"Nous avons la chance d'avoir le dépôt de la foi. mais qu'est-ce que nous en faisons ? C'est ça le problème..;
Oui, nous avons toute la vérité !
Oui, nous avons l'Eucharistie !
Oui, nous avons la confession !
Mais qu'est-ce que nous faisons de tout cela ?
Oui, nous avons la charité fraternelle !
Mais qu'est-ce nous en faisons ?
Est-ce que nous en vivons ?
Eh bien, le Carême est là pour nous aider à passer dans ce suc du Saint Évangile qui doit couler en nous et nous rendre beaux !"
Site du Père Michel-Marie : www.delamoureneclats.fr
Site de ND du Laus : www.sanctuaire-notredamedulaus.com
Au rythme de l'année liturgique - Page 197
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Homélie du Père Zanotti-Sorkine pour le mercredi des cendres
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Liège, église du Saint-Sacrement : messe et imposition des cendres le mercredi 10 février 2016 à 18h00
Ouverture du carême 2016
EGLISE DU SAINT-SACREMENT
Boulevard d’Avroy, 132, à Liège
MERCREDI 10 FEVRIER 2016 À 18 HEURES
MESSE ET IMPOSITION DES CENDRES
par l’abbé Claude Germeau
Chants grégoriens et Motets traditionnels
Repons « Emendemus » de la procession des cendres
Kyriale XVIII
Extraits du propre de la messe « Misereris »
Chant des psaumes 50 (latin) et 129 (français)
Hymne du carême
schola, orgue (Mutien-Omer Houziaux ) et violoncelle (Octavian Morea)
Possibilité de se confesser
Plus d’information : tel 04.344.10.89 (secrétariat) ou sursumcorda@skynet.be
Comme toute fête du calendrier chrétien, le mercredi des cendres, par lequel débute le carême, se situe en référence à la fête des fêtes qu’est Pâques qui célèbre le passage de la mort à la résurrection du Christ. Fête tellement importante qu’elle est célébrée durant cinquante jours (de là vient le mot Pentecôte), et qu’elle est précédée d’une préparation de quarante jours. Le mot "carême" est la contraction du mot latin quadragesima, qui signifie quarantième -sous-entendu : jour, le quarantième jour étant le jour de Pâques.
Cette préparation est un temps de cheminement spirituel, tout entier orienté vers Pâques, pour ceux qui se préparent à être baptisés à la veillée pascale et pour tous les fidèles. Il est marqué par le jeûne (privation), la prière et le partage (charité, solidarité), et pas seulement comme pratique à observer - d’ailleurs le plus discrètement possible mais véritable démarche spirituelle. La durée de quarante jours est à mettre en relation avec les 40 jours de Jésus au désert précédant sa vie publique, eux-mêmes en relation symbolique avec les quarante ans de traversée du désert par les Hébreux avant l’entrée en Terre promise.
C’est pour tenir les quarante jours de jeûne et de privation, en dehors des dimanches qui sont toujours jour de fête et de résurrection - même en temps de Carême - que le début de celui-ci fut avancé au mercredi avant le 1er dimanche de carême. La cendre évoque la faiblesse de l’homme (cf. Genèse 3, 19 "Souviens-toi que tu es poussière…"), elle évoque aussi le péché et la fragilité de l’homme (cf. Sagesse 15, 10 ; Ézéchiel 28, 18 ; Malachie 3, 21) et son regret du péché (cf. Judith 4, 11-15 ; Ézéchiel 27, 30). Pour les chrétiens, l’imposition des cendres est, avant tout, un rite pénitentiel dont la signification est portée par la phrase que prononce le prêtre en faisant le geste : "Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle." (Marc 1, 15).
Psaume 50 (Miserere)
Hymne du carême « Attende Domine » :
Saint Césaire d'Arles, Ve siècle:
"Ne tarde pas, dit le Seigneur, convertis-toi à Dieu, et ne diffère pas de jour en jour." Ce sont les paroles de Dieu et non les miennes; vous ne les avez pas entendues de moi, mais moi je les entends avec vous : "Ne tarde pas, dit-il, convertis-toi au Seigneur." Mais toi tu réponds : "Demain! demain!" (dans le latin du texte : "Cras! cras!") Quel croassement de corbeau! Comme le corbeau envoyé de l'arche n'y est pas revenu et, maintenant qu'il est vieux, dit encore : Demain! demain! C'est le cri du corbeau : tête blanche et coeur noir. Demain! demain! c'est le cri du corbeau : le corbeau n'est pas revenu à l'arche, la colombe est revenue. Qu'il se perde donc, le croassement du corbeau, et que se fasse entendre le gémissement de la colombe."
