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liturgie - Page 173

  • La communion « dans la main », une fausse restauration liturgique ?

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    dominusestmonsathanasiuje6.jpgLe site « Kreuz-net » cite (en allemand) cette interview de Mgr Athanasius SCHNEIDER, évêque au Kazakstan donnée à Radio Maria Südtirol et traduite par un correspondant du « forum catholique :

    « La communion dans la main actuelle n'a pas de racines dans l'Église primitive. Évêque auxiliaire (50 ans) d'Astana, la capitale du Kazakhstan . Monseigneur Schneider, spécialiste de patristique armé d'un doctorat, nous l'a expliqué le 19 juillet. "La communion dans la main a été inventée après Vatican II de façon tout à fait innovatrice". L’évêque constate que la communion dans la main n'a rien à voir avec la primitive Église. L'affirmation, que la communion dans la main date des premiers siècles, est historiquement fausse. L'Église primitive a pratiqué une toute autre forme de recevoir la communion.

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  • Une bonne raison de défendre la "messe traditionnelle"...

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    Lu sur Americatho, cette réflexion de Mgr Coyne, évêque auxiliaire d'Indianapolis :

    "...À chaque fois que des gens me demanderont pourquoi certains dans l’Église veulent la « forme extraordinaire », la Messe latine traditionnelle, je crois que je pourrai leur donner au moins une bonne raison. (...) Quand on assiste à la Messe selon le rit tridentin, on sait ce qu’on va avoir. Personne n’y est “créatif”, personne n’y fabrique ses propres prières ou son propre rit, et la question de la validité ne se pose jamais. Je suis un enfant de Vatican II. Dès l’époque où je suis suffisamment âgé pour comprendre ce qui se passait à la Messe, c’était avec la Messe de Paul VI. J’ai été formé dans cette Messe. Je l’ai étudiée. Je l’aime. C’est dans cette Messe que j’ai été ordonné diacre, prêtre et évêque et pour la célébrer pour le peuple de Dieu. Je n’ai aucun désir de célébrer le rite tridentin, mais à chaque fois que j’en entends certains critiquer ceux qui veulent la Messe “traditionnelle”, j’incline de plus en plus à comprendre pourquoi ils veulent cette forme de la Messe. Peut-être que si chaque prêtre s’efforçait de respecter la célébration convenable de l’actuelle Messe de Paul VI – selon les rits de l’Église et non selon le rit du Père X –, il y aurait peut-être moins de clameur demandant le rit “traditionnel”. Ce n’est qu’une réflexion."

    source : http://www.americatho.org/

  • Encore plus fort que l’abbé Marcel Gravet

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    Nous avons relaté - ICI , ICI et ici : Buissonville (Rochefort) : l'affaire est grave et Mgr Vancottem ne peut se dérober- les provocations de l’abbé Marcel Gravet (diocèse de Namur), bénéficiant du concours actif de son doyen et, jusqu’ici, du silence de son évêque.

    Voici encore plus fort, lu sur le site « garrigues et sentiers ». C’est un appel à la désobéissance émanant de prêtres et diacres autrichiens, publié le 19 juin dernier :

    « Le refus romain d’une réforme de l’Église nécessaire depuis bien longtemps et l’inaction des évêques non seulement nous autorisent, mais nous obligent à suivre notre conscience et à agir de notre propre initiative : Nous prêtres voulons porter à votre connaissance nos intentions futures :

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  • Le rite de la communion dans la forme ordinaire de la messe

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    Un quotidien français rapporte ces déclarations faites  par le Cardinal Antonio Canizares :

    "Dans une interview accordée au média internet hispanophone ACI Prensa, le préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements a recommandé avec une insistance inédite que les fidèles communient sur la langue et à genoux. Venant de lui, en des termes aussi nets, cette prise de position est pour le moins importante. Même si fait toujours défaut une disposition claire adressée d’autorité aux évêques de rite latin du monde entier… La question posée par ACI Prensa était de savoir s’il est recommandable que les fidèles reçoivent la communion dans la main.

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  • Quel jour faut-il célébrer la Fête-Dieu ?

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    Le journal « La Croix « (29.06.20111)  signale que le cardinal Cañizares propose de rétablir la Fête-Dieu le jeudi : « Dans un entretien dimanche 26 juin à Radio-Vatican, le cardinal Antonio Cañizares Llovera, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, a suggéré de faire revenir la fête du Corps et du Sang du Christ au jeudi pour toute l’Église. « Je crois que la fête du Corpus Domini, séparée du dimanche, serait porteuse d’espérance car cela permettrait de dire à tous, au milieu de la semaine, que le Christ est au centre de tout. » Selon lui, cela permettrait aussi de mieux rattacher cette fête au Jeudi saint.

