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liturgie - Page 170

  • Encore un nouveau rite dans l’Eglise latine ?

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    Le site de “La Vie” s’interroge: les particularités liturgiques du “chemin néocatéchuménal” seront-elles bientôt approuvées par Rome ?:

    “Selon le site traditionnaliste Rorate Coeli, le Chemin néocatéchuménal, communauté nouvelle née en 1964 du charisme de deux Espagnols, serait sur le point de voir sa liturgie si particulière approuvée par les dicastères compétents le 20 janvier prochain. Certaines pratiques de ses membres avaient en effet provoqué une certaine gêne dans l'Eglise catholique: généralisation de l'eucharistie le samedi soir, la réception assis de la communion, l'absence du Credo et de l'Agnus Dei des messes de la communauté. Pour les lefebvristes et certains progressistes, cette communauté serait carrément hérétique. Définitivement approuvée par Rome en 2008, la communauté s'était vu demander de procéder à certains changements liturgiques qu'elle n'aurait pas toujours observés.”  Référence: Les particularités du Chemin Néocatéchuménal bientôt approuvées?

    Ces particularités issues de la forme “ordinaire” de la liturgie romaine ne sont évidemment pas du tout dans la ligne du souhait exprimé par Benoît XVI d’un rapprochement et d’un enrichissement mutuel des deux formes (ordinaire et extraordinaire) du rite romain. Mais peut-être sera-ce un nouveau rite “latin” particulier, à côté des rites locaux  (mozarabe ambrosien, lyonnais) ou liées à l’histoire de certains ordres religieux (rite dominicain, rite cartusien…). Sans compter la liturgie des anglicans ralliés à Rome au sein des nouveaux ordinariats.

  • Un conte de noël ?

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    Christ au Zodiaque.jpgJésus est-il vraiment né le 25 décembre ? Il semblerait que oui d’après les études du professeur Shemarjahu Talmon, de l’Université hébraïque de Jérusalem.

    Ce professeur est parti d’un passage de l’évangile de Luc (1, 5-13) dans lequel il est dit qu’il y eut, aux jours d’Hérode, roi de Judée, un prêtre du nom de Zacharie, de la classe d’Abìa, marié à Elisabeth et il advint « comme il remplissait devant Dieu les fonctions sacerdotales au tour de sa classe qu’il fut, suivant la coutume sacerdotale, désigné par le sort pour entrer dans le sanctuaire du Seigneur et y brûler l’encens » ; un ange lui apparut alors et lui prophétisa la naissance d’un fils, qui serait appelé du nom de Jean (le Baptiste).

    Dans l’antique Israël, ceux qui appartenaient à la caste sacerdotale étaient répartis en 24 groupes qui, alternant dans un ordre immuable, devaient assurer le service liturgique au temple pendant une semaine, de samedi à samedi, deux fois par an. La classe de Zacharie, celle d’Abìa, était la huitième dans la liste officielle.

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  • Liturgies traditionnelles de Noël à Liège et Verviers

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     Cliquer ici : Vos messes de Noël 2011

    Un texte latin du Ve siècle : Noël 2011 : Hodie Christus natus est

  • Liturgie : à propos de la mise au point du chanoine de Beukelaer

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    medium messe tridentine.jpgUn de nos fidèles lecteurs nous adresse une réflexion sur l’interview du chanoine Éric de Beukelaer que nous avons déjà reproduite et commentée ici : Pour Éric de Beukelaer, la liturgie préconciliaire a sa place dans l’Église actuelle.

