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Histoire - Page 174

  • Le 550e anniversaire de la canonisation de Catherine de Sienne, docteur de l'Eglise et patronne de l'Italie

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    catherine_de_sienne-71bdd.jpg« Une mère spirituelle pour de nombreux chrétiens »

    Le Vatican organise un congrès international sur Catherine de Sienne à l’occasion du 550e anniversaire de sa canonisation. Une sainte à la foi inébranlable » qui fut une « une mère spirituelle pour de nombreux chrétiens », a expliqué le P. Bernard Ardura, président du Comité pontifical des sciences historiques, au cours de la conférence de presse de présentation de ce congrès.

    Le congrès dédié à sainte Catherine de Sienne et à son héritage est organisé par le Comité pontifical des sciences historiques, en collaboration avec l’ordre dominicain, l’archidiocèse de Sienne et le centre international des Etudes sur Catherine de Sienne. Son thème : « Virgo digna coelo : Catherine et son héritage. 550e anniversaire de la canonisation de sainte Catherine de Sienne » (Rome-Sienne, 27-29 octobre 2011).

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  • Un nouveau livre de Jean SEVILLIA : "Historiquement incorrect"

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    Présentation de l'éditeur : " En France, plus que jamais, le passé s’invite dans le débat d’idées,mais sur le mode polémique.

    Qu’il s’agisse de définir l’identité nationale ou de s’interroger sur la place de la religion dans l’espace public, que la controverse porte sur l’héritage de l’Occupation ou sur les séquelles de la décolonisation, qu’il soit question de la réforme des programmes d’histoire à l’école ou de la création d’une Maison de l’histoire de France, tout est matière à division. Mais la discussion est biaisée au départ, car les préjugés idéologiques, les tabous du moment et les intérêts partisans interfèrent dans le débat.

     En dix chapitres, en voici autant de grands exemples. Quelle a été vraiment la part des Arabes dans la transmission du savoir antique au Moyen Âge ? L’Église a-t-elle fait obstacle à la science ? À qui a profité la colonisation ? La Première et la Deuxième Guerre mondiale ont-elles été menées au nom des droits de l’homme ? Quel rôle l’immigration a-telle joué dans la construction de la France ? Quelle est la place de l’islam dans notre histoire nationale ? "

    On peut se le procurer dans toutes les bonnes librairies. Ce livre fait suite à "Historiquement correct". (cite et culture.com)

  • Hommage à ces héros catholiques qui sauvèrent des juifs traqués

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    ROME, mardi 18 octobre 2011 (ZENIT.org) –   Une commémoration des victimes de la rafle nazie perpétrée dans le ghetto juif de Rome, à 5h30 du matin le 16 octobre 1943, a eu lieu dimanche dernier, 16 octobre 2011.

    « Une action barbare et inhumaine » qui a conduit à la déportation de plus de 1 000 personnes, hommes, femmes, enfants et vieillards, destinés à être éliminés avec tant d’autres en Europe.

    Mais juste au moment où les nazis, aveuglés par la haine raciale, s’apprêtaient à appliquer leur « solution finale », juste au moment où le destin des juifs semblait désormais marqué, des milliers de héros inconnus ont mis leur vie en danger, celle de leurs conjoints, des leurs confrères et consœurs, pour sauver les persécutés.

    Malgré les divisions marquées par les lois raciales et le risque de perdre la vie, églises, couvents, collèges et universités pontificales, ont ouvert leurs portes aux juifs pour les accueillir et les protéger. Des histoires émouvantes, poignantes, dont beaucoup n’apparaissent pas encore sur les pages des livres d’Histoire.

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  • Vatican II continue de susciter de vifs débats

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    C'est Sandro Magister qui en rend compte sur www.chiesa.espressonline.it

    "Le cardinal Cottier, le juriste Ceccanti, le théologien Cantoni défendent les nouveautés de Vatican II. Mais les lefebvristes ne cèdent pas et les traditionalistes accentuent leurs critiques. Les derniers développements d'une controverse enflammée. La controverse relative à l'interprétation du concile Vatican II et aux changements dans le magistère de l’Église a connu de nouveaux développements ces dernières semaines, y compris à haut niveau..."

    Découvrir la suite ici : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1349865?fr=y

  • Le latin, langue morte. Et enterrée ?

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    5248.jpgC’est le titre d’un article dans « La Libre Belgique » de ce jour qui nous explique, entre autres que « 28% des écoles proposent encore du latin. Seul un élève sur cinq en fait. Une langue ancienne qui divise et continue de susciter le débat (…). Selon un comptage annuel réalisé par le cabinet de la ministre Simonet (CDH), au 15 janvier dernier, à peine une école sur quatre (28 %) en Communauté française organise le cours de latin aux deuxième et troisième degrés de l’enseignement secondaire. Dans lesquelles à peine 20 % des élèves optent pour la langue de Cicéron comme option de base. C’est relativement peu. Quoi qu’il en soit, le latin est toujours là, il divise et continue de nourrir le débat(…).

