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Eglise - Page 1599

  • Liturgie : à propos de la mise au point du chanoine de Beukelaer

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    medium messe tridentine.jpgUn de nos fidèles lecteurs nous adresse une réflexion sur l’interview du chanoine Éric de Beukelaer que nous avons déjà reproduite et commentée ici : Pour Éric de Beukelaer, la liturgie préconciliaire a sa place dans l’Église actuelle.

    Voici le texte de ce correspondant bien documenté :

    « Il faut remercier M. le chanoine de Beukelaer pour cette mise au point qui, en ces temps de dialogue parfois ecclésialement trop consensuels, apparaît comme un acte courageux.  Mais pourquoi, comme prévient le journal « L’Avenir », précise-t-il que son avis est « personnel » ? En vérité, il n’y a pas lieu, en l’occurrence, de prendre pareille précaution oratoire, un peu comme si l’on ne voulait pas déranger ceux qui ne partagent pas un simple « avis » émis par quelqu’un qui n’est « plus porte-parole de qui que ce soit ». Sauf erreur, il n’est pas nécessaire d’être porte-parole du Vatican pour répéter ce que dit clairement le Vatican. Ici, en effet, il ne s’agit pas d’une affaire d’opinion, mais seulement du respect dû à un Motu proprio (Summorum Pontificum, 2007) papal. À noter que celui-ci n’est pas une totale innovation : bien avant ces instructions romaines de 2007, la messe selon « l’expression extraordinaire de lalex orandi’ » (Missel dit « de Jean XXIII ») avait déjà fait l’objet de deux autorisations officielles sous Jean-Paul II (indult Quattuor abhinc annos, 1984 ; Motu proprio  Ecclesia Dei, 1988). Par égard pour tous les pratiquants attachés « à la tradition liturgique latine », Jean-Paul II demandait aux évêques de permettre « une application large et généreuse des directives romaines » en la matière. C’est parce que ces appels à la tolérance n’ont pas été entendus (notamment par des évêques !) que le pape actuel a, plus largement que ses deux prédecesseurs, libéralisé le rite de la messe tridentine. Par ailleurs, comme ses prédécesseurs, Benoît XVI a plusieurs fois déploré certaines fantaisies liturgiques « créatives » qui se sont introduites dans la célébration de la messe selon l’expression ordinaire (missel dit « de Paul VI ») de « l’unique rite romain ».

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  • Le Saint Suaire de Turin n'est pas un faux

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    sindovolto.jpgVatican Insider (La Stampa.it) a mis en ligne hier un article rendant compte des recherches menées par l'institut scientifique italien ENEA sur le Saint Suaire. Nous vous en donnons la traduction ci-dessous en vous priant d'excuser certaines approximations de cette traduction et de vous reporter à l'article en italien et à l'étude scientifique dont il rend compte.

    "Le Saint Suaire n’est pas un faux

    « Enea » a procédé à de nouvelles recherches sur le Saint Suaire conservé à Turin
    Marco Tosatti
    Rome

    Enea, l'Agence Nationale pour les Nouvelles Technologies, l'Energie et le développement économique durable, a publié un rapport portant sur cinq ans d'expériences menées dans le centre ENEA de Frascati sur la «coloration similaire à celle du linceul de tissus en lin obtenue par rayonnement ultraviolet ». Pour faire simple: on a essayé de comprendre comment s’est imprimée sur la toile de lin du Suaire de Turin cette image si particulière qui en constitue tout l’attrait, et de résoudre la question la plus importante et la plus radicale : «identifier les processus physiques et chimiques qui peuvent produire une coloration similaire à celle du Saint Suaire ».

