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Au rythme de l'année liturgique - Page 262

  • Aujourd'hui, on fête Notre-Dame du Mont Carmel

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    Prière à Notre-Dame du Mont Carmel


    Vierge Immaculée, Marie,
    Lumière et Gloire du Mont Carmel,
    Jetez sur nous un regard de bonté,
    Et gardez-nous sous Votre protection maternelle.
    Fortifiez notre faiblesse par Votre puissance,
    Et dissipez par Votre lumière
    Les ténèbres de notre cœur.
    Augmentez en nous la foi,
    L'espérance et la charité.
    Ornez notre âme de toutes les vertus
    Afin qu'elle devienne de plus en plus
    Chère à Votre Divin Fils.
    Assistez-nous pendant la vie,
    Consolez-nous par Votre présence
    A l'heure de notre mort,
    Et présentez-nous à la Sainte Trinité,
    Comme Votre enfant,
    Afin que nous puissions Vous louer,
    Et Vous glorifier éternellement
    Dans le Ciel.
    Amen.

  • Dans la nuit du 15 au 16 juillet 1251, Simon Stock recevait le scapulaire

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    ND_Carmel_005_L-7a2a9.jpgUn de nos amis et collaborateurs nous communique cet article relatif au

    SCAPULAIRE DU MONT CARMEL

    L’Ordre du Carmel est né géographiquement au Mont Carmel, lieu marqué par la présence du prophète Élie (IXème siècle avant Jésus-Christ) dont l’histoire est relatée dans le livre des Rois (1R 17-19.21-2R 2).

    Le Mont Carmel est une montagne côtière, en Israël surplombant la Méditerranée. Il se trouve à l’Ouest de Nazareth. C’est une petite cordillère,  d’une hauteur de 500m qui débouche sur la mer.

    La vigne, l’olivier, le laurier, les pins, les jacinthes, les narcisses, les myrtes ornent le Mont Carmel et l’embaument. Il est lié aussi au ministère d’Elie et rempli des souvenirs  du grand prophète. C’est au Mont Carmel qu’eut lieu la célèbre dispute avec les prophètes de Baal, qui marqua la puissance de Dieu sur les dieux étrangers (cf. 1R 18).

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  • C’est la miséricorde que je désire, et non les sacrifices

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    C’est vrai que nous sommes prompts à souligner les erreurs ou les déficiences, croyant œuvrer pour le bien, ce qui est une approche très insuffisante pour le faire réellement advenir, tant pour les autres que pour nous-mêmes. Dans l’évangile d’aujourd’hui (St Matthieu, 12, 1-9) se trouve cette phrase que commente l’abbé Josep Ribot i Margarit (Tarragone, Espagne) : «C'est la miséricorde que je désire, et non les sacrifices» :Aujourd'hui, le Seigneur se rapproche du semis de ta vie, pour cueillir les fruits de sainteté. Trouvera-t-Il quand Il viendra de la charité, de l'amour pour Dieu et pour autrui? Jésus, qui corrige la casuistique méticuleuse des rabbis, celle qui rendait insupportable la loi du repos sabbatique: devra-t-il te rappeler qu'Il est seulement intéressé à ton cœur, à ta capacité d'aimer?

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  • Mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger.

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    En ce temps-là, Jésus prit la parole : " Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos.
    Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos.
    Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »

    Matthieu 11,28-30 (évangile du jour, EAQ)

  • «Malheureuse es-tu, Corazine! Malheureuse es-tu, Bethsaïde!»

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    Le site "Méditons l'Evangile d'aujourd'hui" propose cette réflexion sur les paroles sévères que le Christ adresse aux villes qui refusent de se convertir :

    Aujourd'hui, l'Évangile nous parle du jugement historique que Dieu fera sur Corazine, Capharnaüm et autres villes: «Malheureuse es-tu, Corazine! Malheureuse es-tu, Bethsaïde! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez vous avaient eu lieu à Tyr et à Sidon, il y a longtemps que les gens y auraient pris le vêtement de deuil et la cendre en signe de pénitence» (Mt 11,21). J'ai médité ce passage à l'endroit où se trouvaient ces villes et où il ne reste que des ruines noires. Ma pensée ne m'a pas amené à me réjouir du sort qu'elles ont subi. Je pensais plutôt à nos villes, nos arrondissements, nos maisons,… le Seigneur est passé par là aussi, est-ce que nous lui avons prêté attention? Est-ce que je lui ai prêté attention?

