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Histoire - Page 178

  • Un nouveau livre sur la Belgique

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    Christian Laporte présente un nouveau livre, oeuvre d'un "revenant", Luc Beyer de Ryke : "La Belgique et ses démons", paru aux Editions Mols et François-Xavier de Guibert, 198 pp, 21,50 €. On appréciera cette recension où le chroniqueur religieux de la Libre se révèle meilleur analyste de la réalité belge que du fait religieux...

    à lire ici

  • L’Église et l’État, hier, aujourd’hui et demain.

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    Selon la doctrine catholique traditionnelle (avant les embrouilles conciliaires), les pouvoirs spirituel et temporel sont distincts, mais non séparés, c'est-à-dire qu'ils ne doivent pas s'ignorer ou se faire la guerre, mais s'entr’aider et collaborer, pour le bien commun, Dieu étant à l'origine des deux pouvoirs qui devront lui rendre des comptes.

    A l'époque du Christ, il y avait :

    -Rome qui confondait les deux pouvoirs, puisque l'empereur faisait aussi office de "grand pontife" et qu'un culte à l'empereur divinisé avait été progressivement institué ;

    - l'idéal juif où le pouvoir civil aurait été également assumé par le Grand-Prêtre et la caste   sacerdotale.

              Dans le premier cas, on parle de "césaro-papisme", dans le second de "théocratie".

    -Le danger du césaro-papisme est la création d'une véritable "religion civile", c'est-à-dire d'une idéologie à la mode qui fait office de religion à la place de la religion véritable et qui sert en réalité le pouvoir et les puissants quasi-divinisés.

    -Le danger de la théocratie est qu'elle fourvoye la religion véritable dans des conflits et des intérêts purement humains pas toujours très honnêtes, au risque de perdre la transcendance et la vérité du message religieux.

              On doit noter que c'est le christianisme qui, pour la première fois, a clairement distingué les deux pouvoirs.

              Aujourd'hui, l’Islam rêve de théocratie et les Etats modernes occidentaux, chinois (autrefois communistes) etc ... tendent vers le césaro-papisme, en reléguant la véritable religion dans le domaine privé et en la remplaçant par une religion civile : le parti, le grand timonier ou les droits de l'homme ...

    Cette grille de lecture si claire d’autrefois n’est-elle pas conforme à la nature pérenne des réalités humaines ?

  • Le défi égyptien II et III

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    Seconde partie de l'interview du patriarches des coptes catholiques d'Alexandrie. La longue histoire des coptes, depuis l'évangélisation par l'apôtre Marc, jusqu'à nos jours (23/2/2011) sur Benoît-et-moi;

    Dernière partie de l'interview du Patriarche catholique copte d'Alexandrie. L'histoire complexe de la relation entre les musulmans et les chrétiens, depuis l'arrivée des "conquistadors" musulmans, au VIIe siècle (épisode déjà raconté par Messori: Les racines de la haine contre les chrétiens) jusqu'aux derniers évènements. Les frères musulmans. Et la polémiques autour des propos du Saint-Père. (23/2/2011).

    Merci à Benoît-et-moi pour ce travail de traduction.

  • Roumanie : 22 millions d'avortements en 50 ans

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    "Des statistiques officielles dévoilées en Roumanie (Bucharest Herald) révèlent qu'entre 1958 et 2008 les cliniques d'Etat ont réalisé 22.178.906 avortements, alors même que la population actuelle de ce pays victime de la dictature communiste de Ceausescu dépassait en 2008 à peine les 21,5 millions d'habitants. Et ce au nom d'une politique démographique d'augmentation de la population, qui a confisqué aux Roumains, pendant de longues années, leur responsabilités personnelles et parentales, dans un contexte de misère entretenue. Rapportés à la population féminine en âge de procréer, ces chiffres indiquent une moyenne mathématique de trois avortements par femme – étant entendu que certaines femmes ont avorté bien plus souvent que cela..."

    lire la suite sur le blog de Jeanne Smits

  • Odyssée pour un pardon : “Les Chemins de la liberté” de Peter Weir

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    16 Février 2011 | Hélène Bodenez sur Liberté politique souligne la grandeur du film de Peter Weir : 

    "Grand film d’aventure, voilà ce que sont ces Chemins de la liberté de Peter Weir. Ceux qui aiment histoire, héros, grande fin seront servis et aimeront la dernière fresque épique de l’auteur de Witness ou de Master and Commander. On s’étonne, abasourdi, de la critique molle et injuste qui devrait plutôt essayer de convaincre les jeunes en mal de conquête de soi.

