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liturgie - Page 170

  • La messe latine traditionnelle s’installe à Malmedy

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    capucins.jpgCe dimanche 18 mars, une centaine de fidèles ont de nouveau assisté à la messe latine traditionnelle (missel de 1962) célébrée tous les mois à l’église des Capucins à Malmedy. La chorale a chanté le propre grégorien de la messe de "Laetare" ainsi que le kyriale polyphonique de la petite messe brève de Claudio Casciolini (XVIIIe s.), un choral de Jean-Sebastien Bach et une mélodie slave d’inspiration populaire. Une belle constance pour cette initiative dominicale mensuelle inaugurée le 26 février dernier. Prochaine édition : le 22 avril, même lieu (église des capucins, ruelle des capucins), même heure (18 heures), avec la messe du « Bon Pasteur » (2e dimanche après Pâques).Pour plus de renseignements,  tél. 080.33.74.85 (L. Aussems) ou 080/39.81.28 (P. Lambert).

  • Vendredi-Saint 6 avril 2012 à Rome : : Chemin de croix de la famille au Colisée

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    Lu sur le site de l’agence Zenit :

    Les méditations des quatorze stations du Chemin de Croix du Colisée, vendredi 6 avril, Vendredi Saint, seront centrées pour la première fois sur la vie de la famille : Benoît XVI les a confiées à Danilo et Anna Maria Zanzucchi.

    Ce couple de laïcs italiens est responsable du mouvement des « Familles nouvelles », branche du mouvement des Focolari, fondée en 1967.

    Comme chaque année le Chemin de Croix du Vendredi Saint, à Rome, présidé par Benoît XVI, sera retransmis en direct du Colisée en mondovision à 21 h 15.

    «  Familles Nouvelles »  fait partager aux familles le charisme de « l’unité » du mouvement des Focolari – ou "Œuvre de Marie" selon son nom canonique -, fondé par Chiara Lubich en Italie du Nord, à Trente, lorsque, jeune étudiante en philosophie, elle se consacra à Dieu, le 7 décembre 1943.

    «  "Que tous soient un", c'est pour ces paroles que nous sommes nés, pour l'unité, pour contribuer à la réaliser dans le monde », disait Chiara Lubich en citant la prière du Christ rapportée par l'évangile de saint Jean (Jn 17, 21).

    C’était justement, hier, 1e 14 mars, le quatrième anniversaire de la disparition de Chiara Lubich, à Rocca di Papa, près de Rome, en 2008: un anniversaire marqué par de nombreuses manifestations dans le monde entier.

    Le mouvement compte aussi, entre autres, des branches pour les jeunes et pour les professionnels, et rassemble des personnes de tous états de vie: laïcs, consacrés, prêtres, dans 182 pays.

  • L’ordinariat britannique des anglicans convertis suivra le calendrier liturgique traditionnel

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    On a pu considérer Angliconarum Cœtibus, la constitution de Benoît XVI permettant aux anglicans d’entrer dans l’Église catholique sans abandonner leurs meilleures traditions, comme une esquisse, au mieux une loi-cadre, dont les détails méritaient d’être précisés.

    Pour l’Ordinariat personnel anglais de Our Lady of Walsingham, Rome vient d’accorder la restauration du calendrier liturgique traditionnel. Les dimanches dits « du temps ordinaire » dans le missel de Paul VI, sont abandonnés et remplacés par les « dimanches après l’Épiphanie » et les « dimanches après la Trinité » (ce temps particulier est propre aux usages liturgiques anglicans ; nous parlerions nous de « dimanches après la Pentecôte »). Les dimanches dits de la « septuagésime », de la « sexagésime » et de la « quinquagésime » sont restaurés (ils n’existent plus dans le missel de Paul VI, mais sont maintenus pour ceux qui utilisent le missel dit de saint Pie V). Les « Rogations », trois jours de prières publiques avant l’Ascension, sont restaurées à ces dates (elles sont mobiles pour le rite réformé selon les vœux propres des conférences épiscopales ; fixes pour le rite traditionnel). Les jours dits des « Quatre Temps » sont restaurés (ils ont disparu du missel de Paul VI ; maintenus pour celui de saint Pie V). L’octave de la Pentecôte est restauré (supprimé dans le missel de 1969 ; maintenu pour celui de 1962).

