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Art - Page 77

  • L'art peut-il survivre à la perte du sacré et de la transcendance ?

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    "Canal Académie" pose cette question "Les œuvres d’art peuvent-elles exister quand s’est perdu le sens du sacré et de la transcendance ?"et met en ligne la deuxième partie d'un entretien avec Jean Clair, par Damien Le Guay :

    "Dans ce second entretien, Jean Clair revient sur la dégradation de la Culture. La Culture est une « qualité qui unit et élève » alors que le culturel « disperse, éparpille, dégrade, disqualifie ». La culture en train de disparaître au profit du culturel – et des agents qui en font la promotion – suppose une con-templation des œuvres d’art – au sens d’un culte rendu au beau et d’un temple pour ceux qui s’introduisent dans ce culte..."

    La suite est ici (une partie de l'article est en accès réservé aux abonnés)
  • A lire : "le bon vin, le pape l'a trouvé à Milan"

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    C'est du très bon Sandro Magister :

    Le bon vin, le pape le trouve à Milan

    Plus il est loin des intrigues du Vatican, plus Benoît XVI rencontre l'estime et l'affection. Les trois jours qu'il a passés dans la capitale économique de l'Italie ont été un Hymne à la Joie. Comme dans la Neuvième Symphonie de Beethoven. Comme aux noces de Cana .

    C'est à lire ici : chiesa.espresso

  • 3 juin 2012 : Journée des églises ouvertes

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    Accéder aux informations et programme (à télécharger) en cliquant sur l'image

  • A Huy : l'art sacré dans tous ses états

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    cliquer sur l'image pour accéder à la présentation de cette exposition

    Cliquer ICI pour accéder au site des Septennales de Huy,

    en l'honneur de Notre-Dame de la Sarte.

  • Quand l'art moderne fabrique des monstres...

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    9782070136681.jpgJean Clair vient de publier "Hubris, la fabrique du monstre dans l'art moderne, homoncules, géants et acéphales" chez Gallimard, dans la collection Connaissance de l'inconscient (mars 2012), 189 pages, 27 €.

    Résumé : A la croisée de l'histoire de l'art, de l'histoire des sciences et de l'histoire des idées, cette étude montre en quoi l'art devient l'expérimentation du monstrueux.

    Quatrième de couverture :

    Hubris

    L'art moderne s'est souvent voué à la laideur. Anatomies difformes, palettes outrées, compositions incongrues, volonté de surprendre et de heurter : qui oserait encore parler de beauté ?

    Faute de pouvoir en appeler à la raison historique et à la désuétude des canons anciens - des proportions de Vitruve à la perspective d'Alberti -, ne convient-il pas de rechercher ce qui a provoqué ce changement radical dans l'élaboration des formes qu'on appelle « art » ?

    S'appuyant sur les matériaux patiemment rassemblés depuis trente ans à travers de mémorables expositions, de « L'Âme au corps » à « Crime et châtiment » en passant par « Mélancolie : Génie et folie en Occident » et « Les années 1930 : La fabrique de "l'Homme nouveau" », Jean Clair propose une lecture anthropologique de l'esthétique moderne qui croise l'histoire de l'art, l'histoire des sciences et l'histoire des idées.

    Ainsi la seule année 1895 a-t-elle vu, simultanément, la naissance du cinéma, la découverte des rayons X, les applications de la radiotéléphonie (mais aussi la croyance en des rayonnements invisibles chez les tenants de l'occultisme), les premiers pas de la psychanalyse, l'essor de la neurologie : la sensibilité en est bouleversée, mais d'abord la façon qu'a l'artiste de se représenter le monde visible et singulièrement le corps humain.

    Paradigmes et paramètres, les modèles ont changé. L'art devient l'expérimentation du monstrueux et crée de nouvelles entités parmi lesquelles Jean Clair distingue trois figures directrices : le mannequin des neurologues, descendant des alchimistes et de Goethe, le Géant des dictatures, « l'Ogre philanthropique » dont Le Colosse de Goya est le prototype, l'Acéphale enfin, le nouveau dieu des avant-gardes célébré par Georges Bataille.

