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Eglise - Page 1596

  • Noël sanglant au Nigeria

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    Une secte islamiste a multiplié les attentats causant la mort de plus de trente chrétiens en cette fête de Noël :

    "Une église catholique près d’Abuja, capitale du Nigeria, a été la cible d’une première explosion faisant 27 morts ce dimanche de Noël. Depuis, cinq autres explosions ont été recensées dans différentes églises faisant état d’une cinquantaine de morts.Ces attaques interviennent moins d’une semaine après une série d’attentats revendiqués par la secte islamiste Boko Haram, dans le nord-est du pays.

    L’hypothèse d’un attentat signé Boko Haram vient tout juste d’être confirmée et fait suite à plusieurs actions terroristes du même groupe, perpétrées depuis fin novembre dans plusieurs villes du Nigéria. (...)

    A la veille de Noël, le groupe terroriste s’en était déjà pris aux autorités de la ville de Damaturu. Des affrontements d’une extrême violence, entre les membres de la secte et les patrouilles de police. « Nous continuerons à lancer de telles attaques dans le nord du pays dans les prochains jours », a menacé le terroriste. La sérénité traditionnellement attendue de cette période de fête ne semble donc pas infléchir la fureur de ce mouvement islamiste..."

    lire la suite ici : http://www.lecourant.info

    Le 22 novembre dernier, l'agence Fides relayait les propos d'un évêque du Nigeria au sujet de ce groupe islamiste et des soutiens dont il dispose :

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  • Une parole dans la nuit

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    454755-pape-benoit-xvi.jpgUne parole dans la nuit

    C’est Benoît XVI qui l’a prononcée lors de la messe de la nuit de Noël 2011 :

    « Celui qui aujourd’hui veut entrer dans l’église de la Nativité de Jésus à Bethléem découvre que le portail, qui un temps était haut de cinq mètres et demi et à travers lequel les empereurs et les califes entraient dans l’édifice, a été en grande partie muré. Est demeurée seulement une ouverture basse d’un mètre et demi. L’intention était probablement de mieux protéger l’église contre d’éventuels assauts, mais surtout d’éviter qu’on entre à cheval dans la maison de Dieu. Celui qui désire entrer dans le lieu de la naissance de Jésus, doit se baisser. Il me semble qu’en cela se manifeste une vérité plus profonde, par laquelle nous voulons nous laisser toucher en cette sainte Nuit : si nous voulons trouver le Dieu apparu comme un enfant, alors nous devons descendre du cheval de notre raison « libérale ». Nous devons déposer nos fausses certitudes, notre orgueil intellectuel, qui nous empêche de percevoir la proximité de Dieu. Nous devons suivre le chemin intérieur de saint François – le chemin vers cette extrême simplicité extérieure et intérieure qui rend le cœur capable de voir. Nous devons nous baisser, aller spirituellement, pour ainsi dire, à pied, pour pouvoir entrer à travers le portail de la foi et rencontrer le Dieu qui est différent de nos préjugés et de nos opinions : le Dieu qui se cache dans l’humilité d’un enfant qui vient de naître."

    Une parole qui vaut pour chacun d’entre nous qui cherchons, tant bien que mal, le visage de Dieu. Mais pour le trouver, il faut constamment purifier notre regard, sur Lui comme sur les autres. « Amen, je vous le dis, si vous ne faites pas demi-tour pour devenir comme les enfants, vous n’entrerez jamais dans le royaume des cieux. (Mt.18-3) »

    "Dieu est apparu. Comme un enfant"

    "Dieu est devenu pauvre. Son Fils est né dans la pauvreté d’une étable. Dans l’enfant dans l’étable de Bethleem, on peut, pour ainsi dire, toucher Dieu et le caresser". L'homélie du pape pour la nuit de Noël est mise en ligne ici : http://chiesa.espresso.repubblica.it/

  • Un tiers de l'humanité est chrétienne

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    Dans « Le Figaro » d’hier Jean-Marie Guénois évoque une étude américaine qui met en évidence le tassement du christianisme occidental et son expansion dans les pays du Sud. Il demeure de loin la première religion mondiale :

    « Le christianisme est de loin la première religion du monde. Il regroupe dans ses trois grandes confessions (catholique, orthodoxe et protestante) 2,184 milliards d'individus, soit plus d'un tiers de l'humanité, 31,7% précisément. L'islam arrive en seconde position, avec 1,619 milliard de fidèles, soit un peu moins d'un quart de la population mondiale qui est de 7 milliards. Mais l'un des intérêts majeurs de l'étude publiée cette semaine à Washington par The Pew Forum on Religion & Public Life, un centre de recherche américain, est de démontrer que, sur un siècle, la population chrétienne a certes triplé - au rythme d'ailleurs de la population mondiale -, mais elle a surtout opéré un glissement démographique vers le Sud.

