Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Eglise - Page 1316

  • Faut-il faire son deuil de la notion de chrétienté ?

    IMPRIMER

    Sur le blog du bi-mensuel « L’Homme Nouveau », sous la signature de son rédacteur en chef, Philippe Maxence :

    Dieu_et_l'État-Viot.jpg« Président de l’Association « Écouter avec l’Église », le père Michel Viot organise le 24 novembre prochain un colloque sur le thème : « Fête du Christ-Roi, faut-il faire son deuil de la notion de chrétienté ». Nous avons profité de cette occasion pour lui poser plusieurs questions à ce sujet et évoquer avec lui son dernier livre, Dieu et à l’État (Via Romana, 82 p., 9 €). 

    Vous organisez un colloque le 24 novembre qui porte sur la chrétienté. Pourquoi ?

    Parce que je me refuse à être syndic de faillite et que je crois non seulement au retour à la chrétienté mais aussi à cette nécessité. Je ne donnerai que deux exemples mais pourrais en fournir d’autres. La doctrine sociale de l’Église n’est envisageable qu’entre pays chrétiens et dans un monde à majorité chrétienne. Et deuxième exemple, seule la chrétienté peut s’opposer à l’islam radical dans l’intérêt des chrétiens, des juifs et des musulmans modérés qui sont encore en majorité dans notre pays, mais pour combien de temps ?

    Vous évoquez également « la menace de l’instauration d’une fausse démocratie qui va inaugurer un système totalitaire » Que voulez-vous dire exactement ?

    Sans être un idolâtre des sondages, force est de constater que le gouvernement comme sa majorité parlementaire ne sont plus soutenus que par une minorité de Français. La dégradation morale du monde politique qui a commencé bien avant l’arrivée de ce gouvernement, est cependant passée avec lui à une vitesse supérieure. S’il est nécessaire de mentir un peu quand on dirige un pays, tout comme dans la finance, il ne faut pas exagérer. Sinon on fait du Madoff ! Et c’est l’impasse. Prison dans un cas. Règles démocratiques impossibles à suivre, en particulier pour une alternance avec des opposants non indemnes, eux aussi, de mensonges, dans l’autre cas. Et sur ce point particulier, je pense très précisément aux questions économiques et sociales. On trouve alors des dérivatifs propres à semer le trouble dans tous les camps, la loi Taubira et les projets « scolaires » de monsieur le ministre Vincent Peillon, par exemple. Dans les deux cas on utilise des moyens de régime totalitaire comme le refus de prendre en compte la liberté de conscience et l’embrigadement des enfants par l’école appelée à jouer un rôle quasi messianique. Monsieur Peillon est sur cette question d’une franchise absolue dans son livre La Révolution française n’est pas terminée paru en 2008. Il va même jusqu’à parler de transsubstantiation des élèves pour les élever au rang de citoyens ! C’est bien le langage de Robespierre qui s’y connaissait en matière de démocratie totalitaire. Le mépris de la liberté de conscience est de par sa nature même appelé à s’accentuer et à se multiplier.

    Lire la suite

  • Clôture de l'Année de la Foi : les reliques de saint Pierre offertes à la vénération des fidèles

    IMPRIMER

    reliqu10.jpgLu ICI :

    Les ossements du fondateur de l'Église seront exposés le 24 novembre. Un événement exceptionnel pour clore "l'Année de la foi".

    Pour la première fois, des ossements vénérés comme étant ceux de Saint-Pierre, premier apôtre et fondateur de l'Eglise, vont être sortis des Grottes sous la basilique vaticane pour être exposés en public, a annoncé un prélat du Vatican.

    Cet évènement exceptionnel aura lieu pour la clôture de "l'Année de la foi", le dimanche 24 novembre, en présence du pape François.

