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liturgie - Page 166

  • La liturgie de l'Esprit selon Mgr Aillet

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    FIC68802HAB40.jpgLa liturgie de l'Esprit de Marc Aillet

    (2012, Ed. Artège, 64 pp., 6,90 €)

    Présentation de l'éditeur : L’importance de la liturgie et du culte dans la vie chrétienne est depuis longtemps au cœur de l’enseignement du pape Benoît XVI. Mgr Marc Aillet se fait ici écho de cette volonté. Il dégage un certain nombre de lignes de force qui permettront de retrouver l’authentique esprit de la liturgie en assumant la vénérable tradition multiséculaire de l'Église. Un petit ouvrage clair et limpide d’un évêque français pour réaffirmer la place unique et centrale de la liturgie dans la vie de l’Église.

    L'auteur : Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron, est docteur en théologie, issu de la Communauté Saint-Martin. Il fut auparavant aumônier de lycée, curé de paroisse et vicaire général du diocèse de Fréjus-Toulon.

  • Journée grégorienne à Liège le 12 mai prochain

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    PLAIN-CHANT SUR LIÈGE LE SAMEDI 12 MAI 2012

    Copie de chantsgrégoriens22.jpg

    A 16 HEURES, A L'EGLISE DE L’ABBAYE DES BENEDICTINES

    (Boulevard d'Avroy, 54 à Liège)

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    CONCERT : « Les quatre saisons du plain-chant »

    Les plus belles mélodies grégoriennes et diaphoniques sélectionnées au fil des saisons  liturgiques seront  interprétées par l’Ensemble vocal parisien « Caliomène » (direction : Ximena Gonzalès), les trente élèves de l’Académie de Chant Grégorien à Liège (direction : Stephan Junker, professeur au conservatoire de Verviers) et les élèves de l’Académie des Juniors (direction : Patricia Moulan)  A l'orgue Le Picard (XVIIe s.) des Bénédictines : oeuvres baroques jouées par Patrick Wilwerth, professeur au Conservatoire de Verviers

    A  18 HEURES, A L'EGLISE DU SAINT-SACREMENT

    (Boulevard d’Avroy, 132 à Liège)

    Resurrection Weyden.jpg

    MESSE « Vocem iucunditatis » du cinquième dimanche après Pâques

    célébrée, selon le missel de 1962, par l’abbé Claude Germeau, directeur du foyer d’accueil des jeunes d’Herstal

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  • Le dimanche du « Bon Pasteur » à Malmedy

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    001.jpgÀ l’église des capucins de Malmédy, troisième édition, en ce dimanche du « Bon Pasteur », de la messe mensuelle selon la forme extraordinaire du rite romain. A nouveau une centaine de participants. Ce qui frappe : l’ancrage local, la piété naturelle, l’absence de cette atmosphère rétractile ou crispée qui afflige les chapelles intégristes. La messe était célébrée par l’abbé Jean Schoonbroodt (chapelain au sanctuaire de Banneux) qui prononça son homélie tant en français qu’en allemand et se mêla aux fidèles à l’issue de la messe, saluant tous et chacun dans sa langue maternelle. Au cours de la célébration, le propre grégorien du deuxième dimanche après Pâques alternait avec la polyphonie du « Jesu dulcis memoria » d’Edouard Senny, le célèbre motet « Isti sunt agni novelli », un choral de Bach pour la Résurrection et le « Das Grab ist leer » chanté avec conviction par toute l’assemblée qui « antiphona » aussi étonnamment bien le kyriale pascal avec les choristes. L’hebdomadaire du diocèse voisin d’Aix-la-Chapelle était venu « motu proprio » faire un petit reportage amical, prenant de nombreuses photos. Une rencontre sympathique sous le signe de la foi et de la saine tradition. Prochaine messe : le dimanche 20 mai, dans l’octave de l’Ascension. (18h00, chapelle des capucins, ruelle des capucins. Renseignements : tel. 080.33.74.85 ou 080.39.81.28).

