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Actualité - Page 1821

  • De bien curieuses pratiques journalistiques...

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    Eric Martin rapporte le fait suivant : "Jean-Pierre Pernaut a présenté lundi ses excuses aux téléspectateurs de son journal télévisé de 13h pour la diffusion d’un faux témoignage jeudi midi dans un reportage consacré au contrat de responsabilité parentale (CRP). « Un témoin présenté pendant quelques secondes comme une mère de famille était en fait une attachée de presse sans enfant du Conseil général. Dès qu’on a eu connaissance, ici à TF1, de ce faux témoignage réalisé à la demande des journalistes de la société NM TV (groupe Nice-Matin, ndlr) qui assure la correspondance de TF1 dans la région, eh bien on a demandé au groupe de presse d’en tirer les conséquences auprès de ses deux collaborateurs afin de retrouver la confiance qui existe depuis plus de 20 ans dans ce partenariat ». « Nous sommes sincèrement désolés de ce manquement inadmissible au sérieux, à l’éthique et à la déontologie de l’information. C’est la première fois dans l’histoire de nos journaux » a ajouté le présentateur (video disponible sur NDF)."

  • L'islam peut-il sortir d'une vision totalitaire de l'Etat ?

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    Le "printemps arabe" ne fait plus la une depuis longtemps. Les envolées triomphalistes qui ont salué les révolutions en Afrique du Nord se sont muées en appréciations beaucoup plus nuancées, voire sceptiques. L'exode des Tunisiens, la guerre en Libye, les exactions contre les Coptes en Egypte, tout cela ne permet pas de se bercer de trop d'illusions.

    Fondamentalement, on peut s'interroger sur la nature même de l'islam et sur sa capacité à distinguer le "spirituel" du "temporel", de ne pas confondre ce qui relève de Dieu (ou d'Allah) avec ce qui relève du pouvoir politique.

    Ce qui se passe au Bangladesh, un autre état musulman, confirme nos appréhensions. "Malgré ses promesses de restaurer la laïcité, le gouvernement maintient officiellement l’islam comme religion d’Etat", titre le Bulletin de l'EDA. Et d'expliquer : "Mardi 21 juin, lors de sa réunion hebdomadaire, le Conseil des ministres a approuvé les propositions d’amendement de la Constitution, dont le maintien de l’islam en tant que religion d’Etat. Un revirement qui surprend et inquiète les minorités religieuses du Bangladesh. A l’issue d’une réunion particulièrement houleuse où le Premier ministre Sheikh Hasina Wajed et une grande partie des membres de son cabinet semblent avoir eu des échanges très vifs, le gouvernement a déclaré officiellement que, contrairement à ce qui avait été annoncé ces derniers mois, le Bangladesh ne restaurerait pas la laïcité dans sa Constitution." (lire la suite ICI).

    Le cas de la Turquie kémaliste est un cas isolé et pas vraiment satisfaisant sur le plan des libertés démocratiques. Le "modèle" d'un Etat peuplé de musulmans mais adoptant un système politique indépendant des préceptes religieux n'a été maintenu que grâce à la vigilance de l'armée. Mais aujourd'hui, après la neutralisation de l'appareil militaire, force est de constater que la Turquie elle-même a tendance à revenir à une situation beaucoup plus ambigue quant à la séparation de la religion et de l'Etat, ce qui ne simplifie pas la question de son intégration dans la Communauté Européenne par ailleurs...

     

  • Une reculade significative mais une avancée appréciable...

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    Sur Religioblog, Jean-Marie Guénois se faisait, la semaine dernière, l'écho des propos tenus par l'ambassadeur d'Israël au Vatican au sujet de l'action menée par Pie XII durant la guerre. Morchedaï Lewy n'avait pas hésité à affirmer "que ce pape en voie de béatification, a "sauvé" des juifs alors que beaucoup lui reprochent son "silence" face à la politique nazie d'extermination systématique des juifs." Et d'ajouter : "Il y a tout lieu de penser que ces institutions religieuses catholiques ont recueilli des Juifs avec l'accord et le soutien de la plus haute hiérarchie vaticane". (...) "Ce serait donc une erreur de dire que l'Eglise catholique, le Vatican et le pape lui-même n'ont rien voulu faire pour sauver des Juifs. C'est le contraire qui est vrai."

    Dans un premier temps, l'ambassadeur, confronté au tollé soulevé par ses affirmations, avait affirmé qu'il ne retirerait aucun de ses propos : "Je suis bien conscient que certains dans la communauté juive de Rome vont froncer les sourcils mais j'ai parlé de gens qui ont sauvé des Juifs, ce que Pie XII a fait."