  • Une ode à l'euthanasie primée à Cannes

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    Extraits de la note consacrée au film qui a reçu la palme d'or à Cannes par Vincent Malausa, chroniqueur cinéma du Nouvel Obs :

    "Avec "Amour", Michael Haneke a frappé très fort. Malgré son indécrottable sens de la manipulation, son film est un des plus sérieux concurrents pour la Palme. Par Vincent Malausa, critique aux "Cahiers du cinéma" et chroniqueur cinéma au Plus, sur place à Cannes.

    "Amour" commence par une très belle scène montrant le couple rentrer d'un spectacle et découvrir que la porte de l'appartement semble avoir été forcée. C'est un simple détail, dont on ne saura rien par la suite, mais qui scelle une fois pour toutes le destin des personnages. A cet instant, la mort est entrée dans l'appartement et tout le film va décrire chaque étape de la longue coulée vers le néant dont le récit se fait le tombeau. Le film bouleverse car la minutie de sa description est portée par un amour indéfectible et non par l'habituel mépris qui mobilise le cinéma d'Haneke.

    On n’est pas passé loin du chef-d’œuvre, malheureusement l’indécrottable sadisme hanekien se révèle sur la fin – au cours d’une insoutenable scène d’euthanasie – et renverse quelque peu le sens de certaines séquences limites du film. Haneke pouvait faire son plus beau film, mais son goût du pensum et son caractère foncièrement antipathique pèsent lourdement sur le résultat final. Mais le lyrisme qui sourd du film, son extraordinaire puissance souterraine ont l'effet d'un uppercut en plein cœur."

    Voir également le commentaire de Jeanne Smits

  • Le Saint Suaire et le cinéma

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    Quel rapport entre le Linceul de Turin et le cinéma ? Telle est la question posée sur Zenit.org et à laquelle répond un Entretien avec un historien (Alberto Di Giglio) du cinéma sacré (ZENIT.org - Maria Chiara Petrosillo - Traduction d’Océane Le Gall)

    – Quel rapport entre le Saint-Suaire et le cinéma ? Alberto Di Giglio, historien du cinéma sacré, répond à cette question en soulignant que le cinéma christologique, à savoir la représentation de la figure du Christ, est un fil rouge dans l'histoire du cinéma.

    Un diplôme de spécialisation en Etudes sur le Suaire de Turin, a été présenté le 16 mai 2012, à Rome, à l’Université pontificale Regina Apostolorum (www.uprait.org). Parmi les intervenants, le professeur Alberto Di Giglio, spécialisé enHistoire du Cinéma sacré et religieux au Centre expérimental de Cinématographie - Siège Lombardie, qui a accordé cet entretien à Zenit sur le rapport entre le Saint-Suaire et le cinéma.

    Depuis 1990, Alberto Giglio est président de l’association culturelle Sindonis Cultores. Egalement fondateur du site web sindonologia.it et auteur du documentaire « Le Saint-Suaire, un Signe de notre temps », il aété de 1999 à 2003 directeur de « La Toile », une revue consacrée au Linceul de Turin qui paraît tous les 4 mois.

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  • Chant grégorien : le grand retour ?

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    C'est ce qu'annonce Sandro Magister sur chiesa :

    Chant grégorien. La revanche annoncée

    La congrégation pour le culte divin veut prendre la direction de la renaissance de la grande musique sacrée. Voici son programme, rendu public pour la première fois par l'un de ses dirigeants. (...)

    Lors de la messe que Benoît XVI célèbrera à Milan le 3 juin, devant une immense foule de fidèles, à l’occasion de la Rencontre mondiale des familles, l’interprétation des chants grégoriens sera confiée au chœur que dirige le maestro Fulvio Rampi.

    Il s’agit d’un chœur qui figure parmi les plus expérimentés en matière de chant grégorien. Et, pour l’étude et la pratique de ce qui est le chant "roi" de la liturgie latine, Rampi joue depuis de nombreuses années un rôle de premier ordre.

    C’est précisément à ce chant qu’il a consacré, le 19 mai dernier, une conférence passionnante, à Lecce, dans le cadre d’une journée d’études dont le thème était la musique sacrée cinquante ans après le concile Vatican II et à la lumière du magistère de Benoît XVI : on pourra lire la suite ici, mais retenons ces cinq points mis en évidence par le Maître :

    1. Le grégorien est le chant "propre" de la liturgie latine. Par lui l’Église exprime sa pensée quant à la Parole de Dieu chantée.

