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liturgie - Page 140

  • Week-End de la Miséricorde à Banneux, du 10 au 12 avril prochains

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  • La Resurrection (Vêpres de Rachmaninov)

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    USSR Ministry of Culture Chamber Choir
    Conductor: Valeri Polyansky
    Recording 1986 Smolensk, Dormition of the Theotokos Cathedral
    Updated HD version

  • Sainte Nuit de Pâques: Vigile et Messe de la Résurrection

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    Traduction de l'Exultet : cliquer sur "lire la suite"

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  • Colisée: Chemin de Croix avec le pape

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    Cette année, Mgr Renato Corti, évêque émérite de Novare et proche de feu le cardinal jésuite Martini, a été chargé par le Pape de rédiger les Méditations.

  • 3 avril 2015 : le chemin de croix du vendredi-saint dans les rues de Liège

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    11115590_898107430232788_8619621610313652550_n.jpgIl est difficile d’évaluer  d’un simple coup d’œil le nombre exact de personnes qui ont pris part à la marche elle-même, qui s’est déroulée sous un ciel maussade et frileux, mais il y avait certainement 800 personnes dans la cathédrale pour l’office du vendredi-saint, qui la clôturait dignement. Dans la foule pieuse pérégrinant d’une rive à l’autre de la Meuse, au milieu d’une indifférence quasi générale, on est frappé par l’importante proportion 11073204_898103456899852_8050141668376153506_n.jpgd’Africains, confirmant ce que l’on sait : le printemps de l’Eglise vient aujourd’hui du continent noir. L’évêque de Liège, Mgr Delville, qui conduisait la marche en a exprimé le sens en ces termes : « Au long de ce chemin de croix nous allons évoquer les souffrances de Jésus, en les représentant par des images, par des textes, par l’imagination, par notre marche. Pourquoi reproduire aujourd’hui des souffrances d’il y a deux mille ans ? Parce que dire les souffrances contribue à les vivre, à les dépasser, à en être libérés. Regarder en face les souffrances de l’humanité nous fait entrer dans un chemin de solidarité et de communion. La foi chrétienne a parfois été accusée de dolorisme, parce qu’on valorisait la douleur. Mais en fait, la foi chrétienne possède, avec le judaïsme, les premiers documents au monde qui décrivent la souffrance d’un innocent, ce sont les évangiles et les psaumes. Décrire la souffrance est un progrès de l’humanité. C’est le premier pas pour en sortir. Et c’est pour cela que Jésus nous sauve de la souffrance : c’est parce qu’il affronte celle-ci chez chaque personne qu’il rencontre et il affronte celle-ci dans sa propre passion et sa mort. Alors mettons-nous à son écoute ».

    Diaporama: cliquer ici

    Lire aussi : Chemin de croix au cœur de Liège

    JPSC

  • Liège, 3 avril : Chemin de croix du Vendredi Saint dans les rues de la ville

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    Chemin de croix

    dans les rues de Liège 

    Vendredi 3 avril (Vendredi saint) à 18h

    Présidé par Mgr Jean-Pierre Delville, évêque de Liège

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    RDV : église Saint-Pholien(pl. Saint-Pholien 4020 Liège – dès 17h 30)

    Arrivée à 19h 15, Cathédrale

    Suivi de : Office du Vendredi saint à la Cathédrale à 19h 30

    + temps libre pour les confessions jusque 21h 30

    Participation libre

    Editeur responsable : Pastorale urbaine, Doyen Eric de Beukelaer, e.debeukelaer@catho.be, 

    JPSC

  • Remettre Dieu à sa place

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    Le mensuel « La Nef » a rencontré le Cardinal africain Robert Sarah à Paris : un entretien sur la foi à lire d’urgence. JPSC : 

    Source : La Nef N°269 d'avril 2015. Photo: Mgr Sarah avec des séminaristes de la Communauté Saint-Martin


    IMG_9057.jpgLa Nef – Le sous-titre de votre livre, « Entretien sur la foi », fait écho au célèbre livre du cardinal Ratzinger qui portait ce même titre en 1985 ; j’imagine que ce n’est pas un hasard : vous considérez-vous comme un « ratzingerien » ?

