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liturgie - Page 139

  • Plain-chant sur Liège le samedi 30 mai 2015

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    la Schola Resupina de Vienne 

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    L'académie de chant grégorien à Liège

    LE PROGRAMME

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  • Procession paroissiale à Horion-Hozémont (Liège). Dimanche 17 mai 2015

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  • Dimanche 24 mai 2015: fête de la Pentecôte

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    Pour les amateurs de chant grégorien:  à noter la messe traditionnelle de la Pentecôte à Liège:  10h00, à l'église du Saint-Sacrement , Bd d'Avroy 132.

  • Gabon : le Président musulman de la République finance la construction d’une église catholique traditionaliste

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    Lu sur le site du Gabon émergent, ce communiqué de la la présidence de la république gabonaise :

    101677711.jpg«  Grâce à la vision et au soutien personnel du Président de la République, les catholiques de Libreville mais aussi tous les Gabonais - connus pour leur amour de la beauté et des arts - pourront bientôt profiter d’un chef-d’œuvre architectural au quartier STFO :l’église paroissiale Notre-Dame-de-Lourdes et sa façade ornée de faïences bleues.

    Cette nouvelle église, dont les travaux ont commencé il y a quelques années, est l’œuvre d’une jeune communauté sacerdotale, l’Institut du Christ Roi Souverain Prêtre, fondée il y a 25 ans au Gabon par Mgr Gilles Wach, avec le soutien de Mgr Cyriaque Obamba, alors évêque de Mouila.

    Cet édifice sacré rassemble déjà de nombreux fidèles du quartier et de toute la ville qui apprécient particulièrement la beauté de la liturgie latine et le chant grégorien.

    Selon le vœu de l’Archevêque de Libreville, Mgr Basile Mvé Engone, qui l’a érigée en paroisse en 2008, l’église Notre Dame de Lourdes est devenue un centre de vie religieuse et culturelle pour beaucoup, et participe pleinement à la vitalité de l’église du Gabon, notamment à travers des projets humanitaires dont tous peuvent bénéficier.

    Un pas décisif vers l’achèvement de cette nouvelle église paroissiale sera la finalisation de la façade, rendue possible grâce à un don personnel du Chef de l’État qui, avec ce geste généreux, a voulu contribuer à la construction d’un chef d’œuvre d’art et de foi au milieu de la capitale gabonaise.

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  • Chine : le cardinal Zen ne partage pas l’optimisme du Secrétaire d’Etat du Pape

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    Entretien exclusif du cardinal Zen avec Stephen de Petiville pour le bimensuel « L’Homme Nouveau » :

    HONG_KONG_-_0701_-_Zen.jpg« La Chine est le pays de tous les paradoxes. Si le capitalisme (principalement étatique mais pas seulement) s’y développe, tout cela se marie avec le maintien d’un matraquage idéologique de type communiste. À cet égard, la Chine est peut-être la preuve que libéralisme et communisme sont finalement deux frères jumeaux qui communient au même matérialisme. La situation de l’Église en Chine est là pour nous rappeler que le communisme garde cette empreinte totalitaire qui fut celle de l’Union soviétique. Pour évoquer cette situation, nous avons interrogé le cardinal Joseph Zen, évêque émérite de Hong Kong. Originaire de Shangaï, il gagne Hong Kong en 1948 pour rejoindre le noviciat salésien. Ordonné prêtre en 1961, il est sacré évêque en 1996. Il est élevé au cardinalat par Benoît XVI en 2006 (photo). Le cardinal Zen est un observateur attentif et engagé de la situation de l’Église en Chine et à Hong Kong :

    -Stephen de Petiville : On entend dire que les relations entre la Chine et le Saint-Siège se réchauffent. Le Secrétaire d’État, le cardinal Parolin, estime que les relations avec la Chine prennent un tour prometteur. Qu’en pensez-vous ?

    - Réponse du Cardinal Zen : C’était une vraie surprise pour nous d’apprendre que Pékin veut renouer avec Rome. Même étonnement d’apprendre que les perspectives soient considérées comme très prometteuses du côté du Vatican. Peut-être y a-t-il quelque secret que nous ne connaissons pas. À regarder les choses de plus près, il n’y a aucune raison pour être optimiste. Le gouvernement chinois reste totalitaire et la liberté religieuse n’existe pas. Récemment ils ont retiré la croix de nombreuses églises et ils en ont démoli d’autres. Deux évêques sont encore en prison. On dit que l’un d’entre eux est mort mais les nouvelles sont tellement contradictoires qu’on ne sait plus rien. Un jour il a été annoncé aux parents qu’il était mort. Puis comme la famille s’inquiétait de récupérer son corps, on lui a dit que celui qui avait lancé la nouvelle était ivre. Ensuite il y eut des rumeurs que le gouvernement avait donné de l’argent à la famille pour qu’elle reste calme mais la rumeur a ensuite été réfutée. Les choses sont loin d’être idylliques comme vous le voyez.

