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Eglise - Page 1426

  • Le Cardinal Martini rêvait d’un Concile Vatican III vraiment oecuménique

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    Le cardinal Carlo-Maria Martini, dont les funérailles seront célébrées en la cathédrale de Milan ce lundi 3 septembre 2012, avait fait un rêve éveillé résumant  tous les songes qui l’habitaient: ce fut lors du synode qui a eu lieu à Rome du 1er au 23 octobre 1999, et dont le thème était : « Jésus-Christ, vivant dans son Église, source d’espérance pour l’Europe ». Jean Mercier en avait alors pris note (extraits) :

    “ (…), l’archevêque de Milan a opté pour le hors-piste prophétique. Il rêve tout simplement d’un nouveau concile.

    Bien sûr, le mot même n’a pas été prononcé, mais le propos est clair. Mgr Martini a appelé, " pour le siècle qui s’ouvre, à une expérience de confrontation universelle entre les évêques ". Et pourquoi ? " Pour permettre de défaire certains nœuds disciplinaires et doctrinaux, peu évoqués ces jours-ci, mais qui réapparaissent périodiquement comme des points chauds sur le chemin des Eglises européennes. " Et l’orateur d’ajouter : " Et pas seulement européennes. " Puis de citer, dans l’ordre : la carence dramatique en ministres ordonnés ; la position de la femme dans la société et dans l’Eglise ; la participation des laïcs à quelques " responsabilités ministérielles ", la sexualité, la discipline du mariage, l’espérance œcuménique. Autant de sujets, a expliqué le cardinal Martini, " qui ont déjà émergé lors de synodes précédents, mais pour lesquels il importe de trouver des lieux et des instruments adaptés pour un examen soutenu. Assurément, ni les enquêtes sociologiques ni les pétitions ne sont des instruments valables. Ni les groupes de pression. Mais, sans doute, un synode ne serait pas non plus suffisant. " Dont acte ! Solution préconisée pour défaire " les nœuds " de l’Eglise : " Un instrument collégial plus universel et qui fasse autorité. " Et qui passe en revue les problèmes qui ont émergé depuis 40 ans. L’horizon proposé aux évêques est " une expérience de communion, de collégialité et d’Esprit-Saint que leurs prédécesseurs ont éprouvée lors de Vatican II et qui, désormais, n’est plus un souvenir vivant que pour quelques témoins. " Très applaudi, le discours a frappé fort. (…)  

    Et Jean Mercier commente :  “De nombreuses voix se sont manifestées depuis dix ans pour demander des changements et réinventer la collégialité dans l’Eglise. Comme Mgr Martini, qui recommande de débattre sur des questions précises et sujettes à controverse, l’évêque de Bâle, Mgr Kurt Koch a récemment prôné la tenue d’un concile sur la question des ministères ordonnés et l’ordination des femmes.

    Dans un article paru en avril dernier [ndb: 1999] dans Concilium, les théologiens catholiques Christoph Théobald et Dietmar Mieth évoquaient l’idée d’une " conciliarité universelle ", qui ferait de l’Eglise une sorte de laboratoire dans lequel tous auraient la parole et où à chaque Eglise, à chaque groupe serait laissé le temps " d’aller de l’avant ou de se convertir ". Une vision probablement encore plus vaste que celle de Mgr Martini, mais qui fait écho à celle de Konrad Raiser, secrétaire général du Conseil œcuménique des Eglises, qui rêve d’un concile, véritablement œcuménique au sens de l’appellation issue des premiers siècles, de toutes les Eglises chrétiennes. Vœu ambitieux, également cher au théologien Raimon Panikkar. Ce dernier milite pour un " concile de Jérusalem ", qui lancerait toutes les confessions issues du christianisme dans une " mutation bouleversante " face aux défis du prochain millénaire, prenant courageusement le risque de rudes conflits entre les cultures et les interprétations de l’Evangile.

     Tout le texte ici: Concile par-delà le rêve

     Bref, un nouveau concile encore plus libéral que Vatican II :  pour achever le malade déjà immunodéprimé ?