    Cardinal Robert Sarah – Le cardinal Ratzinger, devenu Benoît XVI, est pour moi un modèle, un maître, un exemple, une référence spirituelle. C’est un homme qui a toujours cherché à être fidèle au message de Jésus et de l’Église. Malgré son pontificat bref, il a marqué profondément l’Église, en orientant sa réflexion vers les vraies questions d’aujourd’hui. 
    D’abord, il a vu la crise de la foi, et nous a ainsi invités à vivre une année de la foi. Nos sociétés occidentales vivent comme si Dieu n’existait pas, et les chrétiens vivent une « apostasie silencieuse ». Benoît XVI à Subiaco, avant son élection, avait dit qu’aucune crise semblable n’avait touché l’Occident auparavant. Il avait raison d’attirer là-dessus notre attention et nous pousser à crier vers Dieu : « Seigneur, augmente notre foi ! » 
    La crise sacerdotale ensuite : le problème n’est pas seulement le manque de prêtres, mais aussi le fait qu’ils soient moins zélés. D’où l’année sacerdotale qu’il a lancée, sous le patronage du saint curé d’Ars. 
    Enfin, il a insisté sur la nécessité de l’évangélisation en proclamant notamment l’année saint Paul, pour nous rappeler que chacun d’entre nous doit annoncer le Christ, chacun dans notre vie, et chacun devant travailler radicalement à sa propre conversion pour transformer notre vie par une rencontre personnelle, intérieure avec le Christ.
    Benoît XVI a également été un profond analyste de Vatican II, en montrant que le concile portait sur Dieu. L’ordonnancement des textes le prouve. Le premier, Sacrosanctum Concilium, porte sur la liturgie, comme adoration divine. Le second, Lumen Gentium, sur l’Église, qui sans Dieu n’existe pas. Le troisième texte, Dei verbum, évoque la parole de Dieu qui régénère l’Église, texte d’une grande importance pour aujourd’hui. Nietzsche croyait avoir tué Dieu. Mais l’Église doit porter le parfum de Dieu sur son passage. Benoît XVI a ainsi prolongé le souci du concile, afin que le monde connaisse plus de lumière et il l’a fait en montrant l’harmonie entre la foi et la raison. Je voudrais être comme un élève qui balbutie les leçons reçues de son maître, et Dieu, qu’il s’agit de remettre à sa place, est donc bien le cœur de mon livre, d’où le titre de Dieu ou rien.

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  • Mettre le couvert à l'église pour la messe du Jeudi-Saint ?

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    Lu sur le site « Pro Liturgia »

    0704_jeudiSaint003 (1).jpgDans un certain nombre de paroisses, l’habitude a été prise de célébrer la Messe du Jeudi-Saint sur une table dressée dans la nef centrale de l’église. La Congrégation pour le Culte divin a eu l’occasion de dire plusieurs fois que cette pratique n’était pas licite et devait être abandonnée là où elle subsiste encore.

    Explication : « Les normes liturgiques actuelles insistent sur l’importance qui doit être donnée à l’autel dont la position doit permettre d’attirer l’attention des fidèles : “L’autel, où le sacrifice de la croix est rendu présent sous les signes sacramentels, est aussi la table du Seigneur à laquelle, dans la messe, le peuple de Dieu est invité à participer ; il est aussi le centre de l’action de grâce qui s’accomplit pleinement par l’Eucharistie. Dans un lieu destiné au culte, la célébration de l’Eucharistie doit s’accomplir sur un autel (...). Il convient que dans toutes les églises il y ait un autel fixe qui signifie, de manière claire permanente le Christ Jésus, Pierre vivante (1P 2, 4 ; cf. Ep 2, 20). (...) 
    Ainsi donc, l’usage de dresser une table au milieu de la nef pour célébrer la dernière Cène (Jeudi-saint) ou la Messe de Première Communion des enfants relève d'une pratique dont le symbolisme ainsi que la valeur éducative et pastorale est incohérente : cette façon de faire détourne l’attention des fidèles de l’autel, perturbe le sens premier de la liturgie et, contrairement à ce que l’on croit, ne favorise pas la participation des fidèles à ce que représente réellement l’Eucharistie. » (Source : Notitiae, Vol. 38, p. 492) » 

    http://www.proliturgia.org/

     « La forme fondamentale [de la messe] est la prière d’action de grâce sur le pain et le vin. C’est de la prière d’action de grâce, après le banquet  du dernier soir que la liturgie de la messe a commencé, et non du banquet lui-même. Ce dernier était considéré aussi peu essentiel et aussi facilement séparable  que déjà dans l’Eglise primitive il était omis… Ce que l’Eglise célèbre dans la messe  n’est pas la dernière Cène  mais ce que le Seigneur, durant la dernière Cène, a institué et confié à l’Eglise : la mémoire de sa mort sacrificielle » ( Josef Andreas Jungmann, cité par Benoît XVI dans ses Opera Omnia, tome «  Jésus de Nazareth, » p. 495).

