais au cardinal Silvestrini, qui, à partir de janvier 2003, a été le directeur des grandes manœuvres en vue du prochain conclave. Le cardinal Murphy-O'Connor était à son tour lié au cardinal Jorge Maria Bergoglio, archevêque de Buenos Aires, et l'a présenté au groupe comme un possible candidat anti-Ratzinger. Bergoglio a obtenu le consentement de la "mafia", mais c'est le cardinal Martini lui-même qui a eu les plus grands doutes sur sa candidature, notamment à la lumière des informations qu'il a reçues sur l'évêque argentin de la part de la Compagnie de Jésus. C'est peut-être avec soulagement que, lorsque la défaite de Bergoglio semblait certaine au conclave de 2005, le cardinal Martini a annoncé au cardinal Ratzinger qu'il mettrait ses voix à disposition. Le groupe de Saint-Gall a tenu une dernière réunion en 2006, mais Martini et Silvestrini ont continué à exercer une forte influence sur le nouveau pontificat. En 2012, le cardinal Kasper a parlé d'un " vent du sud " soufflant dans l'Église et, le 17 mars 2013, quelques jours après son élection, le pape François a cité sans surprise Kasper comme l'un de ses auteurs préférés, lui confiant la tâche d'ouvrir le Consistoire extraordinaire sur la famille en février 2014.

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  • En novembre, prier pour les personnes qui souffrent de dépression ou de burn out

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    Du Père Régent S.J. sur zenit.org :

    En novembre, prier pour « les personnes qui souffrent de dépression ou de burn out », par le p. Régent SJ

    Pour une « compassion ajustée »

    Le pape François invite les catholiques à prier, pendant tout le mois de novembre 2021 « pour que les personnes qui souffrent de dépression ou de burn out trouvent un soutien et une lumière qui les ouvrent à la vie ».

    « La prière d’intercession s’adresse à Dieu pour ceux qui sont dans la nuit. Elle est une demande pour que les épreuves qu’ils traversent débouchent pour eux d’abord et aussi pour tous, sur un matin d’action de grâce. Alors les morceaux d’épreuves qui jalonnent nos vies prendront place avec évidence dans le grand puzzle humain que Dieu a initié au jour de création. Ils seront éclairés dans le mystère du Fils qui donne sa vie et de tous les saints qui marchent à sa suite. En ce temps où nous les fêtons, nous pouvons les invoquer », explique le p. Daniel Régent SJ, directeur du Réseau mondial de prière du pape en France, dans cet éditorial.

    Édito – novembre 2021 –

    Veillons pour ceux qui sont dans la nuit

    « Prions pour que les personnes qui souffrent de dépression ou de burn out trouvent un soutien et une lumière qui les ouvrent à la vie »

    Les proches, les amis, les priants, peuvent-ils aider ceux qui sont dans la nuit de la dépression ou dans le burn out ? La formulation de l’intention de prière du pape de ce mois laisse la question ouverte. Elle oriente vers une intercession adressée au ciel, à Dieu, pour que les personnes qui souffrent de ces maux trouvent sur leur chemin un soutien, une lumière. Cela laisse entendre que la proximité, la tendresse, la sollicitude, les stimulations, qui sont nécessaires, sont souvent démunies pour aider.

    L’intention ne distingue pas dépression et burn out ; elle les assimile, au moins dans des effets semblables : absence de force et de lumière. Certes, c’est à la médecine de définir l’une et l’autre, mais l’ignorance peut être source de maladresses. Prier doit s’accompagner d’une information minimale sans prétendre prendre la place du corps médical.

    Dépression et burn-out affectent les relations avec l’entourage amical, familial, professionnel. Celui-ci peut ressentir qu’il n’a pas de prise pour aider à une guérison alors même que l’organisme semble en bonne santé. De ce fait, chacun est renvoyé à lui-même, à des questions difficiles sur le sens de son histoire, de sa vie, de ses engagements, de son travail, sur l’origine de la force qui lui est donnée pour faire face aux épreuves, à celles qu’il a traversées.