    Dans une tribune publiée dans l'édition de samedi du quotidien du Vatican, l'Osservatore Romano, le président du Conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation, l'archevêque italien Rino Fisichella, a annoncé qu'un ultime geste pour couronner cette année consistera "à exposer pour la première fois des reliques que la tradition reconnaît comme celle de l'apôtre qui a donné ici sa vie pour le Seigneur".

    "L'Année de la foi" avait été lancée en octobre 2012 par Benoît XVI et donné lieu à de multiples célébrations sur la place Saint-Pierre. De nombreux pèlerins sont allés se recueillir dans les Grottes vaticanes, sous la basilique, devant le tombeau censé recueillir les reliques du premier apôtre, et devant d'autres où reposent d'autres papes dont le très populaire Jean Paul II.

    Les ossements avaient été découverts lors de fouilles entreprises en 1940, sous le pontificat de Pie XII, dans une nécropole située sous la basilique à côté d'un monument construit au 4ème siècle pour honorer celui qui est considéré comme le premier évêque de Rome et premier pape.

    Des ossements d'un homme, enveloppés dans un tissu pourpre brodé de fils d'or avaient été découverts. Les papes n'ont jamais attesté que les ossements étaient authentiques à coup sûr. Mais des tests scientifiques dans les années 50 et 60 avaient conclu à une grande "probabilité" qu'ils soient bien ceux de l'ancien pêcheur de Galilée, selon le pape Paul VI en 1968.

    Pierre avait été crucifié la tête en bas dans les années 64-70, dans le cirque de Caligula, où se trouvent aujourd'hui les jardins du Vatican.

    Plus d'informations : http://www.tombes-sepultures.com/crbst_1033.html

  • Synode sur la famille : les évêques belges vont consulter leurs ouailles

    IMPRIMER

    Lu sur info.catho.be :

    En vue du prochain synode sur la famille, les évêques belges vont consulter leur base via les doyennés et les paroisses. Une procédure inhabituelle, à laquelle est donc associé l’ensemble des fidèles, mais qui n’est pas un sondage.

    Pour préparer au mieux le synode extraordinaire consacré à la pastorale familiale (qui se déroulera du 5 au 19 octobre 2014),  le Vatican a envoyé aux conférences épiscopales du monde entier un questionnaire (voir ICI). Celui-ci doit permettre de faire remonter l’avis des fidèles catholiques sur un certain nombre de questions liées à la famille, y compris les plus délicates, qu’il s’agisse par exemple de la pastorale à l’égard des personnes divorcées et remariées, du mariage et de l’adoption par des personnes de même sexe ou encore de la contraception.

    Les évêques de Belgique ont pris connaissance de ce document préparatoire et de la lettre de Mgr Lorenzo Baldisseri, Secrétaire Général du Synode des Evêques à Rome, dans laquelle ce dernier invite à aller plus loin que lors de précédents synodes en invitant le peuple chrétien à contribuer, à travers les doyennés et les paroisses, à ce questionnaire.

    Pour cela, les évêques de Belgique publient dès ce jour le document précité sur les sites internet www.catho.be  et  www.kerknet.be. Il sera également publié (en tout ou en partie) le mercredi 27 novembre dans les journaux   "Dimanche" et "Kerk en Leven".

    Dans un communiqué publié ce 8 novembre, les évêques indiquent qu’ils souhaitent que cette consultation soit la plus riche possible. Mais qu’il ne s’agit pas d’un sondage public. « L’enquête est destinée à inspirer les évêques dans la réponse synthétique qu’il leur revient d’envoyer à Rome », précisent-ils. Ils souhaitent également que ces réponses soient envoyées par des groupes et non individuellement.

    Ces réponses doivent parvenir d’ici le 15 décembre au Secrétariat de la Conférence épiscopale, (1 rue Guimard, 1040 Bruxelles) par courrier, ou via e-mail à synode2014@interdio.be.

    Selon des modalités encore à préciser par les évêques, les réponses seront analysées avec l’aide d’experts en théologie pastorale. Pour être prises en compte, les réponses devront comporter les noms et la provenance des personnes.

