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Le samedi 19 mars 2016, pendant la première semaine du Grand Carême 2016 donc, nous pèlerinerons sur les pas de saint Guido(n) d'Anderlecht. Pélerin par pénitence, un excellent compagnon pour nous aider à la conversion.
Le sous-diacre Jean Hamblenne nous parlera de la vie du pauvre sacristain devenu saint. Ensuite matuhska Anne nous expliquera l'historique des lieux - collégiale etc - avant la visite au musée d'Erasme.
Tropaire de saint Guidon d'Anderlecht ton 4
Vénérable fils de nos campagnes,
Humble paysan de notre pays,
Tu délaissas tes pauvres biens
Pour péleriner vers lsraël.
Aujourd'hui que tu es parvenu en la Jérusalem Céleste,
Nous t'en supplions, saint Guidon,
Intercède pour le salut de nos âmes.
Intéressant : récemment, un laboratoire de l'Université Libre de Bruxelles, très peu susceptible donc de christianophilie (!!), a authentifié les reliques de notre saint ami :
https://www.youtube.com/watch?v=LItU81O5xW0
(source)
Plus d’information : sursumcorda@skynet.be ou tel 04.344.10.89
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Lu et vu sur le « Salon beige »
Une nouvelle version remastérisée du documentaire "La Lumière du Désert" est aujourd'hui disponible sur le site de DCX.
Rappelons que ce film de 52 mn raconte la renaissance extraordinaire de l'un des plus vieux monastères du monde fondé en 360 par St Macaire le Grand dans le désert du Waddi Natrum en Egypte. Un lieu où la présence monastique n'a jamais été interrompue depuis plus de 17 siècles… Ces moines coptes orthodoxes qui connaissent un véritable renouveau s'inscrivent dans la prestigieuse lignée des Pères du Désert, à l'origine du monachisme occidental. Un document exclusif sur le réveil des grands monastères égyptiens à voir et à revoir en ce temps de Carême.
Ref. Egypte : la renaissance de l'un des plus vieux monastères
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Faut-il obliger les enfants à aller à la messe chaque dimanche ? Pourquoi ? Comment ? Autant de questions que posent - et se posent - de nombreux parents. Une petite piqûre de rappel sur le site de « famille chrétienne » :
« - Pourquoi la messe chaque dimanche ? La participation à l'Eucharistie dominicale n'est pas une simple recommandation, un «plus» réservé aux personnes particulièrement pieuses, ni une manière parmi d'autres de vivre sa foi. Etre chrétien, et plus précisément catholique, sans aller à la messe, cela n'a pas de sens. L'Eucharistie est le sacrement des sacrements. «L'Eucharistie est la source, tandis que les autres sacrements sont les ruisseaux.» (1) Elle nous fait entrer dans le mystère pascal, mort et résurrection du Christ. Elle nous fait vivre dans et par le mystère pascal. Elle est présence réelle du Christ livré pour nous et donc fondement de l'unité de l'Eglise. Elle est action de grâce, «sacrifice de louange», c'est-à-dire don de Jésus à son Père.
L'Eucharistie, c'est toute la messe, dont la communion, qui se prolonge par la Présence réelle de Jésus en chaque hostie consacrée (conservée généralement au tabernacle). Il y eut une période où l'on avait un tel respect de l'Eucharistie que la communion sacramentelle était peu fréquente et que les enfants n'y étaient admis que tardivement: c'était là une conception réductrice et erronée de l'Eucharistie. En effet, si Jésus se donne à nous dans ce sacrement, c'est pour que nous nous en nourrissions. Mais aujourd'hui, il arrive trop souvent que l'on tombe dans l'erreur inverse - plus grave encore - qui veut que n'importe qui ou presque puisse communier, du moment qu'il est «sincère» et qu'il en a «le désir». On oublie que «quiconque mange le pain ou boit la coupe du Seigneur indignement sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur (â¦). Il mange et boit sa propre condamnation.» (1ère épître aux Corinthiens 11, 27-29). Et s'il est vrai que l'Eucharistie se vit pleinement dans la communion sacramentelle, il est vrai aussi que la participation à la messe - à l'Eucharistie - n'est pas seulement la communion. C'est pourquoi participer à la messe est important et loin d'être dépourvu de sens, même lorsqu'on ne peut pas communier; c'est le cas, par exemple, des jeunes enfants qui n'ont pas encore fait leur première communion (l'assistance à la messe est la première et la meilleure préparation à la première communion) et, surtout, de tous ceux qui ne sont pas dans les dispositions requises - par exemple les divorcés remariés (2).