    C’est avec cette résonance intime que la compassion devient ajustée. Il ne s’agit pas de se laisser entraîner dans une contagion maladive. Mais en tant qu’humain, nous sommes pétris de la même glaise, une glaise qui prend des formes si variées. L’histoire de chacun, la psychologie, la morphologie, la différence sexuelle, l’espace et le temps, les repères spirituels font de chacun un être unique. Ce que vit mon prochain n’est pas ce que je vis, et je n’ai pas à le vivre. Cela parle cependant au cœur de mon humanité. À ce titre, je ne peux m’en désintéresser sauf à me priver de cette richesse foisonnante et difficile à accueillir qu’est la vie des autres.

    La prière d’intercession s’adresse à Dieu pour ceux qui sont dans la nuit. Elle est une demande pour que les épreuves qu’ils traversent débouchent pour eux d’abord et aussi pour tous, sur un matin d’action de grâce. Alors les morceaux d’épreuves qui jalonnent nos vies prendront place avec évidence dans le grand puzzle humain que Dieu a initié au jour de création. Ils seront éclairés dans le mystère du Fils qui donne sa vie et de tous les saints qui marchent à sa suite. En ce temps où nous les fêtons, nous pouvons les invoquer.

    Daniel Régent sj,

    Directeur du Réseau Mondial de Prière du Pape en France

  • Quand le Conseil de l'Europe promeut le hijab

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    De François-Xavier Bellamy sur le site du Figaro via artofuss.blog :

    François-Xavier Bellamy: «Le Conseil de l’Europe promeut le hijab, un indice de plus de l’entrisme des islamistes»

    3 novembre 2021

    TRIBUNE – Le Conseil de l’Europe, institution distincte de l’Union européenne, a soutenu et financé, avec le concours de la Commission européenne, une campagne faisant l’apologie du hijab, avant de la suspendre devant le tollé. Cette affaire n’est en rien une maladresse anecdotique, démontre le député européen.

    François-Xavier Bellamy est chef de la délégation de LR au sein du groupe du Parti populaire européen (PPE). Par ailleurs normalien et professeur agrégé, il est notamment l’auteur de «Demeure. Pour échapper à l’ère du changement perpétuel» (Grasset, 2018).

    C’est une courte vidéo promotionnelle comme on en voit tant sur les réseaux sociaux. Une jeune femme vous regarde, souriante. Une ligne balaie l’écran de gauche à droite: cette fois, le visage est voilé. L’opération se répète plusieurs fois, avec des visages différents, et un message: «La liberté est dans le hijab.» Ce message publicitaire est relayé sur les réseaux sociaux, accompagné d’un slogan: «Joy in hijab», «la joie dans le hijab».

    Contre toute apparence, cette campagne n’est pas diffusée par une organisation islamique, mais par le Conseil de l’Europe, avec le cofinancement de la Commission européenne. C’est une courte vidéo, qui aura en quelques heures fait couler beaucoup d’encre. Pourtant, elle n’est qu’un symptôme parmi bien d’autres, qui ensemble permettent d’établir le constat d’une dérive de grande ampleur.

    À LIRE AUSSI «La liberté dans le hijab»: une campagne de communication du Conseil de l’Europe fait polémique

    Depuis des années, des hauts fonctionnaires, des universitaires, des chercheurs alertent sur les stratégies d’entrisme qu’ils observent de la part d’une nébuleuse islamiste qui, sous couvert d’antiracisme, prend place dans l’environnement des institutions européennes: des associations, des fédérations, des organisations non gouvernementales proposent des projets et obtiennent des financements européens.

    Elles utilisent les mots-clés en vogue: défendre l’inclusion, promouvoir la diversité, contrer les «discours de haine»… Et, au nom de la «lutte contre l’islamophobie», elles parviennent à imposer leurs thèses. Ainsi du projet «dialogue sur la radicalisation et l’égalité» (DARE), financé dans le cadre du programme de recherche européen Horizon 2020, qui a conclu au fait que la «radicalisation» (le mot islamisme n’est jamais cité) s’expliquait par les «discriminations structurelles» en Europe. Improbable retournement: les pays victimes d’une série d’attentats en deviennent soudain les coupables…

    Le Parlement européen lui-même ne manque plus une occasion de relayer ce type d’accusation: quelques jours après la mort de George Floyd, il votait une résolution dénonçant «l’oppression et le racisme structurel en Europe», ainsi que «le recours excessif ou létal de la force par la police dans l’Union européenne», sans qu’on voie bien où pouvait se trouver la responsabilité des forces de l’ordre européennes dans la mort d’un citoyen américain au Minnesota.

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