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liturgie - Page 169

  • L’esprit de la musique selon Benoît XVI

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    n70535505768_1444349_6473699.jpgIl s’agit d’un volume de 220 pages, paru chez Artège (22 €) une maison d'édition créée au début de l'année 2010 et consacrée à la spiritualité, l’histoire, la géopolitique ou encore aux débats de société ainsi qu’aux témoignages marquants. (Adresse :  11, rue du Bastion Saint-François - F-66000 Perpignan).

    Sur le site de la paroisse Saint-Jean-de-Malte à Aix-en-Provence, l'un des responsables de la paroisse, le Fr. Daniel Bourgeois, consacre un long commentaire à ce livre. Extraits: 

     « (…) C’est un certain abbé Eric Iborra, [ndlr : vicaire parisien bien connu des fidèles de l’église Saint-Eugène-Sainte Cécile et même des Liégeois du Saint-Sacrement où il est venu récemment donner une conférence sur la pensée de Benoît XVI] qui a réuni un très intéressant corpus de textes de Joseph Ratzinger (…) publiés sur la musique. Je suis littéralement tombé en arrêt parce que je crois que Joseph Ratzinger cache bien son jeu : il parle très franchement, mais ce qui surprend dans la lecture de ce livre, c’est la somme incroyable de connaissances musicologiques dont témoigne cet homme. Il cite tout le monde, depuis Haydn en passant par Bach, Hindemith, les grands critiques modernes, les spécialistes de musique pop et de musique rock, sans oublier les professeurs allemands de liturgie. Il a tout lu ! (…)

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  • Messes traditionnelles à Malmedy à partir du 26 février 2012

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    3348_19856_0_fr.jpgSuite à la décision prise par l’évêque de Liège, une messe dominicale traditionnelle (missel de 1962) aura désormais lieu tous les mois à l’église des Capucins, Ruelle des Capucins à Malmedy.

    La première messe sera célébrée le dimanche 26 février prochain à 18 heures par M. l’abbé Claude Germeau. L’abbé Germeau dirige le Foyer d’Herstal, une maison qui a accueilli depuis de nombreuses années des centaines de jeunes de la rue, dans l’esprit des petits frères de Charles de Foucauld centré sur l’adoration eucharistique.

    Le plain-chant de la messe du 26 février sera celui du propre de la messe du premier dimanche de carême et c’est la « missa brevis »  à trois voix égales de  Claudio Casciolini (Rome, 1697-1760) qui sera interprétée pour les pièces de l’ordinaire (Kyrie, Sanctus, Agnus Dei).

    Voici le calendrier complet des célébrations pour 2012, établi en concertation avec le Curé-Doyen de Malmedy :26 février, 1er dimanche du carême ; 18 mars, 4e dimanche de carême (« Laetare ») ; 22 avril, 2e dimanche après Pâques (« bon Pasteur ») ; 20 mai, dimanche après l’Ascension ; 17 juin, 3e dimanche après la Pentecôte ; 22 juillet, 8e dimanche après la Pentecôte ; 19 août, 12e dimanche après la Pentecôte ; 23 septembre, solennité de saint Lambert, patron du diocèse ; 21 octobre, 21e dimanche après la Pentecôte ; 18 novembre, 25e dimanche après la Pentecôte ; 9 décembre, 2e dimanche de l’avent.

     Toutes ces messes seront célébrées à 18 heures, à la Chapelle des Capucins. Pour plus de renseignements, tél. 080.33.74.85 (L. Aussems) ou 080/39.81.28 (P. Lambert).