    Qui donc a enclenché cette ivresse d’optimisme ? Ce sont les journaux communistes de Hong Kong qui ont lancé l’affaire. En Chine tout est politique. Et politique rime avec lutte de pouvoir. Tout le monde sait qu’aujourd’hui il y a une lutte au sommet entre Xi Jinping et Jiang Zemin (1). Xi Jinping est le champion de la lutte anti-corruption mais il faut savoir que cette bannière n’est peut-être qu’un moyen pour éliminer ses ennemis. Et l’élimination des gros tigres permettra à de nouveaux tigres de grandir. Il n’est pas sûr que Xi Jinping puisse gagner. Car Jiang Zemin est très puissant. Qui sont ces gens qui veulent parler au Vatican ? Sont-ils de la faction de Xi Jinping ou appartiennent-ils à celle de Jiang Zemin ? S’ils sont du clan de Xi Jinping, peut-être y a-t-il quelque espoir. S’ils sont du clan adverse, il n’y en a pas. À Hong Kong, le pouvoir communiste est sous l’influence de Jiang Zemin. La chaîne de télévision Phoenix TV a récemment interviewé le Père Lombardi et c’est à cette occasion que le Vatican a révélé son enthousiasme pour le réchauffement des relations entre la Chine et le Saint-Siège. Comment peuvent-ils être aussi enthousiastes ? Nous ne voyons aucune raison à cette euphorie. Ils ne comprennent pas et ne veulent pas nous écouter. Je suis très inquiet. Beaucoup de gens ne peuvent rien dire. Moi je suis cardinal et ma voix porte. Alors je n’ai pas peur. Peut-être est-ce la voix qui crie dans le désert mais je dois dire ce que j’ai à dire.

    Je ne dis pas qu’il faut refuser le dialogue : le dialogue est nécessaire. Mais on peut s’interroger sur la bonne volonté du gouvernement chinois. C’est en commençant à dialoguer, qu’on verra s’ils sont de bonne volonté. Mais en attendant il faut rester ferme. Ce n’est pas à nous de changer, c’est à eux. Ces dernières années, l’Église a suivi une stratégie beaucoup trop timide faite de peur et de volonté de composer. Le gouvernement en profite. Les choses se sont dégradées dans les années 2000. Jusqu’en 2001, la Congrégation pour l’Évangélisation des peuples est présidée par le cardinal Tomko. Il venait de Tchécoslovaquie et connaissait très bien le communisme. Quand il prit sa retraite en 2001, arriva le cardinal Sepe. Sepe n’avait aucune connaissance ni de la Chine ni du communisme. Rien ne s’est passé pendant cette période. Puis vint le pape Benoît XVI. Benoît XVI est un pape merveilleux mais le personnel qu’il a choisi ne lui fut d’aucune aide. Beaucoup de bonnes choses qu’il a encouragées ont été gâchées car on ne le suivait pas. À la fin de son pontificat, il changea finalement son personnel. C’est à cette époque qu’est apparu ce projet d’accord avec le gouvernement chinois. Aujourd’hui le gouvernement pousse à ce qu’il soit signé. Il faut donc que le Vatican continue de refuser car un tel accord n’est pas acceptable si je me fie aux informations que j’ai pu avoir. Malheureusement, le nouveau secrétaire d’État est plein d’espoir : pourquoi le cardinal Parolin s’est-il cru obligé de louer le cardinal Casaroli ? Et pourquoi croit-il encore aux miracles de l’Ostpolitik alors que cela a été un échec, un grand échec ? Je ne comprends pas pourquoi ils ne prennent pas les leçons de l’Histoire. En Hongrie, cela a été un échec complet.

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  • Qu’en est-il de la messe aujourd’hui ? Réflexions sur l’Esprit de toute liturgie

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    Ce ne sont pas les rites par eux-mêmes qui sauvent, contrairement à ce que pensaient les religions anciennes. Le culte en esprit et en vérité qu’institue Jésus-Christ n’annule cependant pas l’acte rituel mais il le vivifie, pour en faire un don qui sanctifie : un sacrement qui procure la grâce.  