    P.G./CP

  • Banneux, 15-17 novembre : retraite spirituelle chez les Frères de Saint-Jean

    IMPRIMER

    viewer.png

    Le programme d'activités des Frères de Saint-Jean de Banneux est disponible ICI (PDF)

  • BXL, 13-15 novembre : Migration et intégration dans l'Union Européenne

    IMPRIMER

    ‘Migration et intégration dans l’UE ’

    Assemblée plénière de la COMECE, 13-15 novembre à Bruxelles

     

    L’Europe est un continent en mouvement. La migration interne et venant de l’extérieur, particulièrement dans le cadre des demandes d’asile, a impacté la vie de toutes les communautés dans les Etats membres de l’UE. L’Eglise est profondément préoccupée par la situation des réfugiés et demandeurs d’asile, surtout après la récente tragédie au large de Lampedusa.

     

    « La migration et l’intégration » constituera le thème principal de l’Assemblée plénière d’automne de la COMECE qui se tiendra du mercredi 13 au vendredi  15 novembre prochains à Bruxelles.

     

    Les évêques délégués par les 27 Conférences épiscopales des pays membres de l’UE se réuniront sur trois jours pour auditionner des experts en charge des politiques de migration au niveau national et européen. Ils entendront également le témoignage d’acteurs de terrain et réfléchiront au moyen de soutenir leurs confrères évêques dans leur action pastorale, afin de répondre non seulement à la crise actuelle mais aussi pour développer des stratégies pastorales d’accueil et d’intégration des migrants à plus long terme.

     

    L’assemblée plénière s’ouvrira par une soirée débat publique « L’expérience de migrant » le mercredi 13 novembre à la Chapelle pour l’Europe. Le migrant est notre prochain. Afin que celui-ci se sente chez lui dans la famille européenne, il est nécessaire de comprendre l’UE de son point de vue. Cecilia Taylor Camara, Conseillère en matière de politique migratoire (Catholic Trust, Angleterre et Pays de Galles) nous décrira cette situation.

     

    Plus d’information et inscription: http://www.comece.eu/site/en/activities/events/europepoliticsandbeyond

     

    L’assemblée plénière se poursuivra à huis clos jeudi et vendredi. Les évêques de la COMECE se familiariseront avec le cadre politique et législatif de l’UE en matière de migration et d’asile grâce à un intervenant de la Commission européenne (DG Affaires intérieures) ainsi qu’à l’intégration des migrants avec le vice-directeur de la DG Immigration de la Communauté autonome de Madrid (Espagne). Enfin, ils examineront la question du trafic des êtres humains grâce au récit d’un inspecteur de police et d’une femme victime de ce trafic au Royaume-Uni.

     

    Un communiqué de presse sera publié à l’issue de l’assemblée plénière, vendredi à 12h.

  • Presbytères : l'anticléricalisme en action ?

    IMPRIMER

    Comment interpréter l'information reproduite ci-dessous (provenant de info.catho.be) sinon comme une manoeuvre sournoise dictée par un anticléricalisme assez évident ?

    Les presbytères de plusieurs paroisses wallonnes sont menacés d’abandon. En cause, un courrier de l’administration fiscale qui pourrait amener certains prêtres et doyens à quitter leur logement.

    A Eghezée, certains prêtres et doyens ont reçu de l’administration fiscale un courrier difficile à digérer. D’après celui-ci, les trois dernières déclarations fiscales des ecclésiastiques concernés présentaient des erreurs au niveau des avantages en nature.

    Quand un employeur offre à son employé une voiture et lui rembourse ses déplacements, il faut l’indiquer dans la case réservée aux avantages en nature de la déclaration fiscale. Il en va de même pour le logement d’un prêtre attribué par l’autorité publique. C’est d’ailleurs la loi qui oblige les prêtres à habiter dans des logements fournis par les pouvoirs publics. D’après l’administration fiscale, presbytère ou autre logement de fonction ne serait pas tous déclarés à leur juste valeur.

