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Médias - Page 159

  • Suivre les premiers moments du nouveau pontificat sur KTO

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    Programmation spéciale sur KTO (accès facilité : http://playtv.fr/television/kto/)

    Après avoir suivi l'élection du nouveau Pape, sa première journée de Pontificat et les premières cérémonies qui marquent les premiers pas du Pape François, KTOcontinue sa programmation spéciale sur ces événements, en direct de Rome.

    Dimanche 17 mars, en direct :

    A 10h00, messe célébrée par le Pape à l'église Sainte-Anne du Vatican

    A 12h00, l'Angélus depuis la Place Saint-Pierre

    La Journée du 19 mars

    8h30 : Saint François d'Assise, le Petit Pauvre (documentaire). Le Pape François a en effet choisi ce nom en référence à saint François d'Assise.

    9h00 : Messe d'installation du Pape François.

    18H30 : Messe d'action de Grâce à Notre-Dame de Paris, pour l'inauguration du Pontificat du Pape François (messe présidée par Mgr Eric de Moulins-Beaufort, évêque auxiliaire de Paris).

    Toute la journée, des flashs permettront de suivre au plus près le déroulement de la journée : 9h2512h25 (rediffusion 13h10), 15h25 (rediffusion 17h00),17h35 (rediffusion 18H25) et 20h35 (rediffusion 22h10).

    Vous retrouverez toutes les vidéos KTO des premières heures de ce nouveau pontificat en allant sur cette page.

  • Massimo Introvigne démonte les accusations bidons portées contre le pape

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    Sur la Nuova Bussola Quotidiana, Massimo Introvigne s'applique à démonter les accusations émises contre le pape et selon lesquelles il aurait non seulement fait preuve d'indulgence à l'égard de la dictature mai aussi dénoncé deux jésuites aux autorités. Nous remercions l'amie qui a bien voulu traduire et condenser ce très long article mais cela en valait la peine alors que cette fange est encore largement répandue sur différents sites malgré les démentis les plus fermes :

    Massimo Introvigne souligne qu’il n’aura fallu que quelques heures pour que la « machine à merde », expression italienne correspondant à notre « traîner dans la boue », s’attaque au Pape François. Une machine à traîner dans la boue avec deux sons de cloches. Tandis que la maladroite tentative du célèbre journaliste italien Travaglio (« Il Fatto ») de le classer parmi les progressistes était encore en cours - juste avant que l’on ne découvre son apologie du célibat sacerdotal et sa dénonciation des lois sur le mariage homosexuel  - un démenti était lancé : il ne s’agissait pas d’un progressiste, mais d’un fasciste qui n’avait pas condamné la dictature militaire argentine. Bien pire : on l’accusait déjà d’avoir collaboré avec celle-ci, et même d’avoir personnellement livré des Jésuites à la torture, et potentiellement tant d’autres choses encore. Et la « Repubblica » de menacer le pape, si par malheur il se révélait « gênant », de devoir un jour faire la lumière sur ses rapports avec la dictature militaire argentine et sur des faits jamais clarifiés et où il pourrait être scandaleusement compromis !

    En somme, des menaces, un chantage absurde… et surtout de la calomnie. Car, comme le soutient Introvigne : « et pourtant, il n’y a rien à clarifier : tout a déjà été fouillé, mis au jour par des ouvrages et contre-ouvrages en Argentine, et il n’existe pas un document, le plus insignifiant soit-il, qui n’ait été publié. L’affaire est classée. »

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  • Une Eglise pauvre pour les pauvres

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    UNE EGLISE PAUVRE POUR LES PAUVRES

    Cité du Vatican, 16 mars 2013 (VIS). Ce matin Salle Paul VI, le Saint-Père s'est adressé aux milliers de journalistes et opérateurs des media venus à Rome, a-t-il dit, pour couvrir l'actualité du Saint-Siège, "depuis la surprenante annonce de mon vénéré prédécesseur Benoît XVI. Et je tiens à saluer chacun de vous. La place des media s'est considérablement accrue ces derniers temps au point de devenir indispensable pour rapporter les événements de l'histoire contemporaine. Merci de la qualité de votre service durant ces jours où les yeux du monde catholique, et pas seulement catholique, étaient rivés sur la Ville Eternelle, et tout spécialement sur ce petit territoire dont le barycentre est la tombe de Pierre. Combien vous avez travaillé! Vous avez dû parler du Saint-Siège, de l'Eglise, de ses rites et traditions, de sa foi, du rôle du Pape et de son ministère. Je remercie en particulier ceux qui ont su observer et présenter ces événements dans la perspective la plus juste. Les événements historiques demandent une lecture approfondie, qui touchent parois à la dimension de la foi. Mais les événements strictement ecclésiaux sont plus complexes que les politiques ou économiques, car ils répondent pas à une logique mondaine. C'est pourquoi il est difficile de les exposer à un vaste public. Si l'Eglise est une institution humaine et historique, avec tout ce que cela comporte, elle est avant tout une réalité spirituelle, le peuple de Dieu, ce saint peuple qui marche à la rencontre de Jésus-Christ. C'est seulement dans cette perspective que l'on peut comprendre l'action de l'Eglise".