  • La Chandeleur

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    present.jpgSens des cérémonies de ce jour d'après Missel.free

    (ci contre : la Présentation par Fra Angelico - Florence - San Marco)

    "Les diverses cérémonies que l'Eglise accomplit au jour de la Présentation du Seigneur au Temple sont comme un commentaire vivant de l'évangile lu à la messe ; les liturgistes du Moyen-Age en ont tiré des leçons édifiantes et salutaires. Pour Yves de Chartres, la cire des cierges signifie et représente la chair virginale de Jésus qui n'a point altéré, ni par sa conception ni par sa naissance, l'intégrité de Marie ; la flamme des cierges symbolise le Christ, lumière qui est venue illuminer nos ténèbres. Durand de Mende dit que « nous portons des cierges allumés en procession pour faire écho à la parole de Siméon qui salue en Jésus la lumière du monde, pour signifier l'humanité et la divinité du Christ, pour proclamer la pureté inaltérable de Marie, pour imiter les vierges sages qui accompagnent le céleste époux jusqu'au temple de la gloire. » Invocations au Père des lumières et à Jésus-Christ, lumière du monde, les prières de la bénédiction des cierges rappellent les touchantes circonstances des mystères de ce jour. L'usage de ces cierges bénits devra, selon les intentions de l'Eglise, procurer aux fidèles la santé de l'âme et du corps, les délivrer des ténèbres de l'erreur et du vice, leur montrer ce qui est agréable à Dieu et leur mériter l'entrée dans le séjour de l'éternelle lumière."

  • Encore le Vatican et les liturgies néo-catéchuménales : oui, non, mais ?

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    Le site Chiesa du « vaticaniste » Sandro Magister tente à son tour d’expliquer au commun des mortels. Extraits:

    "CITÉ DU VATICAN, le 23 janvier 2012 – Avant l’audience qui lui a été accordée par Benoît XVI il y a trois jours, le bruit courait, au Chemin néocatéchuménal, qu’à cette occasion, les “liturgies” du mouvement ecclésial fondé par Francisco "Kiko" Argüello et Carmen Hernández allaient être définitivement approuvées.

    Ces rumeurs allaient jusqu’à affirmer que le document de validation était prêt.

    En réalité, cette mesure n’était absolument pas à l’ordre du jour au Vatican, comme on a pu s’en rendre compte au cours de l’audience que le pape a accordée au Chemin le 20 janvier. En effet, un décret du conseil pontifical pour les laïcs a été lu au début de cette audience. Avec "l’avis favorable de la congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements", il concède simplement "l’approbation des célébrations figurant dans le Directoire catéchétique du Chemin néocatéchuménal qui ne sont pas encore, en raison de leur nature, régies par les livres liturgiques de l’Église".

    Plus clairement, le pape a réaffirmé dans son discours que, dans le décret en question, seules "sont l’objet de l’approbation les célébrations" présentes dans le Directoire catéchétique qui "ne sont pas strictement liturgiques".

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  • Célébration de la messe : non, Rome n’a pas accordé de dérogation au Chemin néo-catéchuménal

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    L’association « Pro Liturgia » attire notre attention sur l’information erronée qui circule et selon laquelle le pape aurait consenti aux « particularités » du mouvement néo-catéchuménal dans la célébration de la messe et, de fait, dans le communiqué de Vatican Information Service (V. I. S.) que nous avons publiée ici La  liturgie latine s’est-elle « enrichie » aujourd’hui d’un nouveau rite ? il fallait lire avec plus de soin : le Conseil pontifical pour les laïcs, avec l’avis favorable de la Congrégation pour le culte divin et les sacrements approuve les célébrations du Directoire catéchetique de ce mouvement  « non encore fixées par les livres liturgiques de l’Eglise » Ce qui exclut donc certainement la célébration de la messe.

     Voici le commentaire que publie utilement à ce sujet le site « Pro Liturgia »