  • Ni cet excès d'honneur, ni cette indignité...

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    Nous avons mis en ligne, il y a quelques jours, deux photos présentant le nouveau mobilier "liturgique" installé dans la cathédrale Saint-Paul, à Liège. Des accessoires, somme toute, assez banals, comme on en a placé beaucoup dans nos églises depuis Vatican II. Pas de quoi en faire un évènement comparable aux ajouts de l'époque de la Contre-Réforme, de l'âge baroque ou de la période néo-gothique. D'ailleurs, on n'en a plus vraiment les moyens, sinon l'inspiration. Pas de quoi non plus en faire une occasion de scandale comme l'ont fait certains sur un forum catholique de discussion, où l'on s'adonne volontiers à des exercices de critique outrancière, assez peu inspirée par l'amour de Dieu et du prochain. De quoi dégoûter d'éventuels curieux d'aller plus avant dans la fréquentation d'une certaine "blogosphère" toujours prête, au nom d'une pureté dont on pense être les champions, à dénigrer tout et n'importe quoi, et à désigner à la vindicte des plus purs tout ce qui serait censé être contaminé par une vision qui ne correspond pas à la leur. Ce tour d'esprit est assez insupportable et nous sommes près de regretter d'avoir donné à ces censeurs impitoyables une nouvelle occasion d'épancher leur bile usque ad nauseam.

  • Une "diaconie de la beauté"

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    annunc-d.jpgAnne Kurian, sur ZENIT.org, a interviewé Daniel Facerias au sujet de son initiative soutenue par Mgr Rey. C'est ici : L'art au service de la Beauté de Dieu. Cela donne envie de "foncer". Pourquoi pas dans nos paroisses, dès que possible ?

    « L'art est par essence le service de la Beauté de Dieu», déclare Daniel Facérias.

    Musicien français, auteur de nombreux spectacles religieux, il explique à Zenit la vocation et l’organisation de la « Diaconie de la Beauté » qu’il vient de lancer (cf. Zenit du 1er février 2012).

    Zenit - Pourquoi une "diaconie de la beauté" ?

    Daniel Facérias - Le terme grec « diaconia » signifie service. Une diaconie est un service d’Eglise à l’égard de la personne et de la société qui s’adresse habituellement aux pauvres et aux personnes en grande difficulté. L'art est par essence le service de la Beauté de Dieu. Il permet par son expression de rendre sacré un espace, une image ou une musique. Ce service est en même temps un service d'Eglise dans le sens de l'Annonce de l'Evangile aux artistes de plus en plus déchristianisés. Ainsi la diaconie de la Beauté a pour objectif de rendre avec l'Eglise la Beauté de Dieu aux artistes et de rendre les artistes à l'Eglise.

    Pourquoi une réconciliation des artistes avec l'Eglise est-elle nécessaire ?

    C’est une question essentielle aujourd’hui. La Beauté est le cœur de Dieu et la Splendeur de la Vérité. Elle est l’éclat tangible et visible de la Sainte Trinité, elle est le visage même de Dieu. Moïse ne pouvait pas contempler le visage de Dieu, les artistes chrétiens l’ont exprimé dans toutes les disciplines. L’ancienne alliance interdisait toute image taillée de Dieu, l’Eglise, la nouvelle alliance, encourage à manifester le Visage de Dieu fait homme.

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  • Encore un disfonctionnement dans la curie romaine ?

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    jpg_1350218.jpgROME, le 11 avril 2012 – Par une lettre autographe adressée au cardinal William J. Levada, Benoît XVI a ordonné à la congrégation pour la doctrine de la foi d’examiner si les messes néocatéchuménales sont conformes ou non à la doctrine et à la pratique liturgique de l’Église catholique.

    Il s’agit là d’un "problème" que le pape considère comme "d’une grande urgence" pour toute l’Église.

    Benoît XVI s’inquiète depuis longtemps des modalités particulières selon lesquelles les communautés du Chemin néocatéchuménal célèbrent leurs messes, le samedi soir, dans des locaux séparés.

