Eglise - Page 1312
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John Taverner (1490-1545): Messe en l'honneur de la Sainte Trinité
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Quand un évêque encourage ses diocésains à manifester à Paris ce dimanche
Message de Monseigneur Marc Aillet aux diocésains (Bayonne, Lescar et Oloron) à propos de la « Manif pour tous » du 26 mai
A trois reprises, je vous ai écrit à propos du dit « mariage pour tous ». Sans doute le Conseil Constitutionnel a-t-il donné le 17 mai un avis favorable et le Président de la République s’est-il empressé, dans la foulée, de promulguer la loi Taubira.
Je me risque toutefois à vous adresser encore un message pour vous inviter à prendre la mesure de ce qui se passe en France depuis neuf mois et qui me semble sans précédent. La vague d’opposition au mariage et à l’adoption pour tous n’a cessé de s’amplifier depuis que le Cardinal André Vingt-Trois invitait les catholiques de France à prier pour le mariage et la famille, le 15 août dernier.
Il s’agit, à n’en pas douter, d’un mouvement social unique dans la France de ces dernières décennies :
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L'intervention du Saint-Siège à la 66e Assemblée Mondiale de la Santé à Genève
(Zenit.org) - Voici le texte intégral (traduction de travail) de l'intervention de Mgr Zygmunt Zimowski, président du Conseil pontifical pour la pastorale de la santé, à Genève, pour la 66e Assemblée mondiale de la Santé, (20-28 mai 2013), à Genève, en Suisse. Il y aborde la question de la vieillesse mais aussi du respect de l'enfant à naître à propos de la pillule abortive (cf. Zenit du 23 mai 2013 pour l'article, http://www.zenit.org/fr/articles/sante-prevenir-les-maladies-des-personnes-agees).
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Monsieur le Président,
J'ai l'honneur de vous transmettre les salutations et la bénédiction du Saint-Père, le Pape François qui souhaite de tous ses vœux les délibérations de cette auguste Assemblée abondamment fructueuses.
1. Il a été dûment souligné que la santé contribue à la réalisation du développement, mais aussi en bénéficie. Ma délégation accueille très favorablement la détermination à donner la priorité à la santé lors de la prochaine définition des objectifs du développement global. La tâche que nous avons devant nous est de décrire les objectifs sanitaires de façon appropriée et convaincante. A ce sujet, le Saint-Siège croit fermement que la mise en place de la couverture sanitaire universelle comme politique de santé et de développement (A66/24)) peut être une voie plus sûre de résoudre un large éventail de problèmes de santé, lesquels pouvant aller de la consolidation des résultats acquis jusqu'ici à la conception d’un programme sanitaire plus ample.
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Le pape et les racines chrétiennes de l'Europe
Le pape François "exprime sa profonde reconnaissance des racines chrétiennes de l'Europe et a demandé aux évêques de transmettre un message d'encouragement à tous ceux qui travaillent à faire avancer le projet européen".
Le pape François a en effet reçu en audience privée, jeudi, 23 mai, le Comité exécutif de la Commission des Episcopats de la Communauté européenne (COMECE, http://www.comece.org/site/fr/presse/communiquesdepresse/newsletter.content/1595.html), emmenée par son Président le Cardinal Reinhard Marx, archevêque de Munich et Freising, indique un communiqué.
Au cours de l'échange qui a duré une demi-heure, le pape, les évêques et leur secrétaire général ont évoqué la crise économique actuelle en Europe, son impact social et le défi que représente pour l´Eglise "la nécessité de transmettre un message d'espérance aux citoyens européens".
Il a souligné à quel point il était "essentiel de rendre témoignage à Dieu, en particulier dans la situation européenne actuelle".
Le pape François a assuré les évêques de la COMECE de son intérêt et de son soutien pour leur mission.
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Bientôt deux encycliques ? L’une de Benoît XVI , l’autre de François…
Lu sur le « salon beige » : Benoît XVI finit d'écrire l'encyclique sur la foi qui sera signée du pape François : Benoît-et-moi rapporte les propos de l'évêque de Molfetta, Mgr Luigi Martella, qui raconte sa conversation avec le pape [François] :
"Il nous a parlé avec beaucoup de tendresse de Benoît XVI. "Quand je l'ai rencontré pour la première fois à Castelgandolfo, j'ai noté qu'il avait une mémoire extrêmement lucide, a-t-il dit, même s'il est physiquement éprouvé. A présent, il va décidément mieux".