     Notons que l’assemblée synodale de 1999 applaudit à tout rompre l’intervention de Mgr Martini et, en son sein, sans doute aussi l’évêque de Bâle, Mgr Kurt Koch. Ce dernier venait justement de prôner la tenue d’un concile sur l’ordination des femmes. Depuis lors Mgr Koch a fait du chemin : il est aujourd’hui cardinal et président du conseil pontifical pour la promotion de l'unité des chrétiens.

  • L'incroyable fidélité des "chrétiens du bout du monde"

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    1357032.jpgÀ la rencontre des chrétiens du bout du monde (dans Le Figaro)

    Extraits :

    "Pendant un an, Charles Guilhamon et Gabriel de Lépinau sont partis à la rencontre de petites communautés chrétiennes isolées. Un tour du monde à vélo qui les a conduits du Tibet au Brésil, en passant par le Sénégal et la Thaïlande. Ils racontent leur incroyable aventure dans un livre à paraître le 5 septembre." (...)

    "Église des confins et des nuages, Église souterraine, sans prêtre et pourtant étonnamment fidèle à Rome, Église souffrante, persécutée, Charles et Gabriel sont allés à la découverte de ces multiples visages de la chrétienté. En Amazonie en pirogue, à pied avec les Karens, ou encore, comme le plus souvent, à vélo, ils ont parcouru 11.000 kilomètres pour vivre avec ces communautés oubliées quand elles ne sont pas inexistantes ou agonisantes." (...)

    "Après le départ de Paris, leur première destination avait été, au bout de deux mois sur les routes, le village de Tal Arboush, dans la Djézireh, à l'est de la Syrie. Charles se souvient encore du regard rêveur de Charbel. Il savourait un narguilé assis dans son jardin. Sa coupe de cheveux et sa stature lui donnaient des airs de James Dean. A un détail près: un immense tatouage de la Vierge Marie haut en couleur occupait tout son avant-bras et faisait écho à un dessin de la croix gravé sur son biceps. Il était le troisième fils de l'une des quarante familles catholiques peuplant le village de Tal Arboush, seul village catholique sur des dizaines de kilomètres. Ils parlaient l'araméen comme les premiers chrétiens. Depuis six mois, Tal Arboush ne répond plus. Charles n'a plus de nouvelles de Charbel. Les derniers chrétiens."

    Le livre : Sur les traces des chrétiens oubliés, de Charles Guilhamon, Calmann-Lévy, 430 p., 21.50 €

    Tout l'article est ici : A la rencontre des chrétiens du bout du monde

  • Les intentions du pape pour septembre 2012

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    L’intention de prière universelle de Benoît XVI pour le mois de septembre concerne « les personnes engagées en politique », afin que « les responsables politiques agissent toujours avec honnêteté, intégrité et amour de la vérité ».

    Son intention de prière missionnaire porte sur « l'aide aux Eglises des pays pauvres » : « Pour que les communautés chrétiennes se rendent disponibles à l'envoi de missionnaires, prêtres, laïcs, et augmentent leur soutien concret en faveur des Eglises les plus pauvres. »

    source et commentaire (www.apostolat-priere.org)

    Benoît XVI nous dit : « la politique est un art complexe d'équilibre entre des idéaux et des intérêts, mais sans jamais oublier que la contribution des chrétiens est décisive uniquement si l'intelligence de la foi devient intelligence de la réalité, clé de jugement et de transformation. Une véritable ‘révolution de l'amour' est nécessaire ».

    Prions, comme le Saint-Père nous y invite, pour que l'engagement des hommes et des femmes en politique soit fondé « non sur des idéologies ou des intérêts de parti, mais sur le choix de servir l'homme et le bien commun, à la lumière de l'Evangile » (Benoît XVI).

  • Shan et Martini, des figures très contrastées

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    Sandro Magister met en ligne sur chiesa.espresso.repubblica.it cette note :

    Le cardinal Shan, un "maître de sagesse et de fidélité à l'Église"

    En l’espace de quelques jours, deux cardinaux très différents l’un de l’autre, notamment quant à leur notoriété, mais tous deux de grande envergure, viennent de disparaître : le 22 août, le Chinois Paul Shan Kuo-hsi et, le 31 août, l'Italien Carlo Maria Martini.