JPSC
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Benoît XVI : la justice ? Message de carême 2010
Pas de vraie miséricorde sans vraie justice. Le site « riposte catholique » reproduit à ce sujet l’intéressant message de Benoît XVI pour le carême de 2010 :
« Alors que l’année de la miséricorde donne la part belle aux œuvres de justice, que notre monde brandit comme étalon cette divinité des temps anciens, mieux vaut savoir de quoi nous parlons. Avec la profondeur qui est la sienne Benoît XVI ouvrait le carême de 2010 en ces termes La justice de Dieu s’est manifestée moyennant la foi au Christ (Rm 3, 21-22). Écho à l’année de la miséricorde, approfondissement du message de son successeur pour la journée mondiale des malades, (voir notre article) voici donc, à l’aube du carême 2016, le message toujours actuel du pape Benoît XVI
Chers frères et sœurs,
Chaque année, à l’occasion du carême, l’Église nous invite à une révision de vie sincère à la lumière des enseignements évangéliques. Cette année j’aimerais vous proposer quelques réflexions sur un vaste sujet, celui de la justice, à partir de l’affirmation de saint Paul : «La justice de Dieu s’est manifestée moyennant la foi au Christ. » (Rm 3, 21-22)
Justice : « dare cuique suum »
En un premier temps, je souhaite m’arrêter sur le sens du mot « justice » qui dans le langage commun revient à « donner à chacun ce qui lui est dû – dare cuique suum » selon la célèbre expression d’Ulpianus, juriste romain du III siècle. Toutefois cette définition courante ne précise pas en quoi consiste ce « suum » qu’il faut assurer à chacun. Or ce qui est essentiel pour l’homme ne peut être garanti par la loi. Pour qu’il puisse jouir d’une vie en plénitude il lui faut quelque chose de plus intime, de plus personnel et qui ne peut être accordé que gratuitement : nous pourrions dire qu’il s’agit pour l’homme de vivre de cet amour que Dieu seul peut lui communiquer, l’ayant créé à son image et à sa ressemblance. Certes les biens matériels sont utiles et nécessaires. D’ailleurs, Jésus lui-même a pris soin des malades, il a nourri les foules qui le suivaient et, sans aucun doute, il réprouve cette indifférence qui, aujourd’hui encore, condamne à mort des centaines de millions d’êtres humains faute de nourriture suffisante, d’eau et de soins. Cependant, la justice distributive ne rend pas à l’être humain tout ce qui lui est dû. L’homme a, en fait, essentiellement besoin de vivre de Dieu parce que ce qui lui est dû dépasse infiniment le pain. Saint Augustin observe à ce propos que « si la justice est la vertu qui rend à chacun ce qu’il lui est dû… alors il n’y a pas de justice humaine qui ôte l’homme au vrai Dieu» (De Civitate Dei XIX, 21)
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Entrer en carême à Liège
Mercredi 10 février, mercredi des cendres – entrée en Carême. Il s’agit d’un jour de jeûne : les adultes en bonne santé sont invités à se contenter d’un seul repas complet. Les fidèles qui le peuvent sont conviés à vivre la célébration de l’imposition des cendres. Celle-ci est offerte à toutes les heures de la journée, afin que beaucoup puissent y participer. Ainsi :
- 7h à la communauté des Jésuites (rue Saint-Gilles 92)
- 8h30 chez les Bénédictines (Bvd d’Avroy 54)
- 9h à la Cathédrale
- 11h à Saint-Denis
- 12h15 à Saint-Jean
- 18h Eglise du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy 132)
- 18h à Saint-Barthélemy
- 18h chez les Filles de la croix (rue Saint-Gilles 195)
- 20h à Saint-Jacques
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Montons dans la barque avec le Christ (5e dimanche du temps ordinaire); homélie du Père Zanotti-Sorkine
Prédication du père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (Lc 5, 1-11) (10 février 2013)