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  • La confiance en la volonté du Père, clef de la prière du Christ

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    Vatican Information Service (V.I.S. 20111214 (670)

    Le Saint-Père a consacré la catéchèse de l'audience générale à la prière de Jésus correspondant à ses prodiges, et tout particulièrement à la guérison du sourd et muet et à la résurrection de Lazare. Le premier épisode, rapporté par Marc, montre que "l'acte de Jésus est intensément rattaché à son rapport au Père comme au prochain". Si Jésus touche les oreilles et la langue du malheureux pour le libérer, "le point central est qu'il en appelle à Dieu au moment d'opérer la guérison" en élevant les yeux au ciel. "Son empathie avec le malade porte Jésus à prier. Une fois de plus se manifeste le rapport unique qu'il a avec le Père, et son identité de Fils. A travers lui se réalise l'action bénéfique de Dieu. La résurrection de Lazare, rapportée par Jean, montre d'abord la forte amitié liant Jésus au défunt, "qui se manifeste dans l'émotion qu'il éprouve devant la douleur de Marthe et Marie et des amis de Lazare", au point "d'éclater en sanglots, combien humains, devant le tombeau". Il lit le décès de l'ami en fonction de "son identité et de sa mission, mais aussi de la glorification qui l'attend. En apprenant la maladie de Lazare, Jésus avait dit qu'elle ne le porterait pas à la mort mais vers la gloire divine, afin que le Fils de Dieu soit glorifié".

    Ensuite le Saint-Père a dit que la prière de Jésus au Père devant le tombeau de Lazare représente le sommet de l'épisode. Il éleva les yeux et dit: "Père, je te rends grâce car tu m'as exaucé...une phrase qui révèle qu'il n'a pas cessé de prier en faveur de la vie de Lazare. Cette prière continue a renforcé son lien avec l'ami tout en confirmant la décision de Jésus de demeurer en communion avec le Père et son projet d'amour, dans lequel la mort de Lazare manifeste la gloire céleste... Dans cette prière, on ne doit pas voir un accomplissement immédiat de ce qui est demandé mais avoir confiance en la volonté du Père. Tout évènement doit être lu dans la perspective de la gloire, de l'amour et du projet de Dieu, généralement cachée à nos yeux. Notre prière et notre louange doivent se fondre y compris lorsque Dieu semble ne pas répondre. S'abandonner à l'amour de Dieu...est l'une des règles de notre dialogue avec lui... Au-delà de ce qu'il nous donne lorsque nous l'invoquons, son plus grand don est son amitié, sa présence, son amour... Par sa prière, Jésus veut conduire à la foi, à la totale confiance en Dieu et en sa volonté. Il veut montrer que Dieu a aimé l'homme au point de lui envoyer son fils unique. Il est le Dieu de la vie, celui qui offre l'espérance et est capable de retourner les pires des situations humaines. La prière confiante du croyant constitue un témoignage de la présence au monde de Dieu". En Jésus, vrai Dieu et homme véritable, l'homme dans le besoin ou affligé par la maladie, se tourne vers Dieu. "Vice versa, sa communion et son dialogue permanent avec le Père, poussent Jésus à être attentif à toutes les attentes humaines, afin d'apporter aux hommes la consolation et l'amour divins". Notre prière, a conclu Benoît XVI, "ouvre la porte à Dieu, qui nous invite à sortir de nous afin de nous approcher de l'autre, en particulier dans les moments d'épreuve, afin de les consoler, de leur apporter espérance et lumière".

  • La foi engendre la morale et non l’inverse

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    bienvenue-au-nouvel-eveque-de-lausanne-geneve-et-fribourg_fullview.jpg“ D’abord être avec le Christ, ensuite la vie change ” dit le dominicain Charles Morerod, nouvel évêque de Fribourg, Lausanne et Genève.  Nous avons déjà attiré l’attention sur la nomination par le pape de cette forte personnalité à la tête de l’un des diocèses européens-types où la foi s’est effondrée sous les coups du sécularisme et du melting pot postconciliaire.   Mais il y a beaucoup de Fribourg, Lausanne et  Genève en Europe  et peu de Charles Morerod. Portrait du nouvel évêque par Jean Mercier, hier dans “La Vie”:

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  • Liens du jour (14/12/2011)

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    • Benoit-et-moi :
    Entretien avec l'archevêque Syro Malabar
     
     
     
    • Zenit.org :

    Rio 2013 : Les dates de la Journée mondiale de la Jeunesse
    Une JMJ au Brésil, « en hiver », du 23 au 28 juillet

