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Eglise - Page 1295

  • Le nouvel évêque de Liège interviewé sur RTC

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    C'est ICI

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    Rappelons que le nouvel évêque sera consacré en la cathédrale de Liège ce dimanche 14 juillet à 15H00.

  • A lire, sur ZENIT.ORG (13.07) :

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    Finances du Vatican : tolérance zéro

    Les comptes de Mons. Scarano gelés

    (12 juillet 2013) 

    Née grâce à la prière de Maria Goretti

    Témoignage du Canada

    (12 juillet 2013)

     
     
     

    Une loi éthiquement inacceptable et scientifiquement injustifiée

    Recherche sur l'embryon : passage en force

    (11 juillet 2013)

    Suisse: tragédie de l'euthanasie, sur erreur de diagnostic

    Un magistrat italien se croyait incurable, mais il n'avait rien

    (11 juillet 2013)

     
     

    Soudan du Sud : prière nationale pour la réconciliation

    2ème anniversaire de l'indépendance le 9 juillet

    (11 juillet 2013)

  • Le pape et le journaliste

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    Lu sur Zenit.org :

    Le pape m'a téléphoné. Ou plutôt il m'a retéléphoné...

    Et s'est lamenté de ma lettre de douze pages

    Jorge Milia

    ROME, 12 juillet 2013 (Zenit.org) - Le pape m’a téléphoné. Ou plutôt il m’a retéléphoné. Je sens bien que cela ne fait pas très humble de dire ça, mais pour dire ce genre de chose, il n’existe pas d’euphénisme…

    … C’est un privilège qui est tombé sur moi, et c’est peut-être pour cela que je dois le partager avec ceux qui sauront l’apprécier parce que, quand on met le bien en commun, il se multiplie.

    « Douze pages. Une lettre de douze pages ! », s’est-il lamenté à propos d’une lettre que je lui avais écrite.

    « Mais tu ne peux pas nier que je t’ai fait rire… », lui ai-je répondu.

    Il a ri. Pour des raisons que personne ne peut expliquer, pas même moi, il tolère encore ma prose, comme il y a longtemps, quand nous étions professeur et étudiant. Je lui ai dit que j’avais commencé à lire l’encyclique Lumen Fidei et il a décliné tout mérite personnel. Il a commenté en disant que Benoît XVI avait fait la plus grande partie du travail, qu’il était un penseur sublime, inconnu ou incompris du plus grand nombre.

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  • De nouvelles lois au Vatican

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    Cité du Vatican, 11 juillet 2013 (VIS). Voici la présentation par Mgr.Dominique Mamberti, Secrétaire pour les relations avec les états, des nouvelles lois vaticanes:

    Les lois approuvées ce jour par la Commission pontificale pour l’Etat de la Cité du Vatican constituent une intervention normative de large portée, nécessaire en raison du service que cet Etat, particulier et unique en son genre, est appelé à accomplir au bénéfice du Siège apostolique. La finalité originelle et fondamentale du Vatican, consistant à garantir la liberté d’exercice du ministère pétrinien, requiert en effet un réajustement institutionnel faisant davantage abstraction de son exiguïté territoriale pour revêtir une complexité qui, par certains traits, est semblable à celle des états contemporains.

    Né avec les Accords du Latran de 1929, l’Etat adopta en bloc le système juridique, civile et pénal du Royaume d’Italie, convaincu que cette dotation était suffisante pour régler les rapports de droit commun à l’intérieur d’un Etat dont la raison d’être réside dans le support de la mission spirituelle du Successeur de Pierre. Le système pénal originel, constitué du code pénal italien du 30 juin 1889 et du code de procédure pénale italien du 27 février 1913 (entrés en vigueur le 7 juin 1929) n’a ensuite connu que des modifications marginales. La nouvelle loi sur les sources du droit (N. LXXI, du 1 octobre 2008) a même confirmé la législation pénale de 1929 bien qu’en attente d’une redéfinition complète de la discipline.