    S'il y a encore aujourd'hui 69% de chrétiens dans le Nord (selon le découpage particulier de cette enquête: Amérique du Nord, Europe, Australie, Japon et Nouvelle-Zélande), ils sont maintenant 23,5% dans le Sud (entendez le reste du monde). Mais en 1910 les chrétiens n'étaient que 9,2% dans cette zone Sud du monde et 86,7% dans la zone Nord.

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  • Quelques liens (24/12/2011)

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    Zenit.org :

    Le rôle des laïcs et de la « vague d'évangélisation en cours »
    Quatrième prédication du P. Cantalamessa

    Cinq ingrédients pour la joie
    A propos du discours à la curie

    Vaclav Havel, courageux défenseur des droits humains
    Condoléances de Benoît XVI

    Pakistan : De nombreux chrétiens détenus injustement
    La situation d'Asia Bibi se dégrade mais elle pardonne

    Inde : Message de l'archevêque aux fidèles de l'Orissa
    Il rappelle que « la foi vibrante du peuple qui renaît des cendres »

    Espagne : Le Crucifix reprend une place publique
    Prestation de serment du chef du gouvernement

    Le « Mystère de Noël » selon Edith Stein, par Eric de Rus
    La naissance du Sauveur et son actualité

    Pour « célébrer un Noël vraiment chrétien »
    Catéchèse de Benoît XVI sur Noël

    Fides.org :

    ASIE/PAKISTAN - Le cas d’Asia Bibi « sur le bureau du Ministre de l’Intérieur » - Appel au Pape

    ASIE/PAKISTAN - Eglises sous la surveillance de la police pour les Messes de Noël

    ASIE/INDE - Assassinat du catéchiste catholique : un geste « planifié » contre un homme engagé en faveur de la justice

    ASIE/INDE - La persécution des chrétiens en Orissa, « histoire vivante de Noël »

    AFRIQUE/EGYPTE - « Je passerai Noël avec les jeunes du quartier des chiffonniers » déclare le Père Verdoscia

  • Le 24 décembre 1898 mourait Charbel Makhlouf

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    stcharbel01_med.jpgL'Église maronite fait aujourd'hui mémoire de Charbel Makhlouf, moine et ermite.
    Issu d'une famille très pauvre, Yussef Makhlouf naquit à Bekaakafra, village de la montagne libanaise. Resté orphelin, le jeune Yussef s'enfuit au monastère de Saint-Maron à Innaya, où il devint moine sous le nom de Charbel.

    Sa vie de prière intense et d'une extrême simplicité l'amena vite à désirer une plus grande intimité avec Dieu. À quarante-sept ans, Charbel fut autorisé à se retirer dans l'ermitage attenant au monastère; c'est là qu'il vécut jusqu'à sa mort, dans le silence et la vie cachée, en compagnie de Macaire. Le 24 décembre 1898, âgé de soixante-dix ans, il s'en alla vers le Père, ce qu'il avait si ardemment désiré. Charbel Makhlouf, presque inconnu durant sa vie, après sa mort a été et reste encore un des saints les plus populaires au Liban, aimé par les chrétiens de toutes confessions, tout comme par les druzes et les musulmans, qui ont tous reconnu en lui un homme totalement abandonné en Dieu.

    (Source : Spiritualité 2000)

  • Le Fils de Dieu se fait homme pour faire des hommes des enfants de Dieu

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    Saint Bernard (1091-1153), moine cistercien et docteur de l'Église
    Premier sermon pour la Vigile de Noël (source : EAQ)

    « Gloire à Dieu au plus haut des cieux et paix sur la terre aux hommes qu'il aime »

          Cieux, prêtez l'oreille ! Terre, écoute avec attention ! Que toute créature, que l'homme surtout soit transporté d'admiration et éclate en louanges : « Jésus Christ, le Fils de Dieu, naît à Bethléem de Juda »... Quelle plus douce nouvelle pourrait-on annoncer à la terre ?... A-t-on jamais rien entendu de pareil, le monde a-t-il jamais rien appris de semblable ? « A Bethléem de Juda naît Jésus Christ, le Fils de Dieu. » Quelques petites paroles pour exprimer l'abaissement du Verbe, la Parole de Dieu devenue un tout-petit, mais quelle douceur dans ces paroles !... « Jésus Christ, le Fils de Dieu, naît à Bethléem. » Naissance d'une sainteté incomparable : honneur du monde entier, réjouissance de tous les hommes à cause du bien immense qu'elle leur apporte, étonnement des anges à cause de la profondeur de ce mystère d'une nouveauté sans pareil (cf Ep 3,10)...