L'Eucharistie est donc la source, le centre et le sommet de toute vie chrétienne. Mais pourquoi le dimanche (3) ? Parce que c'est le jour de la Résurrection du Seigneur, le premier jour de la semaine. Dans l'Ancien Testament, le jour du Seigneur est le dernier jour de la Création , le samedi (le sabbat). A partir de la Résurrection - nouvelle alliance, nouveau testament - c'est le dimanche, premier jour de la Rédemption. Nous avons besoin de nous retrouver à date fixe, ensemble, avec les autres chrétiens. L'assemblée dominicale est signe vivant de l'Eglise: c'est d'ailleurs pourquoi il est important de ne pas aller à la messe «chacun dans son coin» mais de privilégier, dans la mesure du possible, l'Eucharistie célébrée sans sa paroisse. La paroisse est en effet la petite portion concrète de l'Eglise où il nous est donné - et demandé - de vivre notre foi.
- L'Eucharistie dominicale est donc au centre de notre vie chrétienne: nous ne pouvons pas nous en passer. Nos enfants non plus. C'est pourquoi il n'y a pas à leur laisser le choix. A cela, on objecte assez souvent : «Mais la messe n'est-elle pas d'abord un rendez-vous d'amour ? Quel sens cela a-t-il donc d'obliger un enfant à aller à la messe ?» Il est absolument vrai que l'Eucharistie est un rendez-vous d'amour, «Le» rendez-vous d'amour. Mais il est vrai aussi que l'amour, le véritable amour, se construit dans la fidélité et que la fidélité suppose qu'on ne soit pas dépendant de ses goûts et de ses aspirations du moment. Tous les époux le savent. Obliger un enfant à aller à la messe, c'est l'aider à répondre à l'amour de Dieu de manière durable et fidèle. C'est lui apprendre que la vie chrétienne ne progresse pas à coup d'envies et de pulsions sentimentalo-romantiques. C'est lui permettre de grandir dans la liberté, la vraie, celle qui nous rattache à ce qui est plus grand que nous en nous détachant de nos caprices et de nos impressions fugitives. C'est l'inviter à découvrir que la qualité de notre amour pour Dieu ne se mesure pas à ce que nous ressentons mais à la qualité de nos humbles et parfois austères fidélités.
- Cela dit, aller à la messe demande parfois - ou souvent - un réel effort, notamment aux adolescents. S'il n'y a pas à leur laisser le choix, il conscient aussi de faciliter les choses. Ainsi, tout en les aidant à découvrir que «la messe c'est toujours la messe» quelles que soient les circonstances (beauté du lieu et des chants, qualité de l'homélie, chaleur de l'assemblée, etc.), en leur apprenant aussi à vivre dans leur paroisse, il est parfois très souhaitable d'aller, au moins de temps en temps, à une messe «qui leur plaît», qui les aide à prier paisiblement, joyeusement et à aimer davantage l'Eucharistie.
Rappelons-nous par ailleurs la pudeur des adolescents et leur envie d'autonomie : acceptons donc tout naturellement qu'ils n'aient pas envie d'être à la messe à côté de papa-maman et de leurs jeunes frères ou sœurs. Acceptons aussi qu'ils aiment tel ou tel style de musique liturgique qui heurte notre propre sensibilité : certes, cela n'est pas anodin, mais ce n'est pas premier et il est capital de ne pas tout mélanger. Soyons attentifs à leur offrir tous les moyens possibles de comprendre et d'aimer l'Eucharistie parce qu'Elle est vraiment au cœur de notre vie chrétienne.
Christine Ponsard »
(1) Catéchisme du Concile de Trente. (2) Les époux qui ne sont pas restés fidèles à leur mariage en se «remariant» après avoir divorcé ne peuvent communier en raison du lien étroit qui existe entre l'Eucharistie et le mariage, signe de l'alliance du Christ et de l'Eglise. Mais cela ne signifie nullement que Dieu ne les aime pas. Au contraire, Dieu est pour eux (et pour tous les pécheurs que nous sommes) comme le berger qui court partout à la recherche de la brebis perdue ou comme le père de l'enfant prodigue. (3) Ou le samedi soir, la soirée et la nuit précédant le dimanche et les grandes fêtes formant comme un tout avec le jour-même.