    Un redressement fiscal douloureux

    En accord avec les autorités, les prêtres wallons étaient tenus d’indiquer un avantage en nature de 1300 Euros.  » Aujourd’hui, le recommandé envoyé par le fisc concerne un redressement fiscal qui multiplie par dix les avantages en nature, donc environ 13000 Euros, » explique Jules Sabaux, le doyen d’Eghezée. Cette somme varie en fonction du revenu cadastral du logement occupé par le prêtre.

    Mais le presbytère n’a pas que le logement pour unique fonction, «  il est avant tout le siège de la fabrique d’Eglise, lieu de toute l’activité paroissiale. Il s’y passe un grand nombre d’activités et le prêtre n’a pas à supporter un tel redressement à lui tout seul »,  estime le doyen.

    Si pour le mois de janvier, une solution de partage du redressement n’a pas été trouvée, Jules Sabaux, ainsi que d’autres prêtres wallons, pourraient  être amenés à mettre la clé sous le paillasson et déserter les presbytères.

    S.T.

  • Tribunaux ecclésiastiques : le pape insiste sur le rôle du défenseur du lien matrimonial

    IMPRIMER

    Audience aux membres du Tribunal de la Signature apostolique (Zenit.org)

    Le pape a reçu les participants à la séance plénière du Tribunal suprême de la Signature apostolique, ce vendredi 8 novembre, à 12h, dans la salle Clémentine du palais apostolique du Vatican. Il leur a adressé ce discours :

    Messieurs les cardinaux,

    Chers frères dans l’épiscopat,

    Chers frères et sœurs,

    Cette séance plénière me donne l’occasion de vous recevoir, vous tous qui travaillez au Tribunal suprême de la Signature apostolique, et d’exprimer à chacun ma reconnaissance pour la promotion d’une administration droite de la justice dans l’Église. Je vous salue cordialement et je remercie le cardinal préfet pour les paroles avec lesquelles il a introduit notre rencontre.

    Votre activité a pour objectif de favoriser l’œuvre des tribunaux ecclésiastiques, appelés à répondre de manière adéquate aux fidèles qui s’adressent à la justice de l’Église pour obtenir une décision juste. Vous mettez tout en œuvre pour que ces tribunaux fonctionnent bien et vous soutenez la responsabilité des évêques dans la formation de ministres de la justice compétents. Parmi ceux-ci, le Défenseur du lien remplit une fonction importante, en particulier dans le processus de nullité de mariage. Il est en effet nécessaire qu’il puisse accomplir sa partie efficacement, pour permettre de parvenir à la vérité dans la sentence définitive, en vue du bien pastoral des parties en cause.

    À ce sujet, la Signature apostolique a fourni une contribution importante. Je pense en particulier à la collaboration dans la préparation de l’Instruction Dignitas connubii, qui met en lumière des normes processuelles à appliquer. C’est dans cette ligne que se situe aussi cette Session plénière qui a mis au centre des travaux la promotion d’une défense efficace du lien matrimonial dans les procès canoniques de nullité.

    L’attention portée au ministère du Défenseur du lien est tout à fait opportune parce que sa présence et son intervention sont obligatoires pour tout le développement du procès (cf. Dignitas connubii, 56, 1-2 ; 279,1). De la même manière, il est prévu que celui-ci doit proposer toute forme de preuves, d’exceptions, de recours et d’appels qui, dans le respect de la vérité, favorisent la défense du lien.

    Lire la suite

  • Dialogo di Asclepio e paolino

    IMPRIMER

    A propos du fameux "questionnaire" romain sur "les" familles... Une fantaisie satirique de Francesco Colaffemmina (8/11/2013) www.fidesetforma.com  traduite de l’italien sur le site « Benoît et moi ». Faire la part du genre ...littéraire et partisans de la pensée unique s’abstenir :

    « - Asclépios: Tu as entendu la nouvelle, Paolino? 

