Sur "Atlantico", sous la plume d'Eric Verhaeghe (ancien Président de l'APEC (l'Association pour l'emploi des cadres), voici ce qu'on peut lire : "Incidemment, la NVA interroge la légitimité historique de la Belgique, cette invention de bric et de broc issue du Congrès de Vienne, en 1815. Car, depuis l’Antiquité, la Belgique ne cesse d’être disputée entre le monde latin et le monde germanique dont elle constitue une frontière flottante. Historiquement, la Belgique (Flandre comprise, et même Flandre en tête) a passé beaucoup plus de temps dans le giron latin, qu’il soit bourguignon, français ou espagnol, que dans le giron germanique. Et d’ordinaire dans la plus grande des dispersions. Elle a acquis en 1830 une improbable indépendance et unité longtemps liée à une neutralité militaire : le glacis belge devait continuer à séparer impartialement la France et l’Allemagne."
Cela appelle des mises au point (sans remonter à "l'Antiquité" ni à la Lotharingie !) :