    L’Eucharistie est le sacrement par excellence puisqu’elle porte l’Auteur même de la grâce, offrant au Père la « kénose » par laquelle le Fils nous a procuré le salut. Et, avec le pain et le vin, tous les saints configurés à l’image de Jésus-Christ apportent à l’offertoire de la sainte messe la goutte d’eau pure qui se mêlera au sang du Christ humilié rendu présent par la consécration des espèces eucharistiques : seul don parfait à Dieu, auquel nous sommes invités à  joindre celui de nos pauvres mérites, pour communier en retour à la vie même de Dieu. Tel est l’ « admirabile commercium », le merveilleux échange, que réalise chaque messe.

    L’abbé Claude Germeau, directeur du Foyer d’accueil de Herstal et prêtre auxiliaire à l’église du Saint-Sacrement à Liège développe ici quelques considérations sur l’incarnation de la messe dans la vie des saints que l’Eglise nous offre en modèles (JPSC) :

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  • A propos de la prononciation gallicane du latin

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    De l’abbé Claude Barthe sur le « Forum Catholique » :

    « Le latin en général et le latin du culte en particulier se prononçait jadis selon les habitudes locales. Le latin "à la française", c'est-à-dire selon la prononciation parisienne ne s'est vraiment imposé partout en France qu'au XVIIe siècle. C'était la prononciation des juristes, des collèges, plus tard de l'Université napoléonienne, de la liturgie. C'est pourquoi on dit toujours un "Te Deom", ou on parle encore de la Bulle UnigenitUs. On est passé à la prononciation italienne assez tard, à partir de la Séparation (en même temps que les clercs ont commencé à abandonner le rabat français, mais pas l’élégant chapeau français à bords retournés). Ma grand-mère répondait encore la messe à la française et j'ai connu des prêtres qui en avaient conservé des restes (le gn dur, par exemple, pour Agnus Dei : AkgnUs Dei, comme dans gnose). Sans parler des films de don Camillo, version française : "DominUs vobiscom". Il existe une lettre de saint Pie X louant l'archevêque de Bourges d'encourager une prononciation se rapprochant de la prononciation romaine. Jusqu’à l’adoption de la prononciation "restituée", cicéronienne à ce qu’il paraît, l’Université prononçait à la française. Pierre Chaunu racontait qu’à la fin des repas d’agrégés, il n’était pas rare qu’un professeur improvisât un discours latin, prononcé comme l’eût fait Bossuet ou le cardinal Pie. Je crois que c’est ce dernier qui faisait taire les rires des prélats italiens à l’audition d’un de ses discours, lors du Concile du Vatican, par un rageur : "GallicUs som" ! »

    Ce que nous rappelle l’abbé Barthe est tout aussi valable pour la Belgique francophone. J’entends encore notre professeur du droit des obligations à l’université de Liège, dans les années 1960,  prononcer : « pacta sOnt servANda » et notre curé, qui parlait de la « missa pro defUNctis », chanter bien sûr  « DominUs vobiscOm », sans oublier d’annoncer  « Te DeOm » pour la Fête nationale. Tombant sur ces lignes, un catholique postconciliaire, sans mémoire ni racines, n’y perdrait même pas son latin puisque c’est déjà fait.

    JPSC  

  • Pèlerinage Summorum Pontificum à Rome, du 22 au 25 octobre 2015 – messe à la Basilique Saint-Pierre, le samedi 24 octobre, à midi

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    Ce pèlerinage coïncidera avec les derniers jours du Synode sur la Famille

     Pour vous aider à trouver un logement, ou si vous désirez faire un pèlerinage associatif ou paroissial à cette occasion, vous pouvez par exemple contacter l’agence Via Sacra (Marie-Laetitia Perrin, info@viasacra.it – tél. FR : 06 28 73 77 79 et 09 70 40 78 22 – tél. IT : 0039 345 28 98 218), spécialisée dans l’organisation de pèlerinages (pour la FSSP, les Dominicaines de Franjeaux, l’ICRSP, etc.)

     JPSC

  • Pèlerinage de Pentecôte à Chartres

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    Lu sur le site « Riposte catholique » :

    ND-de-Chrétienté-2015-affiche.jpgEn cette année de la Vie Consacrée, Notre-Dame de Chrétienté a indiqué les différents célébrants de messes et offices du prochain Pèlerinage de Pentecôte les 23, 24 et 25 mai. Pour la première fois depuis de longues années, un évêque, Mgr Schneider, participera à tout le Pèlerinage.

    Don Louis-Marie, père abbé de l’abbaye Sainte Madeleine du Barroux, célébrera la messe solennelle du samedi au départ du pèlerinage dans la cathédrale Notre Dame de Paris.