    "Le Christ est le pasteur de l'Eglise, et sa présence se manifeste au travers de la liberté des hommes dont un est choisi pour être son vicaire en tant que successeur de l'apôtre Pierre. Mais le coeur de l'Eglise c'est lui, le Christ. Sans lui l'Eglise n'existerait pas, n'aurait pas de raison d'être. Comme l'a souvent dit Benoît XVI, le Christ est présent et il guide l'Eglise. Dans tout ce qui s'est produit c'est l'Esprit qui a agi, qui a inspiré la décision que Benoît XVI a prise pour le bien de l'Eglise. Et c'est lui qui a orienté dans la prière le choix des cardinaux. Il faut tenir compte de cette perspective, de cette herméneutique, pour percer le sens des récents événements... C'est pourquoi je vous invite à approfondir votre analyse...des motivations spirituelles les plus authentiques la guidant pour comprendre l'Eglise. L'Eglise porte une grande attention à la presse et aux media car ils savent saisir et exprimer les attentes et les exigences du monde, et offrir des éléments de lecture des faits. Votre mission a besoin de sensibilité et d'expérience comme tant d'autres professions, et d'une attention toute particulière pour la vérité, la bonté et la beauté. C'est là que nous sommes proches car l'Eglise existe pour communiquer la vérité, la bonté et la beauté en la personne du Christ. De fait nous ne devons pas communiquer nous mêmes mais ces trois valeurs divines".

    "Nombreux sont ceux qui, ignorant pourquoi je me suis appelé François, ont pensé à François-Xavier, à François de Sales et à François d'Assise. Voici les faits: dans la Sixtine j'avais à côté de moi le Cardinal Caludio Hummes, l'ancien Archevêque de Sao Paulo et ancien Préfet de la Congrégation pour le clergé, un grand ami, vraiment un grand ami! Lorsque les choses sont devenues dangereuses pour moi, il m'a rassuré et encouragé. Et lorsqu'on est arrivé aux deux tiers des votes, et que les cardinaux ont applaudi le Pape élu, cet ami m'a dit en m'embrassant: N'oublie jamais les pauvres! Ceci s'est imprimé dans mon esprit et j'ai immédiatement pensé au Poverello. J'ai pensé aux guerres, alors que le scrutin reprenait jusqu'à un vote unanime, j'ai pensé à François, l'homme de la paix, l'homme qui aimait et protégeait la nature. Alors que l'humanité a un rapport tellement médiocre avec la création! Il est l'homme diffusant l'esprit de la paix, l'homme pauvre. Combien je désire une Eglise pauvre pour les pauvres!". Un cardinal m'a dit: "Tu devrais t'appeler Adrien parce que Adrien VI fut un réformateur. Et nous avons besoin de réformer" l'Eglise. "Un autre de choisir celui de Clément. Mais pourquoi? Parce qu'en devenant Clément XV tu vengerais l'affront de Clément XIV qui avait supprimé la Compagnie de Jésus". Et "j'ai choisi François, le nom de mon coeur".

    Pour finir le Saint-Père a de nouveau chaleureusement remercié les représentants des media: "Je pense à tout le travail que vous avez accompli, je pense à votre profession et vous souhaite d'oeuvrer avec sérénité et prospérité, de connaître de mieux en mieux l'Evangile du Christ et la réalité de l'Eglise. Je le confie à la protection de la Vierge, Etoile de l'évangélisation, et forme des voeux de bonheur à vos familles. De tout coeur je vous bénis". Mais avant cette bénédiction, le Pape a du saluer un certain nombre de représentants de la profession. Reprenant son allocution, il a dit: "Je vous ai dit que je vous aurais donné de tout coeur ma bénédiction. Mais nombre d'entre vous ne sont pas catholiques, ou ne sont pas croyants. Alors, en silence j'offre cette bénédiction à chacun de vous, dans le respect de sa conscience, car je sais que vous êtes tous fils de Dieu. Dieu vous bénisse!".