          « Jésus Christ, le Fils de Dieu, naît à Bethléem de Judée. » Vous qui êtes couchés dans la poussière, réveillez-vous et louez Dieu ! Voici le Seigneur qui vient avec le salut, voici la venue de l'Oint du Seigneur, son Messie, le voici qui vient dans sa gloire... Heureux celui qui se sent attiré par lui et qui « court à l'odeur de ses parfums » (Ct 1,4 LXX) : il verra « la gloire qu'il tient de son Père comme Fils unique » (Jn 1,14).

          Vous donc qui êtes perdus, respirez ! Jésus vient sauver ce qui avait péri. Vous les malades, revenez à la santé : le Christ vient étendre le baume de sa miséricorde sur la plaie de vos cœurs. Tressaillez de joie, vous tous qui éprouvez de grands désirs : le Fils de Dieu descend vers vous pour faire de vous des cohéritiers de son Royaume (Rm 8,17). Oui, Seigneur, je t'en prie, guéris-moi et je serai guéri ; sauve-moi et je serai sauvé (Jr 7,14) ; glorifie-moi et je serai vraiment dans la gloire. Oui, « que mon âme bénisse le Seigneur, et que tout ce qui est en moi bénisse son saint nom » (Ps 102,1)... Le Fils de Dieu se fait homme pour faire des hommes des enfants de Dieu.

  • Nouvel ordinariat pour les anglicans convertis

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    « Après l’Angleterre et le Pays de Galles, c’est aux États-Unis que sera érigé, le 1er janvier prochain, le deuxième ordinariat destiné aux anglicans (épiscopaliens) qui ont souhaité entrer dans la pleine communion de l’Église catholique tout en conservant certains traits de leur tradition anglicane selon la constitution apostolique Anglicanorum Cœtibus de Benoît XVI.

    Des indiscrétions, mais confirmées par de nombreuses sources curieuses, laissent entendre que le premier Ordinaire de cet ordinariat a déjà été choisi par Rome. Il s’agit de l’abbé Jeffrey Steenson qui fut évêque épiscopalien de Rio Grande (diocèse qui couvre le Nouveau Mexique et le sud-ouest du Texas), mais qui entra dans la pleine communion de l’Église catholique en décembre 2007. Il fut reçu dans l’Église catholique lors d’une cérémonie privée célébrée par le cardinal américain Bernard Law en la basilique Sainte-Marie Majeure de Rome dont il était alors l’archiprêtre. L’année suivante, ce même prélat ordonnait diacre catholique Jeffrey Steenson lequel fut, quatorze mois plus tard, ordonné prêtre catholique par l’archevêque de Santa Fe (Nouveau Mexique), Mgr Michael J. Sheehan, à Rio Rancho (Nouveau Mexique). Il assume aujourd’hui des fonctions pastorales à Houston (Texas). En novembre dernier, lors de l’assemblée plénière d’automne de la Conférence épiscopale des États-Unis, le cardinal Donald Wuerl, archevêque de Washington, D.C., et chargé par Rome de l’établissement d’un ordinariat anglican aux États-Unis, présenta à ses confrères dans l’épiscopat l’abbé Jeffrey Steenson. Toutefois, l’abbé Jeffrey Steenson étant marié et ayant des enfants (adultes) il ne pourra pas être ordonné évêque, mais sa position d’Ordinaire lui permettra de siéger à la Conférence épiscopale des Etats-Unis ». Lu ici : Un ancien évêque épiscopalien va devenir le premier ordinaire de l’Ordinariat anglican aux États-Unis

    Voici un an à peu près que Rome a créé l’ordinariat pour les communautés britanniques abjurant l’anglicanisme : il serait intéressant de savoir comment évoluent les convertis bénéficiant de cette nouvelle structure.

  • Noël : Bach plutôt que les Nocturnales

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    C’est Sandro Magister qui le signale sur son blog « Chiesa » : pour les fêtes de Noël de cette année, c’est un chef d’œuvre de la musique liturgique chrétienne qui va briller d’une nouvelle lumière : le très célèbre mais souvent incompris "Oratorio de Noël" de Jean-Sébastien Bach. On l’entendra dans l’interprétation historique dirigée par Nikolaus Harnoncourt en 1982 et il sera raconté et révélé dans sa véritable essence par un théologien et musicologue d’exception : Pier Angelo Sequeri.

