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liturgie - Page 136

  • Institut du Christ-Roi : 11 nouveaux prêtres et 7 diacres le 2 juillet prochain

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    Lu sur « Riposte catholique » :

    Dans sa lettre d’informations par internet, l’Institut du Christ Roi annonce ses ordinations à venir :

    A l’occasion de la fête du Très Saint Sacrement, c’est avec une immense joie que nous pouvons vous annoncer que 11 séminaristes de notre Institut (dont 8 français) seront ordonnés prêtres le 2 juillet prochain, par l’imposition des mains de S.E.R. le Cardinal Burke ; 7 séminaristes seront également ordonnés diacres. Nous les confions tous à vos prières, pour qu’ils soient tous des prêtres selon le coeur de Jésus !

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    On peut lire ici la lettre aux amis et bienfaiteurs de l’Institut."

    Ref. 11 nouveaux prêtres pour l’Institut du Christ Roi

    JPSC

  • Bruxelles (Notre-Dame de la Chapelle), 7 juin : Messe des Fleurs

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    Un décor plein de finesse et de charme pour une célébration UNIQUE…

    Loin des manifestations extravagantes et bruyantes …. « empailletées » et artificielles…

     

    Le dimanche 7 juin à 12h30 à Bruxelles

     

    La messe des fleurs où l’âme s’élève par la beauté musicale et florale.

     

    Le chœur sera assuré par Monica Nève et Nativitas qui fête cette année ses 40 ans !

    Nativitas, consacrée à la Sainte-Famille, accueille grands et petits. 

     

    Les enfants couronnés de fleurs,

    Les arrangements floraux superbes,

    Le cadre priant,

    Tout ceci pour rendre grâce et prier ensemble en cette eucharistie dominicale,

     

    Eglise Notre Dame de la Chapelle, Bruxelles. (Gare centrale)

     

    Tout enfant qui aimerait participer plus activement à la messe des fleurs, peut 
    contacter Sabine de Clippele: 0484.07.77.03 ou

     sabinedeclippele@hotmail.com

  • Cardinal Sarah : le pape François veut que se poursuive le travail liturgique de Benoit XVI

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    Selon l’agence « Catholic News Agency » relayée en traduction sur le Forum catholique :

    _DSC8420cover.jpg"Cité du Vatican, 3 juin 2015 / (Actualités CNA/EWTN).

    Le Cardinal Robert Sarah, Préfet de la Congrégation pour le culte divin, a révélé dans une lettre envoyée à une conférence liturgique cette semaine que, lorsqu'il a été nommé à son poste, le Pape François a exprimé le désir de continuer l'œuvre liturgique accomplie par son prédécesseur comme évêque de Rome.

     "Quand le Saint-Père, le Pape François, m'a demandé d'accepter le ministère de Préfet de la Congrégation pour le culte divin et la Discipline des Sacrements, j'ai demandé: "Votre Sainteté, comment voulez-vous que j'exerce ce ministère ? Que voulez-vous que je fasse comme préfet de cette Congrégation?" La réponse du Saint-Père a été claire. "Je veux que vous continuiez à mettre en œuvre la réforme liturgique du Concile Vatican II," dit-il, "et je veux que vous continuiez le bon travail dans la liturgie commencé par le Pape Benoît XVI". Ceci, le Cardinal Sarah l'a écrit dans une lettre adressée à la Conférence Sacra Liturgia, qui a été rendue publique le 2 juin dernier.

    "Mes amis", écrit le cardinal, "je veux que vous m'aidier dans cette tâche."

    La Conférence Sacra Liturgia est organisée chaque année et traite de l'importance de la formation liturgique au sein de l'Église. C'est l'une des initiatives de la nouvelle évangélisation et un soutien à la catéchèse liturgique des fidèles.

    Le Cardinal Sarah, qui a été nommé à la tête de la Congrégation pour le culte divin en novembre 2014, a demandé à Sacra Liturgia de "continuer à œuvrer à la réalisation des objectifs liturgiques du Concile Vatican II et à travailler pour continuer le renouveau liturgique promu par le Pape Benoît XVI".