    Mais voilà, les pressions exercées sur le diplomate ont été telles qu'il n'a pu y résister et qu'il s'est senti obligé de publier un communiqué atténuant ses affirmations "précisant que ce qu'il avait dit à propos de Pie XII - il "a sauvé" des juifs pendant la seconde guerre mondiale, était "historiquement prématuré"."

    Comme on le constate, il faut beaucoup de cran pour tenir bon face à la dictature médiatique exercée par d'importants groupes de pression, et l'histoire de cet ambassadeur téméraire ne fait que confirmer ce constat. Il est toutefois intéressant de constater que peu à peu la vérité historique reprend ses droits et qu'il se trouve de plus en plus d'historiens et de gens sérieux pour travailler à la réhabilitation de ce grand "pape outragé" comme le qualifiait déjà Alexis Curvers.
  • Des ordinations peu banales

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    295_1.jpgL’éditeur François-Xavier de Guibert a été ordonné prêtre en ce dimanche de la Solennité de la Fête-Dieu

    Ce dimanche 26 juin 2011, en compagnie d’Etienne Hache, le remarquable éditeur François-Xavier de Guibert a été ordonné prêtre par l’archevêque de Dijon, Mgr Minnerath, dans sa cathédrale Saint-Bénigne.

    François-Xavier de Guibert est né en 1946 à Dijon. Après des études de droit, il est entré dans le monde de l'édition et est devenu le directeur général des Editons Desclée de Brouwer en 1974. C'est en 1983 qu'il fonde sa propre société d'édition. Marié avec Catherine le 26 juin 1971, ils ont eu 5 enfants et 12 petits-enfants. François-Xavier a eu la tristesse de perdre son épouse Catherine en 2001. A la suite de cet événement douloureux, il choisit de mettre sa vie au service du Christ et de l'Eglise et propose de devenir prêtre pour le diocèse de Dijon. Après des études au Centre Sèvre à Paris, un long  discernement et accompagnement, il est venu participer à la vie de la paroisse Notre Dame de Dijon où il a  été ordonné diacre en novembre 2010.

    Etienne Hache est né en 1981 à Lyon, il a grandi à Aix-en-Provence mais il n'a jamais oublié ses racines familiales du côté de Beaune et de Selongey. Après quelques années d'études universitaires, c'est au séminaire de Paray Le Monial en 2001 qu'il commence sa formationvers le ministère de prêtre. Après ces trois premières années au séminaire, il vivra une année de stage à la paroisse de Saulieu et partira ensuite partager la vie d'une communautéde l'Arche de Jean Vanier pendant deux ans. Cela reste pour lui un événement marquant. En participant à la vie communautaire avec des personnes atteintes d'un handicap, il a pu mieux comprendre combien ces personnes sont accueillantes, attachantes et Etienne n'hésite pas à dire qu'à leur contact il a appris à mieux se connaître lui-même. C'est au séminaire Saint Irénée de  Lyon qu'il a ensuite poursuivi sa formation, accueilli dans les paroisses de Genlis et St Just. Il a été ordonné diacre le 13 juin 2010 à la collégiale de Rouvres en Plaine.

    De telles ordinations sacerdotales, riches d’une grande qualité de vie, constituent pour nous tous autant de raisons d’espérer.

  • Vacances : ne voyagez pas idiot !

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    Les vacances sont au rendez-vous et avec elles les découvertes culturelles et historiques. Rien de plus intéressant que de visiter les hauts lieux de l'histoire : abbayes, châteaux, cathédrales, musées et autres témoignages du passé. C'est aussi l'occasion de faire découvrir tout cela à vos enfants.

    Malheureusement, si des initiatives louables telles que CASA s'efforcent d'initier les visiteurs à l'art et à la culture chrétienne de façon constructive, il faut bien reconnaître qu'en beaucoup d'endroits on n'échappe pas aux discours convenus de guides soucieux de plaire et de s'inscrire dans le courant dominant du "politiquement, culturellement et historiquement correct". Vous aurez donc droit aux propos habituels sur les abus de l'Eglise, sur la cupidité des moines, l'ambition des papes, les horreurs des croisades et de l'Inquisition, les sombres complots des évêques et des cardinaux, les calculs politiques des rois sous couvert de ferveur religieuse, bref à tous les clichés caricaturaux auxquels on n'échappe guère en subissant les commentaires de nombreux guides patentés ou non.

    Bien sûr, les ombres ne manquent pas sur un passé écrit par des hommes qui malgré les idéaux dont ils se revendiquaient ont commis des actes parfois odieux que l'on ne saurait nier. Mais cela ne justifie pas un parti-pris systématique qui finit par donner une idée générale négative à l'égard de notre héritage chrétien.