    Née à Liège (Belgique) au XIIIe siècle, à la suite des visions de la religieuse Julienne du Mont-Cornillon, la Fête-Dieu a été étendue à toute l’Église en 1264 par le pape Urbain IV qui la fixe au jeudi après l’octave de la Pentecôte. En France, depuis le Concordat de 1801, la fête du Saint-Sacrement est solennisée le dimanche suivant. C’est aussi le cas dans les pays où ce n’est pas traditionnellement un jour chômé (par exemple en Italie) ».

     A Liège, elle fut célébrée cette année par l’évêque le jeudi 23 juin à la basilique Saint-Martin et, en principe, sa Solennité eût lieu ailleurs le dimanche 26  (ou le samedi soir, aux messes dominicales anticipées). Une procession liée à la fête s'est déroulée le samedi 25 dans le doyenné de la rive-gauche tandis qu’une certaine confusion (entretenue par le site web du diocèse lui-même, ici Procession de la Fête-Dieu - Liège Rive droite)  jouait en Outremeuse, où la paroisse de Saint-Pholien organisait le 26 juin sa procession annuelle du 4e dimanche de juin laquelle, par les hasards du calendrier liturgique, coïncidait, en 2011, avec la célébration Fête-Dieu !

     De fait, un peu d’ordre dans tout cela, ne ferait pas de tort.

     JPS

  • Le sectarisme n’est pas toujours là où vous pensez

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    6a00d83451619c69e20154337dc4f5970c-320wi.jpgEpinglée par « Le salon beige », cette réaction d'un lecteur, parue dans le n° 1746 de l’hebdomadaire «  Famille chrétienne » :

     "Nous avons été révoltés de la une de votre dernier numéro 1743 du 11 au 17 juin 2011 (http://www.famillechretienne.fr/informations-sur-un-numro_80.php?Num=1099): une photo d'un prêtre "tradi" qui célèbre dans des habits anciens, dos aux fidèles, et certainement loin d'eux. C'est faire trop d'honneur aux "tradis" de leur accorder cette une. Avec leurs célébrations, leurs habillements et leurs coutumes ancestrales, ils font fuir et repoussent les jeunes et les chrétiens "moyens" d'aujourd'hui. Quand Jésus a institué la Cène, il a dit : "Prenez et mangez". Il n'a pas dit : "Ouvrez la bouche et passez la langue"... A Noël dernier, nous avons abonné deux de nos jeunes ménages à votre hebdomadaire en leur disant qu'il s'était modernisé... Vous imaginez leurs réflexions !"

     L'abbé Eric Iborra, vicaire à la paroisse St Eugène (Paris 9e), qui est le prêtre en photo, répond sur Facebook :

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  • Un rite romain unique : l'objectif de Benoît XVI ?

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    "...l’objectif de Benoît XVI – on le sait et le cardinal Kurt Koch, président du conseil pontifical pour l'unité des chrétiens, l’a réaffirmé le 14 mai à Rome, lors d’un colloque consacré au motu proprio "Summorum Pontificum" – n’est pas de faire coexister indéfiniment les deux formes du rite, la moderne et l’ancienne. À l’avenir, l’Église aura de nouveau un rite romain unique. Mais le chemin que le pape voit devant lui pour intégrer les deux formes actuelles du rite est long et plein de difficultés. Et il rend nécessaire la naissance d’un nouveau mouvement liturgique de grande qualité, comme celui qui a préparé le concile Vatican II et auquel Ratzinger lui-même a puisé, le mouvement liturgique de Guardini et de Jungmann, de Casel et de Vagaggini, de Bouyer et de Daniélou, de ces grands qui – ce n’est pas un hasard – ont aussi été des critiques sévères des développements liturgiques postconciliaires.

    De même que la liturgie a été, au cours des dernières décennies, le domaine dans lequel se sont manifestées les ruptures les plus évidentes entre le présent de l’Église et sa tradition, de même, avec Benoît XVI, l'herméneutique de la "réforme dans la continuité" a trouvé dans la liturgie son terrain d’épreuve le plus spectaculaire."

    Telle est la conclusion d'un exposé fait par Sandro Magister lors d'un colloque organisé à Pavie, le 21 mai dernier, consacré à Benoît XVI en tant que législateur canonique. On découvrira cet exposé ainsi qu'un bilan des six années de "gouvernement" de Benoît XVI sur le site de S. Magister : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1348526?fr=y

    Nous sommes heureux de constater que les remarques que nous avions faites sur l'existence de deux rites dans l'Eglise latine vont dans le sens des perspectives ouvertes ici.