    « Eduquer les jeunes à la justice et à la paix »
    Journée mondiale de la Paix 2012 : Message de Benoît XVI

    Burundi : « Tout faire pour éviter l'abîme de la guerre »
    Appel des évêques dans leur Message de Noël

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  • La prédication d'un "indigné" durant l'Avent 1511

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    Zenit nous partage la réflexion du Professeur Delgado, doyen de la Faculté théologique de Fribourg au sujet de l'indignation soulevée par les comportements inqualifiables dont furent victimes les Indiens d'Amérique :

    "Ils se sont indignés ! Un sermon prophétique de l'Avent 1511

    Par le prof. Mariano Delgado

    Le mouvement des « Indignés », pourrait se nourrir de cette réflexion du Prof. Mariano Delgado, doyen de la Faculté de théologie de Fribourg et professeur d’histoire de l’Eglise. Une réflexion sur l’indignation inspirée par l’Evangile, à partir d’un « sermon prophétique de l'Avent 1511 » sur les Indiens d’Amérique.

    Nous la publions au lendemain de la fête de la Vierge de Guadalupe, alors que le bicentenaire l’indépendance des peuples d’Amérique latine a été célébrée par Benoît XVI qui a présidé une messe solennelle, hier soir, 12 décembre, en la basilique Saint-Pierre.

    Le prof. Mariano Delgado est l’auteur d’un livre sur Bartholomée de Las Casas, op: "Stein des Anstoßes. Bartolomé de Las Casas als Anwalt der Indios“, St. Ottilien 2011, 208 S., 14.80€

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  • Flandre : remplacer les cours de religion par l’étude des « religions comparées » ?

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    dg.jpgL’ancien ministre Karel De Gucht jouit déjà d’une solide réputation d’anticléricalisme rabique. Tel père, tel fils ? Voici que son rejeton Jean-Jacques (photo) a déposé au parlement de la Communauté flamande, où il siège comme député libéral, une proposition de décret tendant à remplacer dans les classes terminales de l’enseignement secondaire de cette Communauté la moitié des heures de religion par des cours de « religions comparées ». Les possibilités réelles que cette proposition aboutisse ont incité le "Forum Catholique Romain » (FLCR) à diffuser le communiqué suivant, assorti d’une invitation à protester en signant la pétition qu’il propose (cliquer sur la référence qui clôture la communication) : 

    « Signez la pétition contre la dictature séculière :

    « Cette pétition vient de la part de catholiques inquiets et elle est dirigée contre des tendances séculières dictatoriales.

    Le projet de décret, qui veut remplacer la moitié des heures de religion dans la dernière étape de l'enseignement secondaire par un cours de religions comparées, ne peut mener qu'à un relativisme complet. Comme si cette proposition n’était pas encore assez grave, nous devons constater que l’enseignement de la communauté a déjà décidé de sa propre initiative de bannir complètement les classes de religion dans le dernier degré et de les remplacer par des packages «neutres » d'apprentissage des différentes religions.

    Il devient tous les jours plus difficile pour les parents d’éduquer leurs enfants en conformité avec leur conviction morale et religieuse. L'intervention croissante du gouvernement dans le projet éducatif philosophique de l'enseignement libre le leur rendra encore plus difficile. Elle constitue une grave menace pour la liberté religieuse et de l'éducation. La proposition de décret sur l'éducation religieuse va formellement à l’encontre de la lettre et de l'esprit de la Constitution. Nous la considérons comme un nouveau pas dans la direction d'une dictature séculière de la pensée.

    Par conséquent, nous nous adressons aux membres du Parlement flamand avec les exigences légitimes suivantes :

    Nous exigeons que le gouvernement non seulement respecte et proclame la liberté de religion, mais aussi que dans sa politique il rende possible l'exercice de ce droit inaliénable.

    En particulier, nous exigeons le maintien des heures de religion dans l'enseignement primaire et secondaire.

    De même, nous exigeons que la composition du contenu du cours de religion demeure réservée aux cultes reconnus.