Ref.La messe du dimanche : pourquoi ? comment ?
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La France se mobilise, les vendredi 4 et samedi 5 mars, avec les diocèses du monde entier pour les les 24 heures dédiées au Seigneur miséricordieux. Lu sur « Riposte catholique » :
« A l’appel du Saint-Père, les diocèses du monde entier se trouvent pour 24 heures immergés dans un océan de grâces traversé du double courant de l’adoration et de la confession. Pour la France c’est un phénomène incroyable signe de temps nouveaux pour l’Eglise et pour le pays.
Il y a encore dix ans, il fallait se battre pour avoir un rare moment d’adoration dans les paroisses. Aujourd’hui, l’adoration perpétuelle est de plus en plus fréquente et les temps d’adoration font leur grand retour. Il n’y a pas si longtemps, les prêtes qui osaient braver l’interdit, parfois de leurs évêques, mais souvent de leurs propres fidèles, en proposant des confessions individuelles faisaient figurent de martyrs tant les oppositions pouvaient s’avérer violentes. Dans certains séminaires, il y a tout juste 10 ans, il suffisait de réciter le bénédicité pour faire figure de reproche moral, sans parler du chapelet, cette dévotion pour vielles bigotes.
Si un souffle nouveau recouvre l’Église de France, il reste des zones rétives, des cœurs fermés à ces grâces incroyables que sont la confession, l’adoration et la prière du rosaire. Sans avoir procédé à un pointage exhaustif, il semble que tous les diocèses de France soient entrés dans ces « 24 heures pour le Seigneur » en proposant, très officiellement, un temps d’adoration et de confession individuelle. Formidable soutien pour ces prêtres qui rament depuis si longtemps à contrecourant, comme pour les laïcs qui demandent inlassablement depuis des années le retour de ces pratiques d’un autre âge.
Un autre âge oui en effet ! Un nouvel âge qui enrage ceux de cette page qui lentement et encore douloureusement se tourne. C’est de ce cœur ardent, cœur eucharistique qui bat au rythme de l’adoration et de la confession que peut à présent jaillir l’espérance d’une France qui prie. L’adoration tourne le regard vers Dieu, la confession ouvre les portes de la grâce, cette grâce qui, seule peut, par nous certes, changer le monde.
Imaginez, depuis le Ciel, cette vue d’une France d’où monte d’un même cœur, 24 heures durant, l’action de grâce et vers où convergent les flots de miséricorde libérés par ce sacrement de réconciliation retrouvé. 24 heures de grâces ! Que va faire Dieu de ces 24 heures de prière pour le monde, pour la France, pour le Royaume ?
Mettons-nous un court (très court) instant à la place de Satan et de ses sbires ! 24 heures de tremblement de terre à hauteur de notre dévotion. A hauteur de notre dévotion ! Si, comme le disait Sainte Thérèse de Lisieux, nous pouvons changer le monde en ramassant avec amour une simple aiguille, combien avec 24 heures de prières amoureuses pourrions-nous renverser les superbes de leurs trônes !
Cyril Brun »
Ref. un souffle d’adoration et de confession plane sur la France
...et le monde entier. Comme nous l'avons déjà écrit, pour la ville de Liège 22 lieux de culte participent à cet événement dans la "Cité ardente". Trois d'entre eux ont prévu spécifiquement l'adoration eucharistique: la Cathédrale, le Carmel de Cornillon (permanent) et l'église du Saint-Sacrement (permanent).Sept églises organisent aussi l'accueil des confessions: la Cathédrale, Saint-Pholien, Saint-François de Sales, le Saint-Sacrement, Saint-Jean, Saint-Denis et la Chapelle des Filles de la Croix.
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A une encablure des « 24 heures pour le Seigneur » organisées dans le cadre du Jubilé de la Miséricorde, le site « Diakonos.be » a traduit et publié ce texte de l’écrivain Antonio Margheriti Mastino. Très " italien " peut-être mais, pour un Jubilé dont la célébration se cherche encore, la foi populaire y trouve son compte …
« La culpabilité n’a rien à voir avec la repentance. C’est Lui qui me l’a « dit ». Du moins, je pense bien que c’était Lui.
