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Médias - Page 159

  • Quand d'aucuns tentent de manoeuvrer l'opinion publique pour faire pression sur le prochain Conclave

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    COMMUNIQUE DE LA SECRETAIRERIE D'ETAT

    Cité du Vatican, 23 février 2013 (VIS). La Salle de Presse a diffusé ce midi le communiqué suivant de la Secrétairerie d'Etat: "Le Saint-Siège a toujours étroitement défendu la liberté du Collège cardinalice, à qui revient de droit l'élection du Souverain Pontife. Elle constitue la garantie d'un choix strictement fondé sur le bien de l'Eglise. Au cours des siècles, les Cardinaux ont été soumis à toute sorte de pressions, personnelles ou collectives, destinées à conditionner leur décision en les pliant à des logiques politiques. Jadis ce sont les puissances qui cherchaient à conditionner l'élection papale. On tente aujourd'hui d'utiliser le poids de l'opinion publique, généralement sur la base d'évaluations ignorant la nature spirituelle du moment que vit l'Eglise. On déplore donc qu'avant le conclave, où les Cardinaux exprimeront leur choix librement et devant Dieu, on diffuse des informations non vérifiées ou invérifiables, quand elles ne sont pas totalement fausses, au dam des personnes et de l'institution. Plus que jamais les catholiques se concentrent sur l'essentiel qui est de prier pour le Saint-Père et pour que l'Esprit Saint éclaire les Cardinaux, de prier pour le futur Pape. Ils sont conscients de ce que l'avenir de l'Eglise réside dans les mains de Dieu".

    Et sur Radio Vatican : "Le père Lombardi : On tente de jeter le discrédit sur l'Eglise"

    Foi et espérance. C’est avec ces mots simples que le père Lombardi a voulu répondre avec force aux récentes attaques faites contre le Saint-Siège. Depuis une semaine et à l’approche du conclave la presse fait état d’intrigues dans les hautes sphères du Vatican. Dans son éditorial pour Radio Vatican, le directeur de la salle de presse du Saint Siège a également fustigé ceux qui souhaitent semer « la confusion » et « jeter le discrédit sur l’Eglise ». 

    « Médisance, désinformation voire calomnie », les mots du père Lombardi auront rarement été aussi durs contre les détracteurs de l’Eglise. C’est dire l’enjeu de la situation après la renonciation annoncée de Benoît XVI. « Certains cherchent à profiter du mouvement de surprise et de désorientation en exerçant des pressions inacceptables » a dénoncé le père jésuite. En effet depuis quelques jours, la presse italienne regorge d’articles évoquant la présence d’un « lobby gay » au sein du Vatican et qui serait victime de chantage de laïcs. De quoi « conditionner l’exercice du vote de tel ou tel membre du Collège des Cardinaux sur lequel pèserait d’éventuels soupçons » dénonce le père Lombardi. Et d’ajouter : « C’est une description profondément injuste de l’Eglise ». « Celui qui voit le monde seulement à travers le prisme de l’argent, du sexe et du pouvoir est au final incapable de voir autre chose dans l’Eglise également ».

    Un temps pour la conversion et l'espérance

    Le directeur de la salle de presse du Saint-Siège défend ainsi l’esprit dans lequel l’Eglise voudrait vivre ce temps d’attente et de préparation. Un esprit tourné vers un temps de réflexion sincère sur les attentes spirituelles du monde et sur la fidélité de l’Eglise à l’évangile. Un chemin pénitentiel de conversion vers la joie de Pâques. Le père Lombardi coupe court à tous les mensonges : conversion et espérance, c’est comme cela que nous vivons et que nous vivrons ce chemin vers Pâques. 