    En outre, et l’affaire n’est pas subalterne, l’Ordinariat Our Lady of Walsingham a déjà fait savoir que toutes les liturgies eucharistiques seraient célébrées ad orientem…Référence : Pour l’Ordinariat anglais, Rome restaure le calendrier liturgique traditionnel

  • Trois évêques veulent verrouiller tout débat sur les traductions liturgiques

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    C’est ce que relève  ici  notre confrère « summorum pontificum » :

    « Il y a de nombreux des prêtres qui nient une partie des dogmes de l’Eglise, d’autres qui militent pour le mariage des prêtres, il y a des associations qui militent pour l’ordination des femmes, et qui ont pignon sur rue dans les diocèses, des prêtres qui inventent des « liturgies », d’autres qui dansent dans l’église (comme ici dans le diocèse de Langres). Et aucun évêque de France -ou presque- n’y trouve rien à redire. Mais quand L’Homme nouveau publie une tribune libre d’un prêtre, l’abbé Bernard Pellabeuf, consacrée aux douteuses traductions des textes liturgiques, alors 3 évêques -ni plus ni moins- publient un « droit de réponse » :

    Mgr Robert Le Gall, président de la Commission épiscopale francophone pour les traductions liturgiques (qui publie un bien étrange Missel des dimanches), archevêque de Toulouse

    Mgr Bernard-Nicolas Aubertin, président de la Commission épiscopale pour la liturgie et la pastorale sacramentelle, archevêque de Tours

    Mgr Philippe Gueneley, président de l’Association épiscopale liturgique pour les pays francophones (laquelle AELF ignore la forme extraordinaire), évêque de Langres

    Leur réaction est critiquable tant sur la forme que sur le fond:

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  • Un évêque traverse le rideau de fer

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    Lu sur le site « summorum pontificum » (extraits) :

    mgr_bonfis2_200.jpg(…) Hier matin, dimanche 11 mars, Mgr Bonfils, administrateur du diocèse d’Ajaccio jusqu’à la prise de possession de Mgr de Germay, s’est rendu dans l’église desservie à Ajaccio, par la FSSPX. Ce n’était pas une simple visite de courtoisie ou de pure diplomatie : Mgr Fellay ne pouvant se rendre à Ajaccio pour un assez long temps, son confrère, Mgr Bonfils, a proposé de son propre mouvement de procéder à la confirmation des 19 candidats à ce sacrement. Le représentant de la FSSPX ne pouvait refuser le sacrement proposé par l’évêque en charge du diocèse, d’autant qu’il l’a, bien entendu, conféré selon le rite traditionnel. Ensuite, Mgr Bonfils a célébré la messe de Saint-Pie-V. (…) Qu’il ait été très simplement et normalement reçu par les fidèles de la FSSPX est aussi très réjouissant (…). Source : Un geste fort : Mgr Bonfils confirme en Corse pour la FSSPX

    A relever, alors que le « rideau de fer » qui traverse l’Eglise catholique semble toujours bien en place …

  • La pérennité de la tradiction bénédictine sous le ciel de Provence

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    Un reportage qui nous emmène à des lieues d'abbayes vides ou désertées comme il s'en trouve parfois chez nous...

    «Nous ne sommes pas plus grands que nos Pères» (merci à "Riposte catholique")

    source : 30giorni.it par Giovanni Ricciardi

    À Le Barroux, près d’Avignon, la communauté bénédictine fondée par dom Gérard Calvet fleurit depuis quarante ans, sous le signe de la stricte observance de la Règle et de l’amour pour l’ancienne tradition liturgique de l’Église

    Des fenêtres du monastère de Le Barroux, le ciel de Provence semble un drapeau bleu tendu au vent. Le monastère est battu par le mistral, parfois avec violence: certains jours d’hiver, sur les montagnes proches, il peut souffler jusqu’à trois cents kilomètres à l’heure. Les oliviers et les vignes semblent ne pas en souffrir mais, mis à part les cyprès qui ont été mis là pour rappeler que, de ces murs, on regarde vers le haut, la végétation est dans l’ensemble basse et donne au paysage son allure de garrigue. Sous le ciel, se dresse comme un cône régulier la masse sombre du Mont Ventoux...

    Lire la suite de ce beau reportage : http://www.30giorni.it/

  • Un succès pour la célébration de la messe latine traditionnelle à Malmedy

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    fc04746b-f960-471c-88ff-840ee37bf312.jpgLa première messe latine traditionnelle a eu lieu à l'église des Capucins de Malmedy, le dimanche 26 février 2012 à 18 heures. On a dénombré 120 personnes dans l'assemblée.

    Beaucoup de piété, des Malmédiens mais aussi pas mal de fidèles venus de la Communauté germanophone toute proche. Télévesdre et la BRF étaient présentes et ont interviewé le célébrant, M. l'abbé Claude Germeau, ainsi que les organisateurs. Peut-être n'est-ce pas le plus important, car le sérieux tranquille et priant des fidèles, venus aussi en famille, est ce qui a le plus impressionné. Rien à voir avec la militance et les crispations intégristes dont certaines "chapelles pointues" donnent quelquefois le mauvais exemple.