  • Bergoglio et la dictature : démenti du Saint-Siège et réfutations (mise à jour)

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    A PROPOS D'ACCUSATIONS CONTRE LE NOUVEAU PAPE
    Cité du Vatican, 15 mars 2013 (VIS). A la fin du point de presse de ce jour, le P.Federico Lombardi a lu une note relative aux accusations qui ont refait surface ses derniers jours contre le nouveau Pape: "La campagne conduite par une revue contre Jorge Mario Bergoglio, qui remonte à des années, est bien connue. Le caractère anticlérical de ces attaques, allant jusqu'à la calomnie et la diffamation des personnes, est bien connu. Les accusations concernant l'actuel Pape remontent à l'époque où il n'était pas encore évêque, mais simplement supérieur des jésuites en Argentine. Elles font référence à deux prêtres enlevés pendant la dictature, et qu'il n'aurait pas protégé. Or aucune accusation formelle et documentée n'a jamais été déposée contre lui. La justice l'a entendu une fois et à simple titre de témoin et le P.Bergoglio n'a jamais été suspecté ou accusé, ayant d'ailleurs fourni les preuves de son extranéité à l'affaire. Il existe d'autre part nombre de dépositions démontrant combien le P.Bergoglio a agi pour sauver des personnes en danger à l'époque. Il est tout autant connu qu'après être devenu évêque, dans l'élaboration de la démande de pardon, Mgr.Bergoglio a déploré les défaillances de l'Eglise argentine face à la dictature. Les accusations en question découlent d'une lecture historique de cette période promue depuis des années par des milieux anticléricaux. Elles n'ont pas lieu d'être".
    Lire, en complément : http://www.marianne.net/Le-pape-et-les-complices-de-la-dictature-argentine_a227411.html ou : francois-et-les-loups-de-gubbio/ ou encore cette intervention de Leonardo Boff : http://www.kathpress.co.at, et enfin, cet article sur Aleteia : 

    Le Prix Nobel de la Paix argentin Adolfo Pérez Esquivel et l’ancienne médiatrice du pays ont démenti catégoriquement que Jorge Mario Bergoglio, élu évêque de Rome sous le nom de pape François, ait été complice de la dictature dans son pays.

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  • Bravo Christian !

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    La Libre a proposé à ses lecteurs de "chatter" avec Christian Laporte au sujet de l'élection du cardinal Bergoglio. La lecture de ce chat est instructive. Elle montre à quel point les gens se laissent formater sans même s'en rendre compte. La plupart des questions posées vont dans le même sens répercutant les accusations véhiculées dans les médias à propos de l'attitude supposée conciliante du nouveau pape à l'époque de la dictature de Videla. Le journaliste de La Libre, à l'égard duquel nous n'avons pas toujours été tendres, fait preuve ici d'un réel souci d'objectivité et d'honnêteté qui mérite d'être souligné ce qui ne veut pas dire que nous partagions toujours son sentiment.

    lire cet échange : http://www.lalibre.be/actu/international/article/803349/francois-pape-de-l-innovation-chattez-avec-christian-laporte.html#embed_pos1

  • La désinformation ertébéenne à l'oeuvre

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    Un ami nous écrit :

    "Mercredi soir déjà, après l'élection du pape, la RTBf a interviewé A.-J. Léonard. Celui-ci a avoué ne pas connaître le cardinal Bergoglio. Le journaliste de Brigode  s'est emparé de cet aveu et a demandé (je reconstitue de mémoire): "connaissant l'humour d'A.J. Léonard, n'est-ce pas une manière de prendre ses distances vis-à-vis du nouveau pape"? Onctueux, avec un bon sourire, l'incontournable Gabriel Ringlet avoue ne pas savoir mais...

    Jeudi soir, le même de Brigode introduit un reportage où l'on reprend la partie "intéressante" de la veille à laquelle on juxtapose l'interview de Mgr Léonard réalisée lors de l'élection de Benoît XVI. On souligne le constraste. Pour Benoît XVI: "je le connais, je me réjouis"; pour François: "je ne le connais pas", - "Qui souhaitiez-vous ?" -"Un pape plus jeune." Et la journaliste en voix off : "Joseph Ratzinger avait 78 ans".