    Soljenitsyne avait donc bien raison. Dans son discours à Harvard sur Le Déclin du courage, l’auteur du Premier cercle s’en prenait à la presse « lieu privilégié où se manifestent cette hâte et cette superficialité qui sont la maladie mentale du XXe siècle ». Comment ne pas saluer le dernier film de Peter Weir avec plus de force ? Toutes les grandes valeurs humaines que la société du bien-être et du bonheur érode jour après jour émergent à chaque plan d’un film hors du commun, objets d’un hymne majestueux et sobre..."

    découvrir la suite en cliquant ici

  • Laurent Wauquiez veut une Europe fière de ses « racines chrétiennes »

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    Le ministre français en charge des affaires européennes a relancé, le mardi 15 février, une réflexion sur l’identité de l’Europe

    Après l’identité nationale, un débat sur l’identité européenne ? Le ministre chargé des affaires européennes, Laurent Wauquiez, a présenté à la presse, mardi 15 février, sa vision d’une Europe qui porte ses valeurs et assume ses racines.

    Un thème qui fait partie de ses priorités pour parvenir à une « Europe à l’offensive ». « Que l’Europe ait des racines chrétiennes, que le mouvement de christianisation ait joué un rôle majeur dans la construction européenne, qui peut contester ça ? », a interrogé le ministre. « Au nom de quoi aurais-je des complexes à assumer ce fait historique ? », a-t-il encore questionné.

    à découvrir ICI, sur la Croix

  • "Le discours d'un roi"

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    Un film qui passe sur les écrans belges et qu'il ne faut pas manquer.

    "George VI était affligé d’un bégaiement terrible et il n’était monté sur le trône que parce que son frère aîné Édouard VIII avait abdiqué pour épouser une Américaine déjà mariée deux fois. Ce couple de roman-photo n’est pas montré à son avantage dans le film. Cela renforce la sympathie qu’on éprouve d’emblée pour le cadet, George VI, roi d’Angleterre à son corps défendant (et père de l’actuelle reine Elizabeth). Lire la suite ICI

  • Sur le blog de P. de Plunkett, ce qui pourrait être notre manifeste :

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    Société et religion (etc) : la défensive ou l'offensive ?
     

    L'offensive ! Mais pas pour faire n'importe quoi :

    Faut-il « défendre l'Eglise » ? Evidemment oui : mais pas n'importe comment, pour faire n'importe quoi avec n'importe qui ! Certaines « défenses » font le jeu des attaquants. Comme dit un évêque, l'athéisme est « alimenté par le contre-témoignage de chrétiens exprimant mal la vérité qu'ils défendent (un risque sur lequel Vatican II nous a aussi alertés) » : et cette responsabilité impose aux catholiques un devoir de réflexion.

    D'autre part, les situations historiques ne se modifient pas par des « défensives », mais par des offensives.

    1.  Dans le domaine chrétien, l'offensive est l'évangélisation. Ce n'est jamais une offensive belliqueuse. Laissons le bellicisme aux mal-comprenants ! Lorsque Paul parle du « bouclier de la foi » et de « l'épée de l'Esprit » (Ephésiens 6, 17), ce sont des métaphores paradoxales : l'Esprit n'a pas pour but de tuer mais de faire vivre. La foi, l'espérance et la charité ont pour effet d'aimer, non de repousser. Partout où l'on entend un langage de haine, le christianisme est absent, et ça depuis deux mille ans (d'où la repentance de l'Eglise en l'an 2000). Il faut sans doute « résister à l'islam » là où c'est socialement nécessaire, mais les conversions personnelles de musulmans au christianisme – il y en a plus qu'on ne croit – ne s'opèrent pas par l'intimidation : elles s'opèrent par la grâce divine, secondée par le témoignage de fraternité qu'un chrétien rend au musulman. J'en connais des exemples : ces hommes et ces femmes n'ont pas été convertis par les cris de guerre de certains « défenseurs », mais malgré ces cris de guerre ; ils ne fréquentent pas les réunions xénophobes, parce qu'ils tiennent à aider à la conversion d'autres musulmans – et qu'ils savent ce qui peut l'entraver.  

    2.  Une autre sorte d'offensive est indispensable : c'est l'analyse critique de notre société. D'où vient la tyrannie du « politiquement correct » qui prétend nous faire marcher sur les mains ? De l'engrenage de destruction des repères, à l'oeuvre depuis le basculement de 1990. Pourquoi cette destruction ? Pour livrer les individus au seul empire du marketing, qui a besoin de détruire tous les repères parce que ce sont des freins à la libido consommatrice. Le marketing détruit le repère religieux comme il détruit par exemple le repère éducatif [1].  Je croirais que la religion est la seule cible de ces destructions si je ne voyais pas leur cause, qui est le système économique ultralibéral : cette économie financière illégitime, envahissante, totalitaire, qui s'empare de tous les domaines de l'existence humaine.