Enfin, il a voulu faire une confidence, pratiquement une révélation: Benoît XVI finit d'écrire l'encyclique sur la foi qui sera signée du pape François. A la suite de quoi lui même entend préparer sa première encyclique sur les pauvres: Beati pauperes. La pauvreté a-t-il précisé - entendue non au sens idéologique, mais évangélique."
Ici : Benoît XVI finit d'écrire l'encyclique sur la foi qui sera signée du pape François . Benoît XVI aurait-il, en fait, abdiqué sous le coup d’un gros « burn-out » irrépressible ?
Lire en complément : http://benoit-et-moi.fr/2013-II/articles/le-dementi-du-pere-lombardi.html
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Quand Benoît XVI s’attaquait au prêt à penser postmoderne
Lu sur l’excellent site « Benoît et moi », cette réflexion de Benjamin Wiker :
« Dans son homélie, lors du conclave de 2005 qui devait bientôt le choisir comme successeur de Jean-Paul II, le cardinal Joseph Ratzinger mettait en garde son auditoire: «Nous nous dirigeons vers une dictature du relativisme qui ne reconnaît rien pour certain et qui a pour but le plus élevé son propre ego et ses propres désirs».
C'est un avertissement que le pape Benoît XVI ne s'est jamais lassé de répéter au cours de son pontificat.
Le relativisme est un poison. Il attaque notre capacité la plus humaine, la capacité de chercher et de connaître la vérité, y compris la vérité morale. Une dictature du relativisme impose par une authentique force culturelle (et même par la force politique) une norme non-standard (no-standard standard), l'ordre que chacun doit s'imprégner de ce poison.
À première vue, il semblerait contradictoire que le relativisme soit uni à la dictature. Le relativisme n'est-il pas juste une bonne dose d'humilité, une façon de rafraîchir les intellectuels ou les religieux à la tête chaude, qui insistent: «Moi seul ai la vérité»? Pour évaluer le relativisme rien ne vaut l'expérience. De quoi s'agit-il?«Au cours des dernières années, - dit le Cardinal Ratzinger dans "Without roots" (ndt: co-écrit en 2004 avec Marcello Pera publié en italien sous le titre "Senza radici: Europa, relativismo, cristianesimo, islam", je ne sais pas où on le trouve en français, cf. ici) - j'ai noté que plus le relativisme devenait le mode de pensée généralement accepté, plus il tendait vers l'intolérance. Le politiquement correct ... cherche à imposer le domaine d'une unique façon de penser et de parler. Son relativisme crée l'illusion qu'il a atteint des sommets plus élevés que les réalisations philosophiques les plus élevées du passé. Il se présente comme la seule façon de penser et de parler - si l'on veut rester à la mode. ... Je pense qu'il est vital que nous nous opposions à cette imposition d'un nouveau pseudo-illuminisme, qui menace la liberté de pensée et la liberté de religion».
Ce dernier point est essentiel. Bien qu'étant en apparence l'essence même de la neutralité et de l'équité - «tous les points de vue sont égaux et également valides» - le politiquement correct sape en fait à la fois la liberté de pensée et la liberté de religion. Quant à cette dernière, il le fait (ironiquement) comme une nouvelle religion, «une nouvelle "dénomination" (ndt: anglicisme, cf. fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9nomination_religieuse) qui impose des restrictions aux convictions religieuses et cherche à subordonner toutes les religions au super-dogme du relativisme».
Comme le cardinal Ratzinger l'a noté dans "Truth and tolerance" (ndt: en français "Foi, vérité, tolérance"), le «relativisme ... à certains égards, est devenu la véritable religion de l'homme moderne». Il est devenu, surtout en Europe, mais maintenant de plus en plus en Amérique, la religion qui est au cœur de la civilisation sécularisée moderne, à la manière dont le christianisme a défini le cœur de la chrétienté.C'est la religion, insiste le pape Benoît que l'Église doit combattre dans le troisième millénaire pour le bien de la civilisation elle-même. Une civilisation bâtie sur le relativisme dogmatique est une civilisation qui assure sa propre destruction. C'est aussi une civilisation dans laquelle le christianisme - défiant le relativisme dogmatique avec la proclamation que Jésus-Christ lui-même est le Chemin, la Vérité et la Vie - doit être persécuté.