    - Paolino : Oui ... Peut-être que ce n'est pas l'apostasie prévue par de nombreux voyants, et annoncée à Fatima, mais c'en est très proche ... 

    - Asclépios: Allons donc! Est-il possible que tu ne saches qu'être pessimiste? Possible que tu ne réalises pas la révolution copernicienne nécessaire introduite par ce pape? Il était temps! 

    - Paolino : Selon moi, cher Asclépios, tu devrais prendre un peu d'hellébore (une plante que, dans l'antiquité, on croyait propre à guérir la folie). Ici, il ne s'agit pas de juger le Pape. Certaines questions naissent au sein de l'Eglise et sont partagées par de nombreux cardinaux et évêques. D'autre part, il ne s'est pas élu tout seul. Il a été élu à la majorité absolue. Pourquoi? Parce qu'ils voulaient ce changement. Mais je crains que le changement ne soit comme d'habitude un mimétisme facile ... 

    - Asclépios: Va donc, espèce de traditionaliste gâteux! 

    - Paolino: Ça se peut. Mais je t'assure que le traditionalisme n'a rien à y voir.

    Lire la suite

  • "Rencontrer Jésus", un nouveau site catholique pour rencontrer le Christ

    IMPRIMER

    Sans titre.png"Rencontrer Jésus", site catholique sur Jésus

    Une page Facebook, pour l'interactivité (Zenit.org) Anita Bourdin 

    « Rencontrer Jésus » c’est à la fois le nom et l’objectif du site mis en ligne aujourd’hui par les évêques de France (http://www. jesus.catholique.fr), un site de « référence », catholique, sur le Christ, présenté à Lourdes ce jeudi 7 novembre, par Mgr Hervé Giraud, président du Conseil pour la communication de la Conférence des évêques de France (CEF) et par Mme Anne Keller, directrice de la Communication digitale de la CEF.

    La page Facebook « Rencontrer Jésus » jumelée développe l’aspect interactif du projet, ainsi que la possibilité d’un contact avec les auteurs. Le site est aussi conçu d’emblée pour tablette et téléphone portable.

    « Jésus habite déjà dans le sixième continent a fait observer Mgr Giraud, mais, ce très beau site dédié à Jésus vise à la faire rencontrer », c’est pourquoi le site est « beau » - le « Beau Dieu » de la cathédrale d’Amiens, les mosaïques de Cefalu - et « accessible ».

    Le site propose plusieurs accès par des oeuvres d’art, des vidéos, des témoignages, des prières – écrites par des communautés religieuses et des laïcs.

    Pour s’assurer de la fluidité de l’exposé, les textes ont été relus par des catéchumènes et retravaillés : le site a été conçu pour « être accessible à tous », et offrir « ‘une vision globale de la personne de Jésus tel que le conçoit l’Eglise catholique ».

    Des théologiens ont été associés au projet, ainsi que « Le Jour du Seigneur » et KTO pour les vidéos, mais aussi six diocèses.

    Anne Keller précise que les réunions avec les délégués de ces diocèses engagés dans le projet ont été mensuelles, à partir de septembre  2012.

    L’idée étant de « permettre rencontrer Jésus dans un univers internet multiple, avec une proposition qui soit une référence fiable ».

    Chaque mois ne effet, le nom de Jésus est cherché sur Internet entre un et trois millions de fois : « il fallait apporter une réponse ».

    Le site s’articule autour de 12 questions (30 sont en préparation) : des questions que se posent les gens sur Jésus. Il fallait proposer « différentes facettes » et trouver une forme qui « touche » : Jésus dans la Parole de Dieu, Jésus dans l’art, ou par une démarche spirituelle, etc.

    Le site est conçu en quelque sorte pour des « pré-catéchumènes » ou des « pré-recommençants », des personnes qui parfois « ne savent pas encore » où se situer. Pour les rejoindre, il fallait un « effort sur le langage » pour qu’il soit « simple et juste ». les textes ont été relus plusieurs fois apr des catéchumènes et « remis sur le métier », ajoute Anne Keller.