http://www.delamoureneclats.fr http://www.unfeusurlaterre.org
Évangile : Luc 5, 1-11
Un jour, Jésus se trouvait sur le bord du lac de Génésareth ; la foule se pressait autour de lui pour écouter la parole de Dieu. Il vit deux barques amarrées au bord du lac ; les pêcheurs en étaient descendus et lavaient leurs filets. Jésus monta dans une des barques, qui appartenait à Simon, et lui demanda de s'éloigner un peu du rivage. Puis il s'assit et, de la barque, il enseignait la foule. Quand il eut fini de parler, il dit à Simon : « Avance au large, et jetez les filets pour prendre du poisson. » Simon lui répondit : « Maître, nous avons peiné toute la nuit sans rien prendre ; mais, sur ton ordre, je vais jeter les filets. » Ils le firent, et ils prirent une telle quantité de poissons que leurs filets se déchiraient. Ils firent signe à leurs compagnons de l'autre barque de venir les aider. Ceux-ci vinrent, et ils remplirent les deux barques, à tel point qu'elles enfonçaient. A cette vue, Simon-Pierre tomba aux pieds de Jésus, en disant : « Seigneur, éloigne-toi de moi, car je suis un homme pécheur. » L'effroi, en effet, l'avait saisi, lui et ceux qui étaient avec lui, devant la quantité de poissons qu'ils avaient prise ; et de même Jacques et Jean, fils de Zébédée, ses compagnons. Jésus dit à Simon : « Sois sans crainte, désormais ce sont des hommes que tu prendras. » Alors ils ramenèrent les barques au rivage et, laissant tout, ils le suivirent.
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Jésus est venu pour nous guérir. Homélie du Père Zanotti-Sorkine (4e dimanche du temps ordinaire)
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Académie de Chant grégorien à Liège : trois sessions et deux conférences proposées par Marcel Pérès sur le chant de la liturgie liégeoise médiévale
Marcel Pérès est directeur de l’Ensemble « Organum » et du CIRMA (Centre Itinérant de Recherche sur les Musiques Anciennes, fondé à l’abbaye de Moissac). Spécialiste des musiques du moyen âge, il considère la musique comme un outil de réflexion sur l’histoire des mentalités. Il est l’auteur de nombreux enregistrements et publications. Il dirige des sessions de recherche et de formation sur la musique ancienne et sa mise en œuvre dans le monde contemporain..
Dans la continuité des sessions de chant qu’il anime à Liège depuis 2013, Marcel Pérès propose cette année, à l’abbaye des Bénédictines (Bd d’Avroy, 54), trois week-ends consacrées aux
offices de la liturgie liégeoise médiévale
Fête-Dieu, Trinité, Saint-Lambert
- du vendredi 5(17h00) au dimanche 7(17h00) février 2016
- du vendredi 12 (17h00) au dimanche 14 (17h00) février 2016
- du vendredi 9 (17h00) au dimanche 11(17h00) septembre 2016
Ces musiques portent en elles encore beaucoup d’éléments constitués au cours de la renaissance carolingienne et offrent de précieuses indications sur l’art de la scansion du plain-chant.
Les psaumes et les hymnes seront étudiés selon les techniques de faux-bourdon en usage à l’époque.
- Deux conférences illustrées par des extraits chantés clôtureront les rencontres : le 14 février (15h30) et le 11 septembre (15h30) ;
Ces conférences seront données par Marcel Pérès dans l’église de l’abbaye. Elles font partie du cycle mais on peut aussi s’y inscrire indépendamment de celui-ci.
Les inscriptions sont ouvertes. Ne tardez pas à nous renvoyer votre formule d’inscription, soit par la poste (Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42/7, 4020 Liège), soit par email : jpschyns@skynet.be. Vous pouvez aussi téléphoner au secrétariat de l’académie à Liège : 04.344.10.89 (depuis l’étranger : +32.4.344.10.89) ou à l’abbaye (demander Sœur Petra) : 04.223.77.20 (depuis l’étranger : +32.4.223.77.20) ou vous inscrire en ligne sur le site http://www.gregorien.com.