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  • La popularité du pape François

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    Sandro Magister, vaticaniste bien connu, propose, sur son site, une réflexion consacrée à la popularité du pape François :

    Le voyage symbolique à Lampedusa. La grande popularité. La réforme de la curie. Le silence calculé en ce qui concerne les questions d'éthique. Mais également la première erreur à propos d’une nomination à l'IOR. Le défi du pape François quant au changement dans l'Église se heurte à des obstacles et à des ennemis. Y compris au Vatican 

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  • Respecter l'écosystème humain est impératif

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    "Le progrès n'est vrai que si éthique et science sont reliées. La science est nécessaire, avec ses voies de recherche : les cellules iPS, les cellules souches adultes, la « conversion directe » des cellules différentiées. L'éthique reconnaît que l'embryon humain « doit bénéficier du respect lié à sa qualité », comme le souligne le Comité Consultatif National d'Éthique, car il partage notre humanité : nul n'est une personne sans avoir été d'abord un embryon humain ; nul ne devient humain qui ne l'est pas.

    Le principe d'interdiction de recherche sur l'embryon humain alerte sur l'existence de cet écosystème humain. Ne pas le respecter se retourne toujours, à plus ou moins longue échéance, contre nous. La science ne peut guider les choix politiques. Ceux-ci doivent discerner comment l'écosystème humain, qui précède l'État, est promu. L'écologie, si nécessaire et urgente, est aussi humaine."

    Mgr d'Ornellas, archevêque de Rennes (source)

  • Quand un archevêque revient sur les sujets de société

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    D'après Mgr Simon (lire toute l'interview ICI) : « Les catholiques sont appelés à avoir de la personnalité »

    Alors que s'achève son mandat de vice-président de la Conférence des Evêques de France, Mgr Hippolyte Simon, archevêque de Clermont, revient sur les grands sujets de société (nous soulignons des passages qui peuvent susciter le débat) :

    - Quelle attitude les chrétiens peuvent-ils adopter sur les questions de société ?

    Continuons à être vigilants sur la législation mais on ne peut pas rester tout le temps en train de contester une loi. En ce qui concerne le mariage, la nouvelle législation en France ne change rien pour les catholiques. La loi de séparation de 1905 entre l'Eglise et l'Etat garantit que chaque Eglise, chaque communauté religieuse s'organise selon ses propres lois. C'est donc à l'Eglise catholique qu'il revient de déterminer les conditions liées au sacrement du mariage. J'ai envie de dire à tous les catholiques : « Soyez exemplaires dans votre façon de vivre le mariage ! » Que la manière dont les catholiques le vivent donne envie à tout le monde de découvrir le mystère fondateur de l'alliance entre les époux chrétiens. Il ne faut pas attendre la préparation au sacrement mais en amont, découvrir la portée de l'Evangile pour réussir sa vie dans tous les domaines - spirituel, sacramentel, sexuel, relationnel. (...)

    - On va reparler de la recherche sur l'embryon, de la fin de vie, de la famille...

    Je crois que les catholiques s'habituent à penser que nous sommes dans une société de plus en plus païenne. Il y règne beaucoup d'idolâtrie : de l'immédiateté, de la consommation, du libéralisme absolu. Il faut prendre du recul par rapport à cela. Il ne s'agit pas de se replier sur un communautarisme qui serait malsain mais d'avoir une colonne vertébrale personnelle pour être capable de faire des choix et d'en rendre compte. Les catholiques n'ont pas à avoir peur. Quand on a des convictions fortes et qu'on sait pourquoi , on peut se faire respecter. Les catholiques sont appelés à avoir de la personnalité. C'est plutôt une bonne nouvelle !

  • Souffrir est un mal

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    A la question de Louis Daufresne (radio Notre-Dame) : – L’Église – ou la foi chrétienne – ne voit-elle pas une vertu rédemptrice dans la souffrance ?

    Le cardinal André Vingt-Trois répond : – Jamais l’Église n’a souhaité infliger la souffrance à qui que ce soit ! Ce n’est pas la souffrance en elle-même qui est rédemptrice, c’est la manière dont elle est vécue et offerte dans un acte d’amour par celui qui la supporte. Mais ce n’est pas à son entourage de décider pour la personne comment elle doit vivre sa souffrance. Souffrir est un mal et il est d’ailleurs tout à fait admirable de voir comment le corps médical, le personnel soignant se dépensent avec beaucoup de force pour atténuer la douleur des personnes. Ainsi, ils leur permettent de gagner plus de liberté pour donner sens à ce qu’ils vivent. C’est cela qui est déterminant.