    Un flux RSS est aussi proposé et des « widgets » pour les sites catholiques qui souhaiteront ouvrir cette fenêtre.

    Les témoignages montrent que la rencontre de Jésus est de l’ordre d’une « expérience » : Jésus a « changé », voire « bouleversé » la vie de ces témoins.

    Le budget, est évalué à 30 000 ou 40 000 euro, couvert par le mécénat et la conférence épiscopale

    Et le site sera enrichi par deux à trois nouvelles par mois.

    Un développement ultérieur d’autres sites est prévu, à partir de Jésus, notamment sur les sacrements et les fêtes liturgiques : Noël, mariage…

    Premières "mises en ligne" :

    Qui est Jésus pour les chrétiens ?
    • Pour les chrétiens, Jésus est cet homme en qui Dieu s’est totalement manifesté. Par sa vie, ses paroles et son enseignement, il nous a révélé qu’il était lui-même Dieu.La réponse de Mgr André Dupleix ...
    Jésus a-t-il vraiment existé ?
    • La question mérite qu’on s’y attarde, car près d’un tiers de l’humanité se réfère à Jésus et croit qu’il a vraiment existé.La réponse de Père Michel Garat La question mérite qu’on s’y attarde, car prè...
    Jesus, oui, l’Église, non ?
    • Certains s’imaginent pouvoir rejeter l’Eglise alors même qu’ils affichent un intérêt pour Jésus…une attitude un peu paradoxale. Ne leur faudrait-il pas préciser de quel Jésus ils parlent et comment i...
    Quel est le message de Jésus et de l’Évangile ?
    • Il est au cœur de la prédication des apôtres et c’est cela qui constitue la Bonne Nouvelle que le mot Évangile traduit. Il faut dire au préalable que toutes les paroles de Jésus – ce que nous pouvons...
  • O mon Dieu, Trinité que j'adore ; Elisabeth de la Trinité (8 novembre)

    IMPRIMER

    Lire la Biographie de la bienheureuse Elisabeth de la Trinité

     Une prière très célèbre de la carmélite constitue un condensé de sa spiritualité : 

    O Mon dieu Trinité que j'adore

     O mon Dieu, Trinité que j'adore, aidez-moi à  m'oublier entièrement pour m'établir en vous,  immobile et paisible, comme si déjà mon âme était  dans l'éternité! Que rien ne puisse troubler ma paix,  ni me faire sortir de vous, ô mon Immuable, mais que  chaque minute m'emporte plus loin dans la  profondeur de votre Mystère!

     Pacifiez mon âme, faites-en votre ciel, votre demeure  aimée et le lieu de votre repos; que je ne vous y laisse  jamais seul, mais que je sois là tout entière, tout éveillée en ma foi, tout adorante, toute livrée à votre Action créatrice.

    O mon Christ aimé, crucifié par amour, je voudrais être une épouse pour votre Coeur; je voudrais vous couvrir de gloire, je voudrais vous aimer... jusqu'à en mourir! Mais je sens mon impuissance et je vous demande de me revêtir de vous-même, d'identifier mon âme à tous les mouvements de votre âme, de me submerger, de m'envahir, de vous substituer à moi, afin que ma vie ne soit qu'un rayonnement de votre Vie. Venez en moi comme Adorateur, comme Réparateur et comme Sauveur. O Verbe éternel, Parole de mon Dieu, je veux passer ma vie à vous écouter, je veux me faire tout enseignable afin d'apprendre tout de vous. Puis, à travers toutes les nuits, tous les vides, toutes les impuissances, je veux vous fixer toujours et demeurer sous votre grande lumière. O mon Astre aimé, fascinez-moi pour que je ne puisse plus sortir de votre rayonnement.