Ici : Benoît contre la dictature du relativisme
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Les évêques italiens : arrogants et paresseux ?
Lu dans le "Figaro" sous la plume de Jean-Marie Guénois:
« La cérémonie, jeudi soir dans la basilique Saint-Pierre, devait se dérouler comme un long fleuve tranquille. Les membres de l'un des plus puissants épiscopats du monde (près de 300 évêques pour 221 diocèses, soit deux fois plus qu'en France) étaient venus clôturer leur 65e assemblée générale en présence du pape François. Ils devaient repartir sereins, la plupart dans de solides limousines, surtout très préoccupés par la situation politique italienne et l'implication de l'Église, à l'image de leur président, le cardinal Angelo Bagnasco.
C'était sans compter sur la «bomba», comme l'on dit à Rome pour un discours choc et d'une franchise unique, que leur avait préparé le pape François. Texte intégralement écrit de sa main et délivré sans tenir compte des corrections suggérées par la Secrétairerie d'État, qui avait pourtant cherché à amortir le coup. La cérémonie prévue dans le cadre de l'année de la foi consistait en une «profession de foi» solennelle de tous les évêques.
Sans s'embarrasser d'aucune précaution de langage, le pape François leur a tout d'abord demandé de répondre «sans superficialité» à la question posée par le Christ à Saint-Pierre: «M'aimes-tu?» C'est la «seule question vraiment essentielle», a justifié François. Un pasteur doit se la poser car «tout ministère» se fonde sur «l'intimité avec le Seigneur. Vivre avec Lui est la mesure de notre service ecclésial qui exprime notre disponibilité à l'obéissance, à l'abaissement et à la donation totale.»
«Vivre avec le Seigneur est la mesure de notre service ecclésial qui exprime notre disponibilité à l'obéissance, à l'abaissement et à la donation totale»
Puis le Pape, en regardant les évêques, s'est lancé dans un réquisitoire d'une vigueur jamais entendue à l'époque moderne dans la basilique Saint-Pierre, tant les propos du Saint-Père sont toujours sous contrôle, en particulier quand il s'agit de se livrer à une autocritique de l'Église: «Nous ne sommes pas l'expression d'une structure ou d'une nécessité organisative», a clamé François, mais «le signe de la présence et de l'action du Seigneur ressuscité». Ce qui requiert «une vigilance» spirituelle sans laquelle le pasteur, donc l'évêque en premier lieu, «tiédit, est distrait, oublie et devient insensible, se laisse séduire par les perspectives de carrière, la flatterie de l'argent, les compromis avec l'esprit du monde. Ce qui le rend paresseux, le transforme en un fonctionnaire, un clergé d'État plus préoccupé par lui-même, l'organisation et les structures, que par le vrai bien du peuple de Dieu. Il court alors le risque, comme l'apôtre Pierre, de renier le Seigneur, même si, formellement, il se présente et parle en Son nom. Ils offensent la sainteté de la Mère Église hiérarchique en la rendant moins féconde.»
Revenant à la question de départ «M'aimes-tu?», le Pape a alors noté: «cette question insistante du Christ» pourrait susciter «amertume, frustration et même perte de la foi». Ce ne sont pas «les sentiments que le Seigneur entend susciter par sa question», mais ceux-ci «profitent à l'Ennemi, au Diable, pour isoler dans l'amertume, les lamentations et le découragement». Au contraire «Jésus n'humilie pas», il «redonne courage».
Le Pape a conclu cet examen de conscience ecclésial par deux exigences précises pour les évêques: «mettre de côté toute forme d'arrogance» et «toujours tenir leur porte ouverte en toutes circonstances» à leurs prêtres. Et par cette prière à la Vierge - alors qu'a été confirmé son voyage à Assise le 4 octobre prochain - «pour une Église priante et pénitente» qui soit «libérée de l'idolâtrie du présent» avec des pasteurs «détachés de la torpeur de la paresse, de l'esprit mesquin, du défaitisme», libérés de «la tristesse, de l'impatience, de la rigidité» mais «intègres» et revêtus de «compassion». Alors dit le Pape, «nous découvrirons la joie d'une Église servante, humble et fraternelle».