    "Perge ut instituisti"...

  • Et les anges le servaient...

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    Homélie de Benoît XVI pour le premier dimanche de carême

    En ce premier dimanche de Carême, l’Evangile, dans le style sobre et concis de saint Marc, nous introduit dans le climat de ce temps liturgique : « L’Esprit pousse Jésus au désert. Et dans le désert il resta quarante jours, tenté par Satan » (Mc 1, 12). En Terre Sainte, à l’ouest du fleuve du Jourdain et de l’oasis de Jéricho, se trouve le désert de Judée dont les vallées pierreuses, dépassant un dénivelé d’environ mille mètres, montent jusqu’à Jérusalem. Après avoir reçu le baptême de Jean, Jésus s’enfonce dans cette solitude, conduit par ce même Esprit Saint qui s’était posé sur Lui en le consacrant et en le révélant comme Fils de Dieu. Dans le désert, lieu de l’épreuve, comme l’expérience du peuple d’Israël le montre, la réalité de la kenosi, du Christ qui s’est laissé vider, qui s’est dépouillé de la condition de Dieu (cf. Ph 2, 6-7), apparaît de manière dramatique. Lui, qui n’a pas péché et ne peut pécher, se soumet à l’épreuve et peut pour cela compatir à notre infirmité (cf. He 4, 15). Il se laisse tenter par Satan, l’adversaire qui dès le départ s’est opposé au dessein salvifique de Dieu en faveur des hommes.

    Les anges, figures lumineuses et mystérieuses, apparaissent presque à la hâte, dans la brièveté du récit, face à cette figure obscure et ténébreuse qui ose tenter le Seigneur. Les anges, dit l’Evangile, « servaient » Jésus (Mc 1, 13) ; ils sont le contrepoint de Satan. « Ange » veut dire « envoyé ». Nous trouvons ces figures, qui aident et guident les hommes au nom de Dieu, dans tout l’Ancien Testament. Il suffit de se souvenir du Livre de Tobie, dans lequel apparaît la figure de l’ange Raphaël, qui assiste le protagoniste dans tant de vicissitudes. La présence rassurante de l’ange du Seigneur accompagne le peuple d’Israël dans tous ses événements bons et mauvais. Au seuil du Nouveau Testament, Gabriel est envoyé pour annoncer à Zacharie et à Marie les heureux événements qui sont le début de notre salut ; et un ange, dont on ne dit pas le nom, avertit Joseph, l’orientant dans ce moment d’incertitude. Un chœur d’anges annoncent aux pasteurs la bonne nouvelle de la naissance du Sauveur ; ce sont aussi des anges qui annonceront aux femmes la joyeuse nouvelle de la résurrection. A la fin des temps, les anges accompagneront la venue de Jésus dans la gloire (cf. Mt 25, 31). Les anges servent Jésus, qui est certainement supérieur à eux, et sa dignité est ici, dans l’Evangile, proclamée de manière claire, quand bien même discrète. En effet, même dans une situation d’extrême pauvreté et d’humilité, quand il est tenté par Satan, Il reste le Fils de Dieu, le Messie, le Seigneur.

    Chers frères et sœurs, nous enlèverions une part importante de l’Evangile si nous laissions de côté ces êtres envoyés par Dieu, qui annoncent sa présence parmi nous et en sont un signe. Invoquons-les souvent, pour qu’ils nous soutiennent dans l’engagement de suivre Jésus jusqu’à nous identifier à Lui...

  • Chant grégorien : un stage en Gironde cet été

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    Notre ami Monsieur Philippe Lenoble, directeur de la Maîtrise de la Cathédrale du Mans, nous communique l’information suivante sur le stage qu’il organise l’été prochain : 

    Abbaye Cistercienne Sainte Marie du Rivet

    F-33124 AUROS 

    JEP-MUL106359-72_SIT_106359.jpg

    Stage de chant grégorien

    Eté   2012 

    Du vendredi 13 juillet (à partir de 11 h 00)

    au mardi 17 juillet (16 h 00) 2012 

    Source sonore de la liturgie occidentale chrétienne, le chant grégorien demeure aujourd'hui une expression musicale incontournable, 

    Au programme :

    Chant commun précédé d'un travail vocal spécifique relatif :

    à la bonne prononciation des syllabes

    au respect de l'accentuation latine

    à l'articulation grammaticale de la phrase 

    Ateliers complémentaires

    Compréhension du répertoire élaboré en tradition orale ( le geste... )

    Nécessaire regard sur les deux notations de référence (9ème siècle)

    Spécificités rythmiques propres au répertoire musical.