     20/1/12 : Chemin néocatéchuménal : un nouveau rappel à l'ordre ?
    « Le Pape Benoît XVI a appelé les membres du Chemin Néocatéchuménal à une plus grande obéissance à l’égard des évêques diocésains et à une meilleure insertion dans la vie ecclésiale locale.
    Lors d’une rencontre avec 7 000 membres de ce mouvement au Vatican, le Pape a déclaré que l’unité au sein de l’Eglise, et les rapports harmonieux entre ses membres étaient un témoignage capital en faveur du message chrétien. Le Chemin Néocatéchuménal devra constamment veiller à rester en communion avec le Saint Siège et l’Ordinaire du lieu. Ses membres ne devront pas se mettre en marge de la paroisse qui les accueille pour mener une vie à part.Le Pape autorise le néocatéchuménat à célébrer la messe dominicale dès le samedi soir, et en petits groupes ; ceci pour attirer des personnes qui se sont éloignées de l’Eglise, ou d’autres qui ne seraient pas encore suffisamment formées aux richesses de la vie sacramentelle. La célébration de l’Eucharistie, sommet de la vie chrétienne, devra pourtant, par principe, rester ouverte à tous les fidèles. Même au cours des parcours de formation organisés par ce mouvement, il n’y aura pas lieu de se mettre à part de la communauté paroissiale. Les célébrations devront suivre la « forme ordinaire » de la liturgie.Parallèlement, le Pape a reconnu la contribution des membres du Néocatéchuménat au renouveau de la foi chrétienne. En suivant le Christ, ils font éclater l’individualisme et l’égoïsme qui imprègne la société actuelle.
    Benoît XVI a ensuite précisé qu’avec cette approbation des célébrations telles qu’elles sont prévues par le « Directoire catéchétique du Chemin Néocatéchuménal » l’Eglise entendait accompagner le Mouvement avec intérêt et esprit de discernement. L’Eglise reconnait la grande valeur du Néocatéchuménat, mais reste attentive à son enracinement dans l’Eglise universelle. Par le décret publié ce vendredi par le Conseil Pontifical pour les laïcs, certaines « célébrations » ont été autorisées qui, bien que non strictement liturgiques, représentent un chemin pour la croissance de la Foi. »Décidément, Benoît XVI est très habile ; il poursuit la "réforme de la réforme" liturgique en faisant rentrer le Chemin NC dans le rang. Sera-t-il suivi ?(On notera en passant que l'agence Zenit donne une information erronée visant à faire croire que le Pape a approuvé les célébrations liturgiques du Chemin NC.)  Chemin néocatéchuménal : un nouveau rappel à l'ordre ?

     

     

  • La liturgie latine s’est-elle « enrichie » aujourd’hui d’un nouveau rite?

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    CITE DU VATICAN, 20 JAN 2012 (VIS). Le Conseil pontifical pour les laïcs a rendu public le décret du 8 janvier approuvant les célébrations contenues dans le directoire catéchistique du Chemin néocatéchuménal. En voici la substance: Par son décret du 11 mai 2008, ce Conseil "a définitivement approuvé les statuts du Chemin néocatéchuménal. Puis, après consultation de la Congrégation pour la doctrine de la foi, il a autorisé par décret du 26 décembre 2010 la publication du directoire catéchistique" du mouvement. "Par conséquent, vus les articles 131 et 133,1 - 2 de la Constitution apostolique Pastor Bonus relative à la Curie Romaine, et avec l'avis favorable de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, ce même Conseil approuve les célébrations du Directoire non encore fixées par les livres liturgiques de l'Eglise".

  • Les 5 plaies de la liturgie, obstacles à la nouvelle évangélisation

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    Image-1-copie-23.jpgLu sur le « Salon beige » :

    « Hier, lors de la 4e rencontre pour l'unité catholique, organisée par Réunicatho à Paris, Mgr Athanasius Schneider, évêque auxiliaire d'Astana au Kazakhstan (photo), a fait une intervention remarquée. Celui que Sandro Magister qualifie de "meilleur élève" de Benoît XVI (avec le cardinal Ranjith) a dénoncé les désordres liturgiques, en montrant, texte à l'appui, que certaines applications de la forme ordinaire étaient en contradiction avec la Constitution sur la sainte liturgie du Concile Vatican II, Sacrosanctum Concilium.