    Les guides touristiques imprimés ne sont pas toujours, eux non plus, d'une objectivité ou d'une honnêteté à toute épreuve. Je me souviens avoir visité Prague, le Guide Vert à la main, et y avoir décelé un parti-pris favorable aux disciples de Jean Huss et systématiquement critique à l'égard des ordres catholiques de la Contre-Réforme. Pourtant, que serait Prague sans le style baroque qui fait sa beauté et sa grandeur et qui est un fruit évident de l'esprit de la Contre-Réforme...

    Tout cela pour vous suggérer de bonnes lectures de vacances : les ouvrages de Jacques Heers et de Régine Pernoud sur le Moyen Age, les oeuvres de Jean Sévillia comme son "Historiquement correct - pour en finir avec le passé unique", on peut aussi faire référence à d'autres livres comme ceux de Jean Dumont sur "L'Eglise au risque de l'Histoire", sur la Révolution, sur Isabelle de Castille, etc.

    N'hésitez pas à nous poser vos questions, à nous partager vos expériences sur les sites visités, à nous demander des références d'ouvrages ou d'articles. C'est avec plaisir que nous nous efforcerons de vous aider à ne pas "voyager idiot".

  • France : une Communauté sacerdotale en pleine expansion

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    csm-assises-8c377.jpgIl s’agit de la Communauté Saint-Martin, association cléricale publique basée à Candé-sur-Beuvron. Elle rassemble prêtres et diacres séculiers désirant vivre leur apostolat en vie commune dans un esprit de fraternité et de disponibilité au service des diocèses de l’Eglise universelle.

    Ce samedi 25 juin 2011, huit nouveaux prêtres et dix diacres membres de cette Communauté très classique ont été  ordonnés  par S.E. le Cardinal Robert Sarah, président du Conseil Pontifical Cor Unum, en la Basilique Notre-Dame de la Trinité à Blois. Rendant compte de cette cérémonie impressionnante, le journal blésois « la Nouvelle République » écrit : « La basilique Notre-Dame-de-la-Trinité était archi-comble.. Des fidèles, venus joindre la force de leurs prières à celles des ordinants, suivaient même la célébration depuis le jardin. Les catholiques blésois sont habitués à partager ce grand moment de spiritualité, car la communauté Saint-Martin, basée à Candé-sur-Beuvron, a pour mission de former des112451138_image_article_droite_width.jpg prêtres '' loin de l'agitation du monde ''. Après six ans de préparation, ils confirment leur aspiration au sacerdoce, chaque année. Comme l'a rappelé le cardinal Robert Sarah, les huit nouveaux prêtres vont désormais perpétrer quotidiennement le sacrifice de l'Eucharistie, quand les dix diacres le donneront aux fidèles. Ces derniers touchent du doigt ce qu'est un prêtre, au moment de son engagement : un homme qui aspire à la sainteté par la prière, '' un autre Christ '', qui va soutenir et éclairer les âmes. Pour la communauté Saint-Martin, notre monde est « terriblement privé des trésors spirituels ». Pourtant, durant les longues minutes où l'évêque puis tous les autres prêtres imposent leurs mains sur la tête des jeunes ordonnés, cette spiritualité devient palpable pour toute l'assistance. »

    Rappelons que l’actuel évêque de Bayonne, Mgr Marc Aillet est issu des rangs de cette jeune Communauté, à laquelle Mgr Léonard, Primat de Belgique a rendu visite au mois de mai dernier.

          Pour en savoir plus, cliquez ici : Communauté Saint-Martin

  • JMJ :Offre de dernière minute de l'Emmanuel - Forum des Jeunes

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    Infos sur http://www.forumdesjeunes.com/Et-toi-que-fais-tu-cet-ete

  • Solennité de la Fête-Dieu à Liège le 25 juin

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    P6254073 (800x600).jpgLa Solennité de la Fête-Dieu célébrée ce samedi 25 juin à Liège a attiré de nombreux chrétiens, venus essentiellement de Liège mais aussi de sa banlieue et même d’autres villes : Verviers, Malmedy, Namur, Bruxelles…Cinq cents personnes se pressaient dans l’église du Saint-Sacrement (où la messe était célébrée avec le concours de la Schola Sainte-Cécile, une excellente chorale parisienne  vouée au plain chant et au répertoire baroque) et, malgré le temps maussade, un peu moins de trois cents d’entre elles ont suivi la procession qui a suivi dans les rues du quartier P1260128-200x200.jpgd’Avroy.

    Pour ne pas être accusés de chauvinisme liégeois, laissons sur ce point la parole à un témoin venu de l’extérieur et qui a spontanément « posté » ses impressions sur le site du « forum catholique » :

    « Je rentre de Liége où j’ai eu le bonheur d'assister aux magnifiques cérémonies de la Fête-Dieu. N'oublions pas que cette ville de Belgique est le berceau de la Fête du Saint Sacrement, initiative d'une belge, sainte Julienne de Cornillon, aidée de sainte Eve de Saint-Martin et de sainte Isabelle de Huy.  Après Vatican II,la procession du Saint Sacrement disparut dans cette ville princière. Il y a peu l'église du Saint-Sacrement fut même mise en vente.