    Enfin, nous exigeons que dans les objectifs terminaux ne soient pas incluses des dispositions qui sont contraires à la foi catholique ou à celle des autres cultes reconnus »

    Cliquer ici :

    http://www.petities24.com/tegen_de_seculiere_dictatuur

  • Mgr Harpigny : "on a cru qu'en annonçant l'Evangile d'une manière nouvelle, tout serait plus simple. Ce discours ne tient plus."

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    Dans le Vif, l'évêque de Tournai, Mgr Harpigny, répond aux questions d'Olivier Rogeau. Extrait :

    Le Vif/L'Express : Il y a quarante ans, votre diocèse comptait 1 200 prêtres, effectif qui a fondu comme neige au soleil. L'Eglise permettra-t-elle un jour à des hommes mariés d'accéder à la prêtrise ?

    Guy Harpigny : C'est vrai, il nous reste moins de 400 prêtres, dont 150 réellement encore en activité, pour s'occuper des 579 paroisses du diocèse. Le doyen d'Antoing est en charge, à lui seul, de 22 paroisses ! D'autres curés en ont près d'une vingtaine. Ici comme ailleurs en Belgique, l'âge moyen des prêtres dépasse 70 ans. Mais ce n'est pas en faisant de la retape, en recrutant des gens qui n'ont rien d'autre à faire, qu'on sauvera l'Eglise. On me dit qu'en Orient les prêtres peuvent être mariés. Et alors ? Moi, je ne suis pas évêque en Orient, mais à Tournai !

    Que dites vous aux prêtres qui, face au poids des ans, à la charge de travail et au scandale de la pédophile qui a éclaboussé l'Eglise se disent fatigués, démotivés, voire désespérés ?

    Ceux-là ont été formés dans les années cinquante à septante. Vatican II a apporté un souffle puissant dans le diocèse, mais on a cru qu'en annonçant l'Evangile d'une manière nouvelle, tout serait plus simple. Ce discours ne tient plus.

    Lire cette interview dans son intégralité : http://www.levif.be

  • Pour Éric de Beukelaer, la liturgie préconciliaire a sa place dans l’Église actuelle.

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    deBeukelaer-Pvignette.pngDans l’édition verviétoise de l’Avenir, le chanoine Eric de Beukelaer répond  aux clichés du journaliste local  concernant le retour de la messe en latin à Malmédy, à partir du premier dimanche de carême 2012 :

     « Nous avons, écrit le journaliste,  demandé à Éric de Beukelaer, l’ancien porte-parole des évêques de Belgique, aujourd’hui doyen de Liège-rive-gauche, de nous apporter son éclairage sur cette nouvelle à Malmedy. S’il n’est « plus porte-parole de qui que ce soit » et qu’il tient à « uniquement donner un avis personnel », comme il le précise, il est tout de même l’auteur de plusieurs ouvrages consacrés à la religion et constitue un intellectuel très écouté parmi les chrétiens belges.

    Éric de Beukelaer, des messes selon le rite d’avant Vatican II vont être célébrées à Malmedy dès février. Qu’en penser ?

    Je l’ai effectivement appris ce mardi à la conférence des doyens. Il est important de se rappeler que cela n’est pas du tout en contradiction avec l’Église telle qu’elle existe depuis Vatican II. Depuis quelques années, certaines personnes expriment en effet le souhait de renouer avec ce type de liturgie que, c’est important, toutes les personnes de 50 ans et plus ont connue. ./...

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  • BXL : l'église Sainte-Catherine : où en est-on ?

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    Sur le site des "Amis de l'Eglise Sainte-Catherine", on trouve cette communication :

    Une délégation des « Amis de Sainte Catherine » a été reçue le 16 novembre par Monseigneur Léonard

    Que ce soit du côté de la ville de Bruxelles ou de l'évêché il est répondu que rien n'est encore décidé. 

    Le 20 novembre à la fin de la célébration, le doyen, Claude Castiau, a informé la communauté catholique de son déplacement à l'église des Riches Claires à partir du 31 décembre tandis que la communauté orthodoxe était enjointe de quitter l’église Sainte Catherine pour cette date ainsi qu'il avait été signifié antérieurement à son pasteur. Il ne lui a pas été proposé d'hébergement cultuel alternatif. 