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Espagne : Plus de Noël ni de Pâques dans les écoles des Asturies
Lu sur le site de “La Vie”, cette matinale d’Aymeric Christensen:
“Le gouvernement de la Principauté des Asturies, communauté autonome d'Espagne, a envoyé aux écoles de la région une circulaire demandant que les références à des fêtes chrétiennes disparaissent des calendriers scolaires. C'est la ministre de l'éducation, Ana González Rodríguez, qui signe le document, dans lequel elle appelle ainsi à remplacer Noël par « vacances d'hiver » et Pâques (et la Semaine sainte) par « vacances de la fin du deuxième trimestre ».
Cette décision, que le gouvernement défend en précisant qu'elle a été prise afin de respecter « la sensibilité » de chacun, a provoqué la colère de l'Observatoire pour la liberté religieuse et la liberté de conscience, qui appelle la ministre à prendre en compte le respect de la tradition : « Nous ne comprenons pas bien comment les gens peuvent être offensés par les noms de ces fêtes, et nous demandons à Madame González de bien vouloir nous l'expliquer ».
Cette circulaire fait en tout cas écho à une initiative similaire ayant eu lieu récemment en Belgique, où il convient désormais d'appeler les vacances de la Toussaint « congé d'automne », Noël « vacances d'hiver », Pâques « vacances de printemps », etc. Même ce qui était jusqu'ici connu comme le « congé de Carnaval » est devenu pour les écoliers « congé de détente ».
Ici: Espagne : Plus de Noël ni de Pâques dans les écoles des Asturies
L’Eglise postconciliaire n’a-t-elle pas longtemps prôné une “pastorale de l’enfouissement” ? Résultat: aujourd’hui l’arroseur est bien arrosé.
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Annuaire pontifical 2013 : un pape qui veut s’appeler évêque et un évêque qui veut s’appeler pape (émérite)
Lu sur le site « Chiesa » de Sandro Magister (extraits)
« C’est avec deux mois de retard par rapport au calendrier traditionnel que l’édition 2013 de l’Annuaire Pontifical a enfin été publiée. Cette volumineuse publication constitue en quelque sorte un Who's Who du Saint-Siège et de toute l’Église catholique, tout au moins dans sa composante hiérarchique.
Ce retard par rapport aux délais canoniques est sans aucun doute dû à la renonciation inattendue de Benoît XVI, annoncée le 11 février, et au conclave qui en a été la suite et qui a vu l'élection du nouveau pape le 13 mars (…).
Le nouvel Annuaire n’est pas dépourvu de ces surprises qui sont la caractéristique du pontificat actuel.La principale concerne justement le titre que le pape François a choisi pour se définir lui-même. Depuis le commencement de son pontificat, il a choisi de s’appeler presque exclusivement "évêque de Rome". Et cette préférence a également été bien mise en évidence . À la page 23* de l’édition précédente, il était indiqué que Benoît XVI était non seulement "évêque de Rome" mais également "Vicaire de Jésus-Christ, Successeur du Prince des Apôtres, Souverain Pontife de l’Église Universelle, Primat d'Italie, Archevêque Métropolite de la Province Romaine, Souverain de l’État de la Cité du Vatican, Serviteur des Serviteurs de Dieu".
Cette année, en revanche, à cette même page, on trouve uniquement, sur deux lignes, la mention "François / évêque de Rome", tandis que tous les autres titres, ainsi que les brèves notes biographiques habituelles, figurent à la page suivante, la page 24*, qui était restée blanche en 2012.
Le nouveau pape n’a donc renoncé à aucun des titres classiques qui lui reviennent, mais il a voulu les placer visiblement au second plan.
Et, dans le même temps, il n’a pas voulu réintroduire pour lui-même le titre de “patriarche d'Occident” que le pape Joseph Ratzinger avait déjà supprimé au commencement de son pontificat, ce qui avait provoqué des mécontentements dans le monde de l’orthodoxie puisque c’est justement le titre que les orientaux sont disposés à concéder à l’évêque de Rome.De plus, sous la photo-portrait du souverain pontife, il y a maintenant sa signature avec uniquement le prénom "Francesco" en italien, alors que, dans le cas du pape Ratzinger, la signature était en latin et comportait la mention du titre papal : "Benedictus PP XVI".
On était également curieux de voir comment serait traité le cas de figure, inédit pour l'Annuaire, d’un souverain pontife ayant renoncé à sa charge. La réponse se trouve justement au début de la partie principale de l’Annuaire, à la page 1, où Benoît XVI est défini comme "souverain pontife émérite"(…).