    Voici le texte de ce correspondant bien documenté :

    « Il faut remercier M. le chanoine de Beukelaer pour cette mise au point qui, en ces temps de dialogue parfois ecclésialement trop consensuels, apparaît comme un acte courageux.  Mais pourquoi, comme prévient le journal « L’Avenir », précise-t-il que son avis est « personnel » ? En vérité, il n’y a pas lieu, en l’occurrence, de prendre pareille précaution oratoire, un peu comme si l’on ne voulait pas déranger ceux qui ne partagent pas un simple « avis » émis par quelqu’un qui n’est « plus porte-parole de qui que ce soit ». Sauf erreur, il n’est pas nécessaire d’être porte-parole du Vatican pour répéter ce que dit clairement le Vatican. Ici, en effet, il ne s’agit pas d’une affaire d’opinion, mais seulement du respect dû à un Motu proprio (Summorum Pontificum, 2007) papal. À noter que celui-ci n’est pas une totale innovation : bien avant ces instructions romaines de 2007, la messe selon « l’expression extraordinaire de lalex orandi’ » (Missel dit « de Jean XXIII ») avait déjà fait l’objet de deux autorisations officielles sous Jean-Paul II (indult Quattuor abhinc annos, 1984 ; Motu proprio  Ecclesia Dei, 1988). Par égard pour tous les pratiquants attachés « à la tradition liturgique latine », Jean-Paul II demandait aux évêques de permettre « une application large et généreuse des directives romaines » en la matière. C’est parce que ces appels à la tolérance n’ont pas été entendus (notamment par des évêques !) que le pape actuel a, plus largement que ses deux prédecesseurs, libéralisé le rite de la messe tridentine. Par ailleurs, comme ses prédécesseurs, Benoît XVI a plusieurs fois déploré certaines fantaisies liturgiques « créatives » qui se sont introduites dans la célébration de la messe selon l’expression ordinaire (missel dit « de Paul VI ») de « l’unique rite romain ».

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  • Pour Éric de Beukelaer, la liturgie préconciliaire a sa place dans l’Église actuelle.

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    deBeukelaer-Pvignette.pngDans l’édition verviétoise de l’Avenir, le chanoine Eric de Beukelaer répond  aux clichés du journaliste local  concernant le retour de la messe en latin à Malmédy, à partir du premier dimanche de carême 2012 :

     « Nous avons, écrit le journaliste,  demandé à Éric de Beukelaer, l’ancien porte-parole des évêques de Belgique, aujourd’hui doyen de Liège-rive-gauche, de nous apporter son éclairage sur cette nouvelle à Malmedy. S’il n’est « plus porte-parole de qui que ce soit » et qu’il tient à « uniquement donner un avis personnel », comme il le précise, il est tout de même l’auteur de plusieurs ouvrages consacrés à la religion et constitue un intellectuel très écouté parmi les chrétiens belges.

    Éric de Beukelaer, des messes selon le rite d’avant Vatican II vont être célébrées à Malmedy dès février. Qu’en penser ?

    Je l’ai effectivement appris ce mardi à la conférence des doyens. Il est important de se rappeler que cela n’est pas du tout en contradiction avec l’Église telle qu’elle existe depuis Vatican II. Depuis quelques années, certaines personnes expriment en effet le souhait de renouer avec ce type de liturgie que, c’est important, toutes les personnes de 50 ans et plus ont connue. ./...

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  • Noël à la chapelle Saint-Lambert de Verviers

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    NOËL 2011 EN MUSIQUE

     À LA CHAPELLE SAINT-LAMBERT DE VERVIERSclip_image001.jpg 

     

    À la Chapelle Saint-Lambert de Verviers, au cœur de la Cité  lainière, (rue du Collège, 80), la veillée et la messe de la nuit de Noël auront lieu le samedi 24 décembre à 23h30.


    Au programme de la liturgie : chants grégoriens, polyphonies anciennes du XIIe au XVIIIe siècles, un extrait du « Messie » de Haëndel, sans oublier les incontournables « Stille Nacht » et « Adeste Fideles » , interprétés par la Capella Verviensis, la Schola de Saint-Lambert et Patricia Moulan, alto solo. Albert Schäfer à la flûte  et Léonard Aussems à l’orgue joueront des œuvres françaises, allemandes et italiennes du XVIIIe siècle.