    On s'aveugle  sur la cause lorsqu'on refuse, pour diverses raisons, de comprendre ce qu'est le système économique. En déplorer seulement tel ou tel effet et attribuer cet effet à une conspiracy, selon le réflexe américain, n'est pas une analyse : c'est une irritation subjective qui ne mène à rien, sinon à réactiver des fantasmes.

    Lorsqu'on comprend le système, alors on désire passer à l'offensive contre lui. Elle commence par la prise de conscience : cesser de croire qu'un tel système puisse être « moralisé ». Ensuite elle débouche sur la contestation active, jusque sur le terrain politique et sous des formes à inventer (les partis actuels n'étant que des succursales du système économique). Ces formes neuves feront naître une Internationale, non pas « occidentale » mais nord-sud.

    Ne parlons donc plus de « défendre » quoi que ce soit. Dans tous les domaines et selon des modalités très variables, c'est l'offensive qui est urgente.

    _________

    [1]  D'où l'ineptie d'opposer "le prêtre" à "l'instituteur", comme dans ce pavé de l'ours que fut le discours du Latran de Nicolas Sarkozy.

  • Ce sont les hommes qui font leur propre histoire...

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    jacques_le-goff.jpgCarte blanche à Jacques Le Goff, Professeur de droit public à Brest(*)

    Que pèsent les actes de simples citoyens au regard de l'Histoire ? D'ordinaire, peu de choses. L'actualité a tôt fait de les réduire à l'oubli, et la prison - ou les armes  - au silence. Seule leur répétition peut finir par créer un cours nouveau. La Résistance, toutes les résistances organisées, se fondent sur la fusion entre choix individuels et force collective.

    Il arrive pourtant que des hommes, des femmes, incarnent, à eux seuls, la protestation, au point d'en devenir l'emblème ou l'icône. On pense à Gandhi, à Mandela ou à de Gaulle. Mais aussi à Mohamed Bouazizi, cet étudiant tunisien dont l'immolation ne visait pas à provoquer un effet immédiat d'aussi grande ampleur. Simplement, son désespoir est entré en résonance avec celui d'un peuple qui n'attendait plus que le signal du soulèvement. Puis l'onde de choc s'est propagée jusqu'en Égypte. Avant lui, combien, qui avaient osé braver le pouvoir en place, l'avaient payé de leur travail, de leur liberté, de leur intégrité même, pour ceux qui subirent la torture ?

    Naturellement, revient à la mémoire le geste de Jan Palach, immolé par le feu sur la place Venceslas de Prague, le 19 janvier 1969, pour protester contre l'occupation soviétique. Vingt ans plus tard, Vaclav Havel sera arrêté pour avoir fleuri la plaque commémorative, puis condamné à neuf mois de prison. Avant l'achèvement de sa peine, le régime communiste aura sombré. Si l'acte de Palach n'a pas « créé » la dynamique de résistance, il l'a considérablement amplifiée. Il a donné du courage, par la force d'un témoignage qui montrait une vérité le dépassant de beaucoup. C'est la définition même du « martyr » : celui qui meurt pour attester une vérité qui vaut qu'on lui sacrifie l'essentiel.

    Ces mots sont souvent venus sous la plume d'un grand philosophe qui mourra, comme Socrate, conformément à ce qu'il avait dit et écrit : Jan Patocka, l'un des initiateurs de la Charte 77. Lui, que Havel tenait pour son père spirituel, est mort d'une hémorragie cérébrale à 70 ans, en mars 1977, après une semaine d'interrogatoires de dix heures par jour, debout. Le policier qui l'interrogeait écrira dans son procès-verbal : « Il a assumé ses devoirs civiques et déclaré que, s'il ne le faisait pas, personne d'autre ne pourrait le faire. Il a, en outre, déclaré qu'il était conscient qu'il ne pourrait plus retourner à la vie normale. » À un ami qui voulait quitter la Tchécoslovaquie, il objectait : « On doit rester et garantir une vie spirituelle ici. » Tout est dit. Et Aung San Suu Kyi en Birmanie ? Et Liu Xiaobo en Chine ? Et le père Popieluszko en Pologne ? Combien d'autres, hier comme aujourd'hui, poussent l'indignation jusqu'à ses plus ultimes conséquences.

    Ces « justes » manifestent avec éclat la capacité de soulèvement que peut avoir la conviction, et le pouvoir d'initiative d'individus dont les choix peuvent se situer aux antipodes de l'individualisme (1). Les sociologues, comme Georges Gurvitch, nous ont rappelé que le social, c'est aussi des personnes responsables et agissantes. Et les historiens redécouvrent, après l'engouement pour la « longue durée », le rôle décisif des acteurs et des événements imprévisibles dans le cours de l'Histoire.

    Oui, ce sont les hommes qui font leur propre histoire.

    Parue dans ouestfrance.fr

  • Afriques : les chemins de la démocratie ?