    O feu consumant, Esprit d'amour, survenez en moi afin qu'il se fasse en mon âme comme une incarnation du Verbe; que je Lui sois une humanité de surcroît en laquelle il renouvelle tout son mystère. Et vous, ô Père penchez-vous vers votre pauvre petite créature, couvrez-la de votre ombre, ne voyez en elle que le Bien-Aimé en lequel vous avez mis toutes vos complaisances.

    O mes Trois, mon Tout, ma Béatitude, Solitude infinie, Immensité où je me perds, je me livre à vous comme une proie. Ensevelissez-vous en moi pour que je m'ensevelisse en vous, en attendant d'aller contempler en votre lumière l'abîme de vos grandeurs.

  • Irlande : l'Eglise entend bien participer au débat sur le referendum à propos du mariage gay

    IMPRIMER

    Irlande : l'Eglise descend sur le terrain à l'occasion de l'organisation d'un référendum sur les unions gay (zenit en langue italienne)

    L'évêque Nulty : « le débat du referendum concerne la vraie nature du mariage. La famille fondée sur le mariage entre un homme et une femme est l'institution la plus importante dans toute société"

    Le mariage entre un homme et une femme est l'unique relation possible pour « la génération et l'éducation des enfants ». C'est Denis Nulty, évêque de Kildare et Leighlin, membre du Comité exécutif de l'"Accord Catholic Marriage Care Service", qui le déclare à l'occasion du référendum irlandais sur les unions gay, annoncé hier par le gouvernement pour 2015(gouvernement qui manifeste clairement sa volonté de faire triompher l'option en faveur de ce "mariage" ndB). 

    "Le débat au coeur du référendum ne porte pas sur l'égalité ou sur la fausse séparation entre une vision religieuse et une vision civile du mariage," a déclaré Mgr Nulty tir dans un communiqué repris par l'Agence Sir. Ou plutôt, a-t-il déclaré, la discussion porte sur « la véritable nature du mariage lui-même et sur l'importance que la société accorde au rôle des mères et des pères dans le soin des enfants ».

    L'Eglise catholique, pour sa part, « continuera de faire valoir que les différences entre un homme et une femme sont fondamentales » et que les enfants ont « le droit naturel d'avoir une mère et un père ». Cela constitue - a souligné l'évêque - « lorsque c'est possible, le meilleur environnement pour eux. » L'amour conjugal, a-t-il ajouté « est l'unique forme d'amour entre un homme et une femme, et qui avantage tout particulièrement la société dans son ensemble ».

    L'Eglise, en fait, "associée avec d'autres qui n'ont aucune vision religieuse particulière", estime que la famille est fondée sur le mariage entre un homme et une femme qu'elle constitue « la plus importante institution dans toute société ». C'est pourquoi, changer la nature du mariage siginfierait « miner le pilier fondamental » de la société civile. Pour cette raison, l'Eglise ne restera pas neutre, mais, annonce l'évêque Nulty, participera pleinement au débat démocratique à propos du référendum.

  • Les prochaines JMJ célèbreront les béatitudes

    IMPRIMER

    Cité du Vatican, 7 novembre 2013 (VIS). Le Saint-Père a choisi les thèmes des trois prochaines éditions annuelles de la Journée mondiale de la jeunesse qui marqueront les étapes de préparation spirituelle à la Journée internationale qu'il présidera à Cracovie (Pologne) en juillet 2016:

    XXIX Journée mondiale de 2014: "Heureux les pauvres en esprit, car le Royaume des Cieux leur appartient".

    XXX Journée mondiale de 2015: "Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu".

    XXXI Journée mondiale de la jeunesse 2016: "Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde".

    Les trois thèmes sont extraits des Béatitudes. A Rio de Janeiro, le Pape François a instamment demandé aux jeunes de relire les Béatitudes pour en faire un programme de vie: "Regarde, lis les Béatitudes qui te feront du bien!", avait-il dit aux jeunes argentins le 25 juillet dernier.