    Ce cadeau de Noël sera offert à un large public par TV 2000, la chaîne de télévision qui appartient aux évêques italiens. On peut recevoir TV 2000 en numérique terrestre sur la chaîne 28, par satellite sur la chaîne 801 de Sky, et sur internet dans le monde entier.

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  • La K.U.L. restera la K.U.L.

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    Nous lisons cette information sur le site de catho.be :

    "L’Université catholique de Louvain a décidé, après un long débat sur son identité, de conserver le « K » de « katholiek » dans son nom. Après une large consultation, il a été choisi de garder le nom généralement utilisé, à savoir ‘KU Leuven’. Dans les contacts internationaux, on utilise certes University of Leuven, mais, lorsque c’est nécessaire, l’adjectif ‘catholic’ peut être joint. In extremis, cette semaine, on a ajouté un paragraphe à l’énoncé de mission. Celui-ci explique que le « K » ne se réfère pas seulement aux racines de la tradition catholique, mais aussi à un engagement actuel.
    Par ailleurs, ce nouvel énoncé de mission souligne explicitement l’autonomie de l’université.
    L’engagement chrétien se retrouve dans l’ouverture au monde de l’université et, concrètement, dans son engagement social, le traitement des questions de bioéthique, la présence active de la paroisse universitaire. La vocation internationale de l’université, la poursuite d’une éducation et d’une formation de qualité, mais aussi de services sociaux sont explicitement soulignés dans ce document."

    Dont acte... Sans se faire d'illusions.

  • Le discours du pape pour la présentation des voeux de Noël : la "fatigue de croire"

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    DISCOURS DU PAPE BENOÎT XVI
    AUX CARDINAUX, À LA CURIE ROMAINE
    ET À LA FAMILLE PONTIFICALE, POUR LA PRÉSENTATION
    DES V
    Œ
    UX DE NOËL

    un discours qui nous interpelle sur la "fatigue de croire" répandue en Europe et sur la nécessité d'une conversion personnelle

    "Le centre de la crise de l’Église en Europe est la crise de la foi. Si nous ne trouvons pas une réponse à celle-ci, si la foi ne retrouve pas une nouvelle vitalité, en devenant une conviction profonde et une force réelle grâce à la rencontre de Jésus Christ, toutes les autres réformes resteront inefficaces".

    à lire (en français) sur le site de Vatican.va

  • Aide à l'Eglise en Détresse : Noël entre peur et espérance

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    h1.gifVoici le message adressé, à l'occasion de Noël, par Marc Fromager d'Aide à l'Eglise en Détresse :

    Chers amis,

    Vous avez peut-être entendu qu’un couple de chrétiens a été assassiné à Mossoul mardi dernier, sous les yeux de ses enfants… En Irak, la période de l’Avent a ainsi été marquée par de nouvelles violences à l’encontre de la communauté chrétienne. En moins de quinze jours, elle a été prise deux fois pour cible.

    A l’heure où les troupes américaines se retirent du pays, la situation est toujours dramatique.

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  • Benoît XVI fait son bilan 2011 devant la Curie romaine

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    Frédéric Mounier dans « La Croix » résume le discours pontifical en deux phrases : « l’universalité de l’Église, le don de soi, l’adoration, le sacrement de pénitence, la joie sont les clés de la nouvelle évangélisation » et il ajoute : « la rencontre d’Assise a été porteuse d’espérance » avant de développer sa synthèse :

     « À l’occasion de ses traditionnels vœux à la Curie, prononcés dans la salle Clémentine du Palais apostolique, Benoît XVI s’est livré jeudi 22 décembre, à une relecture personnelle, mais aussi théologique et anthropologique, de l’année écoulée.

    Tout d’abord, prenant acte de la crise économique et financière qui frappe l’Europe, il y voit « la crise éthique qui menace le Vieux Continent ».  Avec, à la clé, des questions essentielles : « Où est la lumière qui peut éclairer notre connaissance non seulement avec des idées générales, mais avec des impératifs concrets ? Où est la force qui élève notre volonté ? »  

    Pour Benoît XVI, la réponse est claire et parcourt tout son message : « Ce sont des questions auxquelles notre annonce de l’Évangile, la nouvelle évangélisation, doit répondre, afin que le message devienne événement, que l’annonce devienne vie. » 

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