    (messe célébrée selon le missel de 1962)

  • « Patience et longueur de temps font plus que force et que rage »

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    1657203293.jpg« Patience et longueur de temps font plus que force et que rage » (morale d’une fable de Jean de La Fontaine)

    À partir du dimanche 26 février 2012, on assistera au retour de la messe traditionnelle en latin, à Malmédy : ce sera à l’église des  Capucins (photo), rue J. Steinbach, 3, un dimanche par mois, à 18 heures (heure défiinitive à confirmer). Les médias locaux et régionaux ont consacré à cette nouvelle une importance…extraordinaire, montrant que parmi les chrétiens la question liturgique demeure encore très sensible quarante ans après les réformes du pape Paul VI.

    La restauration de l’ « usus antiquior » à Malmédy fait suite à la demande introduite le 29 mars 2009 par un groupe d’une soixantaine de fidèles, conformément aux procédures établies par le motu proprio de Benoît XVI (2007) libéralisant l’usage du missel romain de 1962.

    Leur requête s’étant heurtée au refus du curé-doyen de Malmédy, M. l’abbé Henri Bastin (15 mai 2009) et de l’évêque de Liège, Mgr Aloys Jousten (28 juillet 2009), un recours contre la décision de ceux-ci fut formé à Rome devant la commission pontificale « Ecclesia Dei » (28 juin 2010) et réitéré un an plus tard (16 août 2011). Peu après ce rappel, l’évêque de Liège accéda à la demande des requérants (25 octobre 2011), après les avoir rencontrés, avec leur doyen, dans un véritable esprit de paix liturgique.

    La messe sera célébrée par trois prêtres que l’évêque a désignés conformément aux souhaits des demandeurs. Il s’agit des abbés Claude Germeau (Liège), Jean Schoonbroodt (Banneux) et du père Jos Vanderbruggen, o. praem. (Tancrémont).

    Dans l’esprit même de la lettre du Saint-Père accompagnant la promulgation du motu proprio « Summorum Pontificum », cette restauration du missel de 1962 à Malmédy peut contribuer à enrichir l’ « ars celebrandi » dans toute la région. La sacralité et la théologie du sacrifice si bien exprimées dans la messe traditionnelle aideront, espérons-le, à les manifester aussi toujours davantage dans les autres liturgies eucharistiques. Loin d’opposer une forme liturgique à l’autre, cette messe peut être, au contraire, un facteur de réconciliation et d’unité dans la charité du Christ.

    Le nombre des célébrations publiques hebdomadaires selon la forme liturgique traditionnelle autorisées dans le diocèse de Liège  s’élève actuellement à une dizaine (contre deux, au début des années 1980). Il faut maintenant y ajouter cette célébration mensuelle à Malmédy.

  • L'"Ave Maria" : le commentaire éclairé d'un ami

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    Nous avions publié une note à propos des "variations" dont fait l'objet la traduction de l'Ave Maria. Un de nos visiteurs nous propose un commentaire assez fouillé que nous vous partageons, même si, pour notre part, nous restons attachés à la "version française classique"  avec le vouvoiement :

    La  traduction en français de l'Ave Maria.

    Á  la traduction française classique  de l'Ave Maria, beaucoup préfèrent aujourd'hui des traductions différentes, plus "modernes".  Laquelle choisir ?

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  • Ave Maria

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    fraangg.jpgSi la formulation latine du Pater et de l’Ave Maria n’a pas changé, la traduction des deux prières les plus familières aux catholiques s’est « babélisée » depuis le concile Vatican II. Dans les assemblées de prières les tutoiements et vouvoiements s’entremêlent, que le Règne du Père  adveniat se traduit « vienne » pour les uns, « arrive » pour les autres, le pain quotidianus  est quotidien ici ou de ce jour là-bas, sans parler du fameux contresens « et ne nos inducas in tentationem »  (ne nous soumets pas à la tentation, ou pire, ne nous y induis pas) traduction latine issue d’une transposition grecque malhabile d’un hébraïsme originel, que l’on corrigeait autrefois en disant : « ne nous laissez pas succomber », formule à laquelle d’aucuns se tiennent toujours.