    Ce qui a encore augmenté son inquiétude, c’est ce qui s’est tramé dans son dos à la curie, l’hiver dernier,

    Ce qui s’est passé, c’est que le conseil pontifical pour les laïcs, présidé par le cardinal Stanislaw Rylko, avait préparé le texte d’un décret d’approbation globale de toutes les célébrations liturgiques et extra-liturgiques du Chemin néocatéchuménal, à rendre public le 20 janvier à l’occasion d’une rencontre prévue entre le pape et le Chemin.

    Le décret avait été rédigé sur les indications de la congrégation pour le culte divin, présidée par le cardinal Antonio Cañizares Llovera. Les fondateurs et leaders du Chemin, Francisco "Kiko" Argüello et Carmen Hernández, en avaient été informés et, tout joyeux, avaient annoncé de manière anticipée l’approbation imminente à leurs disciples.

    Le tout à l’insu du pape. Benoît XVI a eu connaissance du texte du décret quelques jours seulement avant la rencontre du 20 janvier.
    Il l’a trouvé incohérent et erroné. Il a ordonné qu’il soit annulé et réécrit selon ses indications.

    En effet, le 20 janvier, le décret qui a été rendu public se limitait à une approbation des cérémonies extra-liturgiques qui marquent les étapes catéchistiques du Chemin.

    Et le pape, dans son discours, a souligné que seules celles-ci étaient validées. En revanche, en ce qui concerne la messe, il a donné aux néocatéchumènes une véritable leçon – presque un ultimatum – à propos de la manière de la célébrer en pleine fidélité aux normes liturgiques et en communion réelle avec l’Église. Voir ici : Cette messe étrange dont le pape ne veut pas

    Que la Curie romaine soit traversée par une tension entre courants contradictoires, les médias nous en apportent régulièrement  l’écho de plus en plus manifeste,  mesurable aux efforts que Benoît XVI déploie pour instiller une réforme de la réforme conciliaire. C’est que  le temps presse : le pape a aujourd’hui 85 ans, même si l’avenir appartient à Dieu…

  • La musique liturgique à Rome : grandeur et décadence ?

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    Qu’en est-il de l’héritage romain de Giovanni-Pierluigi da Palestrina (1525-1594) ou même, beaucoup plus près de nous, de Lorenzo Perosi (1872-1956) et de son successeur, le cardinal Domenico Bartolucci ?

    Un article publié sur le site « Chiesa » sonne l’alarme (extraits) : 

    Le cas de la Chapelle Sixtine est emblématique. La nomination de l’actuel maître de chœur, Mgr Massimo Palombella, a été préparée dans le secret des bureaux de la secrétairerie d’état du Vatican, qui sont certainement parmi les moins compétents en la matière. Et elle n’a pas du tout fait sortir ce chœur, qui accompagne les liturgies pontificales, de l’état de dégradation dans lequel il est tombé.

    Selon le  vaticaniste Sandro Magister le dernier bastion de la grande musique liturgique de l’Église latine, construit sur les colonnes du chant grégorien et de la polyphonie de Giovanni Pierluigi da Palestrina, risque de capituler d’un moment à l’autre. Ce bastion, c’est l’Institut Pontifical de Musique Sacrée, le conservatoire de musique du Saint-Siège institué par Pie X il y a un siècle pour donner une bonne orientation à la musique sacrée dans les églises du monde entier.

    Il est présidé par Mgr Valentino Miserachs Grau, 69 ans, Catalan, qui dirige également la Cappella Liberiana, le chœur de la basilique pontificale Sainte-Marie-Majeure. À ce poste, il a eu comme prédécesseur et maître Domenico Bartolucci, le plus illustre compositeur et interprète de la musique liturgique qu’ait eu l’Église romaine au cours du siècle dernier, ancien maître du chœur pontifical de la Chapelle Sixtine dont il fut brutalement évincé en 1996, et fait cardinal par Benoît XVI en 2010.