Et cela en dépit du fait qu’un certain nombre de gens ont cherché à démontrer qu’il serait préférable d’utiliser le titre d’"évêque émérite de Rome", ne serait-ce que pour éviter de donner l’impression qu’il peut y avoir “deux papes” dans l’Église, ce qui aurait pour effet de désorienter les fidèles. (…).Toutefois il convient de noter que François, à chaque fois qu’il a parlé de son prédécesseur après que celui-ci eut renoncé à la papauté, ne l’a jamais appelé "pape" ou "souverain pontife" émérite, mais simplement "évêque".
On peut donc présumer que la qualité de "souverain pontife émérite", officialisée dans la nouvelle édition de l'Annuaire Pontifical, a été voulue personnellement par Joseph Ratzinger et que le pape actuel a simplement décidé de ne pas s’opposer à cette volonté (…) ».A noter aussi qu’ « il n’y est pas fait mention du groupe de huit cardinaux constitué par le pape François le 13 avril dernier "pour le conseiller en ce qui concerne le gouvernement de l’Église universelle et pour étudier un projet de révision de la constitution apostolique 'Pastor bonus' relative à la curie romaine".
Mais le fait que même la première mise à jour - à savoir les “Modifications apportées à l’Annuaire Pontifical 2013”, supervisées par la secrétairerie d’état et publiées le 16 mai - ne fasse pas mention de la constitution de ce “groupe” pourrait faire penser que cet organisme restera tellement informel qu’il ne trouvera même pas place dans le prochain Annuaire. On verra bien »
Tout l’article ici : Journal du Vatican / Les cartes d'identité des deux derniers papes -
BXL, 2 juin : célébration de la Fête-Dieu et procession du Saint-Sacrement avec Mgr Léonard
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Samedi 1er juin à Liège: Fête-Dieu à l'église du Saint-Sacrement
LA FÊTE-DIEU À LIÈGE
SAMEDI 1er JUIN 2013 À L’EGLISE DU SAINT-SACREMENT
Boulevard d’Avroy, 132
MESSE SOLENNELLE À 18 HEURES
célébrée selon le missel de 1962 par
L’ABBÉ JEAN-PIERRE DELVILLE
Professeur à la Faculté de théologie de l’Université catholique de Louvain (U.C.L)
Homélie prononcée par le Chanoine ERIC de BEUKELAER
Doyen de Liège (rive gauche)
Propre grégorien de la fête, plain-chant liégeois, diaphonies et polyphonies interprétés par:
LA SCHOLA RESUPINA DE VIENNE
Dir. Isabell Kösler
LE CHŒUR D’ENFANTS DE LA BASILIQUE
DE BASSE-WAVRE
Dir. Charlotte Messiaen
À L’ORGUE : PATRICK WILWERTH
professeur au conservatoire de Verviers
PORTES OUVERTES LE 1er JUIN
A L'EGLISE DU SAINT-SACREMENT
Boulevard d’Avroy, 132 à Liège
SAMEDI 1er JUIN 2013
DE 14h à 19h
ADORATION EUCHARISTIQUE
animée par
14:00 à 15:00 : la Communauté St. Christophe- groupe de prière « Agneau de Dieu »
15:00 à 16:00 : le Mouvement Eucharistique Liégeois (MEL)
16:00 à 16:30 : l’Association Sursum Corda
16:30 à 17:30 : la Communauté de l'Emmanuel -prière adaptée aux enfants et familles
De 14:00 à 17:30 : possibilité de recevoir le sacrement de réconciliation chez un des confesseurs présents.
À 18:00 : Messe solennelle (missel de 1962) célébrée par l'abbé Jean-Pierre Delville. Homélie du doyen Eric de Beukelaer. Chorales d’adultes (Vienne) et d’enfants (Basse-Wavre)
19 :00 : Clôture. Bénédiction solennelle avec l’ostensoir
ostensoir de l'église du Saint-Sacrement (Liège)
Plus de renseignements tél 04.344.10.89 ou sursumcorda@skynet.be
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BXL, 2 juin : célébration de la Fête-Dieu et procession du Saint-Sacrement avec Mgr Léonard
Le Mouvement Ecclésial Carmélitain
et les Pères Carmes de Bruxelles
vous invitent
le dimanche 2 juin 2013
à la célébration eucharistique de 18h00,
présidée par notre Archevêque
Mgr. André-Joseph Léonard
et animée
par la chorale "Mater Amabilis",
suivie de la Procession du Saint-Sacrement.