  • Des bobards battus en neige (sale) à propos de la décision du pape

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    Nous lisons sur Aleteia, sous la plume de Philippe Oswald :

    C’est une «pana montata » (crème fouettée) comme la presse italienne en raffole : un article du quotidien de gauche La Repubblica (21 février) signé par l’ancienne directrice de L’Unita (quotidien communiste), insinue que la « démission » (plus justement nommée renonciation) de Benoît XVI serait un geste de désespoir parce qu’il aurait pris connaissance d’un rapport secret sur la puissance d’un lobby gay au sein du Vatican ! Du nanan pour les agences de presse et donc pour nombre de journaux et de radios en France notamment…Mais pour Jean-Marie Guénois, chargé des questions religieuses au Figaro,  cette « crème montée » n’est en réalité qu’un soufflé. Qu’il se charge de dégonfler avec maestria (texte et vidéo): http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/02/22/01016-20130222ARTFIG00463-lobby-gay-au-vatican-pas-de-lien-avec-le-depart-du-pape.php

    Le diagnostic pipé d’un sociologue
    Dans un registre plus sérieux en apparence, le sociologue Olivier Bobineau feint de s’interroger sur le site de L’Express : « l’Eglise, grand corps malade ? ». S’il pointe à juste titre « le choc anthropologique » que représente le message de l’Eglise face « au « cancer » de la « modernité » (qu’il se garde de définir), le sociologue n’hésite pas à soutenir que celle-ci ne pourrait plus progresser, ce que démentent les statistiques annuelles de l’augmentation des catholiques dans le monde. Mais plus encore que cette erreur factuelle, c’est la nature même de l’Eglise et du rôle du pape que méconnaît Olivier Bobineau en affirmant péremptoirement que « l’Eglise veut encadrer le sentiment des individus depuis son centre romain ». On n’est pas loin des poncifs véhiculés depuis le dix-huitième siècle sur « le Vatican » et « l’ordre noir » (les jésuites) ! La chute de l’article dévoile son dessein : sommer l’Eglise de sacrifier à la « modernité » (comme si celle-ci était en pleine forme !) ou s’enfermer dans le « repli identitaire » …pour disparaître. C’est en réalité juste le contraire qui s’est toujours produit et va se reproduire sous nos yeux : c’est dans la mesure où elle ne cède pas à l’esprit du monde et reste fidèle à sa mission d’annoncer la Bonne Nouvelle du salut que l’Eglise se renouvelle et refleurir sans cesse.http://www.lexpress.fr/actualite/societe/renonciation-de-benoit-xvi-l-eglise-grand-corps-malade_1219588.html
     
    Hommage à quatre voix
    C’est précisément pour favoriser ce renouveau que le pape Benoît XVI a choisi de passer le flambeau. Car : «La renonciation de Benoît XVI n’est pas un abandon ». C’est ce qu’ont très bien compris, chacun à sa manière, un philosophe, un chef d’entreprise, un prêtre, un écrivain : François-Xavier Bellamy, le Père Guy Gilbert, Henri de Castries (PDG de Axa) et Jean Raspail. L’hebdomadaire Valeurs Actuelles a réuni leurs contributions dans un bel hommage à « l’exemplarité d’un homme dont le but n’a jamais été que de servir ».

    http://www.valeursactuelles.com/soci%C3%A9t%C3%A9/%E2%80%9C-renonciation-beno%C3%AEt-xvi-n%E2%80%99-pas-abandon%E2%80%9D20130221.html

  • Une laïcité décevante, mais comment ne le serait-elle pas ?

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    La réaction d'un lecteur de la Libre après le pénible débat de "Mise au point" de dimanche dernier (RTBF) :

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  • La dogmatique mondaine

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    De Philippe Maxence, sur le site du bimensuel « L’Homme nouveau » :

    « (…) comme l'écrivait G.K. Chesterton : « Il y a deux sortes de gens dans le monde : les dogmatiques conscients et les dogmatiques inconscients. J'ai quant à moi toujours trouvé que les dogmatiques inconscients étaient, de loin, les plus dogmatiques. »