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    Révolution en Tunisie, émeutes en Égypte, scrutin embrouillé en Côte d'Ivoire, naissance d'un nouvel État au Sud-Soudan...

    "L'Afrique bouge. Nul ne s'est soucié de célébrer l'an dernier le cinquantenaire de l'indépendance de la moitié de l'Afrique subsaharienne, car le bilan de ces premières décennies n'inclinait guère aux congratulations.

    Les élections présidentielles organisées en octobre 2010 en Côte d'Ivoire par le président sortant Laurent Nbagbo, sous la pression de la «communauté internationale», n'offrent pas de motif de réconfort.

    Dans le même temps, l'organisation d'un référendum d'autodétermination au sud du Soudan et la prochaine naissance d'un nouvel État dans cette région ont laissé de marbre les commentateurs. Pourtant, il s'agit de la première remise en cause officielle des frontières héritées de la colonisation.

    Et voilà que l'Histoire s'est mise à avancer là où l'on ne l'attendait pas, dans la Tunisie réputée paisible et stable. Cette révolution démocratique est la première dans le monde arabe et même dans l'ensemble des pays à majorité musulmane. Il n'est pas étonnant qu'elle ait donné des idées aux Égyptiens de la classe moyenne mais rien ne dit que la démocratie avance sur les bords du Nil comme en Tunisie."

    voir la suite de l'analyse d'André Larané sur Hérodote.net

  • Vatican II, un concile hors-norme

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    Voici bientôt 50 ans, le pape Jean XXIII convoquait (1961) le XXIe concile œcuménique de l’histoire chrétienne : à l'origine de tous les maux de l'Eglise pour les uns, concile nécessaire et fondateur pour les autres, Vatican II (1962-1965), 50 ans après,  fait toujours couler beaucoup d'encre. Pourquoi un tel concile ? Comment s'est il déroulé ? quelles en sont les conséquences aujourd'hui ? Pour en parler, « Dieu merci ! », la première émission religieuse de la TNT, a reçu, ce vendredi 28 janvier 2011 sur Direct 8, Philippe Maxence, rédacteur en chef du journal bi-mensuel  français « L’Homme Nouveau » 

     

    Retrouvez à tout moment cette émission sur le blog Dieumerci.Direct8

  • Hier, c'était le Jour de la Mémoire

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    A. Hlond.jpgLe 27 janvier, fut le Jour de la Mémoire, une journée dédiée par la communauté internationale à la commémoration des victimes de la Shoah. En cette occasion, l’Agence iNfo Salésienne (Ans) entend proposer la figure du cardinal August Hlond, salésien, primat de Pologne, qui lors de la Seconde guerre mondiale dénonça les violences auxquelles étaient soumis les citoyens juifs de Pologne. Au cours de son exil forcé en France (1939-1944), le cardinal Hlond, éleva maintes fois la voix en faveur de la population juive de Pologne, durement mise à l’épreuve par l’occupation nazie, en particulier après l’adoption de la "solution finale du problème juif" par les autorités du Troisième Reich.

    Sur base d’innombrables documents recueillis, et grâce à un contact épistolaire intense avec le monde extérieur, le cardinal salésien élabora un texte publié par la revue française "Cahiers du Témoignage chrétien". La parution du 1er numéro porte la date de janvier-février 1943, intitulée "Défi", la revue fut imprimée de manière anonyme et diffusée en France en 35.000 exemplaires. Par cet écrit, le Primat Hlond se trouva parmi les premiers à dénoncer le martyre des juifs européens.

    Dès les premiers jours de la guerre, observait le cardinal, l’on assista à une "attaque généralisée contre l’Église catholique de ce pays". Il soulignait en outre que les nazis ne se limitèrent pas à des objectifs de simple conquête territoriale mais que leur action était clairement une extermination. Ensuite, la persécution s’étendit de sorte que tous les symboles du catholicisme étaient régulièrement détruits ou ridiculisés, au nom d’une idéologie supérieure. D’après le cardinal Hlond : "Les atrocités commises en Pologne constituent peut-être la page la plus sombre de l’histoire de l’humanité depuis le christianisme".

    Sur base du témoignage de son secrétaire, le père Baraniak, futur archevêque de Posnanie, le cardinal Hlond s’intéressa personnellement au destin des Juifs - polonais, français et allemands - tout au long des années de son exil forcé, leur procurant les documents nécessaires pour les soustraire aux camps d’extermination nazis, leur offrant un abri sûr ou favorisant leur départ pour l’Amérique.

    Au mois de janvier 1946, le cardinal Hlond reçut à Poznań la visite du Président de l’Organisation américaine des Juifs et des Associations interreligieuses, le prof. Mendel Zylberberg, qui lui manifesta sa gratitude pour le secours prêté à de nombreux citoyens juifs pendant la guerre. www.radinrue.com