    Le 4 décembre 2011, le doyen, Claude Castiau, a informé la communauté catholique des Riches-Claires que la paroisse Sainte-Catherine la rejoindrait à partir du 31 décembre 2011 et que son curé se voit attribué de nouvelles fonctions.

    Une délégation des " Amis de Sainte Catherine sera reçue le 14 décembre par Mgr. Kockerols.

    Un débat a eu lieu au Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale suite à une question au Ministre-Président, Charles Piqué.

    Nous vous tiendrons informés de la suite."

    Par ailleurs, un relais de prière et d'adoration eucharistique est proposé : s'inscrire ici : http://www.eglisesaintecatherinebruxelles.be/

  • Fêter sainte Lucie ou sainte Odile? Les deux!

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    C'est la conclusion de missel.free :

    "Chaque année, le curé qui accorde de l’importance au sanctoral est mis en demeure de choisir entre sainte Lucie et sainte Odile et, quelle que soit celle qu’il choisit de présenter, il s’attire la déception d’une partie de ses paroissiens qui ont de bonnes raisons, familiales ou régionales, de célébrer l’autre.(...)

    Pourquoi ne pas célébrer ensemble sainte Lucie et sainte Odile ? En effet, pendant que l’Eglise chemine à travers l’Avent vers le fulgurent avènement du Soleil de Justice, toutes les deux sont, de singulière façon, les témoins de la lumière du Christ qui éclaire les nations, auquel elles ont parfaitement offert leur vie, l’une dans l’éclatant martyre sanglant et l’autre par l’obscure observance monastique. La brune vierge de Syracuse, Lucie, dont le nom est dérivé du latin lux (la lumière), qui préféra s’arracher les yeux pour goûter la lumière céleste plutôt que de jouir de la lumière terrestre annonce la blonde jeune fille d’Alsace, Odile, qui recouvra la vue lorsque, rejetée par ses parents des honneurs du monde, elle reçut, dans le baptême, la lumière de la foi. Si, pour la fête de la sicilienne, on allume des cierges qui annoncent l’approche du solstice et de la naissance du Christ, dans les attributs de l’alsacienne, on place un coq qui annonce le lever du jour et le triomphe de la lumière du Christ sur les ténèbres de la mort. Quand le propre de Syracuse, par l’intercession de sainte Lucie, nous fait demander à Dieu, d’être délivrés de tout aveuglement de l’esprit et du corps pour mériter plus facilement de contempler les biens célestes, le missel de Frissingue, par l’intercession de sainte Odile, supplie la clémence divine, de nous accorder la grâce de la lumière terrestre et la gloire de l’éternelle clarté. Jadis, au temps ténébreux de l’occupation allemande, l’Alsace espérait la lumière libératrice de la prière de sainte Odile qu’elle priait sur sur sa montagne, tandis que la Lorraine se confiait à sainte Lucie dont elle gardait les reliques à Ottange.

    Prions donc  ensemble sainte Lucie et saint Odile qui ne seront pas trop de deux, pour nous aider à bien recevoir le Divin Enfant de Noël. Puisse leur commune intercession nous obtenir davantage de grâces pour les pieux exercices de l’Avent : que leurs prières nous aident mieux voir les vérités que le Seigneur nous a révélées, à mieux observer les commandements qu’il nous a donnés et à mieux goûter les secours qu’il nous a préparés."

  • L'Eglise catholique progresse en Afrique

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    C'est ce qui ressort d'un entretien avec le Supérieur général des Missionnaires d'Afrique :

    "Le pape Benoît XVI a fait son deuxième voyage en Afrique au Bénin du 18 au 20 novembre 2011. Mark Riedemann de « Là où Dieu pleure » en coopération avec l’A.E.D. (Aide à l’Eglise en Détresse, www.aed-france.org) a interviewé le P. Gérard Chabanon, supérieur général des Missionnaires d'Afrique (M.Afr., Père Blanc).

    Le nombre de catholiques Africains est en constante progression : ils étaient 2 millions en 1900, ils sont désormais 140 millions depuis l’an 2000.

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