    Pour les uns comme pour les autres, le geste de Benoît XVI montre à la fois une Église à bout de souffle, une fin de règne et une incapacité à faire face aux défis de l'heure. Comme la contradiction ne les empêche nullement d'empocher leur salaire, voire les deniers de la trahison pour ceux qui professent appartenir encore au catholicisme, ils n'hésitent pas à clamer également, sur le même ton docte, que par cette renonciation d'un pape l'Église entre enfin dans l'ère démocratique. Jacques Julliard se tortille ainsi d'aise pour saluer la fin de « l'idolâtrie » du Pontife romain. Plus prudent, Franz-Olivier Giesbert invite à ne pas se concentrer sur la seule Église en Occident, effectivement en mauvais état, mais à scruter plus largement les parties du monde où la foi catholique est vigoureuse et ardente. Ce qui ne l'empêche pas de regarder lui aussi l'avenir avec un rétroviseur en appelant à la rescousse un pamphlet de Julien Green datant des années vingt et qui s'appliquait à l'état du christianisme en France.

    Depuis plus de deux mille ans que l’Église vit, nos bons apôtres de la mondanité voient dans la démocratisation sa voie de rédemption. Hors de la démocratie, point de salut ! Cet adage ne cesse pourtant de se fracasser contre la réalité. C’est la démocratie moderne qui patine depuis un certain temps, incapable de répondre aux défis de l’époque. Et, c’est l’Église qui a su installer en son sein, depuis longtemps des formes de démocraties tempérées. Les monastères et les communautés religieuses n’ont ainsi pas attendu les éditorialistes d’aujourd’hui pour s’appuyer sur le vote. Et que dire du choix du Souverain Pontife qui repose, lui aussi, sur une élection.

    À ceux qui voient dans la décision de Benoît XVI une révolution dans l’Église et l’installation d’un nouveau mode de gouvernance papale, soulignons seulement que cette décision répond à un choix souverain du Saint-Père, un choix non démocratique et qu’il ne change pas de soi le droit de l’Église. La renonciation restera, à partir du 1er mars prochain, prévue comme une possibilité du droit canon. Pas comme une obligation ! C’est au nom de la souveraineté universelle inhérente à sa charge que Benoît XVI a pu prendre cette décision et jouer encore sur le paradoxe du christianisme qui échappe décidément aux yeux du monde. 

    Le texte complet ici : Le choix souverain de Benoît XVI

    A bons entendeurs mondains, clercs ou laïques, salut…

  • A travers le cardinal Mahony, c'est l'Eglise qui est à nouveau la cible des médias

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    Sur la Nuova Bussola Quotidiana, Massimo Introvigne dénonce un "tsunami de bêtises" qui déferle à nouveau contre l'Eglise à travers l'univers médiatique. Il s'agit cette fois d'un cardinal américain accusé d'avoir "couvert" des crimes de pédophilie et qui, selon les groupes de pression, devrait être interdit de Conclave. Nous nous apprêtions à traduire le "décryptage" de cette affaire mais nous avons été pris de court par le site Benoît-et-moi qui a déjà mis en ligne cette traduction et qui titre "les abus sexuels s'invitent au conclave" : http://benoit-et-moi.fr/2013-I/articles/les-abus-sexuels-sinvitent-au-conclave.php

  • Les sites de l'Eglise de France victimes de hackers

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    Sur le site de zatas.com :

    Pendant que le Pape démissionne, zataz.com a la preuve que des pirates se sont infiltrés dans le serveur de l'Eglise Catholique de France. Depuis plusieurs mois, dont un point d'orgue avait été révélé par zataz.com, les serveurs de l'Eglise Catholique de France ont été visités et modifiés par de nombreux pirates. La dernière modification date de janvier 2013. A noter que certaines pages piratées sont toujours visibles au moment de l'écriture de cet article, comme le montre les captures écrans. La plupart des "attaques" visaient à afficher des messages politiques et religieux.