  • 60e anniversaire d’ordination sacerdotale : hommage à Benoît XVI et 60 heures d’adoration eucharistique

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    P1010267.JPGL’agence Zenit communique : «  Pour le 60ème anniversaire d’ordination sacerdotale du pape Benoît XVI les artistes lui rendront hommage à travers une exposition qui sera présentée vendredi 17 juin au Vatican par le cardinal Ravasi et par Mgr Pasquale Iacobone, responsable du département « Art et Foi » du Conseil pontifical.

    L’exposition s’intitule : « La splendeur de la vérité, la beauté de la charité ». Elle sera organisée dans l’atrium de la salle Paul VI du Vatican, et elle sera inaugurée par le pape Benoît XVI le 4 juillet.

    Le pape Benoît XVI a été ordonné prêtre dans la cathédrale de Freising, par le cardinal Michael von Faulhaber, le même jour que son frère aîné, Georg, le 29 juin 1951, en la fête des saints Pierre et Paul.

    Rappelons qu’à l’occasion de cet anniversaire, la Congrégation pour le clergé invite tous les catholiques du monde à soixante heures d’adoration eucharistique aux intentions du pape pour l'Église et pour le monde, pour les prêtres, pour le clergé et les vocations sacerdotales (du 29 juin 2011 au 1er juillet 2011) »

    Décréter  une adoration aux intentions de Benoît XVI depuis les bureaux d’une congrégation romaine est une chose, la réaliser sur le terrain, une autre. Avis à tous ceux qui, dans les sanctuaires, paroissiaux ou autres, ont gardé la tradition d’adorer régulièrement le Seigneur dans l’Eucharistie.

  • A Valenciennes, on ne fait pas que de la dentelle

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    Valenciennes, c'est déjà un peu la Belgique ! Et s'il n'y avait pas eu Louis XIV...

    Sans titre.jpg

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  • Connaissez-vous " Pro Liturgia " ?

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    "De juillet à août 1988, des jeunes de la paroisse de Rouffach (Haut-Rhin, diocèse de Strasbourg) organisent une exposition sur le chant grégorien. Parmi les visiteurs, nombreux sont ceux qui avouent ne plus se sentir attirés par les liturgies aléatoires et souvent désacralisées qui se déroulent dans la quasi totalité des paroisses de France, essentiellement en raison d'une mauvaise application des décisions prises par le Concile Vatican II. . / ...

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  • Les intentions de Benoît XVI au sujet de la messe traditionnelle et de la Fraternité Saint-Pie X

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    "Nouvelles de France" publie une longue interview de monseigneur Pozzo :

    "Mgr Pozzo, Secrétaire de la Commission pontificale Ecclesia Dei a reçu les Nouvelles de France au Vatican. Il explique les intentions de Benoît XVI envers la messe traditionnelle et la Fraternité Saint Pie X."

    à découvrir ICI

  • Liturgie : le pape n'irait pas plus loin

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    C'est en tout cas l'opinion de Jean-Marie Guénois sur Religioblog :

    "Retour de Zagreb, via Rome où l'on ne perd jamais son temps car il y a toujours quelque chose à saisir de l'air du temps "catholique", à son plus haut niveau. Les vrais sommets spirituels sont certes, humbles et cachés et il y en a plus que l'on ne croit... y compris au Vatican d'ailleurs !

    Mais en ce lieu, au Saint-Siège, on décide de la politique de l'Eglise, du cap et de la marche à suivre. Et il m'apparait que beaucoup de commentaires lus, ici et là, sur la réforme liturgique se trompent vraiment. 

    Ils attendent en effet de Benoît XVI qu'il aille encore plus loin dans la réforme liturgique et qu'il transforme, en quelque sorte, le rite "extraordinaire" de la messe en latin, selon le missel de 1962, en rite "ordinaire". C'est à dire pour tous en une sorte de retour à la messe en latin, antérieure à la réforme liturgique... (la suite de cette analyse est à découvrir ICI)

    Sa conclusion :

    "Quant à la "réforme liturgique", elle avance par l'exemple. Elle ne concerne pas tant la forme de la célébration que son esprit. Benoît XVI, on l'a encore vu en Croatie, cherche sans mot dire, par sa façon de célébrer la messe, à déclencher une nouvelle culture (quand celle-ci n'existe pas) pour un respect absolu de la dimension transcendentale de la célébration eucharistique. Ce n'est pas un "combat" pour lui mais une sorte de prière. Il l'adresse à tous."