    Même cacophonie dans la salutation angélique : Marie est pleine de grâce pour les uns, comblée pour les autres, et son enfant n’est plus le « fruit de ses entrailles » ni de son  « ventre » , expressions trop crues sans doute pour quelques bonnes âmes.

    Alors, en cliquant ici, ave maria écoutons une version chantée en syriaque, qui mettra peut-être tout le monde d’accord.

  • Les quatre saisons du plain chant

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    ACADEMIE DE CHANT GREGORIEN A LIEGE

    Douze leçons, un séminaire, une journée festive de clôture

    n663488723_6811.jpg 

    avec Stéphan Junker, professeur au conservatoire de Verviers

    Copie de chantsgrégoriens22.jpg 

    A partir du samedi 12 novembre 2011 à 15 heures

     

    P1011071.JPG

     

    A l’église du Saint-Sacrement,

    Boulevard d’Avroy, 132, Liège

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  • Commémoration de tous les fidèles défunts

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    Mercredi 2 novembre

    resurrection1.jpgLa Commémoration des Morts est le complément de la fête de la Toussaint : ces deux jours nous rappellent et nous montrent en action ce dogme consolant appelé par l'Église la Communion des Saints. La terre, le purgatoire, le Ciel, sont la même Église de Jésus-Christ en des états différents ; les fidèles vivants, les défunts dont l'âme a besoin d'être purifiée, les élus déjà parvenus au sein de la gloire, sont tous frères ; les uns ont été hier ce que nous sommes, et demain, avec le secours de la grâce, nous serons ce qu'ils sont eux-mêmes.

    Pleurons nos défunts, revêtons-nous de deuil à la mort de nos parents et de nos amis, gardons leur souvenir ; mais cela ne suffit pas : nous devons prier pour eux. La foi nous enseigne qu'entre la terre et le Ciel il y a un lieu intermédiaire appelé purgatoire, lieu de purification, où les âmes des élus dont la pureté n'est pas parfaite expient, dans un feu mystérieux, le reste de leurs fautes. Dieu est si pur, Dieu est si saint, que nul ne peut voir sa face à découvert ni être admis en sa présence, s'il n'est exempt de la plus légère souillure. Nous avons tous à craindre pour nos défunts que leur âme ne soit retenue captive dans ce lieu d'expiation ; ne nous rassurons pas trop vite sur leur entrée au Ciel ; prions pour eux, offrons à Dieu, pour leur soulagement, nos bonnes œuvres, nos souffrances, les indulgences, surtout le Saint Sacrifice de la Messe. Ces âmes demandent à grand cri notre secours, elles se plaignent de notre abandon ; nos prières et nos bonnes œuvres sont pour elles une rosée rafraîchissante, une douce consolation, cause de diminution de leurs souffrances, un moyen de plus prompte délivrance.

    La Vie des saints nous rappelle ce que l'Église de la terre doit à celle du purgatoire. Si nos chers défunts viennent rarement, par des apparitions, secouer notre négligence et réveiller notre charité trop oublieuse, puissions-nous du moins souvent, chaque jour, être hantés par cette pensée : « Les âmes souffrantes m'implorent ; je puis facilement leur venir en aide ; à l'œuvre, sans retard et sans trêve ! »La dévotion envers les âmes du purgatoire aura pour nous-mêmes un double résultat salutaire : elle nous fera craindre les moindres fautes, par le souvenir des châtiments qui devront les expier ; elle attirera sur notre âme, après notre mort, les miséricordes divines promises aux cœurs miséricordieux.

    Source : http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=saintfeast&localdate

  • Célébration des défunts à Tourinnes-la-Grosse

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    55669195.jpgCe mercredi 2 novembre à 19H00
    en l'église romane

    de Tourinnes-la-Grosse

    (Brabant wallon, près de Hamme-Mille et de Beauvechain),

    l'archevêque de Malines-Bruxelles, Monseigneur André-Joseph Léonard,

    célébrera en latin

    la messe des fidèles défunts.

    La messe sera chantée en grégorien par des membres de l'Académie de Chant grégorien.

    En espérant vous y rencontrer.