    2. Le grégorien est l’expression "sonore" de l'interprétation que l’Église fait de la Parole.

    3. Le grégorien n’est pas un ornement, mais il est lui-même liturgie.

    4. Le grégorien est liturgie dans ses temps et ses formes propres : depuis le chant d’entrée jusqu’au graduel et au chant de communion.

    5. Le grégorien est un tout qui scande et englobe toute l’année liturgique, qui n’est intelligible que dans sa vision unitaire, comme les Saintes Écritures. C’est la forme musicale de la "lectio divina" de l’Église.

  • Liège 25-27 mai : Fête de l'Orgue

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  • Sécuriser le patrimoine religieux

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    Unesco-guide-sécurité-patrimoine-religieux.jpgLe Salon Beige relaie cette information :

    L’Unesco édite un guide sur la sécurisation du patrimoine religieux

    Ce manuel est destiné à toutes les personnes (religieux, fidèles, gestionnaires, propriétaires…) en contact avec le patrimoine cultuel et soucieux de mieux le protéger contre les actes de malveillance (vols, vandalisme, intrusions, voire incendies  criminels ou terrorisme).

    Gratuit et en français, ce guide de 50 pages peut être téléchargé ici.

    86 recommandations sont faites. Exemples :

    • Réalisez un inventaire de l’ensemble des objets présents dans l’édifice, avec des descriptifs détaillés et des photos de bonne qualité qui permettront notamment d’identifier un objet retrouvé après un vol.
    • Tenir à jour cet inventaire et le conserver sous forme papier et si possible numérique, en plusieurs exemplaires dans différents lieux sûrs.
    • Tendez vers une présence humaine dans les lieux (recours à un gardiennage ou à des bénévoles). Rien ne la remplace.
  • Liège, 12 mai : Nuit des cathédrales

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    La Nuit des Cathédrales aura lieu à Liège le samedi 12
    mai prochain, de 17h45 à 23h, sur le thème des chrétiens d’Orient, à la
    cathédrale Saint-Paul bien sûr ! Liège est la seule cathédrale belge qui
    participe à cette animation initiée en 2008.

    17h45 Carillons Fabrice Renard
    18h00 Prière du soir soutenue par la Chorale Euregio Fortissimo
    18h15 Académie Grétry (cloître et jardin)
    18h30 Vernissage de l’exposition Le Mystère Copte
    Visite du Trésor
    19h00 - 19h30 Chant byzantin par Euregio Fortissimo
    20h00 Conférence Les chrétiens d’Orient au cœur de l’actualité par le Professeur C. Cannuyer
    21h 00 Chorale Euregio Fortissimo
    21h00 - 22h30 Adoration avec l’Emmanuel (chapelle du chapitre)
    21h30 - 22h30 Concert de musique de chambre russe, sous la direction de Madame Baranowska du Conservatoire de Liège
    22h30 - 23h00 Orgue - Joëlle Sauvenière
    23h00 Prière de la Nuit

    Organisation : Conseil « Cultures, Cité et Eglise »

  • 11 mai : les châteaux de Wallonie sur la Une

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    Ma Terre – Vies de Châteaux

    La Une, le 11 mai 2012, 20h15

    Ce 11 mai, Ma Terre vous emmène à la découverte de ces châteaux si connus et pourtant tellement méconnus de Wallonie.

    Entre trésors artistiques insoupçonnés dans des châteaux peu visités, un château en ruines oublié du grand public en Wallonie et pourtant une « star » aux Etats-Unis, en passant par les entrailles du château de Bouillon, la Chine qui abriterait une copie du château de Marchienne, les secrets des plus beaux jardins castraux et les fantômes et vampires de Farciennes, Ma Terre vous fera découvrir ces vies de châteaux, rêves des uns, folies des autres…

    Cette émission  6 de Ma Terre a été tournée sur 4 saisons, a fait le tour du monde, et c’est intéressée à toutes les provinces wallonnes.

    L’émission sera présentée depuis le Château de Beloeil, l’endroit idéal pour évoquer ces superbes lieux.

    Une émission de Corinne Boulangier, écrite par Gorian Delpâture et réalisée par Jean-Marc Panis, en coproduction avec l’Institut du Patrimoine Wallon.

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