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  • Comment croire qu'il n'y aurait pas de résurrection pour nous ?

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    "Evangile au Quotidien" propose aujourd'hui ce beau commentaire :

                Un arbre arraché, coupé même sur le pied, puis replanté -- le saule, par exemple -- repousse et refleurit ; et un homme arraché de dessus le sol ne revivra pas ? Les semences moissonnées reposent, dorment dans les greniers et revivent au printemps ; et l'homme moissonné, jeté dans les greniers de la mort, ne revivra pas ? Un bourgeon de vigne, une branche coupée et transplantée, se ravivent et portent des fruits ; et l'homme pour qui tout a été créé, une fois tombé ne pourra pas se relever ?

               Contemplez aussi ce qui se passe autour de vous. Méditez sur le tableau de ce vaste univers. Je sème du blé ou toute autre graine ; il tombe, il pourrit et ne peut plus servir à la nourriture de l'homme. Mais de sa pourriture il renaît, il s'élève, il se multiplie. Je n'ai semé qu'un seul grain et j'en recueille vingt, trente et plus. Or pour qui a-t-il été créé ? N'est-ce pas pour notre usage ? Ce n'est pas pour elles-mêmes que toutes ces semences sont sorties du néant. Donc ce qui a été créé pour nous meurt et renaît, et nous, pour qui ce prodige s'opère tous les jours, nous serions exclus de ce bienfait ? Comment croire qu'il n'y aurait pas de résurrection pour nous ?

    Saint Cyrille de Jérusalem (313-350), évêque de Jérusalem et docteur de l'Église Catéchèses baptismales, n° 18, 6 ; PG 38, 1021

  • Quel jour faut-il célébrer la Fête-Dieu ?

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    Le journal « La Croix « (29.06.20111)  signale que le cardinal Cañizares propose de rétablir la Fête-Dieu le jeudi : « Dans un entretien dimanche 26 juin à Radio-Vatican, le cardinal Antonio Cañizares Llovera, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, a suggéré de faire revenir la fête du Corps et du Sang du Christ au jeudi pour toute l’Église. « Je crois que la fête du Corpus Domini, séparée du dimanche, serait porteuse d’espérance car cela permettrait de dire à tous, au milieu de la semaine, que le Christ est au centre de tout. » Selon lui, cela permettrait aussi de mieux rattacher cette fête au Jeudi saint.

    Née à Liège (Belgique) au XIIIe siècle, à la suite des visions de la religieuse Julienne du Mont-Cornillon, la Fête-Dieu a été étendue à toute l’Église en 1264 par le pape Urbain IV qui la fixe au jeudi après l’octave de la Pentecôte. En France, depuis le Concordat de 1801, la fête du Saint-Sacrement est solennisée le dimanche suivant. C’est aussi le cas dans les pays où ce n’est pas traditionnellement un jour chômé (par exemple en Italie) ».

     A Liège, elle fut célébrée cette année par l’évêque le jeudi 23 juin à la basilique Saint-Martin et, en principe, sa Solennité eût lieu ailleurs le dimanche 26  (ou le samedi soir, aux messes dominicales anticipées). Une procession liée à la fête s'est déroulée le samedi 25 dans le doyenné de la rive-gauche tandis qu’une certaine confusion (entretenue par le site web du diocèse lui-même, ici Procession de la Fête-Dieu - Liège Rive droite)  jouait en Outremeuse, où la paroisse de Saint-Pholien organisait le 26 juin sa procession annuelle du 4e dimanche de juin laquelle, par les hasards du calendrier liturgique, coïncidait, en 2011, avec la célébration Fête-Dieu !

     De fait, un peu d’ordre dans tout cela, ne ferait pas de tort.

     JPS

  • La dévotion eucharistique des Quarante-Heures

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    On fête aujourd'hui saint Antoine-Marie Zaccaria (1502-1539), fondateur des barnabites.