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  • "Trois week-ends pour découvrir l'orient"

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    L'orient et "l'autre poumon de l'Eglise", mais nous le connaissons assez mal.

     
    Nous vous proposons un cycle de trois week ends de découverte :
    - 21-23 octobre :     Découvrir l'orient
    Avec Mgr Philppe Bär, moine de Chevetogne
     
    - 16-18 décembre :    L'histoire Sainte à travers les Icônes
    Avec Jean Marc Vingerhoets, iconographe
    et fr. Gonzague, Prieur de la Communauté
     
    - 4-6 mai 2012 :         La Mère de Dieu dans les Icônes
    Avec Jean Marc Vingerhoets, iconographe
    et fr. Gonzague, Prieur de la Communauté
     
    Nous pourrons contempler une grande iconostase.
    Il y aura aussi projection de film, audition de liturgie orientale
    Conférences, partages d'évangile...
     
    De quoi nourrir les curieux, les néophytes ou ceux qui sont déjà amoureux de l'Orient chrétien
     
    Chaque week end commence le vendredi à 20h00 et se termine le dimanche à 16h00.
     
    Renseignements et inscriptions :
     
    Congrégation Saint Jean
    Regina Pacis
    Rue de la Sapinière, 50
    4141 BANNEUX ND
  • L'accord de Metz

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    header.jpgCet accord marque l’un des épisodes les moins glorieux de l’Histoire récente de l’Église catholique. L’Accord de Metz a été connu trop tard, et il reste encore bien des aspects inconnus à tirer au clair. Celui-ci est intervenu le 13 août 1962. On était à deux mois de l’inauguration du Concile Vatican II, lorsqu’a été stipulé dans cette ville française un accord entre le cardinal Tisserant et l’archevêque orthodoxe, Monseigneur Nicodème. On a découvert par la suite que ce dernier était un espion à la solde des Soviétiques. L’accord, en effet, prévoyait que le Kremlin permette d’envoyer au Concile quelques représentants de l’Église orthodoxe en échange de la promesse d’un silence total sur le communisme.

    L’absence de condamnation du marxisme et des crimes perpétrés par les régimes qui lui étaient liés a entraîné des conséquences pernicieuses, tant dans l’Histoire du monde que dans l’Histoire de l’Église, contribuant à retarder la fin de la Guerre Froide, et délégitimant l’autorité du Catholicisme, car empêchant toute possibilité de condamnation de tout type d’aberration de la modernité dans les années futures.

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  • Pie XII : Quelle mouche a piqué la Compagnie des Galeries ?

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    Le théâtre des Galeries (Bruxelles) a programmé pour la fin de ce mois la pièce de théâtre de Hochhuth intitulée "Le Vicaire" et qui a inspiré le film de Costa-Gravas "Amen". Le propos de Hochhuth (communiste, soupçonné d'être un agent de la Stasi) était d'accuser le pape Pie XII de complaisance à l'égard du nazisme et de ne pas avoir dénoncé le génocide juif. Or, aujourd'hui, les archives s'ouvrent et la vérité historique se fait jour, montrant que ces accusations sont infondées et que Pie XII a déployé de nombreuses initiatives pour sauver un maximum de Juifs, au point que, récemment, l'ambassadeur d'Israël déclarait : "La volonté vaticane de sauver des Juifs est un fait".

    Un site est consacré à la défense et à l'illustration du pape calomnié et outragé; il se présente ainsi :

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  • 11 octobre 1962 : ouverture de Vatican II...

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    Voici comment Wikipedia présente cet évènement :

    "Le IIe concile œcuménique du Vatican, plus couramment appelé Vatican II, est le XXIe concile œcuménique de l'Église catholique romaine. Il a été ouvert par le pape Jean XXIII en 1962 et clos sous le pontificat de Paul VI en 1965.

    On le considère généralement comme l'événement le plus marquant de l'histoire de l'Église catholique au XXe siècle, symbolisant son ouverture au monde moderne et à la culture contemporaine faite de progrès technologiques considérables, d'émancipation des peuples et de sécularisation croissante. Des réponses aux questions modernes furent cherchées dans un retour aux racines du christianisme : la Bible (sur la base de nouvelles recherches bibliques) et la grande Tradition.

    Le déroulement inattendu du concile s'explique par les différences importantes entre la première et la deuxième session. Un programme préétabli par des cardinaux de curie (avec des textes quasi prêts à être votés) fut rejeté. Les pères conciliaires prirent alors leur agenda en main. Les cardinaux Léon-Joseph Suenens, Giacomo Lercaro, et Julius Döpfner, trois des quatre modérateurs, semblent avoir été à l'origine de cette « révolte ». Le changement de procédure fut immédiatement accepté par Jean XXIII. Tout fut alors très différent, et les discussions plus libres.

    On y a débattu notamment des célébrations liturgiques, du rapport que devait entretenir l'Église catholique avec les autres confessions chrétiennes, avec les autres religions, et la société en général, mais aussi de problèmes plus spécifiquement théologiques, comme la liberté religieuse et la Révélation."