    À maintes reprises www.chiesa est intervenu à propos de Martini, y compris en laissant s’exprimer des voix qui le critiquaient, en particulier au sujet de son dernier livre important, "Conversations nocturnes à Jérusalem", qui a définitivement consolidé dans l'opinion publique son image symbolique d’alternative "conciliaire" aux deux derniers papes :

    > Le Jésus du cardinal Martini n'aurait jamais écrit "Humanæ Vitæ"

    > Dieu n'est pas catholique. Parole de cardinal

    Le cardinal Shan, au contraire, est toujours resté dans l’ombre. Mais, précisément pour cette raison, il est encore plus surprenant de découvrir aujourd’hui son action cachée, indissolublement liée au drame de l’Église de son pays, la Chine.

    Laissons donc la parole au cardinal Zen, qui a été très proche de lui].

    lire la suite

  • Une figure majeure du progressisme disparaît

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    Lu sur le site RTBF info

    "Le cardinal italien Carlo Maria Martini, mort ce vendredi à Milan à 85 ans, a incarné chez les progressistes au sein de l'Eglise catholique l'espoir d'une plus grande ouverture au monde moderne, même s'il a toujours formulé ses critiques et propositions de façon nuancée.

    Eminent intellectuel, spécialiste de la Bible, auteur de dizaines de livres et contributions théologiques diverses, il était très respecté au delà de la sphère progressiste, aussi bien par Jean-Paul II que Benoît XVI, de deux mois son cadet, qui lui avait encore rendu visite en juin à Milan.

    Cette très grande figure de l'Eglise a figuré parmi les "papabili" lors du conclave d'avril 2005, au cours duquel Joseph Ratzinger devait être élu.

    Mais ses positions en faveur d'une institution ecclésiale plus ouverte et en dialogue avec le monde, ainsi que son état de santé -il souffrait déjà de la maladie de Parkinson- avait affaibli ses chances, dès le début des votes.

    Il avait notamment critiqué en 2008 l'encyclique "Humanae Vitae" du pape Paul VI qui avait dit non à la contraception, en estimant que l'Église s'était ainsi "éloignée de beaucoup de gens".

    Voix très écoutée dans l'Eglise pour la finesse de ses analyses et son humanité, il avait dénoncé "la tentation" de certains catholiques de "se réfugier" dans des nouveaux mouvements de l'Eglise en leur prêtant une "valeur absolue" et en les transformant en véritables "idéologies".

    Il avait dénoncé également les "nouvelles pestes" de la société, telles que la drogue, mais aussi la corruption et la solitude.

    Le célibat des prêtres remis en question ?

    Il estimait qu'une "évolution" dans le domaine du célibat des prêtres était envisageable, sans que l'Eglise de Rome renonce entièrement à cette discipline, ce qui aurait "des conséquences plus négatives que positives."

    Ami personnel de Jean Paul II, il avait su marquer sa différence avec lui sur certains thèmes, surtout de la morale. Il échangea une correspondance avec l'écrivain Umberto Eco sur les raisons de croire.

    En 1999, il avait "fait un rêve" : la convocation d'un nouveau Concile, un Vatican III, estimant que Vatican II (1962/65) était en quelque mesure dépassé.

    Le manque "parfois dramatique" de prêtres, le rôle de la femme dans la société et dans l'Eglise, la participation des laïcs à certaines responsabilités sacerdotales, la sexualité, la discipline du mariage, les rapports avec les orthodoxes et l’œcuménisme en général, le rapport entre démocratie et valeurs et entre lois civiles et loi morales étaient les thèmes qu'il proposait pour un nouveau concile.

    En 2007, il fit savoir qu'il ne célébrerait pas la messe tridentine (en latin) d'avant le Concile, quand celle-ci a été réautorisée par l'Eglise.

    Né à Turin le 15 février 1927, Carlo Maria Martini était de la Compagnie de Jésus (jésuites). Exégète de formation, Paul VI l'avait désigné, en 1969, recteur de l'Institut biblique, où il était resté jusqu'en 1978, puis de la prestigieuse Université pontificale grégorienne.

    Dès 1979, Jean Paul II l'avait nommé archevêque de Milan, le plus grand diocèse d'Europe, qu'il dirigea pendant 22 ans.

    En voyage à Jérusalem à 75 ans

    A son départ en retraite en juillet 2002, à l'âge canonique de 75 ans, il avait réalisé son voeu le plus cher : partir à Jérusalem. Cette année-là, il avait aussi annoncé qu'il était atteint de la maladie de Parkinson.