Tous les détails de l’organisation figurent sur la version informatique du dépliant : cliquez ici pour voir ce déplant.
Inscription en ligne ► Veuillez indiquer en remarque à quel(s) weekend(s) ou conférence(s)vous vous inscrivezJPSC
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L'étonnante compassion de Marie à Cana (Jn 2, 1-11); l'homélie du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine
Prédication (20 janvier 2013) par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (Jn 2, 1-11) (site Internet : http://www.delamoureneclats.fr et http://www.unfeusurlaterre.org)
Évangile : Les noces de Cana (Jean 2, 1-11) (http://aelf.org/)
Il y avait un mariage à Cana en Galilée. La mère de Jésus était là. Jésus aussi avait été invité au repas de noces avec ses disciples. Or, on manqua de vin ; la mère de Jésus lui dit : « Ils n'ont pas de vin. » Jésus lui répond : « Femme, que me veux-tu ? Mon heure n'est pas encore venue. » Sa mère dit aux serviteurs : « Faites tout ce qu'il vous dira. » Or, il y avait là six cuves de pierre pour les ablutions rituelles des Juifs ; chacune contenait environ cent litres. Jésus dit aux serviteurs : « Remplissez d'eau les cuves. » Et ils les remplirent jusqu'au bord. Il leur dit : « Maintenant, puisez, et portez-en au maître du repas. » Ils lui en portèrent. Le maître du repas goûta l'eau changée en vin. Il ne savait pas d'où venait ce vin, mais les serviteurs le savaient, eux qui avaient puisé l'eau. Alors le maître du repas interpelle le marié et lui dit : « Tout le monde sert le bon vin en premier, et, lorsque les gens ont bien bu, on apporte le moins bon. Mais toi, tu as gardé le bon vin jusqu'à maintenant. » Tel fut le commencement des signes que Jésus accomplit. C'était à Cana en Galilée. Il manifesta sa gloire, et ses disciples crurent en lui.
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Messe de la Nativité à Moscou : c’était le 9 janvier dernier, selon le calendrier orthodoxe
Vu sur le site du petit Placide :
Ref. Messe de la Nativité
Une liturgie qui nous parle. A Poutine aussi, semble-t-il.
JPSC
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L’ « année de la miséricorde » portera-t-elle de bons fruits ?
Nous sommes entrés depuis le 8 décembre dernier dans l’Année de la Miséricorde comme l’a voulu le Pape François. Cette année jubilaire, année de grâce, de joie et de pénitence, donne le vrai « ton » à 2016 et sa véritable orientation. Mais de quelle « miséricorde » s’agit-il ? Extrait de l’éditorial de Philippe Maxence dans le bimensuel « L’Homme Nouveau » (14 janvier 2016) :
L’Homme Nouveau a consacré en novembre dernier un numéro hors série aux jubilés, qui aborde dans sa première partie ce qu’est la miséricorde et son rôle dans l’économie du Salut (1). Aussi, ne devrais-je pas revenir plus avant sur ce sujet, pourtant par nature inépuisable tant il invite à plonger dans les mystères de Dieu lui-même et à les méditer.
Il faut cependant parfois constater chez certains catholiques un double mouvement étonnant vis-à-vis de la miséricorde. Certains s’en méfient, la réduisant à une notion vague et floue, propre au sentimentalisme, une sorte d’irénisme moderne, dissolvant de la force et du jugement. Parallèlement, d’autres chrétiens, certainement les plus nombreux, évacuent sous prétexte de miséricorde tout l’ordre moral, toute notion d’efforts, de réparation et jusqu’à l’idée même de justice divine.