    Il a énoncé les 5 plaies qui défigurent la liturgie aujourd'hui :

    -la célébration vers le peuple, sans crucifix au centre de l'autel (crucifix et tabernacle sont mis de façon quasi-systématique de côté dans l'église, sauf s'il y a intervention des Monuments historiques...)
    -la communion dans la main (il a écrit un ouvrage sur ce sujet)
    -la disparition du latin et du chant grégorien
    -le nouvel offertoire
    -les fonctions de lecteur et d'acolyte, dans le choeur, sont effectués par des femmes ou par des laïcs en civil

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  • Dimanche de l'Epiphanie : la joie d'être illuminés par la foi

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    Le commentaire du jour proposé par Evangile au Quotidien :

    Bienheureux Guerric d'Igny (v. 1080-1157), abbé cistercien
    3e sermon pour l'Épiphanie ; SC 166 (trad. SC p. 271)

    « Aujourd'hui, Seigneur, tu as révélé ton Fils unique aux nations » (Collecte)

          « Lève-toi, resplendis, Jérusalem, car elle est venue, ta lumière ! » (Is 60,1) Sois bénie, Lumière « venue au nom du Seigneur » ! « Le Seigneur est Dieu et il a brillé sur nous » (Ps 117,26-27). Par sa bienveillance, ce jour sanctifié par l'illumination de l'Église a brillé sur nous. C'est pourquoi nous te rendons grâce, « Lumière véritable qui éclaire tout homme venant en ce monde » (Jn 1,9), et qui, pour cela précisément, es venue dans le monde en prenant une forme humaine. Elle resplendit Jérusalem, notre mère (Ga 4,26), mère de tous ceux qui ont mérité d'être illuminés ; elle éclaire désormais tous ceux qui sont dans le monde. Nous te rendons grâce, Lumière véritable : tu t'es faite lampe pour éclairer Jérusalem et pour que le Verbe, la Parole de Dieu, devienne « la lampe de mes pas » (Ps 118,105)... Et elle n'a pas seulement été illuminée, elle a été « élevée sur un lampadaire », tout en or massif (Mt 5,15; Ex 25,31). La voilà devenue « la ville située au sommet des montagnes » (Mt 5,14)...pour que son Évangile brille aussi loin que s'étendent les empires du monde...

          Dieu, toi qui illumines toutes les nations, pour toi nous avons chanté : « Le Seigneur va venir, il illuminera les yeux de ses serviteurs ». Maintenant tu es venue, ô ma Lumière : « Illumine mes yeux, pour que je ne m'endorme jamais dans la mort » (Ps 12,4)... Tu es venue, Lumière des croyants, et aujourd'hui tu nous as donné la joie d'être illuminés par la foi, qui est notre lampe. Donne-nous aussi toujours la joie de voir s'éclairer ce qui reste en nous de ténèbres...

          Voilà la route qu'il faut prendre, âme fidèle, pour parvenir à la patrie où « les ténèbres seront comme midi » (Is 58,10) et « la nuit sera claire comme le jour » (Ps 138,12). Alors « tu verras et tu seras radieuse, ton cœur s'émerveillera et se dilatera », lorsque toute la terre sera remplie de la majesté de la lumière infinie et que « sa gloire sera manifestée en toi » (Is 60,5.2)... « Venez, marchons à la lumière du Seigneur ! » (Is 2,5) Alors « en fils de lumière » nous marcherons « de clarté en clarté, comme conduits par le Seigneur qui est Esprit » (2Co 3,18).

  • L'abbaye de Lagrasse, l'apostolat de la beauté

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    MEDIA_090ea065-e413-4f50-988d-c43f113adedb.jpgLe mensuel « La Nef » publie dans son n°223 de janvier 2012 une interview du TRP Emmanuel-Marie de Saint-Jean, Père-Abbé de l’abbaye de Lagrasse (dans le massif des Corbières, non loin de Carcassonne) par Florence Eibl

    Extraits :

    « La Nef – Depuis votre installation à l’abbaye de Lagrasse en 2004, vous avez entrepris des travaux de restauration considérables (…) Pourquoi restaurer une abbaye ancienne, plutôt que de faire construire un nouveau monastère ? Quel sens donnez-vous à cette restauration ?