    Monseigneur Athanasius Schneiderévêque auxiliaire d’Astana au Kazakhstan, célébrera la messe pontificale du dimanche de Pentecôte à l’hippodrome de Rambouillet.

    Monseigneur Michel Pansardévêque de Chartres, présidera le salut du Saint Sacrement le dimanche soir au bivouac de Gas .

    Le Père Emmanuel-Marie de Saint Jeanpère abbé de l’abbaye Sainte-Marie de Lagrasse, célébrera la messe pontificale de clôture du pèlerinage le lundi de pentecôte dans la cathédrale de Chartres.

    Inscriptions et renseignents (Tarif réduit jusqu’au 26 avril) 

    Ref. Pèlerinage de Pentecôte à Chartres

    JPSC

  • Eglise vivante : ici aussi

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    Cette Eglise vivante, nous l’avons illustrée par trois vidéos sur des ordinations en Afrique. Le site « Pro Liturgia » nous renvoie par ailleurs à de  magnifique images de la Semaine Sainte célébrée à Evron (dans la Mayenne) par la Communauté Saint-Martin : cliquer ici. "Comme quoi, observe Denis Crouan, appliquer la lettre comme l’esprit de “Sacrosanctum Concilium”, c’est possible. A condition de le vouloir et d’avoir la formation ad hoc autant que le véritable 'sensus Ecclesiae'." Nous ajouterons que l'accès aux diocèses belges demeure, malheureusement, fermé à cette congrégation sans doute "trop classique" à leur goût.

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    JPSC

  • Sanctuaire de l'Enfant Jésus de Prague - Procession du 17 mai 2015

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    Le Sanctuaire de l'Enfant Jésus de Prague à Horion-Hozémont organise une procession le dimanche 17 mai 2015 à 9h30.

    (9h30 : Messe suivie de la procession / 12h15 : Pique-nique ou petite restauration / 15h : Office de l'Enfant Jésus de Prague et bénédiction des enfants).

    Renseignements : 04/250.10.64 -  http://jesusdeprague.blogspot.be/ - paroisse-saint-sauveur@hotmail.com

    Adresse : Eglise Saint-Sauveur / Place du Doyenné / 4460 Horion-Hozémont (autoroute Liège-Namur)

    L'église est accessible aux personnes à mobilité réduite et dispose de toilettes.

     JPSC

  • Cardinal Sarah : une parole qui libère

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    Journaliste et écrivain, Nicolas Diat a mené des entretiens avec le cardinal Robert Sarah (photo), publiés sous le titre Dieu ou rien, entretien sur la foi. Pour le bimensuel L’Homme Nouveaul’abbé Claude Barthe (photo) et Philippe Maxence se sont entretenus à bâtons rompus avec ce cardinal guinéen à la parole aussi étincelante que le matin de la Résurrection. Nous publions ici un extrait de cet entretien paru dans l'Homme Nouveau n°1588 et sur son site web le 9 avril :

    Philippe Maxence : « Dieu ou rien », Éminence, c’est le programme de la sainteté. Voulez-vous être un saint ?

    Cardinal Robert Sarah : Oui, parce que c’est notre première vocation : être saint parce que le Seigneur, notre Dieu, est saint. Par Dieu ou rien, je voudrais parvenir à replacer Dieu au centre de nos pensées, au centre de notre agir, au centre de notre vie, à la seule place qu’Il doit occuper. Afin que notre cheminement de chrétiens puisse graviter autour de ce roc et de cette ferme assurance de notre foi. Avec ce livre, je voudrais témoigner de la bonté de Dieu, à travers le récit de mon expérience. Dieu est premier dans notre vie parce qu’Il nous aime et que la meilleure façon de lui rendre cet amour consiste à L’aimer au centuple. Le monde occidental a malheureusement oublié la centralité de l’amour divin. Il est nécessaire de reprendre cette relation à Dieu. À ce titre, mon témoignage est là pour inviter le monde à ne plus rejeter Dieu. Quand je regarde ma vie, j’y vois, en effet, la trace très concrète de la prédilection divine. Je viens d’une simple famille africaine et d’un village très éloigné du centre-ville. Qui aurait pu dire à ma naissance tout ce que Dieu allait accomplir ? Pour devenir séminariste puis prêtre, je suis allé de la Guinée au Sénégal en passant par la Côte d’Ivoire et la France. Par la suite, je suis devenu évêque de Conakry, dans des conditions difficiles. Puis j’ai été appelé à Rome, au cœur même de l’Église. Comment me taire alors que chaque étape de ma vie forme un signe très clair de l’action de Dieu sur moi ?

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