C’est arrivé il y a un peu plus d’un mois. Pour une fois, j’étais arrivé à l’Eglise non seulement à temps mais même largement en avance pour la messe, ce qui est exceptionnel pour moi qui suis un retardataire chronique. J’en ai donc profité pour discuter un peu avec Lui, devant cette icône sur l’autel qui me fixait avec intensité, devant le Saint-Sacrement. Oui, dans mon Eglise, le Saint-Sacrement se trouve au fond, derrière… un paravent sur l’autel. Je vous résume le monologue façon Don Camillo que j’ai eu avec Lui car sa présence était si intense que je pouvais clairement distinguer ses réponses au travers de cette petite voix intérieure que j’appelle ma conscience.
Un monologue qui était presque un dialogue
Moi: « Tu sais pourquoi je viens à la messe… c’est pour entendre ces paroles que j’aime tant: « dis seulement une parole et je serai sauvé ».
La petite voix: « Tu viens aussi parce que tu te sens coupable, tu viens à moi rempli d’angoisse et l’angoisse du péché est diabolique parce qu’elle remplit ta vie plus que la conversion et qu’elle ne laisse plus de place à l’espérance. Le désespoir appartient à Satan. Moi, c’est le repentir que je demande. »
Moi: « Je me suis repenti »
La petite voix: « Non, tu es obsédé et physiquement obnubilé par ta propre horreur. »
Moi: « Pendant l’élévation je te dis: ‘Seigneur, je te confie mes péchés, mes fautes, mes besoins et mes espérances’ »
La petite voix: « Tu ne l’as dit qu’une seule fois et ensuite tu dis: reste avec moi Seigneur quand viennent le soir et les ténèbres, quand la nuit descend sur moi et m’envahit. C’est l’obscurité qui te fait peur, c’est à elle que tu parles. En te libérant de ton sentiment de culpabilité tu te libéreras également du péché et de l’obscurité, de cette tentation qui te submerge quand tu as perdu l’espérance et qu’il n’y a plus de lumière. »
Moi: « Mais je ne suis pas angoissé! »
La petite voix: « Tu l’es à tel point que tu es physiquement incapable de t’approcher de mon corps. »
Abbaye des bénédictines de Liège
Vêpres du Christ-Roi (22 novembre 2015)
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Le bienheureux Charles le Bon, comte de Flandre, martyr (+ 1127); fêté le 2 mars (Source : Saints et saintes de l'Eglise)
Charles Ier de Flandre, dit Charles le Bon né Charles de Danemark (vers 1083 - 2 mars 1127), est le fils du roi du Danemark Knut IV et d'Adèle de Flandre, petit-fils du comte Robert Ier et de Gertrude de Saxe, neveu du comte Robert II et cousin germain du comte Baudouin VII. Il est comte de Flandre de 1119 à 1127. On le fête le 2 mars comme saint.
Le cours de sa vie
Knut IV de Danemark ayant été assassiné en 1086, Adèle se réfugie en Flandre, prenant le très jeune Charles avec elle. Charles grandit à la cour de son grand-père Robert Ier et de son oncle Robert II. En 1092 Adèle le quitte pour se marier avec Roger Borsa, duc des Pouilles dans le sud de l'Italie.
Charles part à la croisade en 1096 avec son oncle, qui meurt en 1111. Il devient un proche conseiller du nouveau comte Baudouin VII (qui était de plusieurs années plus jeune) qui le prend d'affection et lui procure plusieurs avantages. Il lui donne d'abord la seigneurie et le château d'Encre qu'il avait enlevé à Hugues de Camp d'Avène, comte de Saint-Pol. En 1118, Charles épouse l'héritière du comte d'Amiens, Marguerite de Clermont.
En 1119, il est reconnu par les États convoqués à Rouliers comme successeur de Baudouin VII agonisant. Il devient effectivement comte le 19 juin. Sa prise de couronne est néanmoins vivement contestée. La comtesse douairière Clémence de Bourgogne s’avère son opposante la plus acharnée : elle favorise son propre candidat, Guillaume d'Ypres. Charles vainc un à un tous ses rivaux, et Clémence doit renoncer à une partie de son douaire ; Guillaume, fait prisonnier, est amadoué par quelques seigneuries et une somme d’argent ; Baudoin III, allié à Thomas de Coucy, est vaincu en bataille rangée ; le comte Gauthier d’Hesdin est chassé et privé de ses états ; Hugues Champ d’Avoine voit les forteresses de son comté de Saint-Pol rasées ; le comte de Boulogne Eustache III doit finalement se tenir coi.
Diocèse de Séoul (Corée), 2016
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