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  • La piété populaire, un fonds mal exploité ou délibérément méprisé ?

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    Fruit de nombreux siècles de civilisation chrétienne, la piété populaire est inscrite plus profondément que l’on ne le croit dans la mentalité collective. En témoignent, les succès de foule dans les sanctuaires, les dévotions persistantes à l’égard de l’Enfant Jésus de Prague, du Sacré Cœur, de la Vierge, de saints comme Rita, Antoine, Don Bosco, Vincent de Paul, devant lesquels brûlent constamment force bougies et luminaires.

    Il suffit qu’un prêtre intrépide ose convoquer les fidèles d’une cité réputée déchristianisée pour qu’un millier de fidèles répondent à son appel et témoignent de leur attachement au Christ en participant à un chemin de croix dans les rues de la ville. Ou encore, comme hier, jour de Pâques, dans mon église paroissiale bondée et exultante, tout simplement parce que les membres de la chorale avaient généreusement invité les gens du quartier à se joindre à eux pour la messe et une réception conviviale. L’excellence de l’accompagnement choral mais aussi le soin apporté par le célébrant à officier avec dignité, recourant à la symbolique de l’eau, des cierges allumés, de l’encens, ainsi que la profondeur de son homélie, ont fait de cette messe un grand moment de grâce. Les « miracles », pour peu qu’on veuille bien les susciter, ne se produisent pas qu’à Marseille dans l’église du Père Zanotti-Sorkine !

    Après des décennies d’enfouissement, il serait grand temps d’en appeler à ce fonds que représente la sensibilité religieuse des gens. Ceux-ci se sont éloignés d’églises où l’on a voulu promouvoir des formes liturgiques, soi-disant adaptées à notre temps, mais en réalité terriblement pauvres et peu susceptibles de développer une piété qui parle aussi aux sens, aux sentiments, à l’affectivité. Notre religion est une religion de l’incarnation, avec tout ce que cela comporte. Une religion rabougrie et desséchée, bavarde aussi, ne peut satisfaire cette attente complexe du cœur et de l’esprit.

    Le sacré a aussi ses exigences : de recueillement mais également de soin, d’application, de préparation, et  de beauté surtout. On ne peut concilier avec lui n’importe quelle forme d’expression. Ces banderoles ou ces montages en carton qui envahissent les podiums de nos églises durant les campagnes d’avent ou de carême, censés nous sensibiliser aux injustices du monde, sont souvent laids et offensent le caractère consacré du lieu. Ou encore, ces interventions multiples qui, avec des intentions louables, interrompent le déroulement de la liturgie. On ferait bien d’envoyer nos « animateurs » en stage prolongé chez nos frères orthodoxes qui les initieraient à la dimension mystique de la liturgie qui unit le ciel à la terre.

    Ces propos sont forcément sommaires mais ils nous sont inspirés par ces expériences récentes qui montrent qu’il ne faut pas désespérer mais oser en appeler à un "sens" religieux encore bien présent et - malheureusement - souvent inexploité. Encore faut-il qu'on s'y applique sans tarder car l'usure du temps et la prégnance du matérialisme ambiant pourraient bien avoir raison de ces ressources "dormantes"...

  • Chemin de croix dans les rues d'Uccle

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    arton4178-6b12a.pngChemin de croix dans les rues d'Uccle.Vivre avec notre cœur et notre corps le mystère de l’Amour qui s’est livré pour chacun de nous et qui vit avec nous chacune de nos souffrances est la clef qui permet d'accéder à la joie de Pâques. Cet Amour est offert à tous, croyants ou non. Voilà pourquoi l'Unité Pastorale Boetendael a décidé de vivre et de témoigner de cette rencontre au milieu de l'espace public, à l'image du Christ Lui-même, qui a souffert sa passion à la vue de tous les habitants de la ville.Cet évènement est ouvert à tous les âges, et tout particulièrement aux jeunes et aux familles pour qui l'expérience d'un vécu concret est tellement importante.