    Reconnaissance des principales formes musicales avec une application au plus juste dans la liturgie Vatican II. 

    Ce stage convient à tout public, homme, femme, sous réserve d'une voix qui soit juste.

    Si possible, prévoir d'apporter le livre Graduale Triplex 

    Frais de session :

    * Session du 13 au 17 juillet 2012 : 370 € par personne (pension comprise) 

    Pour nous rejoindre 

    Par la route:

    Autoroute A 64 : sortie Bazas

    Autoroute A 62 : sortie Langon

    A Langon prendre la direction Casteljaloux  puis Auros 

    Par SNCF :

    Gare d'arrivée la plus proche LANGON (sur la ligne Bordeaux-Agen-Toulouse)

    et soit prendre un taxi à la gare,

    soit une voiture du monastère vient vous prendre. 

     

    Abbaye Sainte Marie du RIVET

    http://abbayesaintemariedurivet.com 

    Contact et renseignements :

    Plenoble@yahoo.fr

    Philippe Lenoble

    11 Rue Clos Margot

    72000 Le Mans

    Tel 02 43 82 14 49

    (depuis la Belgique: 0033.2.43.82.14.49) 

  • La signification symbolique des cendres

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    Source : missel.free

     La symbolique des cendres

    La cendre, dont la signification originelle est fort discutée, bien que son usage soit répandu dans la plupart des religions antiques, est souvent associée à la poussière[1], et symbolise à la fois le péché et la fragilité de l'homme.

    I. Le cœur du pécheur, d'abord, est semblable à la cendre : le prophète Isaïe appelle l'idolâtre un « amateur de cendres[2] », et le Sage dit de lui : « Cendres, que son cœur ! Plus misérable que la poussière, sa vie ![3] » C'est pourquoi le salaire du péché ne peut être que cendre : les orgueilleux se verront « réduits en cendre sur la terre[4] », et les méchants seront piétinés comme cendre par les justes[5]. D'ailleurs le pécheur qui, au lieu de s'endurcir dans son orgueil[6], prend conscience de sa faute, confesse précisément qu'il n'est que « poussière et cendre[7] » ; et pour signifier aux autres et à lui-même qu'il en est convaincu, il s'assoit sur la cendre[8] et s'en couvre la tête[9].

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  • Le nouvel évêque de Lourdes répond à l’hebdomadaire « Famille chrétienne » :

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    Mgr Nicolas Brouwet a été nommé évêque de Tarbes-et-Lourdes le 11 février en la fête de Notre-Dame de Lourdes. Il sera installé le 25 mars, jour de l’Annonciation. Premières réactions de l’actuel évêque auxiliaire de Nanterre publiées dans « Famille chrétienne », sous la signature de Sophie le Pivain :

    « Dans quel état d’esprit avez-vous accueilli la nouvelle de votre nomination ?

    Je l’ai accueillie à la fois dans la confiance et dans la joie. Dans la confiance, parce que c’est la foi qui me fait dire « oui », et parce que le Seigneur m’accompagne. Enfin, je suis dans la joie d’avoir un tel ministère et de rejoindre Lourdes, que j’aime particulièrement.

     Quel est votre lien avec le sanctuaire ?

    J’y suis souvent allé en pèlerinage quand j’étais jeune, avec mes grands-parents, ma sœur. Ma foi a beaucoup grandi là-bas. C’est à Lourdes que j’ai découvert le mystère de l’Église, qui s’accomplit dans la liturgie et le service des malades. Dans les processions du Saint Sacrement à Lourdes, le Christ est au cœur, mais les malades sont au premier rang : on y découvre une Église vivante, décomplexée, dans son universalité et sa catholicité. Les pèlerins de Lourdes portent de gros fardeaux, et je ne parle pas que des maladies physiques, mais ils montrent une foi qui apparaît sans fard, dans toute son authenticité. Lourdes est un lieu propice pour vivre sa foi sans se cacher.

     Vous avez manifesté une certaine proximité avec la sensibilité traditionnelle. Comment concevez-vous votre rôle d’évêque dans un sanctuaire où passent des pèlerins de tous horizons ?

    Avec 6 millions de visiteurs par an, s’il se passe quelque chose à Lourdes, c’est bien la communion. En tant qu’évêque, je suis acteur de la communion dans l’Église, et mes goûts personnels sont tout à fait secondaires. Par exemple, mon prédécesseur ouvrait chaque année le sanctuaire à la Fraternité Saint-Pie-X pour son pèlerinage, je continuerai. De même pour tous les catholiques : j’aimerais que chaque catholique, d’où qu’il vienne et quelle que soit sa sensibilité, se sente chez soi dans le sanctuaire, et je m’y emploierai.

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