    "La dévotion à la Sainte Eucharistie fut son moyen de choix pour conquérir les cœurs à Dieu. En 1534, il commença à exposer publiquement le très Saint Sacrement durant quarante heures, en souvenir du temps que le corps du Sauveur demeura dans le tombeau. C'est à lui que l'on doit cette bienfaisante institution des Quarante-Heures. Devant ce renouveau chrétien, les médiocres traitèrent les fervents de fanatiques et de superstitieux."

    tiré de la notice d'Evangile au Quotidien accessible ICI

  • Le vrai remède pour les blessures de l'humanité...

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    Lors de l'Angelus de ce midi, le pape a, en substance (parce que la traduction est de notre cru), adressé ce message :

    Aujourd'hui, dans l'Évangile, le Seigneur Jésus répète les mots que nous connaissons si bien, mais qui nous émeuvent à chaque fois : «Venez à moi vous tous qui êtes fatigués et qui ployez sous le fardeau, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et laissez-moi vous instruire, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez du repos pour votre vie. Car mon joug est doux et mon fardeau léger »(Mt 11:28-30). Quand Jésus était sur les routes de Galilée, proclamant le Royaume de Dieu et guérissant de nombreux malades, il ressentait de la compassion pour les foules parce qu'elles étaient fatiguées et abattues "comme des brebis sans berger" (cf. Mt 9,35 à 36).

    Ce regard de Jésus semble se prolonger jusqu'à ce jour, à l'égard de notre monde. Aujourd'hui encore, tant de gens sont accablés par des conditions de vie difficile, n'ayant pas de points de référence valables pour trouver un sens et un but à leur existence. Des multitudes exténuées se retrouvent dans les pays pauvres, éprouvées par l'indigence, mais dans les pays les plus riches il y a tant d'hommes et de femmes insatisfaits, tant de personnes qui souffrent directement de dépression. Pensons aussi aux nombreuses personnes déplacées, aux réfugiés, à ceux qui émigrent au péril de leur vie. Le regard du Christ se pose sur tous ces gens, sur chacun de ces fils du Père du ciel, et il leur répète: «Venez à moi, vous tous ...". Jésus promet de donner à chacun «de repos», mais pose une condition: «Prenez mon joug sur vous et apprenez de moi, car je suis doux et humble de cœur». Quel est ce "joug", qui au lieu de peser est léger, qui au lieu d'écraser élève? Le "joug" du Christ, c'est la loi de l'amour, c'est son commandement, qu'il légue à ses disciples (cf. Jn 13,34, 15,12). Le vrai remède pour les blessures de l'humanité, ces manifestations comme la faim et l'injustice, mais aussi les blessures à la fois psychologiques et morales causées par un bien-être illusoire, c'est une règle de vie fondée sur l'amour, sur l'amour fraternel, qui a sa source en Dieu et en vertu duquel nous devons abandonner les voies de l'arrogance et de la violence utilisées pour obtenir des positions de plus grande puissance, pour assurer le succès à tout prix. Même à l'égard de l'environnement, il faut abandonner l'attitude agressive qui a prévalu au cours des derniers siècles et adopter une attitude raisonnable empreinte de douceur. Mais, par-dessus tout, dans les relations humaines, interpersonnelles, sociales, il nous faut adopter la règle de la non-violence, c'est à dire recourir à la force de la vérité contre toutes les injustices; cela seul peut assurer un avenir digne de l'homme.

    Chers amis, nous avons célébré hier un jour de fête spéciale de Marie, louant Dieu pour son Cœur Immaculé. Puisse Notre-Dame nous aider à apprendre de Jésus la vraie humilité, nous décider à accepter son joug léger, à faire l'expérience de la paix intérieure et à être en mesure de consoler nos frères et nos sœurs qui parcourent le sentier de la vie avec beaucoup de peine.