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  • Fête-Dieu 2015 à Liège: le samedi 6 juin à 18h, en l'église du Saint-Sacrement avec Mgr Delville

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  • Fête-Dieu radieuse à Liège

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    La basilique Saint-Martin, berceau de la Fête-Dieu, était comble en ce beau jeudi ensoleillé. Le bon peuple liégeois semble heureux de renouer avec cette célébration qui était jadis un des grands temps forts de la dévotion populaire dans la Cité Ardente. Mgr Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles, Mgr Harpigny, évêque de Tournai et Mgr Kockerols, évêque auxiliaire pour Bruxelles, avaient rejoint leur confrère de Liège, Mgr Delville, pour célébrer cette solennité. Dans son homélie, l'évêque de Liège a retracé les circonstances qui ont amené à l'institution de cette fête en l'honneur de l'Eucharistie, en insistant sur le rôle de la bienheureuse Eve de Saint-Martin, recluse en cette église, amie et confidente de sainte Julienne de Cornillon. Au terme de cette messe fervente, l'assemblée est descendue à travers les rues de la cité jusqu'à la cathédrale en faisant escorte au Saint-Sacrement porté à tour de rôle par les évêques présents. Une délégation venue de Maestricht portait fièrement le buste reliquaire de saint Lambert, évêque de cette cité mosane dont le martyre est à l'origine de la ville de Liège.

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    La procession quitte la basilique Saint-Martin

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    Le buste de Saint-Lambert porté par la délégation venue de Maastricht

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    La foule descend le Mont Saint-Martin

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    Mgr Léonard reçoit le Saint-Sacrement

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    Arrêt devant l'Opéra; Mgr Harpigny va donner la bénédiction.

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    Station en Vinâve d'Ile

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    Dernière bénédiction donnée à la cathédrale Saint-Paul par Mgr Delville, évêque de Liège

  • 4-7 juin : Célébration de la Fête-Dieu à Liège avec la participation de Mgr Léonard

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    La Fête-Dieu à Liège ce jeudi 4 juin : célébration et procession

    Cette année 2015, la Fête-Dieu ne fait pas l’objet d’un anniversaire comme l’an passé lors des 750 ans de son universalisation dans l’Eglise par le pape Urbain IV en 1264. Cela n’empêche pas de fêter dignement, ce jeudi 4 juin à 19.30 h., le Saint Sacrement du Corps et du Sang du Christ, à Saint-Martin de Liège, là où la célébration a été célébrée publiquement la première fois vers 1250. 

    Nous accueillerons cette année l’archevêque de Malines-Bruxelles, Mgr André-Joseph Léonard et son auxiliaire Mgr Jean Kockerols, ainsi que Mgr Aloys Jousten, notre ancien évêque, et Mgr Jérôme Gabangwa, évêque émérite d’Uvira, résidant à Banneux. 

    Et surtout, nous accueillerons tous les pèlerins du diocèse et d’ailleurs, qui aiment participer à cette fête, dans la célébration et la procession qui suivra. 

    Consacrer du temps à l’action de grâce (car eucharistie signifie action de grâces !) est vital dans le monde d’aujourd’hui, qui a plus tendance à vivre dans l’indifférence ou le regret que dans la gratitude. 

    Quant à se mettre en marche, en procession, c’est le symbole d’une Église qui se met en mouvement et qui se découvre comme un peuple en marche ; cela rejoint un message du pape François et nous invite à accomplir une démarche d’avenir et d’espérance. Donc bienvenue à tous !

    +Jean-Pierre Delville, Evêque de Liège

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    Sans titre2.pngcliquer sur les images pour accéder au dépliant dans un format plus lisible

     

  • Plain-chant sur Liège le samedi 30 mai 2015

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    la Schola Resupina de Vienne 

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    L'académie de chant grégorien à Liège

    LE PROGRAMME

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  • Procession paroissiale à Horion-Hozémont (Liège). Dimanche 17 mai 2015

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  • Dimanche 24 mai 2015: fête de la Pentecôte

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    Pour les amateurs de chant grégorien:  à noter la messe traditionnelle de la Pentecôte à Liège:  10h00, à l'église du Saint-Sacrement , Bd d'Avroy 132.

  • Gabon : le Président musulman de la République finance la construction d’une église catholique traditionaliste

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    Lu sur le site du Gabon émergent, ce communiqué de la la présidence de la république gabonaise :

    101677711.jpg«  Grâce à la vision et au soutien personnel du Président de la République, les catholiques de Libreville mais aussi tous les Gabonais - connus pour leur amour de la beauté et des arts - pourront bientôt profiter d’un chef-d’œuvre architectural au quartier STFO :l’église paroissiale Notre-Dame-de-Lourdes et sa façade ornée de faïences bleues.