Les deux erreurs sont évidemment symétriques et pèchent en raison d’un fondement identique : un dévoiement de ce qu’est réellement la miséricorde. Dans la Catena Aurea, merveilleux recueil de commentaires des évangiles par les Pères et divers auteurs spirituels, saint Thomas d’Aquin rapporte cette sentence dans les pages consacrées aux Béatitudes : « La justice sans la miséricorde n’est que cruauté, et la miséricorde sans justice n’est que faiblesse. » (2)
C’est une indication assez claire de cet équilibre que nous avons perdu, oscillant sans cesse d’une erreur à l’autre, rejetant la miséricorde auquel nous appelle pourtant le Christ (cf. les œuvres de miséricorde corporelles et spirituelles), dans une dénaturation de cette vertu morale (du côté de l’homme) qui finit par atteindre dans notre perception la miséricorde divine elle-même. Saint Augustin nous avertit pourtant à propos de la séparation radicale que notre époque veut introduire entre la miséricorde et la justice divine : « Toutefois, mes frères, gardez-vous de croire que ces deux attributs puissent être séparés en Dieu. Il semble, en effet, qu’ils soient contradictoires, et que la miséricorde ne devrait point se réserver le jugement, comme le jugement devrait se faire sans miséricorde. Dieu est tout-puissant, et dans sa miséricorde Il exerce la justice, comme dans ses jugements il n’oublie point la miséricorde. »
Tout l’article ici : Dans la perspective de la miséricorde
JPSC
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Samedi 16 janvier 2016: fête de l’Ordre militaire et hospitalier de Saint Lazare à Maleizen
ORDRE MILITAIRE ET HOSPITALIER DE SAINT LAZARE DE JERUSALEM
SOUS LA PROTECTION TEMPORELLE DE LA MAISON ROYALE DE FRANCE - CHAPELAIN GENERAL, SON EMINENCE LE CARDINAL DOMINIQUE DUKA
50EME GRAND-MAITRE, SON EXCELLENCE LE COMTE DOBRZENSKÝ Z DOBRZENICZ
GRAND PRIEURE DU ROYAUME DE BELGIQUE ET DU GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG
Ce samedi 16 janvier 2016 aura lieu au Couvent de Maleizen*, la fête de la Saint Lazare.
L’ordre de Saint Lazare est une association existant dans 23 pays et dont les actions caritatives se déploient aussi bien en Belgique qu’à l’international.
Voir aussi : http://www.belgicatho.be/archive/2014/05/02/l-ordre-militaire-et-hospitalier-de-saint-lazare-de-jerusale-5360420.html
Les personnes qui souhaiteraient faire connaissance avec l’Ordre sont les bienvenues à la messe ainsi qu’au déjeuner :
- 10h00 : Messe;
- 12h00 : Déjeuner de Gala préparé par le traiteur Grimod au prix de 75€/personne All in.
- 14h30 : Assemblée générale (pour les membres).
Afin de préparer au mieux cette magnifique journée, voudriez-vous bien réserver votre participation au plus tard pour le jeudi 14 janvier 2016 à midi soit par mail à saintlazarebelgique@skynet.be ou par téléphone au 0494/300.886.
Le paiement s’effectuera sur le compte du Grand Prieuré : BE57 3631 4483 0235 BIC : BBRUBEBB
Tout renseignement complémentaire au numéro de téléphone ci-dessus.
*Couvent de Maleizen, Terhulpensesteenweg, 708 – 3090 Maleizen/Overijse
JPSC
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Le baptême du Christ et la grande humilité du Baptiste
La grande humilité du Baptiste : Baptême de Jésus / Michel-Marie Zanotti-Sorkine
par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (13.1.2013) (Lc 3, 15-16.21-22) (http://www.delamoureneclats.fr / http://www.unfeusurlaterre.org)
Évangile : L’Esprit Saint et le Père au baptême de Jésus (Luc 3, 15-16.21-22)Or, le peuple était en attente, et tous se demandaient en eux-mêmes si Jean n'était pas le Messie. Jean s'adressa alors à tous : « Moi, je vous baptise avec de l'eau ; mais il vient, celui qui est plus puissant que moi. Je ne suis pas digne de défaire la courroie de ses sandales. Lui vous baptisera dans l'Esprit Saint et dans le feu. Comme tout le peuple se faisait baptiser et que Jésus priait, après avoir été baptisé lui aussi, alors le ciel s'ouvrit. L'Esprit Saint descendit sur Jésus, sous une apparence corporelle, comme une colombe. Du ciel une voix se fit entendre : « C'est toi mon Fils : moi, aujourd'hui, je t'ai engendré. »
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