    Il était revenu en Italie en 2008, se retirant dans une maison d'études des jésuites, à Gallarate, au nord-ouest de Milan.

    Ici:  Décès du cardinal Martini, espoir des progressistes de l'Eglise catholique

    Le cardinal Martini appartenait à la génération des intellectuels utopistes  qui ont imaginé Vatican II comme une fusée s'élevant dans l'espace sans fin de la modernité.  Avec les résultats que l’on sait, cinquante ans plus tard.

  • Eric de Beukelaer sur RCF à propos de Michelle Martin

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    Le curé de l'Unité pastorale "St Lambert au coeur de Liège" et Doyen de Liège Rive-gauche s'exprime (le 29 août 2012) sur la question de Michelle Martin.

  • Au Kazakhstan : un lieu voué à la mémoire des innombrables victimes du régime communiste

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    Cathedral_karaganda.jpgNous lisons sur Zenit.org :

    "Au Kazakhstan, où les catholiques représentent moins de 2% de la population, la construction d’une cathédrale représente « un signe et un moyen d’évangélisation silencieux mais puissant », déclare Mgr Schneider, évêque auxiliaire du diocèse de Karaganda.

    La nouvelle cathédrale de Karaganda (Kazakhstan) sera consacrée dimanche 9 septembre 2012 au cours d’une concélébration solennelle présidée par le cardinal Angelo Sodano, doyen du Collège cardinalice et légat pontifical pour la consécration (cf. Zenit du 9 juillet 2012).

    Extraits de l'interview de l'évêque auxiliaire, Mgr Schneider :

    (...) Une cathédrale située dans un endroit plus central, construite dans un style traditionnel incontestablement catholique, c’est-à-dire dans le style néogothique, sera un signe et un moyen d’évangélisation silencieux mais puissant, dans un monde où les catholiques forment environ 1 à 2% de la population, où la majorité des habitants sont musulmans et où les orthodoxes sont très minoritaires. En outre, une partie considérable de la population n’appartient à aucune religion, ce sont des personnes qui cherchent Dieu.

    L’architecture de la cathédrale et les objets qui sont à l’intérieur ont été travaillés avec le plus grand soin afin de donner forme à une œuvre d’art vraiment belle et qui a en même temps un caractère sacré et un sens du surnaturel. Tout ceci est adapté tant pour éveiller chez les fidèles et les visiteurs un sens religieux et un sens de la foi que pour exprimer un acte d’adoration de la Sainte Trinité. Tout est donc fait pour faciliter le respect du premier commandement et la finalité ultime de toute la création : l’adoration et la glorification de Dieu.

    La signification historique et spirituelle a aussi une autre dimension : la nouvelle cathédrale est un lieu sacré à la mémoire des innombrables victimes du régime communiste, puisqu’il y avait, autour de Karaganda, un des plus grands et des plus terribles camps de concentration – les goulags – dans lequel ont souffert des personnes appartenant à plus de 100 ethnies différentes. La cathédrale sera donc aussi un sanctuaire pour la prière d’expiation pour les crimes du régime athée et communiste. (...)

  • Une lettre pastorale de nos évêques

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    cover_1345725920_thumb150.jpg« Etre chrétien aujourdhui »

    Source : ZENIT.org

    Les évêques de Belgique publient une lettre pastorale qui pose des jalons pour « être chrétien aujourd’hui », annonce un communiqué du 27 Août 2012.

    Avec cette nouvelle lettre, les évêques invitent « toute la communauté croyante » à « méditer sur le vrai sens d'être chrétien aujourd'hui » et à « chercher ensemble ce que signifie concrètement mettre ses pas dans ceux de Jésus ».

    La Lettre pastorale « Être chrétien aujourd'hui » (Editions Licap scrl) sera accompagnée de six clips vidéo qui présentent le témoignage et la vie de chrétiens. Les vidéos seront disponibles en ligne à partir du 1er octobre.

    Alors qu’ « aujourd'hui la souffrance et le découragement sont partout », dans une société déterminée par « le stress, l'angoisse et la course aux performances », les évêques de Belgique souhaitent « nourrir la réflexion » sur « ce que signifie d'être chrétien aujourd'hui » et « comment s'y prendre concrètement ».  