    C’est ce que les paroles du rituel de la sainte messe nous rappellent d’ailleurs clairement au moment de la consécration : "pridie quam pateretur", "postquam cenatum est", le jour avant de souffrir, après avoir soupé… 

    JPSC

  • BXL, La Viale, vendredi 27 mars : Chemin de Croix avec le Groupe Alleluia

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  • Funérailles : un évêque insiste sur la place du prêtre au centre des célébrations

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    Funérailles : les orientations de Mgr Moutel (source : Riposte catholique)

    Le 20 février, Mgr Denis Moutel, évêque de Saint-Brieuc, a publié de nouvelles orientations diocésaines sur les funérailles. Elles sont en ligne depuis le 10 mars sur le site internet du diocèse. Il rappelle la place - la première - que tient le prêtre, souvent mis à l’écart de ces célébrations, et l’importance de la messe, qui ne doit pas être systématiquement rendue impossible.

    « 1) La proposition de la foi

    L’Eglise répond à une demande humaine profonde. Elle ne saurait être un simple prestataire de service. Nous avons à entendre les demandes des familles mais pas au point de tout accepter. En effet, en célébrant les funérailles, l’Eglise annonce le mystère pascal du Christ et témoigne de la foi en la résurrection. Les funérailles et toute la pastorale qui les entoure sont un lieu privilégié de la proposition de la foi. Je vous invite donc à veiller à ce que les funérailles que nous célébrons soient chrétiennes, que le Christ mort et ressuscité y soit célébré, que la Parole de Dieu y soit proclamée, que l’espérance chrétienne soit annoncée et que tous les rites prévus par le Rituel soient mis en œuvre. A ne pas le faire, nous trahirions notre mission et nous provoquerions de la déception, tant chez les familles qui demandent les rites de l’Eglise que parmi les participants.

    2) La place du ministère ordonné

    Il arrive encore que la place des ministres ordonnés (prêtres et diacres) soit mise en question, dans la célébration des funérailles, sous prétexte d’égalité. C’est oublier que les ministres ordonnés signifient et transmettent le don du Christ mort et ressuscité. Par ailleurs, c’est l’Eglise qui célèbre les funérailles, l’Eglise dans toutes ses composantes. Il nous faut donc envisager la place des fidèles laïcs et des ministres ordonnés sans exclure les uns ou les autres. Dans toute célébration liturgique, la place du ministre ordonné est toujours première ; cela ne veut pas dire qu’elle soit exclusive.

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  • Semaine Sainte à Namur

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    Un ami nous demande de communiquer l'avis suivant:

    LA SEMAINE SAINTE CÉLÉBRÉE SELON LE RITE LATIN TRADITIONNEL À SAINTE-THÉRÈSE À NAMUR

    Vous qui voulez découvrir la beauté des offices anciens, du chant grégorien et de la polyphonie, bienvenue à la chapelle Sainte-Thérèse, rue Jean Premier 5b à Namur (proche de la Citadelle).

    La chapelle Sainte-Thérèse est confiée par l'évêché de Namur à la Fraternité Saint-Pierre pour la célébration des offices selon la forme extraordinaire du rite romain. 

     Jeudi Saint 2 avril à 19h00

     Messe vespérale de la Cène du Seigneur, lavement des pieds, procession au reposoir, dépouillement de l'autel et adoration.

    Chants grégoriens, Jesu Salvator Mundi de Menegali, O Memoriale et O Bone Jesu de Palestrina, In Monte Oliveti de Martini, Pange Lingua et cantiques traditionnels.

     Vendredi Saint 3 avril à 19h00

    Liturgie de la Passion et de la Mort du Seigneur, adoration de la Croix et communion.

    Chant de la Passion selon saint Jean : grégorien et polyphonie de Victoria.  Crux Fidelis de Palestrina.

     Veillée Pascale 4 avril à 20h30

    Bénédiction du feu nouveau et du cierge pascal, chant de l' Exultet, renouvellement des promesses du baptême, litanie des saints et Messe de la Résurrection.

    Chants grégoriens, O Filii et Filiae, Sicut Cervus de Palestrina, Regina Caeli et Cantate Domini de Haendel.

    Dimanche de Pâques 5 avril à 10h00

    Messe de la Résurrection du Seigneur.

    Chants grégoriens, Salve Festa Dies, Panem Vivum, O Filii et Filiae, rayonnant de Lumière et Chantons Victoire.

    Renseignements : Abbé Gérald Duroisin 0472 / 34 71 (fssp.be)

    JPSC