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  • Pourquoi l'auteur de "la merditude des choses" est fier d'être belge

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    Auteur d'un nouveau roman intitulé "L'entrée du Christ à Bruxelles", Dimitri Verhulst accorde un entretien à Guy Duplat dans La Libre. Flamand vivant à Huccorgne, il se positionne plutôt en défenseur de la belgitude. Malheureusement, pas celle qui nous plaît. Il déclare notamment. "Je préfère dire que je suis fier d’être belge quand je vois que l’on vient de l’étranger chez nous grâce à nos lois généreuses sur l’avortement et l’euthanasie. Nous avons eu de vrais débats et de vraies lois pour répondre à la souffrance des gens." Quand l'empathie dérape, elle cautionne malheureusement le n'importe quoi. Mais, s'il n'était pas rallié au politiquement et culturellement correct, cet auteur aurait-il droit aux plateaux de télévision et à des interviews dans la Libre ? Il est toutefois intéressant d'acter cette impasse qu'il signale: "Mon combat, mon idéal, ce n’est pas d’attendre un dieu, qui d’ailleurs ne viendra pas, mais de réaliser déjà ce monde meilleur, aujourd’hui. Pourquoi faudrait-il un retour des religions, avec leurs diktats et leurs "conseils" pour qu’on se préoccupe enfin des autres ? Je n’aurais jamais cru qu’en 2013, des siècles après les Lumières, on ait encore besoin de l’arrivée d’un dieu sur terre pour se préoccuper du bien des hommes. Mais il est vrai qu’aujourd’hui, l’égoïsme domine et que trop de gens, quand ils croisent un SDF à la gare centrale se disent qu’ils s’en foutent car de toute manière c’est de sa faute." Donc ?

  • La dictature de l'éthiquement correct

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    C'est en Croatie, elle est interdite d'antenne pour avoir critiqué l'éducation sexuelle (Jeanne Smits) :

    Cette info nous arrive via l'observatoire de l'intolérance à l'égard des chrétiens, fondé par l'Autrichienne Gudrun Kugler : une présentatrice de télévision croate, Karolina Vidović-Krišto a été suspendue de ses fonctions pour avoir et présenté une émission critiquant le programme d'« éducation sexuelle » mis en place par le gouvernement de gauche de son pays.
     
    L'émission « Slika Hrvatske », destinée aux Croates de l'étranger et très suivie par ceux-ci, a été diffusée le 29 décembre dernier, à un moment où le sujet fait l'objet de larges débats. Karolina Vidović-Krišto y a donné la parole à ceux qui mettent en avant les points négatifs du projet gouvernemental.
     
    Dès le lendemain, la télévision publique HRT/HTV a présenté des excuses publiques en assurant que les opinions exprimées au cours de l'émission n'étaient pas les siennes : « En raison de violations graves des règles professionnelles et d'un abus de sa position, HRT prendra des mesures fortes » à l'égard de la présentatrice.
     
    De fait l'émission de Karolina Vidović-Krišto a été suspendue et elle n'exerce plus ses fonctions de rédacteur en chef auprès de HRT/HTV.
  • Quand Libé se surpasse...

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    Excellente charge d'un 'journaliste chrétien' contre une mauvaise gazette tombée bien bas : liberation-feuille-paroissiale-du-culte-bobo.html

  • Combattre la toute-puissance de la caste médiatique

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    Une note qui vient à son heure sur le blog du Salon Beige : la-cyber-dissidence-peut-permettre-de-fissurer-le-mur-de-la-désinformation et qui nous incite à poursuivre notre combat.

    Extrait (d'une interview de J.Y. Le Gallou relayéepar le SB) :

    ... les médias seraient-ils devenus le premier pouvoir?