    L’homme contemporain a besoin de rencontrer le Christ crucifié et ressuscité !
    (Jean Paul II)

    Départ devant l’église St-Marc (av. De Fré, à côté du Delhaize) à 18h45

    Pour ceux qui le désirent, le chemin de croix est suivi de l'office du Vendredi Saint à l'église Saint-Marc.

  • Liège : les catholiques sortent des églises

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    Nous lisons dans Le Soir : "Les catholiques sortent des églises vendredi. Pour la première fois, un chemin de croix est organisé au centre-ville."

    phpThumb_generated_thumbnailjpg.jpgC'est une première dans le centre-ville liégeois : à l'initiative des deux doyens – rive gauche et rive droite –, les catholiques devraient se retrouver vendredi pour un chemin de croix allant de Saint-Pholien à Saint-Paul, en passant par la place Saint-Lambert, « lieu du martyr de l'évêque saint Lambert mais aussi en mémoire des victimes de la tuerie de décembre dernier, sans oublier le drame de la rue Léopold et les petites victimes du terrible accident de Sierre. »

    Amené par l'évêque Aloys Jousten, ce rassemblement se veut « ouvert à tous » mais « les marcheurs suivront symboliquement une grande croix et porteront des cierges. »

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  • L’avenir des églises

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    A propos du dossier sur le sort des lieux de culte paru dans « L’Avenir » (29 mars) auquel nous avons fait écho ici : La grande pitié des églises de Wallonie : la détermination de Monseigneur Jousten,  le Doyen de Liège (rive gauche), Eric de Beukelaer, y va, sur son minoblog, d'un commentaire, qui abonde dans le sens du (nouveau) discours de son évêque :

    « (…) La sécularisation et le pluralisme religieux changent la donne quant au patrimoine immobilier catholique. Il est donc normal que le sujet fasse débat et que le pouvoir politique s’en saisisse. Surtout en temps de récession économique, où chaque denier d’argent publique doit être justifié. Mais le faire en lorgnant exclusivement vers les statistiques de pratique dominicale, est totalement hors propos.

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  • Le Vendredi Saint 6 avril 2012 décrété jour férié à Cuba

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    Le président cubain Raoul Castro a décrété "exceptionnellement" férié le 6 avril prochain, Vendredi Saint. Le régime cubain accède ainsi à la requête formulée par Benoît XVI au cours de son voyage à Cuba. L’annonce a été faite ce samedi par le quotidien officiel cubain « Granma » qui indique que « le conseil des ministres de la République de Cuba a accepté que le travail s'arrête le prochain vendredi 6 avril ». Le président précise qu’il appartient maintenant aux organes supérieurs de la nation de prendre une décision définitive à ce sujet. En décembre 1997, Fidel Castro avait décrété le 25 décembre, exceptionnellement jour férié, à l'approche de la visite de Jean Paul II dans l'île. Une décision qui a ensuite été confirmée de façon définitive par les autorités cubaines. Depuis la visite de Jean Paul II, Noël est donc resté férié dans l'île communiste. Ce dimanche 1er avril alors que commence la Semaine Sainte, le Directeur de la Salle de Presse du Saint-Siège affirme voir en ce jour férié "un signe très positif".

    Texte intégral de la déclaration du Directeur de la Salle de Presse du Saint-Siège

    "Le fait que les autorités cubaines aient si rapidement répondu à la demande du Saint Père au président Raoul Castro, en déclarant le prochain Vendredi Saint "jour férié", est certainement un signe très positif. Le Saint-Siège espère qu'il permettra une plus grande participation aux célébrations et aux festivités pascales, et également que dans le futur, la visite du Saint Père continue de porter les fruits désirés pour le bien de l'Eglise et de tous les Cubains."

    Alors que l’Occident « libéral avancé » parle de poursuivre la suppression des jours fériés chrétiens amorcée depuis deux siècles, voici qu’une dictature communiste sur le déclin entreprend le chemin inverse. À méditer.