    Autre  manipulation du sieur de Brigode: à l'évocation du passé "trouble" de Bergoglio, il lance un reportage d'une autre journaliste qui nuance l'accusation: "certains disent que", "il aurait". De Brigode reprend la parole et introduit un reportage sur la dictature argentine en escamotant  les nuances de sa collègue...

    Par contre, mercredi soir, lors du "12 minutes" vers 22h30, la journaliste passe toute l'interview de Mgr Léonard,  (à 20h, elle était tronquée) et son seul invité, prof à l'Ulb, du centre d'étude des religions, qui avait parlé de Benoît XVI, lors de sa démission, avec beaucoup de respect et même en avouant son admiration pour le philosophe, commente la nouvelle élection avec le même respect tout en soulignant in fine et brièvement qu'il ne partage pas les vues de François sur l'homosexualité.

    L'ULBiste est apparu bien plus honnête que Gabriel Ringlet interviewé en long et en large (pas en profondeur, évidemment, il n'en a pas) par la RTBf. Ringlet n'a pas dit qu'il représentait son église à lui. C'est pourtant bien ce qu'il a fait et ce soir-là et sur RTL radio le lendemain matin. Ce type fait des ravages comme son copain de Brigode. Il suffit d'entendre parler les gens pour en prendre la mesure..."

    Il nous semble que Natalia Trouiller pèche par optimisme en évoquant un "état de grâce" au lendemain de l'élection pontificale....

  • "Pape collabo" : Le Soir sort la grosse artillerie

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    C'est ici : http://www.lesoir.be/208430/article/debats/editos/2013-03-15/un-pape-collabo-doute-ne-sera-pas-permis 

    Kroll à l'appui : http://portfolio.lesoir.be/v/le_kroll/67320130315k.jpg.html

    Cela ne nous étonne pas, et nous l'avions prévu : http://www.belgicatho.be/archive/2013/03/12/conclave-les-loups-sont-aux-aguets.html

    Mais, ça n'a pas traîné... cfr : http://www.belgicatho.be/archive/2013/03/14/pourquoi-cherche-t-on-a-charger-le-nouveau-pape.html

    Et le Soir complète l'information : http://www.lesoir.be/208748/article/actualite/monde/2013-03-15/pape-collabo-vatican-contre-attaque

    Démenti et réfutations : http://www.belgicatho.be/archive/2013/03/15/bergoglio-et-la-dictature-dementi-du-saint-siege.html

    ... mais le mal aura été fait : "Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose !"

  • Aujourd'hui sur KTO : programmation spéciale

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    30223220130313-francois-1.jpgProgrammation spéciale en direct sur KTO

    Ce soir 14 mars à 17h00 : Missa pro Ecclesia, première messe du Pape François avec les Cardinaux, à la chapelle Sixtine.

    Ce soir 14 mars à 20h40 : Édition spéciale Pape François. Philippine de Saint Pierre recevra :
    - le Cardinal Béchara Boutros Raï, Patriarche d'Antioche des Maronites,
    - le Cardinal André Vingt-Trois, Archevêque de Paris,
    - le Cardinal John Olorunfemi Onaiyekan, Archevêque d'Abuja.

    Accès commode en cliquant sur le lien suivant : http://playtv.fr/television/kto/

  • Pourquoi cherche-t-on à charger le nouveau pape ?

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    Nous lisons sur Radin.rue des précisions intéressantes au sujet des rumeurs lancées par la presse ("François, les premières morsures") :

    (...) Le nouveau pape est un homme très simple et en même temps qui sait diriger sans une autorité militariste. Très impliqués dans la lutte contre l’injustice - notamment en Argentine, - nombreux sont ceux qui ont tenté de le discréditer.

    Ainsi comme le souligne le père Gilles Routhier, recteur de la faculté de théologie de l’Université Laval ( Canada) cité par "lapresse.ca" : « J’ai habité trois semaines dans la même maison que lui. Il en imposait non pas par son charisme, parce qu’il est austère et réservé, mais par la force de sa conscience morale. Il a peu de mots, mais est d’une grande cohérence. Il sait beaucoup écouter et on me dit qu’il a gouverné la province des jésuites à un moment difficile, avec beaucoup de fermeté, sans être autoritaire. » Une plainte a été déposée en 2005 à l’encontre de l’évêque Bergoglio, mais celle-ci n’a rien donné. Certains veulent l’impliquer dans des tortures notamment de deux prêtres jésuites dans les années 70, des faits que le cardinal désormais pape a toujours farouchement nié. « À mon avis, on l’attaque parce qu’il est dangereux, précise le père Gilles Routhier au journaliste de lapresse.ca, la dictature militaire a cherché à le discréditer en semant des preuves contre lui. Il est l’un des principaux opposants aux Kirchner, qui se disent de gauche, mais aggravent les inégalités en Argentine. Beaucoup de gens lui en veulent. 