    (voir le texte officiel en italien sur le site du Vatican : http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/angelus/2011/documents/hf_ben-xvi_ang_20110703_it.html)

  • Liège : messe pour les 60 ans de prêtrise de Benoît XVI

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     EGLISE DU SAINT-SACREMENT
    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège

    (face à la statue de Charlemagne)

     

    Messe en l’honneur du Saint-Père Benoît XVI

    à l’occasion de ses soixante ans de vie sacerdotale

     

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    Saints Pierre et Paul (F. Lippi)

     

     

    DIMANCHE 3 JUILLET 2011 À 10 HEURES

    Solennité de la Fête des Saints Pierre et Paul

    MESSE DU PREMIER DIMANCHE DU MOIS

    Grégorien et Polyphonie

     

     

    Missel de 1962

     

    Propre grégorien de la messe «Nunc scio vere»

    Kyriale IV « Cunctipotens genitor Deus» (Xe s.), Credo IV (XVe siècle)

    Motet « Oremus pro Pontifice »

     

     

    PAR LA SCHOLA DU SAINT-SACREMENT

     

    AUX ORGUES, PATRICK WILWERTH

    Professeur au conservatoire de Verviers

     

    Livrets à votre disposition sur la table au fond de l’église pour suivre la messe

     

    < Association pour la sauvegarde de l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy, 132 à Liège. Siège social : Rue Vinâve d’île, 20 bte 64.

    Compte IBAN BE58 0003 2522 9579  BIC BPOTBEB1
    E-mail : sursumcorda@skynet.be. / Site web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com
  • Les 60 ans de prêtrise de Benoît XVI

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    Hier, en la fête des saints Pierre et Paul, Benoît XVI fêtait ses soixante ans de sacerdoce. Le site "Benoît et moi" s'est largement fait l'écho du jubilé sacerdotal du pape et on y trouvera tous les détails sur les célébrations et les manifestations de sympathie qui ont eu lieu à cette occasion.

    Lors de la messe célébrée hier, le pape a prononcé une homélie mémorable développant cette parole du Christ : "Je ne vous appelle plus serviteurs, mais amis" (Jean, 15, 15). La traduction française de cette homélie est accessible sur le site du Vatican : http://press.catholica.va/news

    Jean-Marie Guénois, du Figaro, peu suspect de "papolâtrie", rend hommage à ce texte sur "religioblog" en ces termes : "je suis beaucoup plus frappé par l'homélie que Benoît XVI a prononcé ce matin, jour de fête au Vatican, pour la Saint-Pierre et Saint-Paul, et 60° anniversaire de son ordination sacerdotale. A première vue, cela paraît suranné mais le texte est puissant. Pour un prêtre, l'anniversaire de l'ordination sacerdotale est comme un anniversaire de mariage. Respectable. Et aujourd'hui, c'est une sorte de déclaration d'amour pour Dieu que ce pape ose faire publiquement.

    On glorifie, à juste titre la mystique soufie ou bouddhiste et l'on regarde souvent avec dédain la mystique catholique, forcément dépassée, par nature has been. Prendre le temps de lire pourtant, et pourquoi pas, croyant ou non, de méditer, ce sens de Dieu que ce pape essaye de partager.

    Il réfléchit à propos de deux images, celle de l'amitié avec Dieu - qui est un notion typiquement chrétienne car comment être ami de "l'Inconnaisable" ? - et celle du vin... Oui, du vin, comme "fruit de la vigne", méditation sur la lenteur de la vie et l'approfondissement qui l'accompagne, à travers les joies et les souffrances."

    Les catholiques du monde entier étaient invités à s'unir aux intentions du pape à l'occasion de ses soixante ans de prêtrise, notamment en organisant des adorations eucharistiques de 60 heures. Peut-être cela a-t-il été fait chez nous même si nous ne trouvons guère de traces d'organisations de ce type dans nos médias ?

  • Notre-Dame du Perpétuel Secours

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    On fête aujourd'hui Notre-Dame du Perpétuel Secours

    La tradition veut que cette image de la Vierge, venue de Crète à l'époque où la Méditerranée orientale était sous la coupe des Turcs (XVe s.), ait été installée dans l'église Saint-Mathieu, entre la Basilique Saint-Jean de Latran et celle de Sainte-Marie-Majeure. Tombée dans l'oubli à la suite de la disparition de cet édifice, elle fut remise à l'honneur dans l'église Saint-Alphonse et devint l'objet d' un culte répandu à travers la chrétienté. Elle est l'objet d'une dévotion particulière et considérée comme une puissante protection pour la Ville Eternelle et pour l'Eglise. (voir les détails ICI)