    La résurrection d’un patrimoine spirituel est une œuvre qui nous inscrit dans une histoire plus grande que nous-mêmes. Nous entrons dans une lignée, nous sommes des héritiers. L’abbaye de Lagrasse a été l’une des premières abbayes de France consacrées à la Vierge Marie. Pour notre communauté toute consacrée à Notre Dame, en un sens, c’était servir Marie que de restaurer son domaine. Cela demande de l’humilité, parce qu’il faut entrer dans une démarche respectueuse des siècles passés. Un bâtiment médiéval, un bâtiment du XVIIIe siècle ne se plient pas aux lois de notre vouloir. Ils imposent une adaptation qui n’est pas toujours facile – lorsqu’il s’agit de mettre aux normes, par exemple, la future cuisine ! Lorsque nous avons projeté l’achat de l’abbaye, nous avons hésité, à cause de l’aspect colossal des travaux à venir. Mais finalement, nous avons été séduits par le défi que représentait cette aventure. Restaurer une abbaye, c’est aussi montrer que le passé peut s’épanouir dans l’avenir, que la tradition est une semence d’espérance pour le futur. Je crois que c’est cela aussi qui séduit nos bienfaiteurs, sans lesquels nous ne pourrions relever ce défi. Ils y voient une manière d’exprimer le mystère de l’espérance.

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  • A Liège, une Académie de Chant Grégorien pour les Juniors

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    Van Eyck anges chanteurs.jpgInformation de presse

    A Liège, l’Académie de Chant Grégorien ouvre un cycle de cours pour les Juniors le 28 janvier

    Au mois de novembre 2011, l’Académie de Chant grégorien lançait à l’église du Saint-Sacrement à Liège son 9e cycle de cours pour adultes. Trente inscrits à ce cycle, préparent, en douze leçons dirigées par Stéphan Junker, professeur au conservatoire de Verviers, une après-midi festive qui illustrera « les quatre saisons du plain chant ». La manifestation aura lieu le samedi 12 mai prochain de 16 à 18 heures, au Saint-Sacrement et à l’église des Bénédictines.

    A partir de cette année, la possibilité est aussi offerte d’inscrire des jeunes de 8 à 16 ans à l’Académie des Juniors : un cycle d’initiation à la pose de la voix et à la lecture musicale grégorienne, en cinq leçons données à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132 à Liège) de janvier à mars 2012  (samedis 28/1, 11/2, 3/3, 17/3 et 31/3 de 15 à 17h), sous la direction de Patricia Moulan. Formée au Conservatoire de Verviers, Patricia Moulan est aussi organiste et membre de plusieurs chorales, telles que le Chœur Universitaire de Liège, l’Ensemble Praeludium et la Maîtrise de la Ville de Verviers. La formation est ouverte à tous sans prérequis.

    Les parents intéressés par cette initiative peuvent s’adresser au Secrétariat de l’Académie à Liège et y inscrire les jeunes gens motivés : tél. 04.344.10.89 (en cas d’absence : portable 0498.33.46.94) ou e-mail jpschyns@skynet.be

  • 15 janvier : messe de Saint Antoine à l'abbaye de Bois-Seigneur-Isaac

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    En la Fête de Saint Antoine le Grand

    "Père des moines"

    les moines de l’Ordre Libanais Maronite ont l’honneur de vous inviter à participer à la

    messe selon le rite maronite,

    durant laquelle les moines renouvelleront leurs vœux monastiques.

    le dimanche 15 janvier 2012 à 18h30

    Abbaye de Bois-Seigneur-Isaac

    Monastère de saint Charbel

    1421-Ophain

    Rue Armand De Moor, 2

    Tél : 0032- 67 89 24 20

    "http://www.olmbelgique.org/"

  • Un trésor musical dans la forêt vierge du Paraguay

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    Le meilleur du baroque européen marié aux traditions populaires des Guarani d’Amérique du Sud. Un chef-d'œuvre d'"inculturation" de l'Évangile, imaginé par les jésuites du XVIIe siècle et de nouveau proposé aujourd'hui par des musiciens locaux. Une leçon pour les Églises de la vieille Europe

    C'est à découvrir ici : Musique ancienne et nouvelle dans la forêt vierge du Paraguay