    La foi n'est pas une « solution miracle » mais de nombreuses personnes « se sentent interpellés par la simplicité et la joie de l'Évangile », constatent les évêques.

  • Tim Guénard parcourt la Belgique

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    Tim Guénard

    Abandonné tout jeune par sa mère et attaché à un poteau, battu par son père, Tim est devenu le plus jeune délinquant de France. De maison de correction en centre d’accueil de l’Assistance Publique, il devient chef de bande de loubards. Suite à une promesse un peu folle, il se retrouve à l’Arche de Jean Vanier à Bruxelles, dirigée par le Père Roberti, où le Seigneur l’attend. Et il se met alors au service des plus faibles. Il se retrouve « à genoux dans son cœur », sa vie bascule, il se convertit. Maintenant, marié, père de 4 enfants et plusieurs fois grand-père, il parcourt l’Europe et le monde pour témoigner de l’Amour du « big Boss » et de la force du pardon. Dans sa ferme près de Lourdes, il accueille des jeunes qui désirent sortir de la violence et de la drogue. Chaque année, Tim passe une semaine en Belgique pour répondre à la demande des paroisses, écoles, prisons et associations qui désirent l’entendre et profiter de son expérience magnifique au contact des jeunes en difficulté. Tim a écrit plusieurs livres, dont « Plus fort que la haine », « Tagueurs d’espérance », « Quand le murmure devient cri », « Le pardon qui désenchaîne ».

    Tim présentera son témoignage aux lieux et heures suivantes :

     

    heure

    jeudi 13/09/2012

    20h00

    VILLE

    TOURNAI

    lieu

    église St-Paul

    adresse

    rue des saules,

    7500 Tournai

    PAF

    Libre

    heure

    vendredi 14/09/2012

    20h00

    VILLE

    UCCLE

    lieu

    église du Sacré-Cœur

    adresse

    rue Vanderkindere, 117

    1180 Uccle

    PAF

    3 €

    heure

    mercredi 19/09/2012

    20h00

    VILLE

    Woluwé-St-Pierre

    lieu

    Lycée Mater Dei

    adresse

    Avenue de l'Aviation 72

    1150 Woluwé-St-Pierre

    PAF

    2 €

    heure

    jeudi 20/09/2012

    20h00

    VILLE

    RIXENSART

    lieu

    église St-Étienne

    adresse

    chemin du Meunier, 38 A

    1330 Rixensart

    PAF

    5 €

    heure

    samedi 22/09/2012

    20h00

    VILLE

    SOUMAGNE

    lieu

    Centre de conférences "La Convi"

    adresse

    rue de Wergifosse, 22

    4630 Soumagne

    PAF

    8 €

    heure

    mardi 25/09/2012

    20h00

    VILLE

    JEMAPPES (Mons)

    lieu

    église St-Martin

    accès

    PUBLIQUE

    PAF

    2 €

    Pour tout contact : Benoît DRUENNE 00 32 65 84 04 03 (le soir) ou 00 32 499 22 63 06

  • Procédé douteux chez ARTE

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    Natalia Trouiller, dans la Matinale de la Vie, dénonce un buzz malhonnête monté de toutes pièces par Arte :

    BUZZ DE MAUVAIS GOÛT CHEZ ARTE
    C'est dommage, car la série fictionnelle d'Arte "Ainsi soient-ils", qui suit le parcours imaginaire de cinq jeunes séminaristes avait su jusque-là mener un buzz plutôt intelligent, par exemple avec l'excellent compte Tumblr d'un des personnages que nous avions signalé dans la matinale. Arte a-t-elle souhaité devancer d'éventuelles parodies? Toujours est-il que cette fois-ci, c'est d'un goût plus douteux. Le blog consacré aux séries du site de la chaîne publie donc une lettre fictive d'un évêque qui n'existe pas, Mgr Bisetês (anagramme de Bêtises), en la présentant comme vraie, et qui "appelle de ses vœux les catholiques appartenant aux panels Médiamétrie de ne pas regarder cette série". Devant le début de levée de boucliers suscité, l'auteur du blog a dû reconnaître que cette lettre était un faux mis en ligne avec l'accord d'Arte. Truffée de clichés et essayant d'user d'un vocabulaire catholique sans le maîtriser, la lettre ne fait guère illusion, mais permet de s'offrir (peut-être) une occasion royale de faire passer Arte pour une chaîne martyre qui aurait subi des menaces de l'Eglise. Dommage que la production ait si peu confiance en sa propre série qu'elle se croie obligée d'user de moyens aussi limites.