    On connaît la suite. 50 ans plus tard, on peut se demander ce qui compte le plus : l'"en soi" de la chose ou l'exploitation qui en a été faite. Un peu comme si le Concile avait été l'équivalent d'une assemblée constituante produisant des textes qui n'auraient pas été le terme répondant aux attentes mais dont le mérite, aux yeux des réformateurs de tout poil, est d'avoir mis fin à une période de l'histoire de l'Eglise pour en ouvrir une autre où toutes les remises en cause seraient autorisées.

    Il y a quelques semaines, dans le cadre du processus de main tendue par le Vatican à la Fraternité Saint Pie X, on a découvert avec surprise (et bonheur en ce qui nous concerne) que le Saint-Siège s'est dit prêt à accepter de discuter de certaines formulations du concile Vatican II.

    Cela irrite les "intégristes" de Vatican II pour lesquels ce Concile compte plus que tout et qui n'imaginent pas que l'on puisse en remettre en question le moindre iota! Pourquoi cette "fétichisation" d'un concile alors que les mêmes ne seraient nullement heurtés par une remise en cause d'un des conciles antérieurs (Latran, Trente, ou encore de Vatican I)?

    Quant à nous, nous nous réjouirions de voir ouverts des débats sur certains points cruciaux de Vatican II qui ne semblent pas s'inscrire dans la continuité de la Tradition de l'Eglise et qui ont été exploités depuis lors dans une perspective de rupture qui a produit les fruits que l'on sait.

  • "Mission", le film préféré du pape ?

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    C'est, du moins, ce qu'affirme Sandro Magister, le "vaticaniste" italien bien connu :

    "Au cours du XIXe siècle, l'Église catholique a réagi à l'offensive laïciste qui se développait en Europe par une spectaculaire expansion missionnaire dans les autres continents. Benoît XVI veut que le miracle se renouvelle aujourd'hui. Son prochain voyage: en Afrique..."

    découvrir la suite ici : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1349789?fr=y

    S. Magister en profite pour mettre en ligne la description que Romanato donne de l'élan missionnaire au XIXe siècle, considérant que cela pourrait aussi être un enseignement pour les catholiques d’aujourd’hui. "D’un événement – l'offensive laïciste – qui était considéré comme catastrophique par l’Église de l’époque est née une expansion extraordinaire de la foi chrétienne dans le monde.

    Romanato est professeur d’histoire contemporaine à l'Université de Padoue et il se définit comme "un universitaire laïc qui est habitué à raisonner de manière laïque".

    Il a donné lecture de ce texte lors d’un colloque qui s’est tenu à Subiaco, le 6 octobre 2011. "L'Osservatore Romano" l'a publié le même jour."

  • Ce que la politique moderne doit à l'Eglise, et réciproquement

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    Sur "Le temps d'y penser", Corbulon recense l'ouvrage suivant : "Catholicisme et démocratie, une histoire de la pensée politique" de Emile Perreau-Saussine.

    "Docteur en philosophie, Emile Perreau-Saussine a enseigné la philosophie politique à Cambridge, avant de disparaître à 37 ans en 2010. Son œuvre est brillante, de l’avis de ses pairs.

    L’ouvrage analyse les rapports entre le catholicisme et la démocratie dans la France depuis la fin de la monarchie. Ce travail n’a jamais été réalisé dans notre pays, a fortiori l’étude des représentations politiques structurant le rapport entre la France, la politique et la religion par excellence, l’Eglise catholique.

    Si le contenu est à ce point impressionnant, c’est parce que la démonstration est faite de la dette de la politique moderne à l’encontre de l’Eglise, mais de l’inverse également."

    La suite se trouve ici : http://www.letempsdypenser.fr/

  • BBC : éliminer la référence au Christ fait partie du culturellement correct

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    Slate.fr se fait l'écho de cette directive de la BBC visant à bannir la référence à Jésus-Christ dans l'emploi des dates. Ainsi faudra-t-il évoquer "l'ère commune" et non plus les mentions "avant" ou "après Jésus-Christ". (Nous avions déjà évoqué le même type de dispositions en Australie : http://www.belgicatho.be.)

    "Proposée au départ par des spécialistes de déontologie de la chaîne pour ne pas porter atteinte aux non-chrétiens, et par devoir d’impartialité,  cette idée a été très mal reçue par des chrétiens traditionalistes et certains journalistes parmi les plus connus de la chaîne, qui ont décidé de ne pas la suivre: «Je ne vois pas de problème à l’utilisation d’“avant JC” ou “après JC”, compris de tous», explique John Humphrys, l’un des journalistes historiques de la chaîne.

    «Je dis avant, après JC, parce que je comprends ces termes. En revanche, je ne sais pas ce que signifie “ère commune”. Pourquoi serions-nous dans l’ère commune en 20 après JC et pas en 20 avant JC?», explique Boris Johnson, maire de Londres qui présentait un documentaire sur l’empire romain à la BBC. Il est même allé jusqu’à qualifier l’adoption de cette nouvelle dénomination de «puérile, absurde et anti-démocratique» dans une tribune du Telegraph du 26 septembre."