    Parce que la société et ses leviers de pouvoir – la justice, les politiques et l’ensemble des décideurs – sont obnubilés par la « visibilité ». Ce faisant, ils ne parlent plus au nom de l’intérêt général, mais en fonction de l’accueil médiatique de leurs propos. Les politiques n’essaient même plus de séduire le peuple (c’est la démagogie) : ils veulent plaire aux journalistes. C’est la « médiagogie ».[...]

    Avec le mariage gay, nous sommes au coeur du sujet: c’est une guerre du faible au fort. [...] Mais au cours des dix dernières années, les médias alternatifs se sont multipliés, grâce à Internet.Les adversaires du mariage homo ont remporté la bataille médiatique parce qu’il y a eu publication des photos sur Internet, ce qui a permis une diffusion virale, massive, qui a contré les médias de l’oligarchie. Certes, TF1 reste le plus puissant média français. Mais désormais, il est possible de corriger ou de contester la version officielle. Evidemment, ceux qui corrigent sont faibles, par rapport au fort, mais ils existent. Les samizdats circulaient de manière réduite et sous le manteau, à l’époque soviétique. Mais à la fin, le travail des dissidents a payé! Aujourd’hui, en France, nous prenons moins de risque que ces courageux opposants et, au lieu de photocopier durant des heures dans des refuges incertains, il suffit d’un clic pour agir, derrière son écran! Je crois donc que la cyber-dissidence peut permettre de fissurer le mur de la désinformation. Et ce mur s’effondrera comme le mur de Berlin s’est effondré!"

  • L'inutile grain de sel de Gabriel Ringlet

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    RTL n'a pu s'empêcher d'accorder à l'oracle de Malèves une tribune pour y débiter ses propos convenus en phase avec la déliquescence morale et spirituelle de la société belge. Un ami nous écrit à ce propos :

    Nous avons entendu par les médias la réaction de divers responsables écclésiastiques belges : Mgr Léonard, Mgr Harpigny, l'abbé De Beukelaer (mais étrangement pas le cardinal Danneels qui sera le seul Belge au conclave) : Tous rendent unanimement hommage à Benoit XVI et comprennent sa décision de se retirer de sa haute fonction si sa santé ne lui permet plus de l'exercer.
     
    "Hier, au journal télévisé de RTL, nous avons entendu un tout autre son de cloche de la part de l'abbé Ringlet qui a déclaré espérer que l'Eglise saisirait cette occasion pour élire un pape résolument "progressiste", "en phase avec la société", c'est-à-dire, si j'ai bien compris, une Eglise qui autoriserait toutes les perversités qui ont été légalisées ces dernières années (soit, à peu près "tout" à part la pédophilie). Tout ce qui serait légal ne serait plus considéré comme un péché. L'abbé n'a pas dit comment l'Eglise qui est universelle devrait solutionner le paradoxe que les lois diffèrent dans chaque pays. On ne peut pas imaginer qu'un acte soit considéré comme un péché en Amérique (par exemple), mais pas chez nous. 
     
    Sans doute, cet abbé se voit-il déjà à la place de Mgr Léonard, sans doute à la grande satisfaction de nos politiciens, surtout Madame Onkelinckx qui a osé déclaré un jour que les Chrétiens de Belgique "méritaient mieux". 
     
    Si un jour une telle situation devait arriver et que l'Eglise ne devienne plus que le miroir de l'idéologie dominante "politiquement correcte", au lieu de continuer à dénoncer le péché qui gangrène notre société occidentale jusque dans les plus hauts niveaux de pouvoir, alors je pense qu'un bon Chrétien (c'est-à-dire celui qui veut suivre le Christ) devrait quitter celle-ci pour son propre salut."

  • La foudre sur Saint-Pierre

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    On lit ici :

    Tout un symbole ? La foudre s'est abattue sur le Vatican lundi soir, jour de l'annonce de la renonciation du pape Benoît XVI, peut-on lire sur le site de la Repubblica.

    Un photographe de l'agence italienne Ansa, Alessandro Di Meo, a capté le moment précis où un éclair foudroie le dôme de Saint-Pierre.