  • Baptême : une initiative de l'Eglise de Belgique sur le net

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    A l'heure où l'on évoque fréquemment les débaptisations, un site vient d'être ouvert sur le net qui devrait permettre au tout venant de découvrir ce qu'est le baptême et d'y accéder. En voici l'introduction :

    Peut-être songez-vous à en savoir un peu plus sur le baptême. Peut-être souhaitez-vous recevoir ce sacrement. Quel que soit votre âge, c’est possible...

    Comme hier sur les chemins de Palestine, Jésus partage le chemin des hommes et interpelle l’un ou l’autre pour qu’ils deviennent ses amis : ainsi Matthieu, assis à sa table de travail (Mt 9,9), André, occupé à la pêche (Mc 1,16) ou Bartimée, enfoncé dans la misère de sa cécité (Mc 10,49) ou tant d’autres que le Christ croise sur sa route. Chaque aventure est unique ; chaque histoire est sainte. Parce qu’elle est la vôtre, à nulle autre pareille et que vous la construisez en totale liberté et puis parce que Dieu s’y invite, s’y propose : il frappe doucement à la porte d’un cœur et attend qu’on lui ouvre… « Voici, dit Dieu, je me tiens à la porte et je frappe ; si quelqu’un entend ma voix et ouvre, j’entrerai chez lui et nous mangerons ensemble, moi avec lui et lui avec moi. » (Apoc 3,20)

    Cet appel en vous est peut-être déjà très clair ou bien le vivez-vous comme une profonde mais mystérieuse impression : un quelque chose d’étrange vous habite et vous travaille… Quoiqu’il en soit, vous ressentez le besoin d’aller plus loin car vous saisissez au plus secret de vous-même que quelque chose de déterminant, de décisif pour votre vie est en train de se jouer là.

    Dans cette clarification, l’Église peut vous aider. Autour de vous, de nombreux croyants, prêtres ou laïcs, partagent cette expérience fondamentale où s’enracine leur foi. Ils peuvent jouer pour vous le rôle de « frères ainés » : ils ont peut-être une longueur d’avance sur le chemin d’être chrétiens mais ils ne sont pas au bout de la route ; eux aussi sont des chercheurs de Dieu ; ils marcheront avec vous si vous le désirez ! Vers le baptême peut-être … s’il vous plaît … s’il plaît à Dieu !

    En consultant ce site, vous en saurez un peu plus !

  • Notre folie

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    L'épître de ce jour :

    Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 1,17-25.

    Frères, le Christ ne m'a pas envoyé pour baptiser, mais pour annoncer l'Évangile, et sans avoir recours à la sagesse du langage humain, ce qui viderait de son sens la croix du Christ.
    Car le langage de la croix est folie pour ceux qui vont vers leur perte, mais pour ceux qui vont vers leur salut, pour nous, il est puissance de Dieu.
    L'Écriture dit en effet : La sagesse des sages, je la mènerai à sa perte, et je rejetterai l'intelligence des intelligents.
    Que reste-t-il donc des sages ? Que reste-t-il des scribes ou des raisonneurs d'ici-bas ? La sagesse du monde, Dieu ne l'a-t-il pas rendue folle ?
    Puisque le monde, avec toute sa sagesse, n'a pas su reconnaître Dieu à travers les œuvres de la sagesse de Dieu, il a plu à Dieu de sauver les croyants par cette folie qu'est la proclamation de l'Évangile.
    Alors que les Juifs réclament les signes du Messie, et que le monde grec recherche une sagesse,
    nous, nous proclamons un Messie crucifié, scandale pour les Juifs, folie pour les peuples païens.
    Mais pour ceux que Dieu appelle, qu'ils soient Juifs ou Grecs, ce Messie est puissance de Dieu et sagesse de Dieu.
    Car la folie de Dieu est plus sage que l'homme, et la faiblesse de Dieu est plus forte que l'homme. (EAQ)