    Voir également : le-pape-et-la-dictature-argentine-un-mensonge-pour-un-cardinal-electeur.html

  • Top of the Pope

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    Sur bigbrowser (blog du Monde) :

    TOP OF THE POPE- Une application smartphone pour suivre en direct l’élection du nouveau pape

    Et si le smartphone remplaçait désormais bâton de pèlerin et missel ? Grâce à une application lancée par le Pontificium Consilium de Communicationibus Socialibus, chargé de la communication du Vatican, les fidèles du monde entier pourront voir mardi, de leur lieu de travail, dans le métro ou en faisant leurs courses, la fumée annonçant la décision prise par les cardinaux.

     

    Poursuivre ici

  • Que savons-nous de François ?

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    Présentation par  une agence de presse internationale : http://www.lalibre.be/


    Sur Zenit.org :

    Le cardinal Jorge Maria Bergoglio, archevêque émérite de Buenos Aires et ancien primat d'Argentine, a été élu pape après 5 tours de scrutin ce 13 mars 2013 par 115 cardinaux réunis en conclave depuis mardi 12 mars, en la chapelle Sixtine. Il a pris le nom de François.

    Il a, à plusieurs reprises, invité à défendre la vie humaine de sa conception jusqu'à sa fin naturelle, notamment en 2009, à l'occasion de la fête de saint Raimondo Nonnato, invoqué par les femmes enceintes, celles qui souhaitent une grossesse ou qui vivent une grossesse difficile.

    C'est ce qu'a rapporté L'Osservatore Romano dans son édition du 2 septembre. A cette occasion, le cardinal a célébré la messe avec les « messagers de la vie » - ceux qui sont engagés à répandre une culture de vie en distribuant dans les maisons des images de saint Raimondo Nonnato - réunis pour une rencontre sur le thème « Unis à Jésus, nous demeurons dans l'amour ».

    Dans son homélie, le cardinal Bergoglio a exhorté ces « messagers » à témoigner personnellement de l'amour pour la vie dans la bataille contre la « culture de la mort ». Et il les a encouragés à défendre la vie de sa conception jusqu'à son terme naturel.

    Mais promouvoir vraiment la culture de la vie signifie aussi soutenir l'existence de ces enfants conçus, dans toutes les phases de leur enfance, rapporte encore L'Osservatore Romano. Il faut veiller à ce que « les enfants grandissent sainement, soient suffisamment nourris, reçoivent une bonne éducation fondée sur de solides principes moraux », a ajouté le cardinal.

    Pour le haut prélat, chaque enfant doit être « accompagné pour toute la vie », même dans « la douleur, dans la maladie, dans des hôpitaux propres » où le personnel assiste scrupuleusement les petits patients avec tendresse. Voilà la « culture de vie » soutenue tant et tant de fois par Jean-Paul II et aujourd'hui par Benoît XVI.

    « C'est une bataille à soutenir contre les nombreux attentats à la vie humaine, contre la diffusion de la culture de mort ». Une bataille, qui doit être soutenue aussi pour les personnes âgées, qui sont la « sagesse de la vie », et quand la vie humaine est proche de s'éteindre. Cela, évidemment, demande des dévouements et du sacrifice, a poursuivi le Primat d'Argentine en affirmant que si « la vie est belle » on ne peut pas pour autant « éliminer les difficultés ».

    « Nous ne pouvons pas embrasser la culture de la vie si nous ne mettons pas nos racines en Jésus, si nous ne sommes pas unis à lui comme le sarment de la vigne au tronc », a-t-il poursuivi. « Parce que Jésus est le patron de la vie. Il s'est défini comme le chemin, la vérité et la vie. Ce n'est qu'avec Jésus que nous pouvons répandre cette ardeur, que nous pouvons avoir cette ferveur pour proclamer le message de la vie ».

    Jeanne Smits - de son côté - titre : Bergoglio : un pape pro-vie et pro-famille de choc! et offre une première moisson d'informations :

    Plusieurs articles sur lui ici.

    Sur la force et la nécessité du baptême, dans un monde déchristianisé : sur le blog de Sandro Magister.

    Mais Golias le déteste.

  • Fumée blanche : suivre les évènements sur KTO

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    en cliquant sur ce lien : http://playtv.fr/television/kto/