    Cette nouvelle église, dont les travaux ont commencé il y a quelques années, est l’œuvre d’une jeune communauté sacerdotale, l’Institut du Christ Roi Souverain Prêtre, fondée il y a 25 ans au Gabon par Mgr Gilles Wach, avec le soutien de Mgr Cyriaque Obamba, alors évêque de Mouila.

    Cet édifice sacré rassemble déjà de nombreux fidèles du quartier et de toute la ville qui apprécient particulièrement la beauté de la liturgie latine et le chant grégorien.

    Selon le vœu de l’Archevêque de Libreville, Mgr Basile Mvé Engone, qui l’a érigée en paroisse en 2008, l’église Notre Dame de Lourdes est devenue un centre de vie religieuse et culturelle pour beaucoup, et participe pleinement à la vitalité de l’église du Gabon, notamment à travers des projets humanitaires dont tous peuvent bénéficier.

    Un pas décisif vers l’achèvement de cette nouvelle église paroissiale sera la finalisation de la façade, rendue possible grâce à un don personnel du Chef de l’État qui, avec ce geste généreux, a voulu contribuer à la construction d’un chef d’œuvre d’art et de foi au milieu de la capitale gabonaise.

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  • Chine : le cardinal Zen ne partage pas l’optimisme du Secrétaire d’Etat du Pape

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    Entretien exclusif du cardinal Zen avec Stephen de Petiville pour le bimensuel « L’Homme Nouveau » :

    HONG_KONG_-_0701_-_Zen.jpg« La Chine est le pays de tous les paradoxes. Si le capitalisme (principalement étatique mais pas seulement) s’y développe, tout cela se marie avec le maintien d’un matraquage idéologique de type communiste. À cet égard, la Chine est peut-être la preuve que libéralisme et communisme sont finalement deux frères jumeaux qui communient au même matérialisme. La situation de l’Église en Chine est là pour nous rappeler que le communisme garde cette empreinte totalitaire qui fut celle de l’Union soviétique. Pour évoquer cette situation, nous avons interrogé le cardinal Joseph Zen, évêque émérite de Hong Kong. Originaire de Shangaï, il gagne Hong Kong en 1948 pour rejoindre le noviciat salésien. Ordonné prêtre en 1961, il est sacré évêque en 1996. Il est élevé au cardinalat par Benoît XVI en 2006 (photo). Le cardinal Zen est un observateur attentif et engagé de la situation de l’Église en Chine et à Hong Kong :

    -Stephen de Petiville : On entend dire que les relations entre la Chine et le Saint-Siège se réchauffent. Le Secrétaire d’État, le cardinal Parolin, estime que les relations avec la Chine prennent un tour prometteur. Qu’en pensez-vous ?

    - Réponse du Cardinal Zen : C’était une vraie surprise pour nous d’apprendre que Pékin veut renouer avec Rome. Même étonnement d’apprendre que les perspectives soient considérées comme très prometteuses du côté du Vatican. Peut-être y a-t-il quelque secret que nous ne connaissons pas. À regarder les choses de plus près, il n’y a aucune raison pour être optimiste. Le gouvernement chinois reste totalitaire et la liberté religieuse n’existe pas. Récemment ils ont retiré la croix de nombreuses églises et ils en ont démoli d’autres. Deux évêques sont encore en prison. On dit que l’un d’entre eux est mort mais les nouvelles sont tellement contradictoires qu’on ne sait plus rien. Un jour il a été annoncé aux parents qu’il était mort. Puis comme la famille s’inquiétait de récupérer son corps, on lui a dit que celui qui avait lancé la nouvelle était ivre. Ensuite il y eut des rumeurs que le gouvernement avait donné de l’argent à la famille pour qu’elle reste calme mais la rumeur a ensuite été réfutée. Les choses sont loin d’être idylliques comme vous le voyez.