    source

  • Asia Bibi est toujours en prison

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    De "Portes Ouvertes" :

    Pakistan : Asia Bibi, la persévérance et la foi dans l’épreuve

    Fidèle, patiente, déterminée, Asia Bibi, en prison pour blasphème depuis quatre ans, persévère dans la prière et le jeûne.

    un exemple de fidélité

    Asia Bibi est à genoux. Dans sa minuscule cellule sans fenêtre, elle prie. Dans son oreille, l’appel à la prière résonne. Cinq fois par jour, il lui rappelle qu’il suffit qu’elle renie sa foi pour être libre et retrouver sa famille, son mari, ses cinq enfants et sa vie d’avant.

    Mais Asia persévère. C’est sa foi en Jésus qui l’a conduite là et elle Lui reste fidèle. Elle sait qu’Il est le seul à pouvoir la faire sortir de sa prison et elle garde confiance. Elle a tout remis entre ses mains.

    Pas de nouveau verdict avant un an

    Cela fait quatre ans qu’Asia Bibi est privée de sa liberté et de sa famille. Quatre ans qu’accusée de blasphème pour avoir mentionné le prophète de l’islam lors d’une querelle avec les autres femmes du village, elle a été condamnée à mort. Elle a fait appel auprès de la haute cour de Lahore, mais celle-ci pourrait prendre encore un an avant de statuer sur son cas.

    En isolement pour sa propre sécurité

    Dans sa prison de Sheikphura, elle vit dans des conditions très difficiles. Elle est harcelée par ses co-détenues et elle a été agressée à plusieurs reprises. Elle ne peut voir sa famille qu’une fois par semaine et le reste du temps elle est en isolement pour sa propre sécurité.

    Les deux hommes politiques qui ont pris son parti ont été assassinés et plusieurs avocats qui avaient accepté de la défendre ont dû quitter le pays pour sauver leur vie.

    Mais Asia ne perd pas espoir.

    Persévérer dans la prière

    Un avocat chrétien nous encourage à continuer de prier pour elle et d’agir pour alerter le monde sur sa situation afin de faire avancer les choses :

    "Elle jeûne, elle prie, elle n’a pas abandonné son Dieu même dans les jours les plus sombres. Alors qu’elle persévère, pourquoi renoncerions-nous?"

  • 11 juillet : fête de saint Benoît

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    Ce 11 juillet, jour de la translation de ses reliques à Saint-Benoît-sur-Loire, on fête le père du monachisme occidental : Benoît  né vers 480 ou 490 à Nursie – mort en 547 (en latin Benedictus de Nursia), plus connu sous le nom de « saint Benoît » (en latin Sanctus Benedictus de Nursia). Fondateur de l'ordre bénédictin et a largement inspiré le monachisme occidental ultérieur. Il est considéré par les catholiques et les orthodoxes comme le patriarche des moines d'Occident à cause de sa Règle qui a eu un impact majeur sur le monachisme occidental et même sur la civilisation européenne médiévale. Le pape Paul VI l’a proclamé saint Patron de l’Europe le 24 octobre 1964, en ces termes:

    « Messager de paix, artisan d'unité, maître de civilisation, et, avant tout, héraut de la religion du Christ et fondateur de la vie monastique en Occident, tels sont les titres qui justifient la renommée de saint Benoît, abbé. Alors que s'écroulait l'Empire romain désormais à son terme, que des régions de l'Europe s'enfonçaient dans les ténèbres et que d'autres ne connaissaient pas encore la civilisation et les valeurs spirituelles, c'était lui qui, par son effort constant et assidu, a fait se lever sur ce continent l'aurore d'une ère nouvelle. C'est principalement lui et ses fils qui, avec la croix, le livre et la charrue, apporteront le progrès chrétien aux populations s'étendant de la Méditerranée à la Scandinavie, de l'Irlande aux plaines de la Pologne.

    Avec la croix, c'est-à-dire avec la loi du Christ, il a affermi et a développé l'organisation de la vie publique et privée. Il convient de rappeler qu'il a enseigné aux hommes la primauté du culte divin avec l'Office divin, c'est-à-dire la prière liturgique et assidue... Avec le livre, ensuite, c'est-à-dire avec la culture : au moment où le patrimoine humaniste allait se perdre, saint Benoît, en donnant renom et autorité à tant de monastères, a sauvé la tradition classique des anciens avec une sollicitude providentielle, en la transmettant intacte à la postérité et en restaurant l'amour du savoir.