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  • Le Cantique des Cantiques s'expose à Orval

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    Sabine Corman

     expose

    LE CANTIQUE DES CANTIQUES

    au Musée de l’abbaye à Orval

     du dimanche 26 juin au dimanche 2 octobre,

    de 9h30 à 18h30.

     cantique.jpg

     

    Heureux celui qui comprend les cantiques et les chante,

    mais plus heureux encore celui qui chante le Cantique des Cantiques

     (Origène, 3ème siècle)

    Visite du site et exposition : 5,50€  www.orval.be

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  • L'échelle de nos valeurs humaines

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    Ayant demandé au système Google de m'alerter chaque fois qu'il serait question de Benoît XVI dans l'actualité, j'ai été stupéfait de trouver un nombre important de messages d'alerte dans ma boîte électronique relatifs au pape. Mais de quoi s'agissait-il? De sa visite à Saint-Marin, de son enseignement sur la prière des psaumes, d'une audience importante accordée à un chef d'Etat? Eh bien, non; l'information la plus fréquente concernait un véhicule hybride fabriqué par Mercedes pour la prochaine visite du pape en Allemagne. Voilà donc l'intéressant et l'important!

    Cela m'a fait penser à ce fameux discours (1) de Soljénitsyne (mais qui se souvient encore de lui?) prononcé à Harvard, le 8 juin 1978, et qui n'a pas pris une ride. L'écrivain y dénonçait le déclin du courage et l'on sait combien les évènements ultérieurs lui ont donné raison, et il terminait cette intervention en s'interrogeant sur l'échelle de nos valeurs humaines :

    "Il est impératif, disait-il, que nous revoyions à la hausse l'échelle de nos valeurs humaines. Sa pauvreté actuelle est effarante. Il n'est pas possible que l'aune qui sert à mesurer de l'efficacité d'un président se limite à la question de combien d'argent l'on peut gagner, ou de la pertinence de la construction d'un gazoduc. Ce n'est que par un mouvement volontaire de modération de nos passions, sereine et acceptée par nous, que l'humanité peut s'élever au-dessus du courant de matérialisme qui emprisonne le monde." 

    Alors, que dire d'une presse qui se préoccupe prioritairement du véhicule qu'empruntera le pape en septembre prochain?

    (1) Discours de Harvard : à relire et à méditer ICI


  • Tout doit changer pour que rien ne change

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    Le prétendu « printemps arabe » est une illustration parfaite de la parole du prince Salina dans le roman de Giuseppe Tomasi di Lampedusa « Le Guépard » : tout doit changer pour que rien ne change. Petite illustration contemporaine :

     « En Egypte aussi, la révolution suit son cours. L’université d’Al Azhar a enfin élaboré son document sur ce que doit être la nouvelle Egypte, donc sur ce qu’elle sera. Et c’est le grand imam, cheikh al-Tayyeb, qui l’a présenté lui-même : il faut établir « un Etat national constitutionnel moderne », fondé sur la séparation des pouvoirs et garantissant l’égalité des droits entre les citoyens. Sic. Il a ajouté que les principes de la charia islamique devraient rester la source principale de la législation. Ce qui annule tout ce qui précède.

     

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  • Diocèse de Namur : deux décisions à épingler

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    On peut lire ceci sur le site du diocèse de Mgr Remy Van Cottem :

     A Namur,« cette année, la procession organisée traditionnellement à l'occasion de la Fête Dieu n'aura pas lieu. Le calendrier ne permet pas une telle organisation. Le dimanche 26 juin, date à laquelle, la procession aurait dû avoir lieu est réservée pour les ordinations sacerdotales. Le samedi 25 juin n'a pu être retenu: ce moment aurait coïncidé avec la veillée de prière organisée pour les ordinands, au Séminaire. Cette année, il y aura une seule ordination sacerdotale, celle de Xavier Le Paige. Rendez-vous le dimanche 26 juin, à 15h, à la cathédrale Saint-Aubain à Namur ». Inconciliable, vraiment ? …

     Il ne reste plus aux Namurois qu’à se rendre à la procession de la Fête-Dieu restaurée à Liège. C’est le samedi 25 juin à 16h à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132, en face de la statue équestre de Charlemagne) : une messe solennelle avec un superbe programme de chants grégoriens, de musique baroque française et liégeoise, sans oublier une illustration de l’office primitif de la Fête-Dieu, célébré pour la première fois en 1246…à Fosses-la-Ville, une localité namuroise qui faisait alors partie de la principauté et du diocèse de Liège.

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