    Qui donc a enclenché cette ivresse d’optimisme ? Ce sont les journaux communistes de Hong Kong qui ont lancé l’affaire. En Chine tout est politique. Et politique rime avec lutte de pouvoir. Tout le monde sait qu’aujourd’hui il y a une lutte au sommet entre Xi Jinping et Jiang Zemin (1). Xi Jinping est le champion de la lutte anti-corruption mais il faut savoir que cette bannière n’est peut-être qu’un moyen pour éliminer ses ennemis. Et l’élimination des gros tigres permettra à de nouveaux tigres de grandir. Il n’est pas sûr que Xi Jinping puisse gagner. Car Jiang Zemin est très puissant. Qui sont ces gens qui veulent parler au Vatican ? Sont-ils de la faction de Xi Jinping ou appartiennent-ils à celle de Jiang Zemin ? S’ils sont du clan de Xi Jinping, peut-être y a-t-il quelque espoir. S’ils sont du clan adverse, il n’y en a pas. À Hong Kong, le pouvoir communiste est sous l’influence de Jiang Zemin. La chaîne de télévision Phoenix TV a récemment interviewé le Père Lombardi et c’est à cette occasion que le Vatican a révélé son enthousiasme pour le réchauffement des relations entre la Chine et le Saint-Siège. Comment peuvent-ils être aussi enthousiastes ? Nous ne voyons aucune raison à cette euphorie. Ils ne comprennent pas et ne veulent pas nous écouter. Je suis très inquiet. Beaucoup de gens ne peuvent rien dire. Moi je suis cardinal et ma voix porte. Alors je n’ai pas peur. Peut-être est-ce la voix qui crie dans le désert mais je dois dire ce que j’ai à dire.

    Je ne dis pas qu’il faut refuser le dialogue : le dialogue est nécessaire. Mais on peut s’interroger sur la bonne volonté du gouvernement chinois. C’est en commençant à dialoguer, qu’on verra s’ils sont de bonne volonté. Mais en attendant il faut rester ferme. Ce n’est pas à nous de changer, c’est à eux. Ces dernières années, l’Église a suivi une stratégie beaucoup trop timide faite de peur et de volonté de composer. Le gouvernement en profite. Les choses se sont dégradées dans les années 2000. Jusqu’en 2001, la Congrégation pour l’Évangélisation des peuples est présidée par le cardinal Tomko. Il venait de Tchécoslovaquie et connaissait très bien le communisme. Quand il prit sa retraite en 2001, arriva le cardinal Sepe. Sepe n’avait aucune connaissance ni de la Chine ni du communisme. Rien ne s’est passé pendant cette période. Puis vint le pape Benoît XVI. Benoît XVI est un pape merveilleux mais le personnel qu’il a choisi ne lui fut d’aucune aide. Beaucoup de bonnes choses qu’il a encouragées ont été gâchées car on ne le suivait pas. À la fin de son pontificat, il changea finalement son personnel. C’est à cette époque qu’est apparu ce projet d’accord avec le gouvernement chinois. Aujourd’hui le gouvernement pousse à ce qu’il soit signé. Il faut donc que le Vatican continue de refuser car un tel accord n’est pas acceptable si je me fie aux informations que j’ai pu avoir. Malheureusement, le nouveau secrétaire d’État est plein d’espoir : pourquoi le cardinal Parolin s’est-il cru obligé de louer le cardinal Casaroli ? Et pourquoi croit-il encore aux miracles de l’Ostpolitik alors que cela a été un échec, un grand échec ? Je ne comprends pas pourquoi ils ne prennent pas les leçons de l’Histoire. En Hongrie, cela a été un échec complet.

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  • Qu’en est-il de la messe aujourd’hui ? Réflexions sur l’Esprit de toute liturgie

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    Ce ne sont pas les rites par eux-mêmes qui sauvent, contrairement à ce que pensaient les religions anciennes. Le culte en esprit et en vérité qu’institue Jésus-Christ n’annule cependant pas l’acte rituel mais il le vivifie, pour en faire un don qui sanctifie : un sacrement qui procure la grâce.  

    L’Eucharistie est le sacrement par excellence puisqu’elle porte l’Auteur même de la grâce, offrant au Père la « kénose » par laquelle le Fils nous a procuré le salut. Et, avec le pain et le vin, tous les saints configurés à l’image de Jésus-Christ apportent à l’offertoire de la sainte messe la goutte d’eau pure qui se mêlera au sang du Christ humilié rendu présent par la consécration des espèces eucharistiques : seul don parfait à Dieu, auquel nous sommes invités à  joindre celui de nos pauvres mérites, pour communier en retour à la vie même de Dieu. Tel est l’ « admirabile commercium », le merveilleux échange, que réalise chaque messe.

    L’abbé Claude Germeau, directeur du Foyer d’accueil de Herstal et prêtre auxiliaire à l’église du Saint-Sacrement à Liège développe ici quelques considérations sur l’incarnation de la messe dans la vie des saints que l’Eglise nous offre en modèles (JPSC) :

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