Selon Jean-Marie Guénois (correspondant du Figaro) ce mercredi 14 septembre, l'Eglise catholique « va probablement résoudre pour de bon la crise lefebvriste qui l'empoisonne depuis quatre décennies. Ce sera une date à retenir pour l'histoire mais ce sera surtout un marqueur pour le pontificat de Benoît XVI (…) »
Le journaliste estime que l’échec des interminables négociations doctrinales entre la Fraternité Saint-Pie X et le Saint-Siège « n’est qu’une apparence ».
« Ces discussions, écrit-il, avaient pour objet d'établir l'inventaire des points de désaccords à propos du Concile Vatican II. Essentiellement : la liberté religieuse, le dialogue avec les autres religions, l'œcuménisme (unité des chrétiens), la réforme de la liturgie de la messe ».