    Et enfin avec la charrue, c'est-à-dire avec l'agriculture et d'autres initiatives analogues, il a réussi à transformer des terres désertiques et incultes en champs très fertiles et en jardins gracieux. En unissant la prière au travail matériel, selon son mot célèbre : « Ora et labora » (Prie et travaille), il a ennobli et a élevé le travail de l'homme. C'est pourquoi le pape Pie XII a salué à juste titre dans saint Benoît le « père de l'Europe ».

    Lu par JPS sur le site du « Petit Placide » : Saint Benoît, patron de l'Europe

  • Développons une vision de croissance de notre Eglise

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    Plutôt que d'anticiper des situations de décroissance comme on le fait dans les restructurations pastorales dans nos diocèses, on ferait bien de s'inspirer des réflexions de Florence de Leyritz que l'on peut lire ici.

    Extrait :

    Nicky Gumbel, vicaire de la paroisse anglicane d’Holy Trinity Brompton et fondateur des parcours Alpha, disait il y a dix ans : « Si nous planifions la décroissance, nous l’aurons. Si nous développons une vision de croissance de notre église, nous connaîtrons cette croissance. » (...) Quand nous pensons notre pastorale en termes de maintenance ou de décroissance, nous sommes sûrs de mourir à petit feu. En revanche, si nous portons un regard d’espérance et de saine croissance, nous voyons des choses merveilleuses se passer.

  • Le nouvel évêque de Liège veut dépasser les clivages

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    Mgr Jean-Pierre Delville qui sera consacré évêque de Liège le 14 juillet répond aux questions de Christian Laporte et de Paul Vaute dans la Libre :

    extraits :

    ... Lors de votre présentation à la presse, le 31 mai dernier, vous avez cité parmi vos préoccupations celle des vocations. 

    En effet, cela me tient à cœur notamment pour avoir présidé le Séminaire de Louvain-la-Neuve et donné cours au Séminaire de Liège. La crise actuelle des vocations ne doit pas être ramenée à la difficulté de vivre le célibat. Les Eglises protestantes connaissent aussi cette crise. Mais il faut revaloriser le profil du futur prêtre. Il faut qu’il soit appelé, désiré, porté. 
     
    Vous avez aussi mis l’accent sur le rôle des laïcs et en particulier des femmes. Comment valoriser les vocations qui n’incluent pas le célibat ?
    Il ne faut pas se limiter aux intitulés officiels des ministères laïcs comme l’acolytat ou le lectorat. Ils doivent être incarnés dans des activités nouvelles, y compris sociales. L’expérience des pays du Sud, où des laïcs sont responsables de communautés, peut nous aider à cet égard. C’est dans ce cadre que nous pouvons réfléchir au rôle de la femme, non pas comme prêtre mais dans les fonctions où elle a sa place. On voit beaucoup de communautés nouvelles dirigées par des femmes, comme les Focolari avec Chiara Lubich et maintenant Maria Voce. Il y a aussi des secteurs comme la santé et la famille où les femmes ont une sensibilité particulière, même si ce n’est pas exclusif. Il ne faut pas se focaliser sur l’idée de devenir prêtre. Depuis Vatican II, le prêtre n’est plus celui qui fait tout. 
     
    Vous avez dit qu’il faut que les "clans" se parlent dans l’Eglise. L’unité dans la diversité, c’est le grand défi ? 
    On s’est fort polarisé sur une vision gauche-droite ou progressistes-traditionnalistes. Aujourd’hui, on voit mieux qu’il n’y a pas de position idéale. Il y a des diversités qui sont quand même une richesse. 
     
    C’est dans cet esprit que vous allez parfois célébrer la messe selon le rite préconcilaire à l’église du Saint-Sacrement à Liège ? Oui. Il y a une richesse et une beauté dans le rite d’avant Vatican II qui méritent d’être valorisées. Il faut cesser les exclusions réciproques. Eric de Beukelaer, comme doyen du centre-ville, a aussi cette volonté.  ...